Jean-Baptiste Faure a écrit 1724 commentaires

  • [^] # Re: Paramètres du diaporama

    Posté par  . En réponse au message Comment changer la dia active dans LibreOffice Impress?. Évalué à 2.

    Merci du retour. :-)

  • # Article mediaterre

    Posté par  . En réponse au journal Monitoring du bassin versant Adour-Garonne. Évalué à 10.

    Je suis plus que sceptique. L'auteur ne cite aucune référence à l'appui de ses affirmations, en particulier la proportion 70 % / 30%. De plus il faut lire la présentation de l'auteur. Je cite : « Les émissions de Co2 posent effectivement de graves problèmes de pollution en ville (trop de CO2 = pas assez d'oxygène) mais en AUCUN CAS de climat ! ». En fait son dada (et sans doute son business) c'est la construction de barrages. Et sa propagande crypto-climatosceptique consiste à affirmer qu'on va sauver le monde avec des retenues collinaires.

    Donc pour moi, aucune confiance dans ce qu'il écrit. Et par conséquent aucune non plus dans les autres dépêches de mediaterre. En effet mediaterre prétend que les dépêches sont relues par des modérateurs avant d'être publiés. Pour cet auteur sur les 10 dépêches qu'il a publiées, aucune n'a été modérée.

  • [^] # Re: Connaître les débits dans une rivière

    Posté par  . En réponse au journal Monitoring du bassin versant Adour-Garonne. Évalué à 5.

    Oui et je suis sceptique pour un réel apport en France continentale parce qu'il n'y a pas beaucoup de cours d'eau d'une largeur supérieure à 100 mètres.
    Dans mon souvenir Swot c'est un satellite principalement océanographique pour mesurer les niveaux des océans, voire les grandes étendues d'eau continentales. Quant aux rivières, il ne suffit pas d'avoir une estimation de la pente de l'écoulement pour déduire le débit. Sans une bonne connaissance de la forme de la rivière (on ne voit pas à travers l'eau) ni une bonne estimation de la résistance à l'écoulement (la rugosité mais pas que), on ne peut rien faire de mieux que ce qu'on fait déjà.
    Par contre si Swot est capable de fournir de bonnes mesures de niveaux sur un linéaire de rivière, ce serait très utile pour caler un modèle numérique. Mais il faut d'abord orienter la rivière le long de la trace du satellite… ;-)

  • [^] # Re: Connaître les débits dans une rivière

    Posté par  . En réponse au journal Monitoring du bassin versant Adour-Garonne. Évalué à 5.

    La méthode d'analyse SWOT ou le satellite Swot ? ;-)

  • # Connaître les débits dans une rivière

    Posté par  . En réponse au journal Monitoring du bassin versant Adour-Garonne. Évalué à 10.

    Bon, je ne sais pas trop par où commencer tellement il y a à dire.

    Disclaimer : j'ai fait toute ma carrière de chercheur à Lyon dans une unité de recherche qui travaille sur l'hydrologie (en gros chercher à connaître les débits dans un cours d'eau et comment la pluie se transforme en débit) et l'hydraulique (mesurer, modéliser et calculer les grandeurs caractéristiques des écoulements dans un cours d'eau). Mon job c'était le développement de codes de calcul pour l'hydraulique. Et le dernier modèle numérique sur lequel je suis intervenu était un modèle de l'Adour aval.

    Pour faire direct, je dirais qu'on ne sait pas mesurer directement le débit dans une rivière. Il y a plusieurs raisons à cela. Le débit est une variable qui intègre le champ de vitesse dans une section verticale de la rivière. Ce champ de vitesse n'est pas uniforme et donc il faut avoir beaucoup de mesures locales dans un même plan vertical et au même moment. Ça c'est très difficile à faire, surtout dans les situations où les mesures de débit sont les plus intéressantes, c'est-à-dire en crue. C'est particulièrement vrai pour les grands cours d'eau. Une technique de plus en plus utilisée utilise un ADCP. C'est la technique utilisée par la Compagnie Nationale du Rhône pour mesurer les débits du Rhône. L'inconvénient c'est que ça n'est utilisable que pour la part de débit du lit mineur. En crue il est dangereux d'envoyer un bateau faire des traversées bien orthogonales à l'écoulement et en plus on ne peut pas atteindre les zones où la rivière déborde (lit majeur). Dans ces cas là, et pour des rivières par trop larges, on peut utiliser des techniques de LSPIV (Large Scale Particle Image Velocimetry) qui, à partir de vidéos qui ont enregistré le déplacement des structures de surface ou des objets flottants, reconstitue un champ de vitesse horizontal qu'on peut relier, avec pas mal d'approximation, au débit.

    Quand on trouve des données de stations de mesure qui fournissent des débits en plus des hauteurs d'eau, c'est parce les métrologues ont établi une relation entre le niveau et le débit. On appelle ça une courbe de tarage (rating curve en anglais). On se base sur des mesures de débits pour les débits habituels (jusqu'aux petites crues non débordantes) et ensuite des extrapolations des pluies pour les gros débits (grandes crues). Ces courbes de tarage sont fortement non linéaires. La construction des courbes de tarage, leur validation et l'estimation de leur incertitude est un champ de recherche actif à lui tout seul.

    La connaissance des écoulements repose, outre des mesures hydrométriques, bathymétriques et topographiques, sur des modélisations mathématiques plus ou moins complexes. C'est un domaine très actif depuis près de 2 siècles tant en recherche qu'en ingénierie et des milliers de chercheurs, ingénieurs et techniciens travaillent sur ces sujets partout dans le monde.
    Les modèles mathématiques sont basés sur les équations d'Adhémar Barré de Saint-Venant présentées dans un Compte-rendu de l'Académie des Sciences en 1871. Les anglo-saxons les appellent Shallow Water Equations. Ce sont des équations aux dérivées partielles instationnaires hyperboliques non linéaires à 1 ou 2 dimensions d'espace (plus le temps), donc qui ont tout ce qu'il faut pour être difficiles à résoudre. En particulier ce sont des modèles qui peuvent faire apparaître des discontinuités à partir de données continues : ressaut hydraulique, onde de rupture de barrage, mascaret, tsunami.

    En ce qui concerne la production du débit à partir de la pluie c'est un des champs de recherche des hydrologues. Là aussi c'est très compliqué, à cause d'une part de la multiplicité et de la complexités des phénomènes physiques qui interviennent (évapotranspiration, infiltration, ruissellement), et d'autre part à cause de la difficulté d'accéder, sur l'ensemble de la zone considérée, aux caractéristiques des sols (teneur en eau, perméabilité, mais c'est encore pire en zone karstique) et de l'air (vent à différentes altitudes, humidité, température, etc.). Il y a essentiellement 2 approches. Une approche basée sur des modèles statistiques et une approche basée sur la modélisation des phénomènes physiques entrant en jeu (modèles distribués).

    Concernant les marées, il faut tenir compte des particularités locales (géométrie, courants) qui perturbent la marée théorique.
    À l'embouchure d'un fleuve le lien entre niveau et débit devient encore plus compliqué. Le niveau oscille, grossièrement comme une sinusoïde avec une période de 12h30, et le débit aussi mais décalé. Selon l'amplitude de la marée, le débit peut devenir négatif (la partie aval de la rivière coule à l'envers…), et généralement la marée se fait sentir sur les niveaux loin, voire très loin, à l'amont de l'embouchure. En particulier, il n'y a pas de lien simple entre niveau et vitesse de l'écoulement dans la zone influencée par la marée. Il faut un modèle numérique résolvant les équations de Saint-Venant, calé avec des mesures de niveau, pour évaluer les vitesses. Bien entendu un tel modèle a besoin de connaître le débit à tout instant à chaque frontière entrante du domaine modélisé (pour savoir ce qui va sortir d'une baignoire, il faut connaître ce qui entre par le robinet). En général il faut plusieurs mois d'ingénieur pour mettre au point ce genre de modèle.

    Dans tous ces domaines il y a des formations (initiales et continues) à l'Université et dans des écoles d'ingénieurs. Elles sont de niveau L3 et master.

  • [^] # Re: Pas compris le lien avec vie privée

    Posté par  . En réponse au lien Pour en finir une bonne fois pour toutes avec "sur ma vie (privée) je m'en fous, j'ai rien à cacher". Évalué à 6.

    Je crois que ce qui est intéressant dans cette vidéo c'est qu'elle met en évidence la quantité d'informations personnelles que les gens laissent en accès public sur internet et qu'il est facile de les collecter rapidement. Se faire réciter son cv par un inconnu total dans un bar à des centaines de km de chez soi, ça impressionne. Même si, aprés réflexion, on se rend compte que ces infos sont publiques. Manifestement les "victimes" de cet exercice sont convaincues qu'elles laissent trop trainer de données et que ça ne devrait pas être aussi facile de les relier à eux.

  • # Paramètres du diaporama

    Posté par  . En réponse au message Comment changer la dia active dans LibreOffice Impress?. Évalué à 6.

    Tu devrais regarder dans les paramètres du diaporama si la diapo de départ n'est pas fixée.
    Menu Diaporama > Paramètres du diaporama -> Plage
    Normalement c'est « Toutes les diapos » qui devrait être activé.

  • [^] # Re: Dans ton cloud

    Posté par  . En réponse au journal LibreOffice boude le cloud ?. Évalué à 5.

    Pas besoin d'une version cloud quand on a seulement une tablette ou un téléphone Android, il suffit d'installer Collabora Office pour Android qui fonctionne très bien.

    Pour ma part, même si nous avons Collabora Office Online avec notre nuage Nextcloud, par souci de sobriété, je recommande de ne l'utiliser qu'en cas de réelle nécessité : inutile d'utiliser plusieurs ordinateurs pour faire quelque chose qu'on peut faire aussi bien, voire mieux, avec un seul.

  • [^] # Re: manque de moyens ?

    Posté par  . En réponse au journal LibreOffice boude le cloud ?. Évalué à 3.

    Oui, bien sûr. C'est ce qui est indiqué dans le communiqué de TDF (*), c'est même ce qui est recommandé par TDF (avant dernier paragraphe du communiqué) : « The Document Foundation will continue to provide LibreOffice for macOS for free from the LibreOffice website, which is the recommended source for all users. »

    (*) https://blog.documentfoundation.org/blog/2022/09/19/the-document-foundation-releases-libreoffice-on-apples-mac-app-store

  • [^] # Re: manque de moyens ?

    Posté par  . En réponse au journal LibreOffice boude le cloud ?. Évalué à 8.

    Ah c'est intéressant ça. Quelles ont été les objections ?

    Pas d'objections précises sinon qu'il apparaît très vite en discutant avec les gens qu'un outil comme Tracim est hors de l'univers mental de la plupart de nos bénévoles. En fait la notion même de travail collaboratif avec un référentiel numérique partagé leur est totalement étrangère. Et ce n'est pas une question d'âge. Simplement partager l'information sur un dépôt commun, utiliser des outils numériques communs pour que tout le monde dispose de l'information, y compris en différé et pour disposer d'un historique, c'est quelque chose qu'ils n'intègrent pas. On approuve quand tu en parles, mais on ne fait.

    Après, il faut aussi composer avec ceux qui ne comprennent rien à la gestion de l'information (des trucs aussi basiques que créer des dossiers clairement nommés, mettre des dates, etc.) et qui ne savent pas lire un écran (repérer les boutons, passer la souris dessus pour voir ce qu'ils font, lire avant de cliquer, etc.). Pour la communication, il faut composer avec les habitudes bien ancrées de chacun, en particulier ceux qui ne communiquent que par sms.

    Avec Nextcloud la plupart se contentent d'accéder au partage de fichier et en mode web. J'ai beaucoup de mal à obtenir qu'ils consultent et mettent à jour les agendas, ce qui serait bien pratique pourtant pour éviter de programmer 2 réunions au même moment et au même endroit. Alors le gestionnaire de tâches…

    Mais on avance quand même : plus de google drive, j'ai pu faire accepter de payer pour un service cloud géré par des humains et peu à peu les données importantes sont rapatriées sur un nuage avec sauvegarde. :-) Peut-être qu'un jour nous arriverons à vraiment faire du travail collaboratif.

  • [^] # Re: manque de moyens ?

    Posté par  . En réponse au journal LibreOffice boude le cloud ?. Évalué à 3.

    Ok, merci pour l'info. En recherchant dans mes listes de discusion LO, j'ai trouvé que le prix demandé a été choisi identique à celui demandé précédemment par Collabora. Ce sera pareil pour la version MS-Windows qui doit arriver bientôt dans le magasin d'applications de Microsoft.

  • [^] # Re: manque de moyens ?

    Posté par  . En réponse au journal LibreOffice boude le cloud ?. Évalué à 1.

    J'avais cru comprendre qu'il n'est pas possible de proposer des applications gratuites sur le magasin d'applications d'Apple. Je me trompe ?

  • [^] # Re: manque de moyens ?

    Posté par  . En réponse au journal LibreOffice boude le cloud ?. Évalué à 10.

    Ça dépend de ce que tu entends par moyens. En tous les cas ce n'est pas un manque d'argent, mais fournir une infrastructure cloud publique est un gros boulot qui n'est pas forcément compatible avec la mission que s'est donnée TDF.
    Un des objectifs primordiaux de TDF est de favoriser l'émergence d'un écosystème d'entreprises autour de LibreOffice. Ce n'est pas de faire les choses en direct. Cela pourrait changer, il y a actuellement des débats intenses à ce sujet.

    Concernant la version en ligne LibreOffice Online (LOOL), elle a été développée quasiment entièrement par Collabora, par ailleurs principal contributeur à LibreOffice. Face au peu de soutien de la communauté et pour faciliter le retour sur investissement, Collabora a décidé de forker LOOL. Cela a donné Collabora Office Online (et Collabora Office pour Android si j'ai bien compris). Certains y ont vu une trahison de la communauté. Pour ma part je pense que c'est très bien et dans la lignée des objectifs de TDF, à savoir que des entreprises fassent des affaires rentables avec LibreOffice.

    Sur le plan pratique, j'ai souscrit pour notre Librairie coopérative une offre cloud basée sur Nextcloud (*) fournie par une SCOP locale et je n'ai eu aucun problème pour faire remplacer OnlyOffice par Collabora Office Online. Je trouve que ça marche bien mieux, tant en termes de fluidité qu'en termes de fonctionnalités.

    (*) j'aurais préféré Tracim, mais je n'ai pas réussi à convaincre :-(

  • [^] # Re: Concours annuel pour les qualifications

    Posté par  . En réponse au lien Challenge européen de la cybersécurité : France 3e. Évalué à 6.

    Peut-être pourrais-tu faire un journal de ton retour d'expérience.

  • [^] # Re: signer ou encrypter ?

    Posté par  . En réponse au message Libreoffice 7.4 et signature numérique via gnupg. Évalué à 4.

    J'ai trouvé ces rapports de bug :
    https://bugs.documentfoundation.org/show_bug.cgi?id=142621 qui dit que ça marche avec la version appimage
    https://bugs.documentfoundation.org/show_bug.cgi?id=142279

  • # Résultats complets 2022 et 2021

    Posté par  . En réponse au lien Challenge européen de la cybersécurité : France 3e. Évalué à 2.

  • # Première mise à jour corrective

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice 7.4, un maître numéro de version. Évalué à 5.

    LibreOffice 7.4.1 vient d'être publié : https://blog.documentfoundation.org/blog/2022/09/15/libreoffice-741-community/

    Comme déjà dit, normalement l'interface utilisateur de cette version est complètement traduite/adaptée en français.

  • # numéro de sécurité sociale

    Posté par  . En réponse au message web service check nom/prenom. Évalué à 7. Dernière modification le 15 septembre 2022 à 13:16.

    Heu, ce que tu voudrais, c'est donc pouvoir consulter un fichier de l'ensemble de la population susceptible d'obtenir un emploi en France ? Ça me parait un tantinet problématique.

    Qu'est-ce que tu veux dire par « les coordonnées nom/prénom/date de naissance/dép de naissance sont justes » ? Que cela correspond bien à quelqu'un ? Mais ça peut correspondre à plusieurs personnes et ça ne garantit pas que ça correspond à la personne concernée par le formulaire.

    Cela dit, si le numéro de sécurité sociale est bon, ça devrait suffire, non ? Les pataquès faits par les employeurs, administrations, caisses de retraites, banques, etc. avec les noms des femmes mariées / divorcées / veuves / remariées et avec tous ceux qui ont des prénoms composés, ne posent pas tant de problèmes que ça pour toucher sa retraite. Ce n'est pas normal de ne pas être appelé par son vrai nom, mais ton numéro de sécurité sociale te permet d'être tracé tout le long de ta vie active sans pâtir des aléas de fautes de frappe et autres champs de saisie trop courts pour cause de paresse d'informaticien.

  • [^] # Re: commande explicite et rollback

    Posté par  . En réponse au journal Comment j'ai installé Fedora 37. Évalué à 2.

    Pour moi, linuxien de base et unique utilisateur de mon ordinateur, l'avantage de sudo est qu'il évite d'avoir à passer en root puis, après un certain temps, d'oublier que je suis dans une session root avant de lancer une commande dangereuse. Avec sudo, même s'il garde mon mot de passe en mémoire pendant 5 minutes, je dois chaque fois taper sudo pour lancer une commande root. Le préfixe sudo suffit à me rappeler de réfléchir à 2 fois avant d'appuyer sur Entrée.

  • [^] # Re: Rédaction de document sur plusieurs page et style

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice 7.4, un maître numéro de version. Évalué à 2.

    Tu peux me l'envoyer à mon adresse LibreOffice qui est publique : jbfaure chez libreoffice.org

  • [^] # Re: Rédaction de document sur plusieurs page et style

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice 7.4, un maître numéro de version. Évalué à 2.

    Oui, c'est pareil. La différence est sans doute au niveau de la numérotation des chapitres, mais pour s'en assurer il faudrait voir le document.

  • [^] # Re: Rédaction de document sur plusieurs page et style

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice 7.4, un maître numéro de version. Évalué à 2.

    Je ne reproduis pas avec LibreOffice 7.4. En suivant la méthode décrite dans mon commentaire de 17h52, j'obtiens ceci :
    I. Niveau 1
    A. Niveau 2
    texte
    B. niveau 2
    texte
    II. Niveau 1
    A. Niveau 2
    texte
    B. niveau 2
    texte
    C. niveau 2
    texte
    III. Niveau 1
    A. Niveau 2
    texte
    B. niveau 2
    texte

  • [^] # Re: Rédaction de document sur plusieurs page et style

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice 7.4, un maître numéro de version. Évalué à 10.

    Pour numéroter des chapitres sans se prendre la tête, il faut utiliser les styles de chapitres (Titre 1, Titre 2, etc.) prédéfinis, éventuellement modifiés. Ensuite utiliser Outils > Numérotation des chapitres. C'est la bonne vieille méthode qui fonctionne très bien depuis StarOffice 5. À partir de là on peut aisément créer toutes les tables des matières qu'on veut.

    Ensuite la confusion est venue quand des utilisateurs ont fait pression pour singer MS-Word, c'est-à-dire appliquer des niveaux de plan à des styles quelconques. Si on a besoin d'un chapitre de niveau 1 dont le titre serait mis en forme différemment de Titre 1, il faut créer un style dérivé de Titre 1 avec la mise en forme souhaitée. Un cas d'utilisation est, par exemple, l'ajout d'annexes, avec le mot « Annexe » suivi de son numéro inséré automatiquement au début du titre du chapitre.

    Comme je dis toujours, utiliser LibreOffice en suivant le mode d'emploi de MS-Office, c'est une mauvaise idée.

  • # Entente illicite

    Posté par  . En réponse au lien Passkeys : Venez centraliser vos mots de passe !. Évalué à 9.

    Ce que je comprends, c'est que Google, Apple et Microsoft se sont entendus pour s'approprier nos clés d'accès aux services en ligne.

    Moi ce que je voudrais, c'est une solution qui me protège de tous les acteurs à qui je n'ai aucune raison de faire confiance, y compris les pirates entreprises ayant pignon sur rue.

  • [^] # Re: Et OnlyOffice, on en parle ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche LibreOffice 7.4, un maître numéro de version. Évalué à 4.

    Personne ne t'empêche de rédiger un journal pour dire tout le bien que tu penses d'OnlyOffice, voire tout le mal que tu penses de LibreOffice.