Lien Migration vers Libreoffice de l’armée autrichienne : retour d’expérience

Bon jour 'nal,
Dimanche, c'est un nouveau « jour de l'indépendance », ou jour de déGafamisation, selon l'appel de l'artiste Marc-Uwe Kling :
une approche pragmatique partant du constat que devant l'ampleur de notre dépendance à des services numériques malsains, une migration complète vers des services plus vertueux ne peut s'achever en une journée, il est souhaitable de créer une routine pour assainir, un mois après l'autre, notre dépendance. L'idée est donc de créer une dynamique régulière pour prendre (…)
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Un rapport récent a introduit l’Indice Européen de Résilience Numérique (EDRIX) dont l'objectif est de mesurer de manière chiffrée et objective la capacité des 27 États membres de l'Union européenne à « construire, maintenir et contrôler leur propre destinée numérique » et vise à fournir un outil d'analyse pour guider les politiques industrielles vers un « EuroStack » souverain.
L'indice agrège les scores de cinq piliers, dont quatre reposent sur des données mesurables concrètes, plutôt que de se contenter de simples déclarations d'intention.
Le rapport introduit également un indice complémentaire plus spécifique au logiciel libre, l'EOTRIX (European Open Technology Readiness Index).
Concernant la France, qui se classe seulement 6ème, le rapport révèle un tableau contrasté qui illustre le fossé entre politique et pratique, avec un écosystème de développeurs et une adoption par la société civile qui n'obtiennent que des scores moyens (respectivement 4,08/10 et 5,09/10).
La Commission européenne a récemment publié une feuille de route stratégique intitulée « Feuille de route thématique sur l’open source et contributions sur les principes de confiance communs » (« La voie du logiciel libre vers la souveraineté numérique et la compétitivité de l'Union européenne »), préparée par l'Alliance européenne pour les données industrielles, l'Edge et le Cloud (dont l'auteur de ces lignes fait partie). Ce document de 68 pages propose et détaille un plan d'action visant à positionner le logiciel libre comme un pilier central de la stratégie européenne pour renforcer son autonomie technologique face aux acteurs non-européens.
Le rapport part du constat de la dépendance de l'Europe dans les domaines du cloud, de l'edge et de l'IoT, et propose 70 actions concrètes pour y remédier. Parmi les mesures les plus significatives, on trouve notamment : la mise en place d'une politique d'achat public favorisant systématiquement les solutions libres européennes, la création d'un fonds de financement dédié aux projets critiques, et l'application de standards d'interopérabilité réellement ouverts pour contrer le verrouillage fournisseur (vendor lock-in).
Ce ne sont bien sûr que quelques propositions parmi les 70. Pour plus de détails, cliquez sur « lire la suite ».
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Salut à tous,
Un collègue a récemment attiré mon attention sur la suite Hexagone, lancée début janvier 2025 par Interstis, en s’appuyant sur un consortium de sept sociétés privées : BlueMind, XWiki/CryptPad, Linphone, Parsec, Tranquil IT et 3DS Outscale.
→ https://www.interstis.fr/suite-hexagone/
Le site officiel ( https://hexagone.io/ ) met en avant : hébergement SecNumCloud, conformité RGAA, sobriété numérique, et quatre modules annoncés : mail, agenda, coédition, visio.
Un article du Journal du Palais indique qu’Interstis aurait reçu 6 M€ de subventions (…)