Récemment j'avais également été surpris de lire dans la biographie d'un ancêtre de la fin du XIXè - début XXè, qu'un temps fonctionnaire, il avait décidé de quitter se travail trop prenant car l'obligeant à six heures de présence par jour en son office. Le monsieur était d'un milieu entrepreneurial…
C'est une technologie super pratique pour quelqu'un d'un peu ouvert. Ça permet de transmettre à la fois le pdf et sa source. Tout type de document peuvent être inclus ainsi. Dans un autre cas d'usage, ça permet souvent d'inclure les fichiers tex, le corrigé, et les svg des illustrations dans un sujet. En cas de disparition de l'auteur initial ou de ses données, le projet n'est pas à reprendre de la base.
Excellente dépêche. Il y a tellement de points évoqués qui font plaisir à lire (vraiment !) que je dois me passer de les énumérer pour me concentrer sur un détail critique :
« Un mème que j’avais bricolé il y a quelques mois et qui illustre le chantier qui nous attend pour améliorer la qualité des ingrédients. »
Si j'ai bien compris la législation en vigueur, un ingrédient ne doit pas nécessairement être mentionné. Par exemple s'il s'agit de l'ingrédient d'un autre ingrédient. Exemple repartant de celui donné en incipit : Les M&M's contiennent des TiO₂ ; c'est écrit dans la liste des ingrédients et le consommateur utilisateur de Yuka ou OFF peut s'en alarmer ; le même produit contient de la cire blanchie au TiO₂, du coup le producteur pourrait commander à sa filiale produisant la cire, de la cire pré-mélangée au dioxide de titan, et ne plus mentionner la présence de cet ingrédient « secondaire » sur son étiquette.
Selon moi, ce genre de pratique très répandue, obère considérablement la qualité des données récoltables via les étiquettes. Me tromperais-je ? Existe-t-il une parade ?
« Mais de quelle responsabilité on parle exactement ? »
Excellente question. Voici quelques temps, pour y répondre j'aurais suivi les mêmes pistes que vous, avec des interrogations et des dilemmes similaires. La lecture de Pluralistic m'amène à envisager une autre voie également.
Ce qui engage la responsabilité sociale des éditeurs en positions de monopole, n'est ce pas, entre autre, les sommes colossales qu'ils dépensent pour créer ce glacis économique, la fameuse kill zone, qui les protège de toute initiative d'autrui ?
Des réponses envisageables, pourraient être par exemple une forme de lutte antitrust réadapté aux enjeux du numérique. De mon point de vue, très candide probablement, une société se porte d'autant mieux qu'elle offre à chacun de ses membres la possibilité de donner le meilleur d'eux mêmes. Pour les être humains, ce meilleur est surtout caractérisé par les diverses formes de l'intelligence et de l'esprit d'entreprise. Lutter contre la monopolisation des capacités initiatives économiques me paraît déjà une très belle piste.
Pour revenir à la question de la nature de la responsabilité, il me semble donc qu'elle soit lié au pouvoir : les grands monopoles, type Gafa, réduisent d'une certaine manière la capacité d'initiative moyenne, au profit de la leur. N'est-il pas légitime que la société attende d'eux des bénéfices supérieures à ceux que réduisent leur empiétement sur la liberté générale ? La nature de leur responsabilité, serait selon moi ontologiquement liée à leur emprunte en terme d'initiative de la société dans son ensemble.
C’est certain le sujet est d’importance économique, et le rôle du libre — dans une acception sensiblement plus large mais incluant celle généralement admise ici (merci au passage à Zenitram pur son rôle de gardien infatigable des bons usages) — y est prépondérant. Il faut bien avouer que les positions des éditeurs sont relativement fragiles : le travail est réalisé aux frais des instituts de recherche (essentiellement publics) ; puis analyser & évalué par les mêmes (peer review) ; puis facturé toujours aux mêmes bonnes poires (les fameux pear) par les éditeurs après tout de même un vrai de boulot de classification, d’édition, et de publication. Ça fait tout de même beaucoup de beurre et d’argent pour une contribution relativement minime à l’ère du logiciel libre.
Je ne peux accéder à l’intégralité de l’article. Mais les équivoques de la première phrase et notamment de l’expression « analyse de la production scientifique » m’évoquent impérieusement ce genre de réflexion :
« En fait, le rêve des GAFAM, c'est un système qui fonctionne seul: par les avis bénévoles des clients, et par l'influence des investissements publicitaires. Tu as un algorithme, et tu n'interviens pas […] »
Est-ce un rêve, ou un homme de paille pour se dédouaner de ses responsabilités ?
La justification pour Google est évidente dans le texte n’est ce pas ? Et celle pour Mozilla est à la fois l’objet du titre et passablement détaillée. D’une part il n’y a tout simplement pas d’alternatives à Google. D’autre part personne ne peut lutter contre un monopole de ce type, même avec le gros portefeuille de la MoFo. C’est aux politiques à agir. C’est du moins ce qu’affirme l’article. J’adhère facilement à ce point de vue.
Souvent les fondamentalistes de religions à texte croient être partisan d’une lecture littérale alors qu’il ne s’agit que d’une lecture conventionnelle. Par exemple aucun chrétien fondamentaliste ne voudra prendre au pieds de la lettre « je suis la porte » proclamé par Jésus, mais en revanche d’autres textes, là où des conventions sociales l’imposent…
On nous avait vendu que Google freinerait des deux pieds sur le JPEG XL pour cause de performance médiocre. (conférer discussion ici). Ce nouvel article de propagande semble clairement contredire cet argument.
À moins qu'il ne faille, pour Google du moins, prendre en compte non pas les temps de calcul mais le temps total CPU pour définir le front de Pareto ? Avec 8 threads entre du parfaitement parallélisé et de parallélisé « sans dégâts », ça peut tout de même produire une facteur 8 sur les résultats affichés.
Même pas besoin de noyautages. L'élite en marche est bien capable d'aller chercher toute seule les commerciaux AWS : « j'ai vu un reportage à la télé l'autre jour, c'est magique. » Peut-être est-ce la conséquence d'un partage des tâches trop poussé : des spécialistes concentrés sur la montée d'échelons hiérarchiques ou politiques ne peuvent pas se maintenir suffisamment en contact avec la réalité pour éviter ce genre d'erreur. Dommage.
Et pas que : depuis que je suis passé à kde, il me faut souvent redémarrer ma session utilisateur ; après certaines mises à jour — sous gentoo — impossible pour un nouveau processus de créer une nouvelle fenêtre. À la fois, ai-je vraiment besoin de garder la même session plus d’un an ?
Moi c'est l'atlas sémantique. Évidemment c'est plus laborieux, et ça oblige à comprendre ce qui est traduit. Pas vraiment le même champ d'application finalement.
Pour illustrer le propos de lejocelyn dans un autre contexte, le cas de la Bible pourrait être cité. S'il en existe des dizaines de traductions en Français s'appuyant sur différents corpus textuels (de la vulgate, aux manuscrits de Qumran, en passant par la septante), associées à divers courants culturels ou religieux, une manière simple de les classer consiste à s'intéresser au caractère plus ou moins littéral de la traduction : depuis celles dites en français fondamental ou facile qui recherchent surtout une grande simplicité dans le vocabulaire et l'expression (~2000 mots de vocabulaire, uniquement des temps simples) ; en passant par les traductions littérales qui tentent de reproduire à la fois les nuances et la construction (ordre des mots) du texte les obligeants à une grande richesse de vocabulaire et de formes grammaticales (ex : NEG, TOB, Jerusalem), jusqu'aux plus littérales qui s'approchent du mot-à-mot (ex : Chouraqui).
Les objectifs et emploient différents : les premières livrent directement l'interprétation du traducteur au lecteur quand les dernières obligent à construire soit même une compréhension à partir de ce qui se rapproche du texte d'origine. Exactement comme expliqué par lejocelyn.
Autre exemple : on peut traduire de la versification grecque en versification française, ou respecter la structure du texte d'origine. L'effet est radicalement différent. Lire une traduction d'Homère du second type est d'ailleurs une expérience assez dépaysante.
Ne pas avoir de solution ne devrait pas rendre tabou l’évocation des problèmes. Si ? Ne peut-on pas apprécier l’unicode et particulièrement UTF8, ne pas connaître d’alternative, sans pour autant les considérer comme une panacée ?
NB : il me semble que les problématiques écologiques soulevées par devnewton le soient à titre humoristique. En ce qui me concerne, je songe surtout aux problèmes d’attaques informatiques permises par la versatilité (bien au sens Français ici) de cette convention.
Être né d’un parent musulman suffit en général à être musulman, sans que cet état ne puisse être changé, sous peine de mort (au moins sociale) dans nombre de pays. Me tromperais-je ? Par ailleurs très peu de musulmans de ma connaissance ont lu le Coran[*] et parmi ceux-là les arabophones de langue maternelle expliquent que le dialecte du Coran leur est souvent hermétique.
[*] Selon moi, cela n’a rien de spécifique à l’Islam et au Coran : les religions ont une très forte dimension d’hypocrisie sociale qui, au moins par paresse, domine aisément sur l’étude. Chose qui s’observe facilement dans bien d’autres domaines que la religion d’ailleurs.
[^] # Re: Autre visualisation
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Ça représente quoi, « un milliard d'euros » 💶.....🤔. Évalué à 7. Dernière modification le 10 mars 2024 à 08:22.
À comparer au temps de travail d'un scientifique dont la renommée s'affranchit du temps…
Récemment j'avais également été surpris de lire dans la biographie d'un ancêtre de la fin du XIXè - début XXè, qu'un temps fonctionnaire, il avait décidé de quitter se travail trop prenant car l'obligeant à six heures de présence par jour en son office. Le monsieur était d'un milieu entrepreneurial…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Boarf
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Nathalie Azoulai : "Les codeurs informatiques ont un pouvoir d'écriture comparable aux scribes (…). Évalué à 5.
Il « paraisse », il « paraisse »… :-)
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Merci et qualité des ingrédients
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Open Food Facts : récit d’un contributeur. Évalué à 7.
Ça semble clair, et pourtant : voici un article qui conduisait à ma remarque, il semble encore possible de jouer sur les mots quand l'executif se montre suffisamment complaisant. Il me semble que d'autres exceptions existent. Notamment pour le pain et le vin. Mais je ne suis vraiment pas expert en la matière.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: après les élèves qui demandent des corrigés... des profs qui demandent des sujets o_O
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Cherche Sujet d'exposé pour une classe de seconde. Évalué à 2.
C'est une technologie super pratique pour quelqu'un d'un peu ouvert. Ça permet de transmettre à la fois le pdf et sa source. Tout type de document peuvent être inclus ainsi. Dans un autre cas d'usage, ça permet souvent d'inclure les fichiers tex, le corrigé, et les svg des illustrations dans un sujet. En cas de disparition de l'auteur initial ou de ses données, le projet n'est pas à reprendre de la base.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Je m'est trompé de lien
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Les conséquences du DMA pour les Web Apps. Évalué à 2.
Bel article. Vraiment riche en détail et en explications.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# Merci et qualité des ingrédients
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Open Food Facts : récit d’un contributeur. Évalué à 10. Dernière modification le 07 mars 2024 à 14:37.
Excellente dépêche. Il y a tellement de points évoqués qui font plaisir à lire (vraiment !) que je dois me passer de les énumérer pour me concentrer sur un détail critique :
Si j'ai bien compris la législation en vigueur, un ingrédient ne doit pas nécessairement être mentionné. Par exemple s'il s'agit de l'ingrédient d'un autre ingrédient. Exemple repartant de celui donné en incipit : Les M&M's contiennent des TiO₂ ; c'est écrit dans la liste des ingrédients et le consommateur utilisateur de Yuka ou OFF peut s'en alarmer ; le même produit contient de la cire blanchie au TiO₂, du coup le producteur pourrait commander à sa filiale produisant la cire, de la cire pré-mélangée au dioxide de titan, et ne plus mentionner la présence de cet ingrédient « secondaire » sur son étiquette.
Selon moi, ce genre de pratique très répandue, obère considérablement la qualité des données récoltables via les étiquettes. Me tromperais-je ? Existe-t-il une parade ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Le retour des annuaires ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Traduction : Payer ne permet pas d'échapper aux monopoles. Évalué à 5.
Excellente question. Voici quelques temps, pour y répondre j'aurais suivi les mêmes pistes que vous, avec des interrogations et des dilemmes similaires. La lecture de Pluralistic m'amène à envisager une autre voie également.
Ce qui engage la responsabilité sociale des éditeurs en positions de monopole, n'est ce pas, entre autre, les sommes colossales qu'ils dépensent pour créer ce glacis économique, la fameuse kill zone, qui les protège de toute initiative d'autrui ?
Des réponses envisageables, pourraient être par exemple une forme de lutte antitrust réadapté aux enjeux du numérique. De mon point de vue, très candide probablement, une société se porte d'autant mieux qu'elle offre à chacun de ses membres la possibilité de donner le meilleur d'eux mêmes. Pour les être humains, ce meilleur est surtout caractérisé par les diverses formes de l'intelligence et de l'esprit d'entreprise. Lutter contre la monopolisation des capacités initiatives économiques me paraît déjà une très belle piste.
Pour revenir à la question de la nature de la responsabilité, il me semble donc qu'elle soit lié au pouvoir : les grands monopoles, type Gafa, réduisent d'une certaine manière la capacité d'initiative moyenne, au profit de la leur. N'est-il pas légitime que la société attende d'eux des bénéfices supérieures à ceux que réduisent leur empiétement sur la liberté générale ? La nature de leur responsabilité, serait selon moi ontologiquement liée à leur emprunte en terme d'initiative de la société dans son ensemble.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Framablog/Framalang ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Traduction : Payer ne permet pas d'échapper aux monopoles. Évalué à 3.
J’ai bien fait de poster cette traduction apparemment. Merci.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Sujet de dépêche ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien La recherche française parie sur OpenAlex pour briser l’emprise d’Elsevier et Clarivate . Évalué à 5.
C’est certain le sujet est d’importance économique, et le rôle du libre — dans une acception sensiblement plus large mais incluant celle généralement admise ici (merci au passage à Zenitram pur son rôle de gardien infatigable des bons usages) — y est prépondérant. Il faut bien avouer que les positions des éditeurs sont relativement fragiles : le travail est réalisé aux frais des instituts de recherche (essentiellement publics) ; puis analyser & évalué par les mêmes (peer review) ; puis facturé toujours aux mêmes bonnes poires (les fameux pear) par les éditeurs après tout de même un vrai de boulot de classification, d’édition, et de publication. Ça fait tout de même beaucoup de beurre et d’argent pour une contribution relativement minime à l’ère du logiciel libre.
Je ne peux accéder à l’intégralité de l’article. Mais les équivoques de la première phrase et notamment de l’expression « analyse de la production scientifique » m’évoquent impérieusement ce genre de réflexion :
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Le retour des annuaires ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Traduction : Payer ne permet pas d'échapper aux monopoles. Évalué à 6.
Est-ce un rêve, ou un homme de paille pour se dédouaner de ses responsabilités ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: La fin justifie-t-elle les moyens ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Traduction : Payer ne permet pas d'échapper aux monopoles. Évalué à 3.
Merci. Traduire est plus aisé qu’écrire.
La justification pour Google est évidente dans le texte n’est ce pas ? Et celle pour Mozilla est à la fois l’objet du titre et passablement détaillée. D’une part il n’y a tout simplement pas d’alternatives à Google. D’autre part personne ne peut lutter contre un monopole de ce type, même avec le gros portefeuille de la MoFo. C’est aux politiques à agir. C’est du moins ce qu’affirme l’article. J’adhère facilement à ce point de vue.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: après les élèves qui demandent des corrigés... des profs qui demandent des sujets o_O
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message Cherche Sujet d'exposé pour une classe de seconde. Évalué à 7.
Un peu paradoxalement étant donné le côté hermétique de mes communications écrites, je proposerai bien comme sujet ma marotte : les formats ouverts.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: perspective
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Amende record pour Apple, qui commence une semaine de tous les dangers - letemps.ch. Évalué à 4.
Un peu comme celle de crosoft. Ça fait toujours de jolies titres de presse.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Résumé
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Unicode misconceptions. Évalué à 3.
Moi qui croyait que c’était Bernard…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# IA candidate
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Californie : IA politique pour démarcher les électeurs. Évalué à 3.
En France des IA sont également candidates (conférer section « Quatre candidats à la présidence du Hcéres) . Bientôt plus besoin ni d'électeurs ni d'élus :-( ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Résumé
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Unicode misconceptions. Évalué à 2.
Souvent les fondamentalistes de religions à texte croient être partisan d’une lecture littérale alors qu’il ne s’agit que d’une lecture conventionnelle. Par exemple aucun chrétien fondamentaliste ne voudra prendre au pieds de la lettre « je suis la porte » proclamé par Jésus, mais en revanche d’autres textes, là où des conventions sociales l’imposent…
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# À n'y rien comprendre
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien JPEG XL and the Pareto Front. Évalué à 4.
On nous avait vendu que Google freinerait des deux pieds sur le JPEG XL pour cause de performance médiocre. (conférer discussion ici). Ce nouvel article de propagande semble clairement contredire cet argument.
À moins qu'il ne faille, pour Google du moins, prendre en compte non pas les temps de calcul mais le temps total CPU pour définir le front de Pareto ? Avec 8 threads entre du parfaitement parallélisé et de parallélisé « sans dégâts », ça peut tout de même produire une facteur 8 sur les résultats affichés.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: et les drivers graphiques sous Linux ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Fenêtre travaille sur le Hot Patching (Redmond découvre enfin que c’est faisable ?). Évalué à 2.
Chez moi aussi les ordinateurs s’éteignent mais pas celui qui fait office simultanément de poste de travail et de point d'accès au réseau..
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Économie ....
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal [HS] Chroniques romuliennes - Chapitre X : “Juste le bout du doigt”. Évalué à 6.
Même pas besoin de noyautages. L'élite en marche est bien capable d'aller chercher toute seule les commerciaux AWS : « j'ai vu un reportage à la télé l'autre jour, c'est magique. » Peut-être est-ce la conséquence d'un partage des tâches trop poussé : des spécialistes concentrés sur la montée d'échelons hiérarchiques ou politiques ne peuvent pas se maintenir suffisamment en contact avec la réalité pour éviter ce genre d'erreur. Dommage.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: et les drivers graphiques sous Linux ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Fenêtre travaille sur le Hot Patching (Redmond découvre enfin que c’est faisable ?). Évalué à 2.
Et pas que : depuis que je suis passé à kde, il me faut souvent redémarrer ma session utilisateur ; après certaines mises à jour — sous gentoo — impossible pour un nouveau processus de créer une nouvelle fenêtre. À la fois, ai-je vraiment besoin de garder la même session plus d’un an ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Comparaison avec DeepL
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message une alternative libre à google translate et autre site de traduction est arrivé. Évalué à 2.
Il n'y a que moi que l'expression to read oneself interpelle ? Mon english est parfois un peu bancal.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: dico traditionnel
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message une alternative libre à google translate et autre site de traduction est arrivé. Évalué à 3. Dernière modification le 28 février 2024 à 08:31.
Moi c'est l'atlas sémantique. Évidemment c'est plus laborieux, et ça oblige à comprendre ce qui est traduit. Pas vraiment le même champ d'application finalement.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Comparaison avec DeepL
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message une alternative libre à google translate et autre site de traduction est arrivé. Évalué à 3.
Pour illustrer le propos de lejocelyn dans un autre contexte, le cas de la Bible pourrait être cité. S'il en existe des dizaines de traductions en Français s'appuyant sur différents corpus textuels (de la vulgate, aux manuscrits de Qumran, en passant par la septante), associées à divers courants culturels ou religieux, une manière simple de les classer consiste à s'intéresser au caractère plus ou moins littéral de la traduction : depuis celles dites en français fondamental ou facile qui recherchent surtout une grande simplicité dans le vocabulaire et l'expression (~2000 mots de vocabulaire, uniquement des temps simples) ; en passant par les traductions littérales qui tentent de reproduire à la fois les nuances et la construction (ordre des mots) du texte les obligeants à une grande richesse de vocabulaire et de formes grammaticales (ex : NEG, TOB, Jerusalem), jusqu'aux plus littérales qui s'approchent du mot-à-mot (ex : Chouraqui).
Les objectifs et emploient différents : les premières livrent directement l'interprétation du traducteur au lecteur quand les dernières obligent à construire soit même une compréhension à partir de ce qui se rapproche du texte d'origine. Exactement comme expliqué par lejocelyn.
Autre exemple : on peut traduire de la versification grecque en versification française, ou respecter la structure du texte d'origine. L'effet est radicalement différent. Lire une traduction d'Homère du second type est d'ailleurs une expérience assez dépaysante.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Résumé
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Unicode misconceptions. Évalué à 4.
Ne pas avoir de solution ne devrait pas rendre tabou l’évocation des problèmes. Si ? Ne peut-on pas apprécier l’unicode et particulièrement UTF8, ne pas connaître d’alternative, sans pour autant les considérer comme une panacée ?
NB : il me semble que les problématiques écologiques soulevées par devnewton le soient à titre humoristique. En ce qui me concerne, je songe surtout aux problèmes d’attaques informatiques permises par la versatilité (bien au sens Français ici) de cette convention.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Résumé
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au lien Unicode misconceptions. Évalué à 2.
Être né d’un parent musulman suffit en général à être musulman, sans que cet état ne puisse être changé, sous peine de mort (au moins sociale) dans nombre de pays. Me tromperais-je ? Par ailleurs très peu de musulmans de ma connaissance ont lu le Coran[*] et parmi ceux-là les arabophones de langue maternelle expliquent que le dialecte du Coran leur est souvent hermétique.
[*] Selon moi, cela n’a rien de spécifique à l’Islam et au Coran : les religions ont une très forte dimension d’hypocrisie sociale qui, au moins par paresse, domine aisément sur l’étude. Chose qui s’observe facilement dans bien d’autres domaines que la religion d’ailleurs.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace