Certains commutateurs simples supportent plus ou moins de LACP
le netgear était le moins cher que j'ai pu trouver avec ce type de support.
on dépasse les 50 Mo/s sur des périodes étendues
C'est typiquement ce qui arrive sur une grappe de calculs quand plusieurs processus décident d'écrire où de lire des données (souvent des dizaines de GO) simultanément sur un NFS ou d'échanger des informations.
Il faut regarder les spécifications
Certes, encore faut-il y comprendre quelque chose. Pour moi c'est plus ou moins du charabia, je n'ai qu'une vague idée de ce qu'ai un packet. Par exemple d'après les bribes de spécifications fournies par le constructeur la latence du GS724T pouvait sembler deux fois moindre que celle du JGS516… J'aurais cru que les pings s'en ressentiraient.
C'est ce que je me suis dit après coup ! Je le saurais pour le prochain switch.
Question subsidiaire : les switchs non "manageable" ne peuvent pas supporter le 802.3ad ? J'avais choisi le modèle GS724T pour pouvoir fusionner les ports de mon serveur NFS (et avec un peu de chance, si je n'ai pas eu tort, cette remarque est une réponse à votre question)…
chronopost: ils passent a des horaires trés pratique en semaine, tu les appellent, tu leurs donne RDV pour dans deux jours
le lendemain avis de passage pour dire que si t'est pas la ils renvoient le colis, ca donne des envies d'envois de poutre...
Eh bien ça c'est le bon cas. Ma petite expérience répétée deux fois à deux adresses différentes avec Chronopost c'est que le gars ne se donne pas la peine de chercher ; si son GPS ne l'envoi pas directement au bon endroit, ni une ni deux on renvoi la marchandise au dépôt. Du coup, on l'attend toute la journée et le soir, sur le site de suivi, on peut voir que l'on n'était pas chez soi… Alors certes, je n'ai pas beaucoup de chances avec les adresses ; mais le facteur lui il trouve tout les jours !
Désolé, mais il me semblerait plus naturel de demander ce genre d'information à l'auteur de la page que je site. J'imagine cependant qu'il n'est pas totalement impossible de refaire les calculs sans réponse de sa part : les indices de salaire sont publics (publiés au journal officiel ?), et les valeurs de l'inflations publiées par l'INSEE sont probablement archivées quelque part. Ceci dit, lorsque j'ai un peu cherché pour faire une comparaison par rapport à d'autres professions (médecin, enseignant, préfet, député, infirmier, etc) je n'ai pas réussi à mettre la main sur les informations. Probablement que seul un chercheur du domaine ou un syndicaliste très expérimenté seraient capable de trouver les informations.
Dans mon esprit, peut-être un peu faible, les prix sont fixés essentiellement en fonction de la solvabilité du marché. Donc une augmentation du salaire de base (~40% des salariés non ?) implique une augmentation des prix équivalentes. Mécaniquement, cela signifie que tout revenu qui augmente moins que le smic en France voit son pouvoir d'achat diminuer.
Si j'approuve tout le début, il me semble que ceci est absolument faux :
Pour ce qui est du niveau de vie, il augmente […]
Tout du moins c'est le cas pour ce qui concerne ma petite corporation où le salaire d'embauche et passé linéairement de 2,2 à 1,5 fois le smic en 25 ans (http://nicolas.tentillier.free.fr/Salaires/index.html). Et à moins qu'il ne s'agisse vraiment d'un cas à part — genre un message des gouvernements pour se débarrasser d'une classe de fonctionnaires parasites — j'ai du mal à croire que le cas général depuis les années 80 soit à l'augmentation du niveau de vie.
Par ailleurs, il me semble avoir entendu une statistique amusante qui montrait qu'un ménage dans les années 60 pouvait prétendre à voir son patrimoine multiplié par cinq en cours de carrières normales. Par opposition à l'heure actuelle, le facteur serait plutôt orienté vers deux : en partant dans la vie avec pour patrimoine une vieille bagnole et une table tu peux espérer prendre ta retraite avec deux véhicules hors d'usage et un salon :-).
Je n'utilise pas samba. Par principe l'idée de chercher à être compatible avec le mal me révulse, même en utilisant un logiciel libre. Je ne souhaite pas finir en Lorenzaccio. Je me suis donc tourné vers pamldap. Malheureusement lorsqu'un utilisateur souhaite changer de mot de passe, au dernier moment, (après avoir rentré l'ancien, puis deux fois le nouveau) il reçoit une message d'erreur lui expliquant qu'il n'a pas des droits suffisants. Et ce alors que mon slapd précise bien que "self" peut changer son mot de passe… D'aucuns semblent croire qu'il pourrait s'agir d'un problème avec SElinux. Probablement encore un programme s'interfaçant avec une base de donnée (pour rester dans le sujet d'origine).
Voilà, juste un petit mot pour exprimer mes plus vives et sincères condoléances. Chaque fois que j'ai eu l'occasion de me frotter avec des projets utilisant des bases de données relationnelles j'en ai beaucoup souffert. Il faut bien avouer que je n'ai pas les connaissances de bases nécessaires à gérer ces choses. Du coup, tout me paraît obscure. Et comme bien souvent les bogues, les faiblesses et les difficultés de configuration des logiciels les utilisant sont liées au difficultés qu'on les développeurs des projets à bien les gérés, je me pose sérieusement la question suivante : pourquoi les connaissances liés aux bases de données ont tant de mal à filtrer vers les non spécialistes ? Est-ce si compliqué ? N'existe-t-il pas de bonne introduction accessible et utile sur le sujet ?
Comme exemples deux épines douloureuses qui me restent de m'être indirectement frotté aux bases de données. Dans le temps j'ai voulu utilisé bacula. Un logiciel de sauvegarde très intéressant. Après moulte déboire, j'ai finalement réglé mon système de sauvegarde. Pour finalement comprendre qu'en cas de véritable problème il se pourrait bien que rien ne soit récupérable. À l'époque bacula avait apparemment des problèmes pour sauvegarder l'état de la base de donnée avec laquelle il travaillait !
Plus récemment, c'est la configuration d'openldap qui me fait faire pénitence. Comment réussir à ce que les utilisateurs puissent être ajoutés simplement et de manière cohérente dans la base de donnée sans passé par de longues séries de requêtes bien plus complexes que le simples useradd ? Comment permettre aux utilisateurs de modifier leur propre mot de passe ? Mystère et (encore une fois) base de données.
Je n'ai pas de chiffres, seulement de vagues réminiscences de lectures éclectiques et probablement peu fiables. Mais votre question comporte l'attestation formelle de mes affirmations ; et semble donc dénoter chez vous un blocage, ou de ma part une incapacité de communiquer correctement.
«Il est vrai que les gros éditeurs […] ont des services spécialisés […] ne pas être poursuivi »
Ne m'en veuillez pas de ne pas poursuivre la discussion plus avant. J'imagine que dans mon propre domaine je porte moi aussi des oeillères par déformation professionnel. Je comprends mieux votre attitude. Désolé.
Et maintenant prenons un (le) vrai dictionnaire de français : atilf. Que dit-il ?
Troisième sens avéré du mot instrumenter :
« III. INDUSTR. PÉTROLIÈRE, emploi trans. ,,Doter une installation de raffinage d'appareils de contrôle automatiques. Instrumenter une colonne, un four`` (Lar. encyclop., Lar. Lang. fr.).»
Qui sait si d'ici quelques années on ne trouvera pas dans cet encyclopédie de la langue française une citation du journal ci-dessus attestant de l'emploi du verbe instrumenter en informatique :-). En attendant cet usage paraît bien cohérent.
Non là on ne parle pas de coût anecdotiques justement ! Les poursuites pour plagiat, copie, « inspiration » sont légions et ont un coût direct important (appareil judiciaire), et une coût social bien plus important comme en témoigne, entre autre, plusieurs messages de ce fil de discussion : les gens, dans leur crédulité et leur bonne volonté envers des lois iniques s'autocensurent et la propagation de la culture aussi bien que l'innovation s'en trouvent limitées de manière difficilement quantifiable.
Contrairement à ce qui pourrait transparaître au premier abord, la position que j'exprime n'est pas une position prise de manière légère et inconséquente. Il ne s'agit surtout pas de gentillesse, mais bien du résultat pondéré d'une réflexion sérieuse. S'il est parfaitement légitime de ne pas être d'accord, il ne me semble pas raisonnable d'écarter ainsi d'un revers une solution, qui pour être minoritaire n'en a pas moins quelques avantages — selon ses défenseurs bien entendu.
Pour montrer qu'il ne s'agit pas d'une passade mais bien d'une véritable proposition sérieuse, laissez moi répondre brièvement sur quelques points emblématiques de votre contre argumentation.
Si je n'ai jamais entendu mentionner le nom Elfred Kopel, l'argument que vous lui associez est lui emblématique du courant d'opinion auquel vous semblez adhérer : « prenons quelques exemples d'individus fort singuliers et réclamons en leurs noms et avantages des lois communes sans prendre en compte l'intérêt général. » Voilà précisément l'attitude que j'espère récuser. Il me semble qu'une bonne législation doit chercher l'équilibre entre les nécessités collectives et individuelles, mais avec une forte pondération sur les premières au détriment éventuel des secondes. Et je ne doute pas que malheureusement changer la situation actuelle (au regard de ce dont nous discutons et d'une manière se rapprochant de ma proposition ci-avant) porterait préjudice à des personnes de très grande qualité.
Que la majorité des publications ne soient pas lues, ou pas des succès mondiaux, je suis payé pour le savoir. Dans mon domaine il n'est pas rare de désigner ces choses sous le vocable de pollution. Il est un fait que la majorité des auteurs, bien loin de s'assurer des revenus conséquents cherchent plutôt à rencontrer leur public, à s'exprimer ou même tout simplement à publier. Le droit d'auteur actuel ne leur est donc absolument pas adapté. Et cela rend d'autant plus illégitime le fait de prendre quelques cas exceptionnel pour justifier un système devenu globalement néfaste.
Il est également évident que des œuvres sont parfois exploitée sur le long terme et tant mieux. Mais ne doit-on pas se poser la question « où est le travail ?» Si quelqu'un cherche et découvre des joyaux dans les œuvres du passé et arrive à les commercialiser n'est-ce pas lui qui doit en être rémunéré ? Et l'auteur n'y trouvera-t-il pas de toute façon son propre bénéfice de par la renommée qu'il acquerra ? La loi a-t-elle vraiment vocation à considérer cette situation ou de toutes façons chacun trouve son compte, celui qui travail et celui qui a travaillé ?
Enfin y a-t-il quelque chose de plus arbitraire que la durée de vie d'un homme ? Des plus anciens manuscrits, aux poésies modernes en passant par des textes de la bible qui ne se plaint de cette arbitraire là ? Je ne peux certes pas fixer une durée arbitraire pour les droits d'auteur. En revanche, il est légitime de mentionner que la durée actuel l'est parfaitement (arbitraire) et qu'il serait raisonnable et productif de la réduire considérablement à défaut de l'annuler.
« L'inspiration n'est pas interdite, je ne vois pas le problème. »
Eh bien justement si. Dans de nombreux domaines la notion de propriété intellectuelle semble avoir tellement dérivée que l'inspiration y est proscrite. Pour illustrer mon propos deux exemples dont probablement tout le monde a entendu parler :
- combien de poursuites entre auteurs sur le thème : il s'est inspiré de mes idées pour faire son œuvre (tel feuilleton se serait inspiré de tel roman, tel roman de tel nouvelle, et cætera) ?
- combien de procès en contrefaçon dans le domaine de la mode pour des motifs ou coupes ressemblant plus où moins vaguement à un modèle déjà existant ?
De telles aberrations devraient légitimement amener les gens à remettre en cause radicalement les notions de propriétés sur l'immatériel tel que nous les connaissons actuellement. Ceci dit, ces exemples ne sont que des pointes émergées de l'iceberg. Les vrais problèmes me semblent bien plus fondamentaux et bien moins anecdotiques. Ma petite opinion personnelle à deux centimes est que le droit d'auteur a tant dérivé depuis sa création qu'il est devenu largement contre productif, aussi bien pour la culture que pour l'économie.
Au premier degré je suis assez d'accord avec certaines réflexions exprimées dans ce commentaire. Mais j'ai la vague impression qu'il ne fallait pas s'arrêter à ce niveau de lecture…
Non, pourquoi les droits patrimoniaux devraient-ils s'étendre sur toute la durée de vie de l'auteur ? Pourquoi pas revenir à des durées plus raisonnables ? Par exemple 5 ans après la première divulgation au public renouvelable sur demande une ou deux fois. Après tout, les buts des droits d'auteur sont :
- de prévenir l'exploitation des œuvres par des tierces sans que l'auteur ai pu en bénéficier ;
- et de pousser vers un optimum de la production culturelle.
Les deux objectifs ont des nécessités opposées en ce qui concerne la durée du monopole accordé. Ont comprend bien que la protection maximale de l'auteur implique une longue durée de ses droits (même si l'expérience montre que cela est loin d'être suffisant). De l'autre côté pour optimiser la productivité il est légitime d'éviter (si possible) les situations de rente à vie. Tout le monde ne trouve pas légitime que le travail d'un jour puisse, en cas de succès important, assuré le couvert pour la vie. Cela s'apparente trop à une loterie et dévalorise le travail quotidien productif. Comme il est tout à fait exceptionnel qu'une œuvre n'ayant pas eu de succès soit redécouverte quelques années plus tard, il n'est probablement pas légitime de tenir compte de — et surtout pas de mettre en exergue — ces cas marginaux dans la législation et une durée de cinq ans pour la protection patrimonial ne paraît donc pas dérisoire.
Le seul côté négatif que je pourrais voir à une telle législation au niveau mondiale serait de réduire la protection apportée par la GPL et de pousser « la communauté » des logiciels libre à continuer d'innover et à mettre à jour ses programmes. Quelle horreur.
Je ne suis pas certains de comprendre ce qu'est l'étape numéro 1. S'agit-il du fait que le double clic sur une barre mette une fenêtre en plein écran ?
Si c'est le cas je ne suis pas certain que ma contribution minime soit absolument impertinente. Après-tout : tout le monde ne change pas cette configuration par défaut ; pour quel'qu'un ignorant tout du code de metacity il ne paraît pas impossible, d'après le rapport fait dans le journal, que le bug soit lié non pas à la mise en plein écran des fenêtres mais à l'action de double clic. Mais si cela est parfaitement évident pour tous et que la bogue est déjà parfaitement localisé, mea culpa, j'ai introduit du bruit de fond dans les messages de linuxfr !
«… sa phrase ?» vous vouliez dire la mienne ? Il me semble que cette phrase n'est pas assez ancienne pour que j'ai déjà oublié ce que j'ai souhaité y exprimer ; même si, mea culpa, je n'ai apparemment pas parfaitement réussi ou manqué d'orthodoxie. Au moins, il est apparemment possible de deviner les mots que j'ai évité. C'est déjà ça. Même si un extra-lucide est nécessaire pour cela.
Pas de compiz, pas de logiciels non libres, pas de logiciels non-compilés… À la fois je n'ai pas gardé les défauts de gnome : chez moi un double clic sur une barre de fenêtre sert à réduire la fenêtre à la sus-dite barre (un peu comme sous olvwm pour ceux qui connaiss(ai)ent).
Sauf qu'en l'occurrence il ne s'agit pas de l'expression liée à l'autorisation de présence dans une communauté ; mais bien plutôt de la volonté de ne pas citer une marque… Quoi qu'il en soit, merci pour ces remarques. Je ne savais pas qu'il existait une expression parlant du « droit de cité,» et j'ignorais encore plus son origine.
Je ne suis pas très bon en grammaire et aurtograffe mais, il me semblait qu'il s'agissait d'un verbe à l'infinitif :
« perdre le droit d'agir »
Me tromperai-je ?
[^] # Re: La réponse aidant la question
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Optimiser la vitesse d'un switch/réseau. Évalué à 2.
le netgear était le moins cher que j'ai pu trouver avec ce type de support.
on dépasse les 50 Mo/s sur des périodes étendues
C'est typiquement ce qui arrive sur une grappe de calculs quand plusieurs processus décident d'écrire où de lire des données (souvent des dizaines de GO) simultanément sur un NFS ou d'échanger des informations.
Il faut regarder les spécifications
Certes, encore faut-il y comprendre quelque chose. Pour moi c'est plus ou moins du charabia, je n'ai qu'une vague idée de ce qu'ai un packet. Par exemple d'après les bribes de spécifications fournies par le constructeur la latence du GS724T pouvait sembler deux fois moindre que celle du JGS516… J'aurais cru que les pings s'en ressentiraient.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Forcer vitesse + duplex
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Optimiser la vitesse d'un switch/réseau. Évalué à 2.
En fait les interfaces réseaux impliquées (les quatres donc) rapportent toutes être entre en :
Speed: 1000Mb/s
Duplex: Full
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: La réponse aidant la question
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Optimiser la vitesse d'un switch/réseau. Évalué à 2.
Question subsidiaire : les switchs non "manageable" ne peuvent pas supporter le 802.3ad ? J'avais choisi le modèle GS724T pour pouvoir fusionner les ports de mon serveur NFS (et avec un peu de chance, si je n'ai pas eu tort, cette remarque est une réponse à votre question)…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: et dhl.fr
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal chronopost.fr fait de la concurrence à sncf.truc. Évalué à 4.
le lendemain avis de passage pour dire que si t'est pas la ils renvoient le colis, ca donne des envies d'envois de poutre...
Eh bien ça c'est le bon cas. Ma petite expérience répétée deux fois à deux adresses différentes avec Chronopost c'est que le gars ne se donne pas la peine de chercher ; si son GPS ne l'envoi pas directement au bon endroit, ni une ni deux on renvoi la marchandise au dépôt. Du coup, on l'attend toute la journée et le soir, sur le site de suivi, on peut voir que l'on n'était pas chez soi… Alors certes, je n'ai pas beaucoup de chances avec les adresses ; mais le facteur lui il trouve tout les jours !
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: moi c'est pas le prénom
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal chronopost.fr fait de la concurrence à sncf.truc. Évalué à 10.
Non, il s'agit d'un autre utilisateur. Lui son nom est ʇpooɹquooɥɔs :-)
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: As tu pensé à l'économie ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Defective By Design, ou le business model des bugs volontaires.. Évalué à 3.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: As tu pensé à l'économie ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Defective By Design, ou le business model des bugs volontaires.. Évalué à 6.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: As tu pensé à l'économie ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Defective By Design, ou le business model des bugs volontaires.. Évalué à 5.
Pour ce qui est du niveau de vie, il augmente […]
Tout du moins c'est le cas pour ce qui concerne ma petite corporation où le salaire d'embauche et passé linéairement de 2,2 à 1,5 fois le smic en 25 ans (http://nicolas.tentillier.free.fr/Salaires/index.html). Et à moins qu'il ne s'agisse vraiment d'un cas à part — genre un message des gouvernements pour se débarrasser d'une classe de fonctionnaires parasites — j'ai du mal à croire que le cas général depuis les années 80 soit à l'augmentation du niveau de vie.
Par ailleurs, il me semble avoir entendu une statistique amusante qui montrait qu'un ménage dans les années 60 pouvait prétendre à voir son patrimoine multiplié par cinq en cours de carrières normales. Par opposition à l'heure actuelle, le facteur serait plutôt orienté vers deux : en partant dans la vie avec pour patrimoine une vieille bagnole et une table tu peux espérer prendre ta retraite avec deux véhicules hors d'usage et un salon :-).
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: "Copying is not theft" et "Free Software Song"
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Super-Crapule contre Super-Hadopi. Évalué à 5.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: compassion
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal [HELP] Compteur de clics avec MySQL (voire Oracle RDBMS). Évalué à 2.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# compassion
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal [HELP] Compteur de clics avec MySQL (voire Oracle RDBMS). Évalué à 1.
Comme exemples deux épines douloureuses qui me restent de m'être indirectement frotté aux bases de données. Dans le temps j'ai voulu utilisé bacula. Un logiciel de sauvegarde très intéressant. Après moulte déboire, j'ai finalement réglé mon système de sauvegarde. Pour finalement comprendre qu'en cas de véritable problème il se pourrait bien que rien ne soit récupérable. À l'époque bacula avait apparemment des problèmes pour sauvegarder l'état de la base de donnée avec laquelle il travaillait !
Plus récemment, c'est la configuration d'openldap qui me fait faire pénitence. Comment réussir à ce que les utilisateurs puissent être ajoutés simplement et de manière cohérente dans la base de donnée sans passé par de longues séries de requêtes bien plus complexes que le simples useradd ? Comment permettre aux utilisateurs de modifier leur propre mot de passe ? Mystère et (encore une fois) base de données.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Canada et ACTA
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 23. Évalué à 2.
«Il est vrai que les gros éditeurs […] ont des services spécialisés […] ne pas être poursuivi »
Ne m'en veuillez pas de ne pas poursuivre la discussion plus avant. J'imagine que dans mon propre domaine je porte moi aussi des oeillères par déformation professionnel. Je comprends mieux votre attitude. Désolé.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Instrumenter ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche latrace, le traceur qui instrumente le chargeur dynamique. Évalué à 4.
Troisième sens avéré du mot instrumenter :
« III. INDUSTR. PÉTROLIÈRE, emploi trans. ,,Doter une installation de raffinage d'appareils de contrôle automatiques. Instrumenter une colonne, un four`` (Lar. encyclop., Lar. Lang. fr.).»
Qui sait si d'ici quelques années on ne trouvera pas dans cet encyclopédie de la langue française une citation du journal ci-dessus attestant de l'emploi du verbe instrumenter en informatique :-). En attendant cet usage paraît bien cohérent.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Canada et ACTA
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 23. Évalué à 2.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Canada et ACTA
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 23. Évalué à 3.
Pour montrer qu'il ne s'agit pas d'une passade mais bien d'une véritable proposition sérieuse, laissez moi répondre brièvement sur quelques points emblématiques de votre contre argumentation.
Si je n'ai jamais entendu mentionner le nom Elfred Kopel, l'argument que vous lui associez est lui emblématique du courant d'opinion auquel vous semblez adhérer : « prenons quelques exemples d'individus fort singuliers et réclamons en leurs noms et avantages des lois communes sans prendre en compte l'intérêt général. » Voilà précisément l'attitude que j'espère récuser. Il me semble qu'une bonne législation doit chercher l'équilibre entre les nécessités collectives et individuelles, mais avec une forte pondération sur les premières au détriment éventuel des secondes. Et je ne doute pas que malheureusement changer la situation actuelle (au regard de ce dont nous discutons et d'une manière se rapprochant de ma proposition ci-avant) porterait préjudice à des personnes de très grande qualité.
Que la majorité des publications ne soient pas lues, ou pas des succès mondiaux, je suis payé pour le savoir. Dans mon domaine il n'est pas rare de désigner ces choses sous le vocable de pollution. Il est un fait que la majorité des auteurs, bien loin de s'assurer des revenus conséquents cherchent plutôt à rencontrer leur public, à s'exprimer ou même tout simplement à publier. Le droit d'auteur actuel ne leur est donc absolument pas adapté. Et cela rend d'autant plus illégitime le fait de prendre quelques cas exceptionnel pour justifier un système devenu globalement néfaste.
Il est également évident que des œuvres sont parfois exploitée sur le long terme et tant mieux. Mais ne doit-on pas se poser la question « où est le travail ?» Si quelqu'un cherche et découvre des joyaux dans les œuvres du passé et arrive à les commercialiser n'est-ce pas lui qui doit en être rémunéré ? Et l'auteur n'y trouvera-t-il pas de toute façon son propre bénéfice de par la renommée qu'il acquerra ? La loi a-t-elle vraiment vocation à considérer cette situation ou de toutes façons chacun trouve son compte, celui qui travail et celui qui a travaillé ?
Enfin y a-t-il quelque chose de plus arbitraire que la durée de vie d'un homme ? Des plus anciens manuscrits, aux poésies modernes en passant par des textes de la bible qui ne se plaint de cette arbitraire là ? Je ne peux certes pas fixer une durée arbitraire pour les droits d'auteur. En revanche, il est légitime de mentionner que la durée actuel l'est parfaitement (arbitraire) et qu'il serait raisonnable et productif de la réduire considérablement à défaut de l'annuler.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Canada et ACTA
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 23. Évalué à 2.
Eh bien justement si. Dans de nombreux domaines la notion de propriété intellectuelle semble avoir tellement dérivée que l'inspiration y est proscrite. Pour illustrer mon propos deux exemples dont probablement tout le monde a entendu parler :
- combien de poursuites entre auteurs sur le thème : il s'est inspiré de mes idées pour faire son œuvre (tel feuilleton se serait inspiré de tel roman, tel roman de tel nouvelle, et cætera) ?
- combien de procès en contrefaçon dans le domaine de la mode pour des motifs ou coupes ressemblant plus où moins vaguement à un modèle déjà existant ?
De telles aberrations devraient légitimement amener les gens à remettre en cause radicalement les notions de propriétés sur l'immatériel tel que nous les connaissons actuellement. Ceci dit, ces exemples ne sont que des pointes émergées de l'iceberg. Les vrais problèmes me semblent bien plus fondamentaux et bien moins anecdotiques. Ma petite opinion personnelle à deux centimes est que le droit d'auteur a tant dérivé depuis sa création qu'il est devenu largement contre productif, aussi bien pour la culture que pour l'économie.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Et l'état ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Mandriva : une situation plus difficile que prévue ?. Évalué à 2.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Canada et ACTA
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 23. Évalué à 3.
- de prévenir l'exploitation des œuvres par des tierces sans que l'auteur ai pu en bénéficier ;
- et de pousser vers un optimum de la production culturelle.
Les deux objectifs ont des nécessités opposées en ce qui concerne la durée du monopole accordé. Ont comprend bien que la protection maximale de l'auteur implique une longue durée de ses droits (même si l'expérience montre que cela est loin d'être suffisant). De l'autre côté pour optimiser la productivité il est légitime d'éviter (si possible) les situations de rente à vie. Tout le monde ne trouve pas légitime que le travail d'un jour puisse, en cas de succès important, assuré le couvert pour la vie. Cela s'apparente trop à une loterie et dévalorise le travail quotidien productif. Comme il est tout à fait exceptionnel qu'une œuvre n'ayant pas eu de succès soit redécouverte quelques années plus tard, il n'est probablement pas légitime de tenir compte de — et surtout pas de mettre en exergue — ces cas marginaux dans la législation et une durée de cinq ans pour la protection patrimonial ne paraît donc pas dérisoire.
Le seul côté négatif que je pourrais voir à une telle législation au niveau mondiale serait de réduire la protection apportée par la GPL et de pousser « la communauté » des logiciels libre à continuer d'innover et à mettre à jour ses programmes. Quelle horreur.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: je reproduis
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Ce bug ne sera pas corrigé car nous ne pouvons pas le reproduire. Évalué à 2.
Si c'est le cas je ne suis pas certain que ma contribution minime soit absolument impertinente. Après-tout : tout le monde ne change pas cette configuration par défaut ; pour quel'qu'un ignorant tout du code de metacity il ne paraît pas impossible, d'après le rapport fait dans le journal, que le bug soit lié non pas à la mise en plein écran des fenêtres mais à l'action de double clic. Mais si cela est parfaitement évident pour tous et que la bogue est déjà parfaitement localisé, mea culpa, j'ai introduit du bruit de fond dans les messages de linuxfr !
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: C'est quoi ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal A mort les tristes journées. Évalué à 2.
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[^] # Re: je reproduis
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Ce bug ne sera pas corrigé car nous ne pouvons pas le reproduire. Évalué à 4.
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[^] # Re: je reproduis
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Ce bug ne sera pas corrigé car nous ne pouvons pas le reproduire. Évalué à 2.
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[^] # Re: Il fait chaud et beau.
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Le logiciel libre aurait plus de problèmes de sécurité…. Évalué à 2.
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[^] # Re: C'est quoi ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal A mort les tristes journées. Évalué à 1.
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[^] # Re: C'est quoi ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal A mort les tristes journées. Évalué à 1.
« perdre le droit d'agir »
Me tromperai-je ?
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