Le serveur a l'air planté, pout le moment (samedi 12 février à 15:07). Ce serait bien de mettre un lien vers l'assistance technique l'Aliacom, en effet, question de les prévenir que le service est injoignable ! ;-D
Etat HTTP 500 -
type Rapport d'exception
message
description Le serveur a rencontré une erreur interne () qui l'a empêché de satisfaire la requête.
Sur cette page, à savoir l'actuelle http://www.persee.fr/,(...) on voit bien la techno employée : Apache Tomcat/5.0.25 (c'est marqué 3 fois dans la page...).
En quoi la taille est-elle un critère pour évaluer la qualité ? Parmi les principes d'UNIX, par exemple, il y a celui de faire des petits logiciels (souvent en mode texte), mais qui font bien leur boulot. C'est en les interconnectant (par exemple dans des scripts) qu'on en tire des fonctionnalités avancées. OpenSSH est justement dans cette optique-là, et c'est tout à son honneur !
Pourquoi le logiciel libre devrait-il s'inspirer des mauvais exemples des bloatware du logiciel non libre ?
> C'est probablement grâce au travail de groupes comme Debian que le manque de "profesionnalisme" dans le développement de la plupart des LL ne se fait pas plus sentir.
Mais alors pourquoi ne pas imaginer un autre modèle de gestion de la qualité logicielle, qui se fasse différemment des canons exhibés par la sphère non libre ?
Il ne faut pas oublier les motivations des développeurs de logiciels libres. Dans un tel cas, on peut orienter la gestion de la qualité à l'extérieur du projet, par la/les distrib(s) qui diffusent le logiciel, et pour lesquels la qualité est un axe prioritaire...
Le logiciel libre tient une partie de son succès à l'abaissement des barrières à l'entrée, justement. Lorsque le projet devient plus gros, plus adpoté, et souvent lorsqu'il intéresse plus des groupes qui en font un usage professionnel, on voit généralement des processus de qualité se mettre en place (et les outils idoines par ailleurs).
A propos de ces outils, en passant, n'oublions pas qu'il restent des outils. Seule leur bonne utilisation mène à la qualité. Utiliser des outils relativement pauvres pour gérer la qualité peut mener à de meilleurs résultats qu'un usage superficiel d'outils puissants, ne l'oublions pas ! Ce sont les processus (organisationnels, et les chartes de qualité), lorsqu'ils existent et sont respectés, qui priment sur les outils !
Je suis étonné de ne pas voir cité le projet Debian, exemplaire en ce sens. Il s'est doté d'un département Assurance Qualité (QA : http://qa.debian.org/) que bien des projets et entreprises propriétaires, voire libres, devraient envier...
J'aimerais bien avoir une réaction de Raphaël Hertzog à ce sujet !
D'autant plus que les tests unitaires ne sont qu'un élément (parmi tant d'autres) de la qualité d'un logiciel. Le titre de cette dépèche est un peu racoleur en ce sens...
http://www.sincerechoice.org/(...) : "Give Software Users a Sincere Choice!" Initiative de Bruce Perens (ancien leader Debian) pour un choix qui ne soit pas guidé par les éditeurs, mais bien par les utilisateurs (ou sociétés utilisatrices) elles-mêmes.
"Google contre la pollution des sites web", c'est un titre un peu gonflé, non ?
En fait, c'est pour pallier les déficiences de leur propre algorithme, oui ! C'est un peu comme quand Microsoft s'allie avec tant d'autres pour faire une plate-forme soi-disant sécurisée et qu'ils font en sorte qu'on ne puisse plus mettre que des logiciels d'éditeurs assez friqués pour payer les certificats de leurs logiciels...
Pour ma part, je suis étonné de ne lire null part la question (pourant légitime, AMHA) : Google va-t-il appliquer sa propre politique à lui-même ?
En effet, Google a une campagne de spam^H publicité : AdWords - https://adwords.google.com/select/(...) (comment on fait déjà dans LinuxFr pour qu'il ne suive pas les liens ? ;-) qui pullulent sur plein de pages où les auteurs croient sans doute qu'ils vont toucher le jackpot car leurs nombreux(?) visiteurs vont cliquer cliquer cliquer sur les liens de Google AdWords et que ça va leur rapporter plein de brouzouf.
Je viens de regarder le code HTML d'un tel site AdWord'isé et je n'ai pas vu qu'ils avaient aussi cette politique... dommage !
Heureusement, il y a mille et une manières de s'insérer dans l'écosystème du libre, qui ne sont pas en faisant des patches au noyau Linux !
On peut lire à ce sujet : Contribuer oui, mais comment ?
( http://www.libroscope.org/Contribuer-oui-mais-comment(...) ).
Non commercial, c'est regarder les choses par le mauvais bout de la lorgnette !
Si l'étude en question est citée et re-citée, elle aura d'une part une bien meileure visibilité et en plus elle permettra d'être reconduite avec d'autant plus d'échos, à une plus large échelle. Bref, non commercial, c'est bien pour ceux qui sont hyper-connus (ex. un pourcentage minime de chanteurs) et qui veulent continuer à appâter leur public, voire l'élargir. Par conte, pour les petits (sans connotation péjorative), mettre du NC c'est se tirer une balle dans le pied.
"Monde libre" a pourtant l'avantage de ne pas citer les termes comme «informatique», ou «logiciel»... Ce doit être ta déformation (professionnelle ?) qui veut ça.
Chez moi ça donne :
89 ls
46 vim
39 sudo
34 cd
23 ifconfig
Le ifconfig, car j'ai des soucis avec ma FreeBox (sur port USB). Ca marche bien, mais je perds la connexions au bout d'un temps d'inactivité assez court... d'où ifconfig pour vérifier que c'est bien là d'où vient mon pb.
> linuxfr.org est un forum francophone et non français.Tous les suisses belges, canadiens, français , africains, et autres citoyens du monde parlant français et s'intéressant à linux viennent ici.
Je suis 100% d'accord, et c'est pour cela-même que je réfute le bien-fondé d'un swisslinux.org car tel qu'il existe aujourd'hui (je ne présume pas de ce qu'il pourrait devenir demain...) il n'est rien de moins qu'un forum francophone supplémentaire.
Linuxfr est, selon moi, bien plus francophone que français. Mes engagement associatifs en Suisse et dans les pays d'Afrique francophone m'ont d'ailleurs bien fait remarquer combien la francophonie s'étendait au-delà de l'héxagone...
Donc, j'applaudirais à un swisslinux.org orienté vers les aspects géographiques de la Suisse (manifestations, rencontres autour du libre, par exemple), mais pour ce qui est d'ordre linguistique, je déplore la redondance. Point.
Décidément, à part se faire plaisir à installer un PhpBB et un MediaWiki, je ne vois pas l'intérêt, et je trouve cela même plutôt contre-productif. Il ne manque plus qu'un linuxch.org qui fasse tourner Templeet...
Je ne veux pas jouer les rabat-joie, mais à quoi bon faire «Yet Another Linux Forum», plutôt que de contribuer à ceux existant ? Pour que les Suisses aident les Suisses à faire marcher Linux ? Non ! Les réponses sont les mêmes pour 99.9% des cas, donc en fait on assiste ici à une dilution des sources d'information relatives aux logiciels libres.
Par contre, développer des aspects spécifiques à la Suisse (le triliguisme, la localisation et l'internationalisation par exemple), ça aurait été constructif.
Je suis formateur pour Learning Tree International (http://www.learningtree.fr/(...)) pour les cours Linux (330), Perl (431) et MySQL/PHP (520), et je peux t'assurer que si tu n'aimes pas le métier, tu ne vas pas pouvoir faire long feu :
- il faut pratiquer pour pouvoir enseigner dans ce domaine, car les connaissances théoriques ne suffisent pas longtemps. Les stagiaires attendent plus des "ça marche comme ça car j'ai utilisé ça en contexte réel" que des "il parait que ça doit marcher comme ça". Pour donner des astuces pertinentes, il faut connaitre de près, pas juste après la lecture d'un bouquin ou après avoir suivi le cours soi-même
- il faut se remettre à jour en permanence de son propre chef, sans avoir un supérieur qui te le demande explicitement
Si ça ne te botte pas, change de voie ! Il y a mille et une autres activités tout aussi pasionnantes, d'autant plus que si tu n'y trouves pas ta place, tu risques plus de dégoutter tes élèves/étudiants/stagiaires que de leur donner envie.
Comme tu t'en doutes, je ne suis pas formateur à plein temps, mais intervenant. C'est d'ailleurs selon moi la meilleure façon de conserver une culture du terrain, loin des discours de premier degré dans lesquels les non-spécialistes iraient facilement s'enterrer faute de pratique.
Je présume que Libroscope va être membre d'honneur de TuxFamily.org, car après avoir fourni un patch à VHFFS (jamais intégré, même pas relu...) et avoir fait un don de 1000 Euros (sans jamais avoir été remercié), ce serait la moindre des choses, non ?
> ça fait gravement penser au vendeur de cuisine qui vendait 15 000 ?
> un truc qui en valait 5000 en gagnant trés bien sa vie. NOn non
> j'exagère pas.
Comment peux-tu évaluer le prix d'un logiciel ? Eh oui, c'est encore plus paradoxal que pour les cuisines équipées, les CD-R(W) ou autres biens industriels (et matériels).
Ici, il s'agit de biens immatériels, qui ont une valeur d'usage. Cela veut dire qu'un logiciel de CAO que tu donnes à un enfant de 5 ans n'a aucune valeur, parce que c'est l'usage qu'il peut en tirer qui lui donne une valeur. C'est différent de la sphère industrielle, où une voiture, même complètement foutue, est constituée de matières premières réutilisables et/ou revendables qui ont une valeur intrinsèque.
De plus pour ce qui est des logiciels, ils sont régis par des rendements croissants. Késako ?
Pour faire court : Plus tu es gros, plus tu es gros. Une fois qu'un logiciel a acquis une place dominante sur son marché, il remporte la mise car tous le monde se tourne vers lui, tout le monde le veut, tout le monde sait l'utiliser ; bref, c'est la référence. Les principaux concurrents sont toujours assez loin derrière (ex. : MS Office/OOo, MS Windows/Gnulinux, Apache/IIS, Sendmail/???, Photoshop/Gimp, Deamweaver/???, Oracle/???, IE/Mozilla...)
Donc comme la duplication d'un logiciel est quasi-gratuite, la bonne stratégie pour qui a produit un logiciel est d'inonder le marché !
C'est pour cela que Microsoft peut se permettre d'octroyer des rabais gigantesques. On peut même dire qu'aujourd'hui chaque nouvel utilisateur de Windows et/ou Office apporte de la valeur à ces logiciels, car cela fait des gens supplémentaires qui pourront utiliser ces logiciels, en faire le promotion, aider de nouveaux venus pour leurs premiers pas, filer des copie pirates dans un premier temps (en attendant que l'autre n'en fasse une utilisation professionnelle et se sente obligé d'acquérir une licence). C'est aussi grâce à ces nouveaux venus que des documents Office se propageront, forçant ainsi les uns et les autres à se conformer aux formats du marché.
Pour preuve que MS est prêt à tout (et avec raison !) pour que tout le monde utilise leurs logiciels, même à perte (localement et à court terme :
En 2003, Microsoft part à la conquête de l'Afrique : «Les écoliers namibiens, précédemment sous Linux, travailleront désormais sous Windows» http://www.transfert.net/a9417(...) «Autre pays "chouchouté" par Microsoft : l'Angola. L'entreprise américaine développera gratuitement le portail gouvernemental du pays, offrira ordinateurs et systèmes d'exploitation à plusieurs écoles, ainsi que des formations professionnelles à divers organismes. Selon l'Angola Press Agency, la multinationale financera dans ce pays des projets à concurrence de 10 millions de dollars.»
Donc à première vue, ils perdent de l'argent en Angola, mais au niveau global, ils s'assurent la rente habituelle :
- les utilisateurs ne savent utiliser que les logiciels Microsoft
- les entreprises n'installent sur leur parc que des logiciels que leurs utilisateurs savent utiliser
- donc les entreprises/administrations utilisent des logiciels Microsoft
À Paris, c'est la même chose, car une fois que Paris a signé, on s'assure que des villes du même style, partout dans le monde, vont faire de même.
> Dans le fond (des tréfonts...) le Logiciel Libre, c'est 'juste' une manière
> de 'distribuer' le logiciel, ce qui se traduit par des licences encadrant et
> régissant cette distribution.
Non, ce n'est pas.
Lire à ce sujet «La dérive de SourceForge» http://www.fsfeurope.org/news/article2001-10-20-01.fr.html(...) , qui est un magnifique contre-exemple à cette affirmation simpliste. VA.Linux avaient mis leur logiciel «Alexandria» (le code de la plate-forme SourceForgehttp://sf.net/projects/alexandria/(...) ) sous licence GPL, mais ont ensuite changé de politique, de manière unilatérale.
Pourquoi/Comment ? Les utilisateurs de SourceForge pensaient peut-être comme toi que la licence était une balle en argent (alors que Fred Brooks nous a bien dit qu'il n'y avait pas de balle en argent http://www.virtualschool.edu/mon/SoftwareEngineering/BrooksNoSilver(...) ). Ayant foi en la licence («in GPL we trust»), ils se sont engagés les yeux fermés dans les pattes de VA.Linux. Certains ont même contribué au code de cette plate-forme d'hébergement. Lorsque VA/Linux a compris que le moment était opprtun (à leur goût), ils ont demandé aux rares contributeurs dont ils avaient accepté les contributions de signer un «Copyright Assignment» qui leur conférait les droits sur tout ce qui avait été contribué. Pourquoi ? Pour pouvoir passer leur plate-forme en licence double, et ainsi trahir la confiance que les utilisateurs avaient eu en la sacro-sainte licence...
Le logiciel libre est bien plus riche que «juste une manière de 'distribuer' le logiciel». Tu peux d'ailleurs lire à ce sujet Eric Raymond, «La cathédrale et le bazar» http://www.linuxfr-france.org.invalid/article/these/cathedrale-bazar/cathedra(...)
et tu verras que le logiciel libre est bien plus complexe (et au passage, intéressant) qu'une (et une seule) manière de distribuer du logiciel. <pub>Sinon, tu peux aussi lire http://www.libroscope.org(...) </pub>
Dans les documentations techniques, lorsque je les comprends, ne serait-ce qu'un peu, j'opte immédiatement pour les pages anglophones car le vocabulaire qui y est employé est homogène et 100% en anglais.
Tout ce qui est traduit en français souffre de l'absence de certains mots dans notre vocabulaire : certains vont traduire mal, d'autres garder le terme anglophone, enfin d'autres vont franciser le terme.
Pour les recherches, par exemple dans les pages "man", c'est très difficile de s'y retrouver en français...
Nous devons ces graphismes (enfin sexy et générés sur un logiciel libre ;-) à ... l'auteur du document lui-même.
Il a généré ces graphismes sous Sketch :
apt-get install sketch
Sinon, pour les images utilisées, Monsieur les met grâcieusement à disposition et les met "dans le domaine public" (il le dit lui-même) : http://www.grassouille.org/docs/index.fr.html(...) (chercher «Graphismes» dans la page).
Il me semble cependant que tout ce qui relève du droit international peut être rédigé dans la lague de Shakespear^HBush.
D'une certain manière, un LL a plutôt vocation a relever de cette juridiction, non ?
Et puis une licence, c'est comme du code, moins y'a de code, moins y'a de bugs : moins y'a de licences, moins y'a de failles juridiques potentielles. Et puis tout le monde bosse sur le même document de référence.
[^] # Re: réalisé par une société spécialisée dans le libre
Posté par R4f . En réponse à la dépêche PERSEE, portail de diffusion de revues scientifiques en SHS. Évalué à 2.
Sur cette page, à savoir l'actuelle http://www.persee.fr/,(...) on voit bien la techno employée : Apache Tomcat/5.0.25 (c'est marqué 3 fois dans la page...).
[^] # Re: ha ?!??
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Démarche qualité et Logiciel Libre. Évalué à 6.
Oui, et alors ?
En quoi la taille est-elle un critère pour évaluer la qualité ? Parmi les principes d'UNIX, par exemple, il y a celui de faire des petits logiciels (souvent en mode texte), mais qui font bien leur boulot. C'est en les interconnectant (par exemple dans des scripts) qu'on en tire des fonctionnalités avancées. OpenSSH est justement dans cette optique-là, et c'est tout à son honneur !
Pourquoi le logiciel libre devrait-il s'inspirer des mauvais exemples des bloatware du logiciel non libre ?
[^] # Re: Et Debian ?
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Démarche qualité et Logiciel Libre. Évalué à 4.
Mais alors pourquoi ne pas imaginer un autre modèle de gestion de la qualité logicielle, qui se fasse différemment des canons exhibés par la sphère non libre ?
Il ne faut pas oublier les motivations des développeurs de logiciels libres. Dans un tel cas, on peut orienter la gestion de la qualité à l'extérieur du projet, par la/les distrib(s) qui diffusent le logiciel, et pour lesquels la qualité est un axe prioritaire...
Le logiciel libre tient une partie de son succès à l'abaissement des barrières à l'entrée, justement. Lorsque le projet devient plus gros, plus adpoté, et souvent lorsqu'il intéresse plus des groupes qui en font un usage professionnel, on voit généralement des processus de qualité se mettre en place (et les outils idoines par ailleurs).
A propos de ces outils, en passant, n'oublions pas qu'il restent des outils. Seule leur bonne utilisation mène à la qualité. Utiliser des outils relativement pauvres pour gérer la qualité peut mener à de meilleurs résultats qu'un usage superficiel d'outils puissants, ne l'oublions pas ! Ce sont les processus (organisationnels, et les chartes de qualité), lorsqu'ils existent et sont respectés, qui priment sur les outils !
# Et Debian ?
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Démarche qualité et Logiciel Libre. Évalué à 4.
J'aimerais bien avoir une réaction de Raphaël Hertzog à ce sujet !
D'autant plus que les tests unitaires ne sont qu'un élément (parmi tant d'autres) de la qualité d'un logiciel. Le titre de cette dépèche est un peu racoleur en ce sens...
# Autres références sur les formats ouverts et leur adoption
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Le futur est au format OpenDocument (selon l'UE). Évalué à 3.
http://www.libroscope.org/1-Standards-ouverts-2-Logiciels(...) : "1- Standards ouverts, 2 - Logiciels libres", un articel au sujet de la stratégie que j'entrevois pour amener un large public au logiciel libre.
http://www.libroscope.org/Court-argumentaire-en-faveur-des(...) : "Court argumentaire en faveur des formats ouverts" ; no comment, tout est dans le titre...
# Titre racoleur
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Google contre la pollution des sites web. Évalué à 1.
En fait, c'est pour pallier les déficiences de leur propre algorithme, oui ! C'est un peu comme quand Microsoft s'allie avec tant d'autres pour faire une plate-forme soi-disant sécurisée et qu'ils font en sorte qu'on ne puisse plus mettre que des logiciels d'éditeurs assez friqués pour payer les certificats de leurs logiciels...
Dommage, car j'aimais bien le PageRank...
# Google suit-il sa propre politique ?
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Google contre la pollution des sites web. Évalué à 1.
En effet, Google a une campagne de spam^H publicité : AdWords - https://adwords.google.com/select/(...) (comment on fait déjà dans LinuxFr pour qu'il ne suive pas les liens ? ;-) qui pullulent sur plein de pages où les auteurs croient sans doute qu'ils vont toucher le jackpot car leurs nombreux(?) visiteurs vont cliquer cliquer cliquer sur les liens de Google AdWords et que ça va leur rapporter plein de brouzouf.
Je viens de regarder le code HTML d'un tel site AdWord'isé et je n'ai pas vu qu'ils avaient aussi cette politique... dommage !
Enfin, les cordonniers et tout ça...
[^] # Re: En être ou ne pas en être ?
Posté par R4f . En réponse au journal Qui sommes-nous? Sociologie du "monde libre". Évalué à 2.
Heureusement, il y a mille et une manières de s'insérer dans l'écosystème du libre, qui ne sont pas en faisant des patches au noyau Linux !
On peut lire à ce sujet : Contribuer oui, mais comment ?
( http://www.libroscope.org/Contribuer-oui-mais-comment(...) ).
Et sinon, pour ce qui est de l'écosystème du Libre : Utilisacteur, vers une écologie numérique ( http://www.libroscope.org/Utilisacteur-vers-une-ecologie(...) )
[^] # Re: représentativité
Posté par R4f . En réponse au journal Qui sommes-nous? Sociologie du "monde libre". Évalué à 2.
Non commercial, c'est regarder les choses par le mauvais bout de la lorgnette !
Si l'étude en question est citée et re-citée, elle aura d'une part une bien meileure visibilité et en plus elle permettra d'être reconduite avec d'autant plus d'échos, à une plus large échelle. Bref, non commercial, c'est bien pour ceux qui sont hyper-connus (ex. un pourcentage minime de chanteurs) et qui veulent continuer à appâter leur public, voire l'élargir. Par conte, pour les petits (sans connotation péjorative), mettre du NC c'est se tirer une balle dans le pied.
[^] # Re: Monde libre ??
Posté par R4f . En réponse au journal Qui sommes-nous? Sociologie du "monde libre". Évalué à 1.
A Libroscope, on a justement animé (et nous continuerons à animer) le thème «Le Libre au-dela du logiciel», lors des Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, justement ! (Cf. : http://www.libroscope.org/Le-libre-au-dela-du-logiciel-un(...) )
[^] # Re: Comment le savoir ?
Posté par R4f . En réponse au sondage La commande de base que je tape le plus. Évalué à 1.
perl -e 'map {m|(\S+)|; $cmd{$1}++} <>; print join("\n", map {"$cmd{$_} $_" } (sort {$cmd{$b} <=> $cmd{$a}} keys %cmd)[0..4]), "\n"' ~/.bash_history
Chez moi ça donne :
89 ls
46 vim
39 sudo
34 cd
23 ifconfig
Le ifconfig, car j'ai des soucis avec ma FreeBox (sur port USB). Ca marche bien, mais je perds la connexions au bout d'un temps d'inactivité assez court... d'où ifconfig pour vérifier que c'est bien là d'où vient mon pb.
[^] # Re: A quoi bon ?
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Wiki et Forum Linux Suisse Romande. Évalué à 4.
Je suis 100% d'accord, et c'est pour cela-même que je réfute le bien-fondé d'un swisslinux.org car tel qu'il existe aujourd'hui (je ne présume pas de ce qu'il pourrait devenir demain...) il n'est rien de moins qu'un forum francophone supplémentaire.
Linuxfr est, selon moi, bien plus francophone que français. Mes engagement associatifs en Suisse et dans les pays d'Afrique francophone m'ont d'ailleurs bien fait remarquer combien la francophonie s'étendait au-delà de l'héxagone...
Donc, j'applaudirais à un swisslinux.org orienté vers les aspects géographiques de la Suisse (manifestations, rencontres autour du libre, par exemple), mais pour ce qui est d'ordre linguistique, je déplore la redondance. Point.
# A quoi bon ?
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Wiki et Forum Linux Suisse Romande. Évalué à 1.
Décidément, à part se faire plaisir à installer un PhpBB et un MediaWiki, je ne vois pas l'intérêt, et je trouve cela même plutôt contre-productif. Il ne manque plus qu'un linuxch.org qui fasse tourner Templeet...
Je ne veux pas jouer les rabat-joie, mais à quoi bon faire «Yet Another Linux Forum», plutôt que de contribuer à ceux existant ? Pour que les Suisses aident les Suisses à faire marcher Linux ? Non ! Les réponses sont les mêmes pour 99.9% des cas, donc en fait on assiste ici à une dilution des sources d'information relatives aux logiciels libres.
Par contre, développer des aspects spécifiques à la Suisse (le triliguisme, la localisation et l'internationalisation par exemple), ça aurait été constructif.
Le seul truc qui pourrait aller dans ce sens est la page Réunions (http://www.swisslinux.org/wiki/index.php/R%E9unions(...)) ;
cette page ne contient hélas qu'une chose : un lien vers un autre site !!
# Changer de voie ?
Posté par R4f . En réponse au message Emploi de Formateur/Enseignant. Évalué à 7.
Je suis formateur pour Learning Tree International (http://www.learningtree.fr/(...)) pour les cours Linux (330), Perl (431) et MySQL/PHP (520), et je peux t'assurer que si tu n'aimes pas le métier, tu ne vas pas pouvoir faire long feu :
- il faut pratiquer pour pouvoir enseigner dans ce domaine, car les connaissances théoriques ne suffisent pas longtemps. Les stagiaires attendent plus des "ça marche comme ça car j'ai utilisé ça en contexte réel" que des "il parait que ça doit marcher comme ça". Pour donner des astuces pertinentes, il faut connaitre de près, pas juste après la lecture d'un bouquin ou après avoir suivi le cours soi-même
- il faut se remettre à jour en permanence de son propre chef, sans avoir un supérieur qui te le demande explicitement
Si ça ne te botte pas, change de voie ! Il y a mille et une autres activités tout aussi pasionnantes, d'autant plus que si tu n'y trouves pas ta place, tu risques plus de dégoutter tes élèves/étudiants/stagiaires que de leur donner envie.
Comme tu t'en doutes, je ne suis pas formateur à plein temps, mais intervenant. C'est d'ailleurs selon moi la meilleure façon de conserver une culture du terrain, loin des discours de premier degré dans lesquels les non-spécialistes iraient facilement s'enterrer faute de pratique.
[^] # Re: TROLL ?
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Microsoft au rabais contre GNU/Linux. Évalué à 6.
Pourtant Free nous le dit depuis des lustres : la liberté n'a pas de prix !
[^] # Re: Une nouvelle structure ?
Posté par R4f . En réponse à la dépêche L'association TuxFamily.org ouvre ses portes. Évalué à 2.
[^] # Re: c'est de bonne guerre mais ...
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Microsoft au rabais contre GNU/Linux. Évalué à 9.
Il y en a plein en vente :
http://search.ebay.com/gmail_W0QQsokeywordredirectZ1QQsosortpropert(...)
Certains les achètent une fortune : «Overeager Buyer Pays $262 For Gmail Account On Ebay»
http://www.webpronews.com/news/ebusinessnews/wpn-45-20040503Overeag(...)
On n'est donc pas dans un domaine industriel, mais dans une autre forme d'économie !
[^] # Re: c'est de bonne guerre mais ...
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Microsoft au rabais contre GNU/Linux. Évalué à 10.
> un truc qui en valait 5000 en gagnant trés bien sa vie. NOn non
> j'exagère pas.
Comment peux-tu évaluer le prix d'un logiciel ? Eh oui, c'est encore plus paradoxal que pour les cuisines équipées, les CD-R(W) ou autres biens industriels (et matériels).
Ici, il s'agit de biens immatériels, qui ont une valeur d'usage. Cela veut dire qu'un logiciel de CAO que tu donnes à un enfant de 5 ans n'a aucune valeur, parce que c'est l'usage qu'il peut en tirer qui lui donne une valeur. C'est différent de la sphère industrielle, où une voiture, même complètement foutue, est constituée de matières premières réutilisables et/ou revendables qui ont une valeur intrinsèque.
De plus pour ce qui est des logiciels, ils sont régis par des rendements croissants. Késako ?
Pour faire court : Plus tu es gros, plus tu es gros. Une fois qu'un logiciel a acquis une place dominante sur son marché, il remporte la mise car tous le monde se tourne vers lui, tout le monde le veut, tout le monde sait l'utiliser ; bref, c'est la référence. Les principaux concurrents sont toujours assez loin derrière (ex. : MS Office/OOo, MS Windows/Gnulinux, Apache/IIS, Sendmail/???, Photoshop/Gimp, Deamweaver/???, Oracle/???, IE/Mozilla...)
Donc comme la duplication d'un logiciel est quasi-gratuite, la bonne stratégie pour qui a produit un logiciel est d'inonder le marché !
C'est pour cela que Microsoft peut se permettre d'octroyer des rabais gigantesques. On peut même dire qu'aujourd'hui chaque nouvel utilisateur de Windows et/ou Office apporte de la valeur à ces logiciels, car cela fait des gens supplémentaires qui pourront utiliser ces logiciels, en faire le promotion, aider de nouveaux venus pour leurs premiers pas, filer des copie pirates dans un premier temps (en attendant que l'autre n'en fasse une utilisation professionnelle et se sente obligé d'acquérir une licence). C'est aussi grâce à ces nouveaux venus que des documents Office se propageront, forçant ainsi les uns et les autres à se conformer aux formats du marché.
Pour preuve que MS est prêt à tout (et avec raison !) pour que tout le monde utilise leurs logiciels, même à perte (localement et à court terme :
En 2003, Microsoft part à la conquête de l'Afrique : «Les écoliers namibiens, précédemment sous Linux, travailleront désormais sous Windows» http://www.transfert.net/a9417(...)
«Autre pays "chouchouté" par Microsoft : l'Angola. L'entreprise américaine développera gratuitement le portail gouvernemental du pays, offrira ordinateurs et systèmes d'exploitation à plusieurs écoles, ainsi que des formations professionnelles à divers organismes. Selon l'Angola Press Agency, la multinationale financera dans ce pays des projets à concurrence de 10 millions de dollars.»
Donc à première vue, ils perdent de l'argent en Angola, mais au niveau global, ils s'assurent la rente habituelle :
- les utilisateurs ne savent utiliser que les logiciels Microsoft
- les entreprises n'installent sur leur parc que des logiciels que leurs utilisateurs savent utiliser
- donc les entreprises/administrations utilisent des logiciels Microsoft
À Paris, c'est la même chose, car une fois que Paris a signé, on s'assure que des villes du même style, partout dans le monde, vont faire de même.
[^] # Re: Le prix...
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Le poste de travail Libre pour réformer l'État français. Évalué à 1.
> de 'distribuer' le logiciel, ce qui se traduit par des licences encadrant et
> régissant cette distribution.
Non, ce n'est pas.
Lire à ce sujet «La dérive de SourceForge» http://www.fsfeurope.org/news/article2001-10-20-01.fr.html(...) , qui est un magnifique contre-exemple à cette affirmation simpliste. VA.Linux avaient mis leur logiciel «Alexandria» (le code de la plate-forme SourceForgehttp://sf.net/projects/alexandria/(...) ) sous licence GPL, mais ont ensuite changé de politique, de manière unilatérale.
Pourquoi/Comment ? Les utilisateurs de SourceForge pensaient peut-être comme toi que la licence était une balle en argent (alors que Fred Brooks nous a bien dit qu'il n'y avait pas de balle en argent http://www.virtualschool.edu/mon/SoftwareEngineering/BrooksNoSilver(...) ). Ayant foi en la licence («in GPL we trust»), ils se sont engagés les yeux fermés dans les pattes de VA.Linux. Certains ont même contribué au code de cette plate-forme d'hébergement. Lorsque VA/Linux a compris que le moment était opprtun (à leur goût), ils ont demandé aux rares contributeurs dont ils avaient accepté les contributions de signer un «Copyright Assignment» qui leur conférait les droits sur tout ce qui avait été contribué. Pourquoi ? Pour pouvoir passer leur plate-forme en licence double, et ainsi trahir la confiance que les utilisateurs avaient eu en la sacro-sainte licence...
Le logiciel libre est bien plus riche que «juste une manière de 'distribuer' le logiciel». Tu peux d'ailleurs lire à ce sujet Eric Raymond, «La cathédrale et le bazar» http://www.linuxfr-france.org.invalid/article/these/cathedrale-bazar/cathedra(...)
et tu verras que le logiciel libre est bien plus complexe (et au passage, intéressant) qu'une (et une seule) manière de distribuer du logiciel. <pub>Sinon, tu peux aussi lire http://www.libroscope.org(...) </pub>
[^] # Re: Projet relancé chez traduc.org : traduction du noyau Linux.
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Projet relancé chez traduc.org : traduction du noyau Linux.. Évalué à 1.
Tout ce qui est traduit en français souffre de l'absence de certains mots dans notre vocabulaire : certains vont traduire mal, d'autres garder le terme anglophone, enfin d'autres vont franciser le terme.
Pour les recherches, par exemple dans les pages "man", c'est très difficile de s'y retrouver en français...
[^] # Re: Alcôve rend disponible son nouveau livre blanc
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Alcôve rend disponible son nouveau livre blanc. Évalué à 4.
Il a généré ces graphismes sous Sketch :
Sinon, pour les images utilisées, Monsieur les met grâcieusement à disposition et les met "dans le domaine public" (il le dit lui-même) :
http://www.grassouille.org/docs/index.fr.html(...) (chercher «Graphismes» dans la page).
[^] # Re: Alcôve rend disponible son nouveau livre blanc
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Alcôve rend disponible son nouveau livre blanc. Évalué à 6.
Enfin, à part ça, tu dois avoir raison. Juste pour resituer la terminologie et les conepts sousjacents...
Cf. : http://www.wipo.org/treaties/ip/berne/index-fr.html(...)
C'est Benj qui l'a écrite. Il n'est pas là aujourd'hui...
[^] # Re: Nettement plus calrie !
Posté par R4f . En réponse à la dépêche La valeur de la licence GPL en France. Évalué à 4.
D'une certain manière, un LL a plutôt vocation a relever de cette juridiction, non ?
Et puis une licence, c'est comme du code, moins y'a de code, moins y'a de bugs : moins y'a de licences, moins y'a de failles juridiques potentielles. Et puis tout le monde bosse sur le même document de référence.
[^] # Re: La valeur de la licence GPL en France
Posté par R4f . En réponse à la dépêche La valeur de la licence GPL en France. Évalué à 2.
Tu as un peu bue, non ;-)
A moins que ce ne soit la buée sur tes lunettes ;-)
[^] # Re: Un projet nommé SPIP
Posté par R4f . En réponse à la dépêche Un projet nommé SPIP. Évalué à 1.