Ysabeau 🧶 a écrit 7797 commentaires

J'espère bien que tu vas finir par aimer le tricot :-)

N'exagère pas trop pour "l'article d'exception". C'est aussi l'illustration qu'on peut parler quasiment de tout sur LinuxFr à condition de bien choisir l'angle, et de ne pas se préoccuper des trucs de SEO.

Le titre, évidemment, a pour but d'attirer l'attention, et puis j'aime bien.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

On peut en couplant, par exemple, avec l'outil alphabet digit.

Et, évidemment, on peut faire des chaussettes RJ45.

PS : pour la pull requête, faudra demander à quelqu'un d'autre ou se mettre au tricot.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Avec ce genre d'outils, deux temps trois mouvements est un peu exagéré. Et comme cela a été dit, c'est un genre de tricotin et le même type de machine que les machines industrielles pour tricoter des chaussettes. Lesquelles existent depuis la deuxième moitié du XIX^e siècle.

L'inconvénient de ce genre d'engin c'est que ça ne peut fonctionner que pour une pointure (tour de pied) donnée et qu'avec un type de fil à tricoter donné. Les t-shirts se fabriquent pareil d'ailleurs.

Pour faire le talon, qui se fait à plat, donc en allers et retours. Tu prends environ la moitié des mailles et tu travailles en rangs raccourcis, c'est-à-dire que tu ne tricotes pas toutes les mailles.

Si tu as 60 mailles, tu prends 30 mailles pour ton talon, les autres restent "en attente". Tu vas en tricoter 29, 28, etc. pour arriver (pour la chaussette) à n'avoir plus que dix mailles centrales. Ensuite tu tricotes en reprenant une des mailles que que tu as laissées de côté dans la première phase. Ça va donner une sorte de "poche" qui est ton talon. Et après tu reprends les mailles que tu as laissées en attente au dessus du pied et tu recommences à tricoter en rond.

Jette un coup d'œil à tes chaussettes, elles sont tricotées comme ça.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ah non, ça élimine les wikibooks par exemple.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ce qui se passe, enfin s'est passé, c'est que la BN attribuait aussi l'ISBN et l'ISSN à une époque, et gratuitement. Mais ça a changé depuis. Donc la confusion n'est pas choquante.

Et l'ISBN n'est obligatoire que si tu veux vendre en librairie.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Au moins la BnF, dépôt légal oblige. Je parle des versions numériques, et probablement pas mal d'autres bibliothèques.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Personnellement je trouve ce genre de remarque méchante et déplacée. Elle n’honore nullement son auteur.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Tu confonds l'objet et les données. Ma liseuse ne fonctionnera pas pendant 50 ans, mais ce qui est dedans et qui ne m'est pas propre, sera plus que probablement encore accessible du monde entier dans 50 ans.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il reste la piste des sociétés savantes :-) mais elles ont probablement déjà ce genre de bouquin.

Le livre n'est pas un objet sacré.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Euh, c'est bien de me balancer tes convictions, mais, une conviction ne remplace pas un savoir argumenté.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je suis moins convaincu. Personnellement, je n'aime pas cette position de dire: je sais mieux que les auitres ce qui est bon ou dangereux pour eux.

Pour les ouvrages de médecine, il a tout à fait raison. Tu ne sais pas dans quelles mains ça va tomber, la probabilité pour que ça tombe dans celles de spécialistes de l'histoire de la médecine est assez faible.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Dans la deuxième catégorie, je mettrais certains livres techniques devenus dangereux

Dans la Physiologie du correcteur d’imprimerie, Paris 1843, A.-T Breton (imprimeur), qui parle, comme le titre le laisse à penser, de cette profession essentielle (encore maintenant) émet un avis similaire, mais vu du côté de l’imprimeur évidemment :

En effet, si l’auteur a le génie, la propriété du style, au Correcteur appartient la netteté du style, l’exactitude et la régularité orthographique ; l’auteur est le sol qui crée et nourrit ; le Correcteur est le soleil qui fait éclore, la rosée qui alimente la création. Un livre dans lequel les fautes fourmillent n’est pas seulement un mauvais livre, une œuvre informe, un salmigondis littéraire : c’est un livre dangereux. En effet, quoique l’imprimerie ait beaucoup perdu de son ancienne splendeur, il est encore une foule de gens qui ont une telle foi en toute chose imprimée, que quand ils liraient ..tac pour intact, ils soutiendraient opiniâtrément et quand même que le mot est logique.

Accessoirement (vraiment ?), ce qui importe ce n’est pas l’objet livre mais bien son contenu et un mauvais livre reste mauvais. Mais on peut faire des bricolages sympas avec.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Personnellement je serais plutôt d'accord pour pénaliser les attitudes visant à forcer des gens à boire de l'alcool.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Et si on s'intéresse à la pérennité, il n'y a même pas de discussion à avoir.

La pérennité de quoi par rapport à quoi ? Si c'est celle du papier, je te renvoie à cette dépêche. En bref : la pérennité du papier est très discutable.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il semble que ça soit un atout pour l'apprentissage de la lecture. Je ne comprends donc pas le commentaire.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Un alcoolique est drogué ! L'alcool est une drogue dure, et beaucoup plus addictive et néfaste que le cannabis.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ben, en fait si. Personnellement j'ai tendance à lire cette fameuse page. Pas pour tous les sites que je hante, mais pour un paquet surtout s'ils se revendiquant pro. J'aime bien savoir qui est derrière.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Pas si faux en fait ! L'écrit permet de se mettre d'accord sur les termes plus facilement.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Curieuse, j'ai cherché des extraits. Je dois dire, qu'au vu de ce que j'ai trouvé, c'est effectivement, le genre de style, un peu précieux, qui aurait tendance à me rebuter.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Ça manque tout de même de 403 !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

mais la tradition ici est de faire une brève introduction sur les technologies ou applications peu connues dont on parle.

La dépêche a été recalée en modération pour ces raisons en fait : l'absence de ce type d'informations.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Comme c'est caché, comment veux-tu que je le sache ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Il y a des gens qui ont du temps à perdre !

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Donc, disais-je, tu ne voudrais pas qu'on te dise ce qu'on te cache.

Plus sérieusement, ça m'est déjà arrivé quelques fois, pas longtemps.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Mouais, les autres articles qui parlent d’elle ne parlent pas de C++. Qu’elle l’ait appris, c’est bien possible, qu’il y ait eu d’autres langages qu’elle ait appris en autodidacte ne m’étonnerait pas. Donc, pourquoi C++, plus qu’un autre. Relever Fortran me paraît plutôt normal, on peut imaginer que c’est le premier langage qu’elle ait appris. Un langage, au départ, réservé à IBM et à ses machines.

Cela dit, quand je vois le mot « manuel » associé à « C++ », je ne peux pas m’empêcher de penser à cette imbécillité d’un expert de plateau de télévision (et président à l’époque de l’Observatoire international du terrorisme).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.