Wormux est un jeu, qui se veut être plus ou moins un clone de Worms. Il s'agit donc d'un jeu tour par tour ou vous devez massacrer l'équipe adverse :-)
Nous avons gardé le mode réseau et l'intelligence artificielle sur la Todo List pour ceux qui souhaiteraient s'y intéresser.
Si le jeu avance, nous avons cependant besoin de vous : en effet, nous sommes actuellement 4 développeurs / graphistes actifs, ce qui est plutôt juste !
Toutes les bonnes volontés sont donc acceptées !
Cela peut-être pour vous l'occasion de découvrir la programmation avec ClanLib ou tout simplement de passer un bon moment avec le jeu et nous faire part des améliorations qui vous feraient plaisir.
L'EuroOSCON en octobre 2005 à Amsterdam
La 1ère Convention Open Source O'Reilly (OSCON) en Europe aura lieu les 17-20 octobre 2005 au NH Grand Hotel Krasnapolsky à Amsterdam.
L'OSCON est une conférence organisée chaque année aux USA ; O'Reilly a décidé d'organiser son pendant Européen : l'EuroOSCON.
Au menu beaucoup de conférences, comme le résume Nat Torkington, le président du comité des programmes de EuroOSCON :
« Nous avons une session complète pour le monde de l'entreprise, couvrant les pays en voie de développement, les "business models", et l'avenir de l'Open Source en Europe.
L'événement fait également la part belle à Java, Linux et aux technologies émergentes. Nous aurons aussi un tutoriel sur Asterisk et une grande session sur Python.
Nous avons convié à la fête aussi bien les meilleurs conférenciers européens que les pointures américaines de l'Open-Source. Nous avons sélectionné les technologies Open Source les plus importantes, depuis les technologies Web comme AJAX, Ruby on Rails, jusqu'aux technologies serveurs comme MySQL et Apache. »
Les inscriptions sont ouvertes, les prix sont .. peu attractifs (voir la page des inscriptions). Il est à noter que pour toute inscription effectuée au plus tard le 29 août, vous bénéficiez de 400 euros de remise. De plus, les membres des Groupes d'Utilisateurs (User Groups) bénéficient de 25% de remise quelle que soit leur date d'inscription.
L'OSCON est une conférence organisée chaque année aux USA ; O'Reilly a décidé d'organiser son pendant Européen : l'EuroOSCON.
Au menu beaucoup de conférences, comme le résume Nat Torkington, le président du comité des programmes de EuroOSCON :
« Nous avons une session complète pour le monde de l'entreprise, couvrant les pays en voie de développement, les "business models", et l'avenir de l'Open Source en Europe.
L'événement fait également la part belle à Java, Linux et aux technologies émergentes. Nous aurons aussi un tutoriel sur Asterisk et une grande session sur Python.
Nous avons convié à la fête aussi bien les meilleurs conférenciers européens que les pointures américaines de l'Open-Source. Nous avons sélectionné les technologies Open Source les plus importantes, depuis les technologies Web comme AJAX, Ruby on Rails, jusqu'aux technologies serveurs comme MySQL et Apache. »
Les inscriptions sont ouvertes, les prix sont .. peu attractifs (voir la page des inscriptions). Il est à noter que pour toute inscription effectuée au plus tard le 29 août, vous bénéficiez de 400 euros de remise. De plus, les membres des Groupes d'Utilisateurs (User Groups) bénéficient de 25% de remise quelle que soit leur date d'inscription.
Linux en tant que marque, ça se défend
Le Linux Mark Institute (LMI par la suite) agissant au titre de Linus Torvalds souhaite faire reconnaître la marque Linux en Australie. Le LMI a pour cela fait connaître les coûts afférents à l'utilisation du terme Linux, seul ou accolé à un nom de produit, pour les entreprises commerciales australiennes souhaitant utiliser le terme Linux pour leur propre marque.
L'utilisation du terme Linux dans le cadre des logiciels libres pour les entreprises non commerciales (LUG, association à but non lucratif, développeur de logiciel libre, utilisateur final...) est considéré comme un usage en règle (fair-use), pas besoin de déposer leur nom (d'où pas besoin d'une sous-licence).
Cette nouvelle a été prise initialement pour un canular alors qu'elle est bien réelle : il s'agit de défendre Linux lorsqu'utilisé en tant que marque déposée (trademark) tout comme le fait Debian pour son nom et logo ou la fondation Mozilla pour Firefox en estampillant les paquets reconnus et officiels avec son logo.
L'article de Groklaw explique clairement la situation ainsi que la réponse de Linus Torvalds : il s'agit de promouvoir la marque Linux.
Il faut bien voir qu'une marque - si elle n'est pas défendue - risque de devenir publique et n'importe qui pourrait profiter de la notoriété de Linux, même à l'encontre des finalités du projet.
Vous pouvez consulter, pour des compléments, l'article de wikipedia sur les contraintes de maintien d'une marque [en] vu que l'article en français de wikipedia sur la marque déposée est encore à l'état d'ébauche (s'il y a des juristes dans l'assistance).
L'utilisation du terme Linux dans le cadre des logiciels libres pour les entreprises non commerciales (LUG, association à but non lucratif, développeur de logiciel libre, utilisateur final...) est considéré comme un usage en règle (fair-use), pas besoin de déposer leur nom (d'où pas besoin d'une sous-licence).
Cette nouvelle a été prise initialement pour un canular alors qu'elle est bien réelle : il s'agit de défendre Linux lorsqu'utilisé en tant que marque déposée (trademark) tout comme le fait Debian pour son nom et logo ou la fondation Mozilla pour Firefox en estampillant les paquets reconnus et officiels avec son logo.
L'article de Groklaw explique clairement la situation ainsi que la réponse de Linus Torvalds : il s'agit de promouvoir la marque Linux.
Il faut bien voir qu'une marque - si elle n'est pas défendue - risque de devenir publique et n'importe qui pourrait profiter de la notoriété de Linux, même à l'encontre des finalités du projet.
Vous pouvez consulter, pour des compléments, l'article de wikipedia sur les contraintes de maintien d'une marque [en] vu que l'article en français de wikipedia sur la marque déposée est encore à l'état d'ébauche (s'il y a des juristes dans l'assistance).
Sun propose à son tour une technologie de DRM... Open Source ! (sous CDDL)
Le président de Sun Jonathan Schwartz, a annoncé ce 21 août à la Progress and Freedom Foundation's qui se déroule à Aspen, la mise en place du projet Open Media Commons.
Ce projet a pour but de proposer une plate-forme commune pour les différentes technologies DRM existantes et donc de former un standard.
C'est à associer à un autre projet de Sun, déjà en cours celui-là : Dream pour "DRM Everywhere Available" et qui est sous licence CDDL (Community Development and Distribution Licence), la même licence qu'OpenSolaris. Ce projet dispose d'une API pour faciliter la programmation.
À ce jour aucune grande compagnie ne semble avoir emboîté le pas de Sun sur la solution proposée. Sun espère évidemment que les groupes tels que Sony, Apple et Microsoft signent avec lui et répond qu'« ils sont intéressés par les compagnies qui aimeraient avoir une solution DRM Libre et Open-Source sur le marché. Ceux qui préfèrent un seul vendeur ou une unique solution n'ont pas la même vision que nous ».
Bref une initiative toujours préférable à la situation actuelle où le DRM sert beaucoup à tenter de protéger les revenus d'un système audio-visuel peut-être obsolète...
Ce projet a pour but de proposer une plate-forme commune pour les différentes technologies DRM existantes et donc de former un standard.
C'est à associer à un autre projet de Sun, déjà en cours celui-là : Dream pour "DRM Everywhere Available" et qui est sous licence CDDL (Community Development and Distribution Licence), la même licence qu'OpenSolaris. Ce projet dispose d'une API pour faciliter la programmation.
À ce jour aucune grande compagnie ne semble avoir emboîté le pas de Sun sur la solution proposée. Sun espère évidemment que les groupes tels que Sony, Apple et Microsoft signent avec lui et répond qu'« ils sont intéressés par les compagnies qui aimeraient avoir une solution DRM Libre et Open-Source sur le marché. Ceux qui préfèrent un seul vendeur ou une unique solution n'ont pas la même vision que nous ».
Bref une initiative toujours préférable à la situation actuelle où le DRM sert beaucoup à tenter de protéger les revenus d'un système audio-visuel peut-être obsolète...
Départ de l'équipe des développeurs Mambo
Le 17 août 2005, la quasi totalité de l'actuelle équipe de développement du CMS Open Source Mambo a annoncé, dans une lettre ouverte à la communauté, qu'elle préfère abandonner Mambo suite à la création de la fondation du même nom.
En effet, les développeurs pensent que l'orientation de Mambo doit être dictée par les demandes de ses utilisateurs et les capacités des développeurs, or il semblerait que la Fondation Mambo soit conçue pour accorder le contrôle à la société Miro, une conception qui rend la coopération entre la Fondation et la communauté impossible.
Dans les faits l'équipe quitte donc la table de la fondation Mambo pour continuer de développer le produit sous GPL, ce qui ressemble donc fort à un fork.
En effet, les développeurs pensent que l'orientation de Mambo doit être dictée par les demandes de ses utilisateurs et les capacités des développeurs, or il semblerait que la Fondation Mambo soit conçue pour accorder le contrôle à la société Miro, une conception qui rend la coopération entre la Fondation et la communauté impossible.
Dans les faits l'équipe quitte donc la table de la fondation Mambo pour continuer de développer le produit sous GPL, ce qui ressemble donc fort à un fork.
Pique-nique du Libre à Paris
Le deuxième pique-nique du libre, organisé par Parinux est ouvert à tous les membres de la communauté du logiciel libre et à leur famille dans le sens large du terme.
Il est prévu pour le samedi 27 août 2005 dans le Parc des Buttes-Chaumont. Rendez-vous de 12h00 à 12h15 à l'entrée. Après, il faudra trouver le groupe dans le parc. Un plan sur le site de Parinux devrait vous y aider.
Les organisateurs vous demandent d'apporter quelque chose à boire et à manger et si vous le voulez, une couverture, ainsi que vos ballons de foot, de volley, pétanque, badminton, cerf-volant, etc.
Il est prévu pour le samedi 27 août 2005 dans le Parc des Buttes-Chaumont. Rendez-vous de 12h00 à 12h15 à l'entrée. Après, il faudra trouver le groupe dans le parc. Un plan sur le site de Parinux devrait vous y aider.
Les organisateurs vous demandent d'apporter quelque chose à boire et à manger et si vous le voulez, une couverture, ainsi que vos ballons de foot, de volley, pétanque, badminton, cerf-volant, etc.
Le moteur du jeu Quake 3 en GPL
Comme à son habitude - même si ça a pris un peu plus de temps que prévu depuis l'annonce de Décembre 2000 - John Carmack peut aujourd'hui fournir le moteur du jeu Quake 3 en GPL. Il est maintenant officiellement disponible sur les ftp de id software comme annoncé par linuX-gamers.
John Carmack avait effectué la semaine dernière à QuakeCon 2005 l'annonce de "cette disponibilté des sources sous une semaine". Quake III rejoint ainsi les Quake I et II dont le moteur est GPL depuis quelques temps, pour la plus grande joie des amateurs de jeux FPS (First Person Shooter ou jeu de tir subjectif en 3D ou encore Quake-like).
Il y a quelques temps, InternetActu a aussi effectué une synthèse des raisons d'avoir des jeux libres (dont Nexuiz basé sur quake1) montrant l'avancement des réflexions sur le sujet.
John Carmack avait effectué la semaine dernière à QuakeCon 2005 l'annonce de "cette disponibilté des sources sous une semaine". Quake III rejoint ainsi les Quake I et II dont le moteur est GPL depuis quelques temps, pour la plus grande joie des amateurs de jeux FPS (First Person Shooter ou jeu de tir subjectif en 3D ou encore Quake-like).
Il y a quelques temps, InternetActu a aussi effectué une synthèse des raisons d'avoir des jeux libres (dont Nexuiz basé sur quake1) montrant l'avancement des réflexions sur le sujet.
La réponse est 42
Vous en avez rêvé, vous l'avez réclamée... Elle est là :
LA dépêche cinéma sur le tout premier film de Garth Jennings : H2G2 Hitch Hicker's Guide to the Galaxy, en français : H2G2 Le Guide du Voyageur Galactique.
Ce film est - comme tout bon geek qui se respecte le sait - l'adaptation au cinéma d'une émission radiophonique créée par Douglas Adams. Entre temps, on a eu le droit à cinq romans (constituant une trilogie...), une série TV, un jeu vidéo.
Mais je m'égare : pour résumer le film (mais encore une fois est-ce bien là peine ?), on suit donc les pérégrinations intergalactiques du terrien Arthur Dent, après que la terre a été rayée du système solaire. Celui-ci est accompagné du président de la galaxie, de Ford Prefect, un ami extraterrestre en provenance d'une petite planète près de Bételgeuse, de sa petite amie qui l'a lâché quelques heures après l'avoir rencontré, et de Marvin, un robot dépressif.
Et tout ça, pour quoi me demanderez-vous ? Mais voyons, trouver la question ultime de la vie, l'univers et tout le reste.
LA dépêche cinéma sur le tout premier film de Garth Jennings : H2G2 Hitch Hicker's Guide to the Galaxy, en français : H2G2 Le Guide du Voyageur Galactique.
Ce film est - comme tout bon geek qui se respecte le sait - l'adaptation au cinéma d'une émission radiophonique créée par Douglas Adams. Entre temps, on a eu le droit à cinq romans (constituant une trilogie...), une série TV, un jeu vidéo.
Mais je m'égare : pour résumer le film (mais encore une fois est-ce bien là peine ?), on suit donc les pérégrinations intergalactiques du terrien Arthur Dent, après que la terre a été rayée du système solaire. Celui-ci est accompagné du président de la galaxie, de Ford Prefect, un ami extraterrestre en provenance d'une petite planète près de Bételgeuse, de sa petite amie qui l'a lâché quelques heures après l'avoir rencontré, et de Marvin, un robot dépressif.
Et tout ça, pour quoi me demanderez-vous ? Mais voyons, trouver la question ultime de la vie, l'univers et tout le reste.
Sortie des pilotes ATI et NVIDIA
Les deux grands constructeurs ont mis à jour récemment leurs pilotes propriétaires pour GNU/Linux (pour les architectures supportées).
ATI : Sortie le 18/08 de la version 8.16.20 pour X86 et X86-64
Une grosse mise à jour pour le constructeur canadien :
Au menu :
NVIDIA : le 09/08 sortait la version 1.0-7676 pour X86 et AMD64
Ce pilote n'est qu'un correctif du précédent, il règle le problème d'horloge pour les GeForce 7800 GTX (donc inutile pour tous ceux qui n'ont pas cette carte).
ATI : Sortie le 18/08 de la version 8.16.20 pour X86 et X86-64
Une grosse mise à jour pour le constructeur canadien :
Au menu :
- Amélioration des performances
- Support du noyau 2.6.12
- Support de GCC 4.0
- Correction de certains bugs :
- Résolution des problèmes systèmes avec HDTV et les gros fichiers vidéos.
- Le curseur souris n'apparaît plus sur les deux écrans à la fois en multi-tête.
- Le panoramique sur le deuxième écran est maintenant disponible en utilisant les pseudo-couleurs et le mode clone.
- Les machines sous Red Hat Enterprise Linux workstation 4 Update 1 et possédant 4 Go ou plus de mémoire n'ont plus de problème lors du chargement du pilote.
- Le support de l'Overlay est disponible sur les machines 64 bits
- Des fuites mémoires pour PCIe ont été corrigés.
NVIDIA : le 09/08 sortait la version 1.0-7676 pour X86 et AMD64
Ce pilote n'est qu'un correctif du précédent, il règle le problème d'horloge pour les GeForce 7800 GTX (donc inutile pour tous ceux qui n'ont pas cette carte).
The Island
Le 17 août 2005 est sorti sur vos grands écrans le dernier film de Michael Bay : The Island. (ndla : L'île).
Disons le tout de suite, vous ne verrez pas vraiment une île paradisiaque avec plage de sable fin et cocotiers à perte de vue.
Non, car l'heure est grave : un cataclysme a ravagé la planète, qui se trouve maintenant contaminée.
Heureusement, certaines personnes survivent et sont ramenées dans une colonie fermée où vivent nos deux héros, incarnés respectivement par Ewan McGregor et Scarlett Johansson.
Pour illuminer une vie qui serait trop désespérante, chaque personne participe à une loterie, qui permet à son heureux gagnant de quitter la colonie pour une fabuleuse île (non contaminée), où la vie est plus douce.
Mais bientôt, notre cher Ewan commence à se poser des questions et va découvrir la réalité terrifiante de The Island ....
Disons le tout de suite, vous ne verrez pas vraiment une île paradisiaque avec plage de sable fin et cocotiers à perte de vue.
Non, car l'heure est grave : un cataclysme a ravagé la planète, qui se trouve maintenant contaminée.
Heureusement, certaines personnes survivent et sont ramenées dans une colonie fermée où vivent nos deux héros, incarnés respectivement par Ewan McGregor et Scarlett Johansson.
Pour illuminer une vie qui serait trop désespérante, chaque personne participe à une loterie, qui permet à son heureux gagnant de quitter la colonie pour une fabuleuse île (non contaminée), où la vie est plus douce.
Mais bientôt, notre cher Ewan commence à se poser des questions et va découvrir la réalité terrifiante de The Island ....
Solaris 10 : le point
Un long article de The Register revient sur le "Sun's Linux killer", à savoir Solaris 10. Le but de l'auteur est davantage de réaliser un compte-rendu d'utilisation qu'un comparatif, il n'y a notamment (et délibérément) pas de benchmark qui pourraient étayer les dires de l'auteur (Thomas C Green). Il faut donc garder en tête le côté parfaitement subjectif de l'article.
L'auteur souligne pour commencer que si, actuellement et sur la cible visée (les PC), GNU/Linux est loin devant, Sun peut se donner les moyens de rattraper son retard ... s'il en a le désir.
Pour résumer les points forts de Solaris sont :
Les points faibles sont :
Pour conclure, Solaris 10 est plus un bon concurrent en devenir plutôt qu'un "GNU/Linux killer" cependant il y a de bonnes idées dans le système qu'il conviendrait d'étudier de près.
L'auteur souligne pour commencer que si, actuellement et sur la cible visée (les PC), GNU/Linux est loin devant, Sun peut se donner les moyens de rattraper son retard ... s'il en a le désir.
Pour résumer les points forts de Solaris sont :
- la maturité d'Unix, le système est tout particulièrement stable et il est difficile de le faire s'écrouler.
- la rapidité (subjectif)
- la qualité de DTrace
- les zones virtuelles (containers) qui permettent de gérer plus finement les ressources allouées aux programmes
- c'est Sun, entendre par là que ça passera toujours mieux auprès d'un DSI de savoir qu'il y a le support de Sun derrière
Les points faibles sont :
- la phase d'installation n'est pas meilleure qu'une bonne distribution GNU/Linux
- le support du matériel limité, l'exemple de la très répandue SBLive est parlant.
- les choix dans les logiciels proposés (subjectif on vous a dit)
- la jeunesse globale du projet et le côté commercial qui rebute encore la communauté
Pour conclure, Solaris 10 est plus un bon concurrent en devenir plutôt qu'un "GNU/Linux killer" cependant il y a de bonnes idées dans le système qu'il conviendrait d'étudier de près.
Du respect de la vie privée et secrète du geek en milieu urbain
J'avais décidé de ne plus utiliser mon téléphone et surtout pas mon mobile qui peut fournir ma position en continu. J'avais banni les cartes de fidélité des supermarchés qui permettaient de collecter les informations sur mes goûts et de les revendre. J'évitais de même les sondages divers commerciaux. Je me disais qu'en payant en liquide (avec un risque de contrefaçon sur les billets certes) et en n'utilisant pas de pass dans le métro, je préserverais un peu de ma liberté. Poussant le raisonnement au bout, j'avais décidé d'organiser régulièrement des brèves rencontres avec des inconnus pour mettre dans un pot commun mes billets et mes tickets de métro, les mélanger et repartir ainsi avec des numéros de série anonymisés, par peur d'être suivi, et puis cela me permettait d'échanger des empreintes GnuPG.
Bien sûr j'utilisais des logiciels libres, car pourquoi ferais-je confiance à des logiciels propriétaires boîtes noires, contenant potentiellement des portes dérobées ou des espiogiciels. Je ne communiquais qu'en https, mes courriels étaient tous chiffrés, mes partitions aussi, et de toute façon mes remarques sur la météo et le sexe opposé ne circulaient que dans des images de gnous en utilisant de la stéganographie. Et je me croyais tranquille.
C'était sans compter sur le déploiement de nouveaux ordinateurs équipés en standard de TPM (oui l'informatique dite « de confiance », TCPA/Palladium, ayez confiance, tout ça) qui étaient déjà sur le marché. Et les imprimantes qui se mettaient à bavasser aussi. Sans compter aussi que certains aimeraient bien collecter toutes les données de trafic internet et téléphonique (le courrier postal n'intéresse personne...), en évoquant des questions de sécurité, voire créer des e-milices sur les réseaux (de toute façon on me proposait déjà de confier mes clés de chiffrement aux forces de police, sachant qu'ils savaient s'en passer si besoin). Ceci dit les débats sur la nouvelle carte d'identité électronique en France avaient laissé perplexe (identifiant unique, données biométriques, mélange de l'officiel et du commercial, etc.).
De son côté l'industrie de la musique et du cinéma promettait des mesures techniques de protection pour décider si et quand et combien de fois je pourrais lire le DVD que j'avais acheté, et avec quel matériel et quel logiciel, en arguant des cataclysmes apocalyptiques et tentaculaires causés par des lycéens de 12 ans ; on me promettait même des identifiants uniques sur chaque disque et un blocage de la copie privée pourtant légale. Finalement on me proposait de bénéficier des puces d'identification par radio-fréquences RFID aux usages multiples : traçage des étrangers, contrôle des papiers d'identité, implantation sous-cutanée...
Bah il ne me restait plus qu'à aller poser devant les caméras dans la rue (Paris, Londres, etc.), et à reprendre des pilules. Enfin ça ou essayer d'améliorer les choses.
« Nous avons neuf mois de vie privée avant de naître, ça devrait nous suffire. » (Heathcote Williams)
« Même les paranoïaques ont des ennemis. » (Albert Einstein)
Bien sûr j'utilisais des logiciels libres, car pourquoi ferais-je confiance à des logiciels propriétaires boîtes noires, contenant potentiellement des portes dérobées ou des espiogiciels. Je ne communiquais qu'en https, mes courriels étaient tous chiffrés, mes partitions aussi, et de toute façon mes remarques sur la météo et le sexe opposé ne circulaient que dans des images de gnous en utilisant de la stéganographie. Et je me croyais tranquille.
C'était sans compter sur le déploiement de nouveaux ordinateurs équipés en standard de TPM (oui l'informatique dite « de confiance », TCPA/Palladium, ayez confiance, tout ça) qui étaient déjà sur le marché. Et les imprimantes qui se mettaient à bavasser aussi. Sans compter aussi que certains aimeraient bien collecter toutes les données de trafic internet et téléphonique (le courrier postal n'intéresse personne...), en évoquant des questions de sécurité, voire créer des e-milices sur les réseaux (de toute façon on me proposait déjà de confier mes clés de chiffrement aux forces de police, sachant qu'ils savaient s'en passer si besoin). Ceci dit les débats sur la nouvelle carte d'identité électronique en France avaient laissé perplexe (identifiant unique, données biométriques, mélange de l'officiel et du commercial, etc.).
De son côté l'industrie de la musique et du cinéma promettait des mesures techniques de protection pour décider si et quand et combien de fois je pourrais lire le DVD que j'avais acheté, et avec quel matériel et quel logiciel, en arguant des cataclysmes apocalyptiques et tentaculaires causés par des lycéens de 12 ans ; on me promettait même des identifiants uniques sur chaque disque et un blocage de la copie privée pourtant légale. Finalement on me proposait de bénéficier des puces d'identification par radio-fréquences RFID aux usages multiples : traçage des étrangers, contrôle des papiers d'identité, implantation sous-cutanée...
Bah il ne me restait plus qu'à aller poser devant les caméras dans la rue (Paris, Londres, etc.), et à reprendre des pilules. Enfin ça ou essayer d'améliorer les choses.
« Nous avons neuf mois de vie privée avant de naître, ça devrait nous suffire. » (Heathcote Williams)
« Même les paranoïaques ont des ennemis. » (Albert Einstein)
60% de logiciels libres dans les services de l'éducation nationale
C'est à la page numéro 18 de la récente édition d'un magazine édité par l'Education Nationale que l'on apprend que, je cite "plus de 60% des licences logicielles utilisées sur les serveurs de l'éducation nationale sont issues (NDLR : ... ) du monde libre".
On y apprend également qu'environ 15.000 serveurs linux seraient d'ores et déjà installés dans les collèges et les lycées.
L'article contient par ailleurs de nombreuses informations et un certain nombre d'affirmations susceptibles d'intéresser ceux désireux de comprendre la position du Ministère de l'Education Nationale vis à vis de Linux. Il est notamment intéressant de constater que l'intérêt pour un service destiné à l'ensemble des citoyens de disposer des libertés garanties par le logiciel libre n'est pas mentionné, de même que l'indépendance par rapport aux acteurs du secteur concurrentiel est à peine effleurée. Par contre, le levier de négociation offert sur ces mêmes acteurs est souligné à plusieurs reprises, ainsi que l'enjeu que représente l'appropriation effective des logiciels libres utilisées par les équipes informatiques elles-mêmes !
On y apprend également qu'environ 15.000 serveurs linux seraient d'ores et déjà installés dans les collèges et les lycées.
L'article contient par ailleurs de nombreuses informations et un certain nombre d'affirmations susceptibles d'intéresser ceux désireux de comprendre la position du Ministère de l'Education Nationale vis à vis de Linux. Il est notamment intéressant de constater que l'intérêt pour un service destiné à l'ensemble des citoyens de disposer des libertés garanties par le logiciel libre n'est pas mentionné, de même que l'indépendance par rapport aux acteurs du secteur concurrentiel est à peine effleurée. Par contre, le levier de négociation offert sur ces mêmes acteurs est souligné à plusieurs reprises, ainsi que l'enjeu que représente l'appropriation effective des logiciels libres utilisées par les équipes informatiques elles-mêmes !
Logiciels libres et contenus web interactifs
Le langage propriétaire Flash est décrit par son éditeur comme un « environnement d'édition pour la création de sites web, d'expériences numériques et de contenu animé interactifs ». SecuritySpace lui donne 12.26% d'utilisation sur les sites web.
Le site « Open Source Flash » osflash.org liste les nombreux projets libres visant à supporter ce langage (compilateurs, plug-ins, applications, etc.).
Le trio SVG / SMIL / ECMAScript est aussi évoqué comme solution basée sur des standards pour remplacer Flash (on notera d'ailleurs que la manifestation SVG 2005 est en cours aux Pays-bas).
Dans le débat pour/contre flash, il y a le classique et maintenant ancien « Sites Flash : vingt-cinq raisons de dire non », document lui-même critiqué.
Quels sont selon vous les meilleurs outils pour réaliser des contenus web interactifs ? Que pensez-vous du support de Flash par les projets libres ? Quelles sont les alternatives possibles ?
Le site « Open Source Flash » osflash.org liste les nombreux projets libres visant à supporter ce langage (compilateurs, plug-ins, applications, etc.).
Le trio SVG / SMIL / ECMAScript est aussi évoqué comme solution basée sur des standards pour remplacer Flash (on notera d'ailleurs que la manifestation SVG 2005 est en cours aux Pays-bas).
Dans le débat pour/contre flash, il y a le classique et maintenant ancien « Sites Flash : vingt-cinq raisons de dire non », document lui-même critiqué.
Quels sont selon vous les meilleurs outils pour réaliser des contenus web interactifs ? Que pensez-vous du support de Flash par les projets libres ? Quelles sont les alternatives possibles ?
Last Jeudi à Pau (France, 64)
Les utilisateurs de logiciel libre et de GNU/Linux, et tous les systèmes libres se retrouvent le dernier jeudi de chaque mois pour discuter de vive voix.
Le prochain Last Jeudi sera donc le 25 août 2005 Au bureau, place Clémenceau (centre ville de Pau), à partir de 20h30
Tous les utilisateurs de logiciel libre sont les bienvenus ainsi que toutes les associations.
Le thème de la soirée sera GNU/Linux 64 bits, GNU/Linux Debian Etch, Debian Core, Xen, le routage...
Le prochain Last Jeudi sera donc le 25 août 2005 Au bureau, place Clémenceau (centre ville de Pau), à partir de 20h30
Tous les utilisateurs de logiciel libre sont les bienvenus ainsi que toutes les associations.
Le thème de la soirée sera GNU/Linux 64 bits, GNU/Linux Debian Etch, Debian Core, Xen, le routage...