Placer sa confiance dans des outils (linux inclu) aussi bon soient-ils est une connerie.
Comment doit-on comprendre ca ? Qu'il faut placer sa confiance dans des outils mauvais ? C'est n'importe quoi. Ou qu'il ne faut jamais placer sa confiance dans un outil, qu'il soit bon ou non ? C'est quoi cette utopie a 2 balles ?
Dans le fond je dis préfèrer faire appel à un bon menuisier, qu'à un menuisier qui se vante d'avoir les meilleurs outils et les derniers gadgets à la mode.
C'est le sens de mon intervention. La fonction des informaticiens reste de bâtir des abstractions logiques et à les porter sur des automates, leur outil premier est la créativité et la rigueur. Les innovations dans les langages n'y changent rien. Ce n'est pas de l'utopie, c'est un thême récurrent dans les études portant sur l'ingénierie logicielle.
Ref: le Mythe du mois homme (F Brooks)
Rapid development (Steve Cownel)
Le principe d'internet est :
1) on essaie de dialoguer posément avec l'acteur en cause (verisign);
2) seulement après on esaclade auprès du niveau hiérarchique supérieur (IANA)
3) puis après si pas de réponse on passe au niveau ICANN.
Rappelons que le comportement attendu de Verisign est décrit dans la RFC 1591 http://www.isi.edu/in-notes/rfc1591.txt(...)
En ne respectant pas ses principes on remet en cause le mode de fonctionnement d'internet plus sûrement que Verisign qui serait heureux de montrer que les internautes sont des terroristes et que le système ne marche pas...
Déjà que SCO microsoft passent leur temps à faire croire qu'ils se font attquer par DOS pour nous montrer du doigt en perséverer dans le discours hacker = pirates, il faudrait peut être pas tomber dans le panneau non plus ?
mysql continue à accepter les requêtes SQL, les tables supportent toujours les types classiques d'objet, la syntaxe n'a pas été bouleversée pour intégrer les sous requêtes.
Les IDE ne sont pas des outils pour coder, ce sont des aides au développement, rien n'oblige à les utiliser.
Les pages en c# et autres bidouilleries : pourquoi utiliser de nouveaux langages quand les anciens marchent bien ? Je ne comprend pas.
Les webservices qui sont sensés avoir révolutionnés le monde se basent sur trois choses :
xml (dérivé de ce bon vieux sgml 20 ans d'age au moins)
rpc (vieux comme unix quasiment)
le protocole http (ça aussi c'est vieux)
Franchement, les révolutions me paraissent pas si flagrantes. Je vois plus dans les améliorations un pot pourri de bonnes idées qui existent depuis longtemps qu'autre chose. Le PHP passe en objet : ouaahhh ! L'objet n'est qu'un paradigme des années 70. C'est sûr j'ai vu des responsables informatiques qui découvrent à peine FTP ou unix et s'emmerveillent. Pour ceux là effectivement le monde doit être plein de surprises.
Je suis prêt à parier qu'une bonne conception ne pourra jamais être remise en cause par un outil quelquonque. Je suis prêt à parier que ce ne sont pas les outils informatique qui font le bon informaticien mais les méthodes. Avec ou sans gdb, le déboguage est toujours faisable (en utilisant des fichiers de log par exemple), et je ne trouve pas que les fichiers de conf illisibles en xml soient une révolution, peut être même plutôt une régression quand on voie des adresses IPs de serveur mails en dur dans le code associés.
Faut arrêter le discours sur le renouvellement des technos. L'essence de ce que j'ai appris sous bash, en C, en perl n'a pas changé. L'utilisation de modules (CPAN par exemple) ont enrichi ma pratique, mais pas mes connaissances.
Faire de l'informatique est accidentellement de pondre du code, ou des confs, et majoritairement un travail de conception et de modélisation. Enfin, si l'on veut que ça marche.
Placer sa confiance dans des outils (linux inclu) aussi bon soient-ils est une connerie. Et c'est typiquement le discours des 01 micros et autres magazines des mythos de l'informatique. Derrière de bons outils se trouvent de bons artisans.
Se faire justice soit même, ou des pétitions alors que verisign tient son autorité de l'ICANN. tsssssss
Cela à déjà été rappelé plus haut :
La procédure à l'ICANN quand on est pas d'accord avec un registrar est on contacte d'abord verisign pour se mettre d'accord et qu'ensuite on escalade chez eux. Problème : c'est pas drôle.
On peut utiliser la procédure contre le cybersquattage :
après tout on peut contester le fait que verisign squatte par son joker des noms de domaines qui ne lui appartiennent pas (c'est sur ils n'appartiennent à personne). Mais quand vous tapez «indymedia-press.com» est que vous tombez sur verisign il y a pour indymedia un préjudice ; la société verisign utilise un nom qui ne lui appartient pas et pour laquelle elle n'a pas obtenu les droits d'exploitation (niark, niark niark). C'est surtout vrai je suppose pour les noms en (TM).
On peut même gagner de l'argent :)
Malheureusement les frais de dossier sont à 2000$.
En tout cas on peut titrer dès aujourd'hui
Verisign plus gros cybersquatteur de la planète
Le discours pour utiliser des distros linux est biaisé : par exemple soit disant la main d'oeuvre qui fait du logiciel libre est pas chère. Mais entre le maniaque de l'installation de distribution, le bidouilleur iptables/perl/C/PHP, et le celui qui est à même d'animer un projet logiciel libre ou d'écrire un tutoriel, il y a un fossé.
Pour avoir du logiciel libre qui fonctionnent correctement, il vaut mieux le confier à des équipes qualifiées (je n'ai pas dit diplômées).
La qualification des personnes c'est ce qui fait la différence entre «j'ai un serveur de page web pas cher sous RH5.1 non mis à jour et bientôt compromis, et j'ai un serveur de page web sécurisé sous windows 2000».
Sous linux comme sous windows un bon développeur reste rare. Un informaticien de bon niveau préférera peut être linux, mais linux n'est pas la balle en argent qui va réduire leur coût ; le coût des infras (licences + machines) est négligeable devant le coût humain. Garder un personnel formé est la base de la maîtrise des coûts informatiques.
C'est l'ICANN qui leur a déléguer leur patente. Ils ont failli la retirer, mais le gouvernement des US à fait pression sur l'ICANN (dont le statut est une association à but non lucratif de droit californien) pour qu'ils ne déshéritent pas un fleuron de l'industrie US. Il s'agissait d'un classique chantage à l'emploi. Je suis assez pessimiste quand aux réactions de l'ICANN. Je crois qu'ils vont laisser pisser une fois de plus.
Il faut aussi se reposer une fois de plus la question de l'impartialité des institutions qui gouvernent internet, et de leur indépendance vis à vis des gouvernements.
Pour moi le cout lié à la gestion des connaissances associé à des outils propriétaires est sous-évalué.
Le logiciel libre, n'est pas le monde du chapelier fou. Les connaissances apprisent sur un Unix (libre) bougent très peu, et cela me semble un des grands arguments en faveur du logiciel libre.
Le mythe de l'informatique où l'ingénieur devient obsolète au bout de 6 mois est un peu lié au logiciels commerciaux.
Si vous utilisez cvs, perl, gcc, gdb, sgml, apache, postfix, qmail, pgsql, mysql.... alors vous avez du vous rendre compte que votre pratique avec ces outils n'a pratiquement pas changé ces dernières années et qu'en plus ils sont pérennes (à défaut d'être top).
Ça change rien, et c'est ce qui change tout. Je me serais attendu à ce que cela frappe les entreprises, car les coûts humains sont importants en informatique
Ben, ce serait cool de le préciser dans le linux Linmodem-HOWTO :
Connexant hardware is well supported but fullfeatured drivers are currently being sold by linuxant who profited of the expertise and the bug report of the community. Please Boycott.
En tout cas j'ai envoyé un mail au mainteneur de la doc dans ce sens.
A system for dynamic publishing was installed by using the XML files. It is worthwhile to mention that this is one of the first initiatives to use open source software in WIPO IT projects; the publishing framework called Cocoon comes from the Apache Foundation, and it is available free of charge. The system runs on LINUX.
Alain Benssoussan est :
- conseiller aux comités AFNOR/ISO (il est dans les références de normes comme ISO 9001) ;
- invités récurents de politiques comme Santini pour des forums tels que e-demoncraties ;
- avocat du barreau à la cour de Paris spécialisé en droit de la Propriété Inetellectuelle ;
- considérés comme : «représentant des llicences libre»
Ses intérêts économiques et professionnelles sont un peu en contradiction. Je pense pour ma part que dans le logiciel libre on devrait juste éviter de se prononcer sur la représentatitivté des individus qui :
- vivent d'une logique de statut et de représentativité, et qui n'ont pas de légitimité dans la communauté (i.e. qui ne contribuent pas au LL, ne serait-ce qu'en tant que traducteur, webmestre) ;
- ont de trop fortes dépendances financières. Cette personne fait son argent des différends sur la PI ;
- ont de trop fortes dépendances politiques.
Vous allez pas lui reprocher de défendre sa vache à lait ? Moi je le trouve plutôt cohérent. Le libre ne lui rapporte rien, des relations lui rapporte du statut, et ses clients de la maille.
On peut servir de gateway sur un réseau privé vers un squid précédemment installé en tapant :
ssh -g -L 3128:squid.mydomain:3128 user@host
le -g fait la différence : tout les ports exportés sur votre machine locale sont dispos sur le réseau ou vous êtes.
Pratique dans les boites ou les firewalls "applicatifs" font régulièrement tomber les connections internet.
On peut aussi forwarder du VNC :)
Après l'intro où il dit que finalement seul linux (tout seul?) et apache ont percé, il parle de la nécessité de s'intéresser aux DB ;) et la conclusion est forte :
Considérés hier encore comme un phénomène de mode, ces produits, dont le code source est librement accessible et modifiable, possèdent des qualités techniques qui ont de quoi faire trembler leurs homologues commercialisés. D'autant que depuis peu, les communautés des développeurs et des sociétés de services spécialisées comme Digitalis Consulting, s organisent de façon à offrir un accompagnement équivalent à celui des grands éditeurs.
Le clou est quand même que les mysql installés depuis des années par les hébergeurs sont considérés comme des phénomènes de mode. (ouarf) C'est sûr free.fr avec tout ses hébergements c'est pas une référence. (lol). A croire que linux/apache/mysql/php|perl|python (aka LAMP) n'est pas répandu.
Je suis sceptique sur l'intro et la conclusion.
Dans l'ensemble (hors intro et conclusion), cela reprend quand même d'une manière compréhensible les différents points forts des bases en présence. Cette documentation est donc à mon goût appréciable.
Vu le mécanisme utilisé et son coût, les brevets tels que conçus aujourd'hui favorisent les éditeurs, je ne sais pas si cela va stimuler l'inventivité et la rémunération des véritables inventeurs. Pourtant dans l'idée le brevet est une idée sensée.
Je suis pour les brevets, mais pas sous leur forme actuelle.
Quand un spammeur ou un script kiddies t'envoie des mails répétés, tu utilises normalement dans ta pratique quotidienne le remontage d'IP jusqu'au plus loin que tu peux vers la personne, en demandant aux autres sysadmins de t'aider dans ta tache.
Le truc c'est que les premiers sysadmins étaient habitués à communiquer entre eux (d'où l'utilité des bases whois bien remplies). Or les nouveaux venus depuis la nouvelle économie ne sont pas habitués aux mécanismes de régulation social par internet ; ils aimeraient pouvoir pourchasser ceux qui "abusent" techniquement et légalement sans eux même se soumettre à des contraintes :
- respecter les règles (comme ne pas spammer) ;
- protéger ses machines (blinder ses DMZ);
- prendre en charge l'activité qui bouffe du temps et de l'argent qui consiste à lire et envoyer des mails à d'autre sysadmins ;
- vérifier ses informations et ses interlocuteurs ;
- lire ses logs ;
- et participer à l'amélioration de l'internet dans sa globalité.
Internet n'est probablement pas une matière première que l'on peut exploiter, mais peut être plus un écosystème
La loi ne fait que reflêter la panique de certains acteurs qui réagissent par la voie de la réglementation face à Internet. Je ne suis pas convaincu que le débat technique ou juridique soit le bon. Je pense que nous subissons surtout le contre coup de la très forte croissance des années 1996->2000, et le manque d'intégration de ces nouveaux acteurs à l'existant.
Il suffirait peut être qu'ils acceptent d'appliquer les bonnes pratiques sur internet
- certaines sont sous forme de RFCs informationnelles (ex RFC 1591) ;
- la nétiquette ;
- identifier et participer aux groupes informelles qui les concernent (IASO, IETF, CERT, RBL ...)
Enfin, je rêve sûrment, pas vrai : vous imaginez une entreprise s'imaginer qu'elle est moins compétente que des huluberlus comme nous pour ce qui concerne la vie d'internet et les consulter (voir les payer) pour savoir comment elle pourrait faire ?
Honnêtement, j'aime bien la diversité, et je pense juste que templeet est un outil adapté a une certaine façon de concevoir la gestion du contenu, SPIP à une autre.
Je suis aussi content de constater que pour des besoins représentant 80% des cas de figures *toutes* les solutions libres testées sont acceptables. Ce qui veut dire que l'on peut se concentrer sur la façon de gérer le contenu plus que sur l'outil.
Fabien, ne penses tu pas que la chose la plus chouette qu'offre le libre aux personnes voulant d'exprimer sur internet, c'est le choix des outils sans se prendre la tête ?
PS entre nous j'aime bien templeet.
PPS chouette publicité pour openBrick. Ils ont testé des logiciels de spam avec ? ça pourrait être sympa comme ça pour leur prochaine campagne ils auront déjà le matos pour la faire eux même.
ouaip, même si je savais que spip était plus lent, je l'utiliserais toujours : ce qui est important pour un outil c'est l'utilisation que l'on en fait, et l'utilisation raisonnable de ressource par l'outil.
Par exemple sur libroscope nous utilisons SPIP, hors effet linuxfr nous tournons à 30 visteurs différents par jour nous sommes donc dans un cas ou le choix d'un serveur plus rapide est pertinent.
Et perso, je suis peu intéressé par le nombre de lecteur que nous pouvons avoir mais plus par ce que nous essayons de construire. Honnêtement avoir à générer plus de 10 connections secondes c'est bon pour un slashdot ou un linuxfr, mais pour 80% des cas c'est un peu inutile. Et les facilité d'édition offertes par SPIP sont plus cruciales pour moi que la vitesse de réponse à charge "élevée".
L'important pour moi c'est peut être ridicule mais dans beaucoup cas pour un site web c'est de générer et gérer le contenu.
C'est un bench intéressant malgre tout : on y apprend que pour 99% des utilisateurs de systèmes de publications la technologie n'est pas un frein. Moi ça me convient.
Qui sont les personnes sur une îles désertes, les juristes qui donnent le la sur les problématiques de la propriété intellectuelle (PI) ou les défenseurs des logiciels libres qui développent leur propre jargon et leur propre référentiel ?
Je ne pense pas que sur le fond la communuté a tort, je pense que pour être compris et avoir des discussions fructueuses, même si nous ne pouvons prétendre à être des juristes, nous pouvons nous essayer à comprendre leur façon de penser et de parler.
Par exemple, si tu ne faisais pas l'effort d'écrire en français, je ne pourrais discuter avec toi.
J'aimerais que tout soit aussi effectivement simple, le bien d'un coté, le mal de l'autre. Le terme propriété intellectuelle et déjà une opinion issue de la volonté de reconnaître le travail créatif.
Le droit d'auteur est une invention liée à la révolution française. Il faut voir à ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain non plus ; le copyleft est une protection par droit d'auteur, et non par copyright. Ce même débat que nous avons aujourd'hui nous pouvons le retrouver avec Beaumarchais et les auteurs tragique qui en avaient assez de se faire nier leurs droits (patrimoniaux notamment) par les éditeurs : c'est amusant comme l'histoire recommence, non ?
En fait, je n'avais pas saisi ce point. Je te remercie de l'avoir préciser.
Le truc avec cet article est qu'il faut lire entre les lignes : à l'OMPI ils sont comme à l'armée tenu à un droit de réserve. Quand j'étais à Genève, il semble qu'un membre de l'institution ait accordé une interview à un journal de Genève qui n'est jamais paru pour cause d'auto-censure journalistique où la personne s'exprimait de manière plus affirmée. Et, il a eu des problèmes par la suite.
Pourquoi ? L'OMPI est un organisme de normage : ils prennent en entrée le résultat des délibérations des nations au sein de l'OMC et proposent en sortie des normes juridique. Les négociations sont le lieu où les grosses nations roulent les petites dans la farine en leur faisant signer des accords que je nommerais propriété intellectuelle contre nourriture.
Les juristes de l'OMPI ont leur opinion, mais ils n'ont pas le droit de la rendre publique. Le lieu de l'injustice si injustice il y a, ce sont les salles de l'OMC où les nations se réunissent pour négocier sur divers sujets dont la propriété intellectuelle.
Quand les officiels de notre pays nous disent qu'ils ne peuvent rien faire, c'est un peu du pipeau. La mondialisation a vraiment bon dos là dessus. Il semble néanmoins que la position de la France n'est pas un position hyper calamiteuse à ce que j'ai compris, malheureusement, je n'ai pu avoir accès au minutes qui ne seront jamais publiées.
Il n'y a pas de libertés sans choix, il n'y a pas de choix possibles sans informations. L'OMPI me semble plus légitime que toi ou moi pour exposer les principes de la PI, c'est pour ça que je les ai interviewé.
J'aurais adorer faire la meme chose avec Lawrence Lessig mais je n'en ai pas eu l'opportunité : l'occasion fait le larron.
Un débat sans informations, ça se termine en prêche et les seuls arguments dont on fini par débatre c'est le bien (TM) et le mal (c). C'est pas ma tasse de thé quand j'écris un article. Si tu veux en débattre tu peux aller sur le NG fr.comp.os.linux.debat haut lieu du troll de qualité en langue française.
L'OMPI n'est pas une église, ils n'ont pas vocation à dire ce qui est bien ou mal. Ce sont des juristes. Chaque mot à son importance, et c'est pas fun.
A coté de ça, ils ne sont pas décisionnaires dans ce domaine; les normes qu'ils proposent sont issus des consensus obtenus à partir des discussions entre état membre de l'OMC dans des salles closes.
Ainsi, la France là dessus a plus de pouvoir que l'OMPI sur les décisions à prendre en matière de propriété intellectuelle.
[^] # Re: Linux fait-il peur ?
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cynisme et logiciel libre. Évalué à 2.
Placer sa confiance dans des outils (linux inclu) aussi bon soient-ils est une connerie.
Comment doit-on comprendre ca ? Qu'il faut placer sa confiance dans des outils mauvais ? C'est n'importe quoi. Ou qu'il ne faut jamais placer sa confiance dans un outil, qu'il soit bon ou non ? C'est quoi cette utopie a 2 balles ?
Dans le fond je dis préfèrer faire appel à un bon menuisier, qu'à un menuisier qui se vante d'avoir les meilleurs outils et les derniers gadgets à la mode.
C'est le sens de mon intervention. La fonction des informaticiens reste de bâtir des abstractions logiques et à les porter sur des automates, leur outil premier est la créativité et la rigueur. Les innovations dans les langages n'y changent rien. Ce n'est pas de l'utopie, c'est un thême récurrent dans les études portant sur l'ingénierie logicielle.
Ref: le Mythe du mois homme (F Brooks)
Rapid development (Steve Cownel)
[^] # Re: "No Problemo"
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cynisme et logiciel libre. Évalué à 3.
je sais mes deux cents et ->[]
[^] # Re: VeriSign détruit l'un des fondements d'Internet
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche VeriSign détruit l'un des fondements d'Internet. Évalué à 2.
Le principe d'internet est :
1) on essaie de dialoguer posément avec l'acteur en cause (verisign);
2) seulement après on esaclade auprès du niveau hiérarchique supérieur (IANA)
3) puis après si pas de réponse on passe au niveau ICANN.
Rappelons que le comportement attendu de Verisign est décrit dans la RFC 1591 http://www.isi.edu/in-notes/rfc1591.txt(...)
En ne respectant pas ses principes on remet en cause le mode de fonctionnement d'internet plus sûrement que Verisign qui serait heureux de montrer que les internautes sont des terroristes et que le système ne marche pas...
Déjà que SCO microsoft passent leur temps à faire croire qu'ils se font attquer par DOS pour nous montrer du doigt en perséverer dans le discours hacker = pirates, il faudrait peut être pas tomber dans le panneau non plus ?
[^] # Re: Linux fait-il peur ?
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cynisme et logiciel libre. Évalué à 8.
Les IDE ne sont pas des outils pour coder, ce sont des aides au développement, rien n'oblige à les utiliser.
Les pages en c# et autres bidouilleries : pourquoi utiliser de nouveaux langages quand les anciens marchent bien ? Je ne comprend pas.
Les webservices qui sont sensés avoir révolutionnés le monde se basent sur trois choses :
xml (dérivé de ce bon vieux sgml 20 ans d'age au moins)
rpc (vieux comme unix quasiment)
le protocole http (ça aussi c'est vieux)
Franchement, les révolutions me paraissent pas si flagrantes. Je vois plus dans les améliorations un pot pourri de bonnes idées qui existent depuis longtemps qu'autre chose. Le PHP passe en objet : ouaahhh ! L'objet n'est qu'un paradigme des années 70. C'est sûr j'ai vu des responsables informatiques qui découvrent à peine FTP ou unix et s'emmerveillent. Pour ceux là effectivement le monde doit être plein de surprises.
Je suis prêt à parier qu'une bonne conception ne pourra jamais être remise en cause par un outil quelquonque. Je suis prêt à parier que ce ne sont pas les outils informatique qui font le bon informaticien mais les méthodes. Avec ou sans gdb, le déboguage est toujours faisable (en utilisant des fichiers de log par exemple), et je ne trouve pas que les fichiers de conf illisibles en xml soient une révolution, peut être même plutôt une régression quand on voie des adresses IPs de serveur mails en dur dans le code associés.
Faut arrêter le discours sur le renouvellement des technos. L'essence de ce que j'ai appris sous bash, en C, en perl n'a pas changé. L'utilisation de modules (CPAN par exemple) ont enrichi ma pratique, mais pas mes connaissances.
Faire de l'informatique est accidentellement de pondre du code, ou des confs, et majoritairement un travail de conception et de modélisation. Enfin, si l'on veut que ça marche.
Placer sa confiance dans des outils (linux inclu) aussi bon soient-ils est une connerie. Et c'est typiquement le discours des 01 micros et autres magazines des mythos de l'informatique. Derrière de bons outils se trouvent de bons artisans.
[^] # Re: VeriSign détruit l'un des fondements d'Internet
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche VeriSign détruit l'un des fondements d'Internet. Évalué à 4.
Cela à déjà été rappelé plus haut :
La procédure à l'ICANN quand on est pas d'accord avec un registrar est on contacte d'abord verisign pour se mettre d'accord et qu'ensuite on escalade chez eux. Problème : c'est pas drôle.
On peut utiliser la procédure contre le cybersquattage :
InterNIC FAQs on the Uniform Domain Name Dispute Resolution Policy (UDRP)
http://www.internic.net/faqs/udrp.html(...)
après tout on peut contester le fait que verisign squatte par son joker des noms de domaines qui ne lui appartiennent pas (c'est sur ils n'appartiennent à personne). Mais quand vous tapez «indymedia-press.com» est que vous tombez sur verisign il y a pour indymedia un préjudice ; la société verisign utilise un nom qui ne lui appartient pas et pour laquelle elle n'a pas obtenu les droits d'exploitation (niark, niark niark). C'est surtout vrai je suppose pour les noms en (TM).
On peut même gagner de l'argent :)
Malheureusement les frais de dossier sont à 2000$.
En tout cas on peut titrer dès aujourd'hui
Verisign plus gros cybersquatteur de la planète
[^] # Re: Il ne faut pas confondre
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cynisme et logiciel libre. Évalué à 3.
Pour avoir du logiciel libre qui fonctionnent correctement, il vaut mieux le confier à des équipes qualifiées (je n'ai pas dit diplômées).
La qualification des personnes c'est ce qui fait la différence entre «j'ai un serveur de page web pas cher sous RH5.1 non mis à jour et bientôt compromis, et j'ai un serveur de page web sécurisé sous windows 2000».
Sous linux comme sous windows un bon développeur reste rare. Un informaticien de bon niveau préférera peut être linux, mais linux n'est pas la balle en argent qui va réduire leur coût ; le coût des infras (licences + machines) est négligeable devant le coût humain. Garder un personnel formé est la base de la maîtrise des coûts informatiques.
[^] # Re: ça va saturer non ??
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche VeriSign détruit l'un des fondements d'Internet. Évalué à 9.
Verisign spammeur et arracheur de dent : http://libroscope.org/article.php3?id_article=6(...)
Verisign infoutu de remplir une base whois : http://libroscope.org/article.php3?id_article=24(...)
Il faut aussi se reposer une fois de plus la question de l'impartialité des institutions qui gouvernent internet, et de leur indépendance vis à vis des gouvernements.
[^] # Re: Linux fait-il peur ?
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cynisme et logiciel libre. Évalué à 7.
Le logiciel libre, n'est pas le monde du chapelier fou. Les connaissances apprisent sur un Unix (libre) bougent très peu, et cela me semble un des grands arguments en faveur du logiciel libre.
Le mythe de l'informatique où l'ingénieur devient obsolète au bout de 6 mois est un peu lié au logiciels commerciaux.
Si vous utilisez cvs, perl, gcc, gdb, sgml, apache, postfix, qmail, pgsql, mysql.... alors vous avez du vous rendre compte que votre pratique avec ces outils n'a pratiquement pas changé ces dernières années et qu'en plus ils sont pérennes (à défaut d'être top).
Ça change rien, et c'est ce qui change tout. Je me serais attendu à ce que cela frappe les entreprises, car les coûts humains sont importants en informatique
# Re: Pilotes modem Conexant HCF and HSF désormais payant.
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pilotes modem Conexant HCF and HSF désormais payant.. Évalué à 5.
Connexant hardware is well supported but fullfeatured drivers are currently being sold by linuxant who profited of the expertise and the bug report of the community. Please Boycott.
En tout cas j'ai envoyé un mail au mainteneur de la doc dans ce sens.
[^] # Re: La phrase qui tue.
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche La réunion de l'OMPI capote sous la pression des lobbies des logiciels propriétaires. Évalué à 1.
top Exclusif :
http://www.google.fr/search?q=cache:6eQHWthN23AJ:www.wipo.org/scit/(...)
A system for dynamic publishing was installed by using the XML files. It is worthwhile to mention that this is one of the first initiatives to use open source software in WIPO IT projects; the publishing framework called Cocoon comes from the Apache Foundation, and it is available free of charge. The system runs on LINUX.
[^] # Re: Bernard Lang commente le débat avec Alain Benssoussan sur le chat du Monde
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Bernard Lang commente le débat avec Alain Benssoussan sur le chat du Monde. Évalué à -1.
# Re: Bernard Lang commente le débat avec Alain Benssoussan sur le chat du Monde
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Bernard Lang commente le débat avec Alain Benssoussan sur le chat du Monde. Évalué à 1.
- conseiller aux comités AFNOR/ISO (il est dans les références de normes comme ISO 9001) ;
- invités récurents de politiques comme Santini pour des forums tels que e-demoncraties ;
- avocat du barreau à la cour de Paris spécialisé en droit de la Propriété Inetellectuelle ;
- considérés comme : «représentant des llicences libre»
Ses intérêts économiques et professionnelles sont un peu en contradiction. Je pense pour ma part que dans le logiciel libre on devrait juste éviter de se prononcer sur la représentatitivté des individus qui :
- vivent d'une logique de statut et de représentativité, et qui n'ont pas de légitimité dans la communauté (i.e. qui ne contribuent pas au LL, ne serait-ce qu'en tant que traducteur, webmestre) ;
- ont de trop fortes dépendances financières. Cette personne fait son argent des différends sur la PI ;
- ont de trop fortes dépendances politiques.
Vous allez pas lui reprocher de défendre sa vache à lait ? Moi je le trouve plutôt cohérent. Le libre ne lui rapporte rien, des relations lui rapporte du statut, et ses clients de la maille.
Sa prise de position est logique.
# Re: Utiliser Mozilla à travers un tunnel SSH
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse au message [Terminal] Utiliser Mozilla à travers un tunnel SSH. Évalué à 2.
# Re: Un aperçu des SGBD Open Source
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un aperçu des SGBD Open Source. Évalué à 3.
Considérés hier encore comme un phénomène de mode, ces produits, dont le code source est librement accessible et modifiable, possèdent des qualités techniques qui ont de quoi faire trembler leurs homologues commercialisés. D'autant que depuis peu, les communautés des développeurs et des sociétés de services spécialisées comme Digitalis Consulting, s organisent de façon à offrir un accompagnement équivalent à celui des grands éditeurs.
Le clou est quand même que les mysql installés depuis des années par les hébergeurs sont considérés comme des phénomènes de mode. (ouarf) C'est sûr free.fr avec tout ses hébergements c'est pas une référence. (lol). A croire que linux/apache/mysql/php|perl|python (aka LAMP) n'est pas répandu.
Je suis sceptique sur l'intro et la conclusion.
Dans l'ensemble (hors intro et conclusion), cela reprend quand même d'une manière compréhensible les différents points forts des bases en présence. Cette documentation est donc à mon goût appréciable.
[^] # Re: Trente scientifiques contre les brevets logiciels
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse au journal Trente scientifiques contre les brevets logiciels. Évalué à 1.
Je suis pour les brevets, mais pas sous leur forme actuelle.
[^] # Re: Souriez, vous êtes (encore plus) fliqués !
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Souriez, vous êtes (encore plus) fliqués !. Évalué à 10.
Le truc c'est que les premiers sysadmins étaient habitués à communiquer entre eux (d'où l'utilité des bases whois bien remplies). Or les nouveaux venus depuis la nouvelle économie ne sont pas habitués aux mécanismes de régulation social par internet ; ils aimeraient pouvoir pourchasser ceux qui "abusent" techniquement et légalement sans eux même se soumettre à des contraintes :
- respecter les règles (comme ne pas spammer) ;
- protéger ses machines (blinder ses DMZ);
- prendre en charge l'activité qui bouffe du temps et de l'argent qui consiste à lire et envoyer des mails à d'autre sysadmins ;
- vérifier ses informations et ses interlocuteurs ;
- lire ses logs ;
- et participer à l'amélioration de l'internet dans sa globalité.
Internet n'est probablement pas une matière première que l'on peut exploiter, mais peut être plus un écosystème
La loi ne fait que reflêter la panique de certains acteurs qui réagissent par la voie de la réglementation face à Internet. Je ne suis pas convaincu que le débat technique ou juridique soit le bon. Je pense que nous subissons surtout le contre coup de la très forte croissance des années 1996->2000, et le manque d'intégration de ces nouveaux acteurs à l'existant.
Il suffirait peut être qu'ils acceptent d'appliquer les bonnes pratiques sur internet
- certaines sont sous forme de RFCs informationnelles (ex RFC 1591) ;
- la nétiquette ;
- identifier et participer aux groupes informelles qui les concernent (IASO, IETF, CERT, RBL ...)
Enfin, je rêve sûrment, pas vrai : vous imaginez une entreprise s'imaginer qu'elle est moins compétente que des huluberlus comme nous pour ce qui concerne la vie d'internet et les consulter (voir les payer) pour savoir comment elle pourrait faire ?
[^] # Re: Quel moteur de recherche ?
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Quel moteur de recherche ?. Évalué à -1.
sinon, je trouve la lapidation trop douce, imposons lui d'installer tout son parc sous mandrake.
[^] # Re: Un benchmark Apache, Zope, SPIP et Templeet sur un OpenBrick
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un benchmark Apache, Zope, SPIP et Templeet sur un OpenBrick. Évalué à 1.
Je suis aussi content de constater que pour des besoins représentant 80% des cas de figures *toutes* les solutions libres testées sont acceptables. Ce qui veut dire que l'on peut se concentrer sur la façon de gérer le contenu plus que sur l'outil.
Fabien, ne penses tu pas que la chose la plus chouette qu'offre le libre aux personnes voulant d'exprimer sur internet, c'est le choix des outils sans se prendre la tête ?
PS entre nous j'aime bien templeet.
PPS chouette publicité pour openBrick. Ils ont testé des logiciels de spam avec ? ça pourrait être sympa comme ça pour leur prochaine campagne ils auront déjà le matos pour la faire eux même.
[^] # Re: Un benchmark Apache, Zope, SPIP et Templeet sur un OpenBrick
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un benchmark Apache, Zope, SPIP et Templeet sur un OpenBrick. Évalué à 2.
Par exemple sur libroscope nous utilisons SPIP, hors effet linuxfr nous tournons à 30 visteurs différents par jour nous sommes donc dans un cas ou le choix d'un serveur plus rapide est pertinent.
Et perso, je suis peu intéressé par le nombre de lecteur que nous pouvons avoir mais plus par ce que nous essayons de construire. Honnêtement avoir à générer plus de 10 connections secondes c'est bon pour un slashdot ou un linuxfr, mais pour 80% des cas c'est un peu inutile. Et les facilité d'édition offertes par SPIP sont plus cruciales pour moi que la vitesse de réponse à charge "élevée".
L'important pour moi c'est peut être ridicule mais dans beaucoup cas pour un site web c'est de générer et gérer le contenu.
C'est un bench intéressant malgre tout : on y apprend que pour 99% des utilisateurs de systèmes de publications la technologie n'est pas un frein. Moi ça me convient.
[^] # Re: Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI. Évalué à 1.
Qui sont les personnes sur une îles désertes, les juristes qui donnent le la sur les problématiques de la propriété intellectuelle (PI) ou les défenseurs des logiciels libres qui développent leur propre jargon et leur propre référentiel ?
Je ne pense pas que sur le fond la communuté a tort, je pense que pour être compris et avoir des discussions fructueuses, même si nous ne pouvons prétendre à être des juristes, nous pouvons nous essayer à comprendre leur façon de penser et de parler.
Par exemple, si tu ne faisais pas l'effort d'écrire en français, je ne pourrais discuter avec toi.
[^] # Re: Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI. Évalué à 1.
Le droit d'auteur est une invention liée à la révolution française. Il faut voir à ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain non plus ; le copyleft est une protection par droit d'auteur, et non par copyright. Ce même débat que nous avons aujourd'hui nous pouvons le retrouver avec Beaumarchais et les auteurs tragique qui en avaient assez de se faire nier leurs droits (patrimoniaux notamment) par les éditeurs : c'est amusant comme l'histoire recommence, non ?
[^] # Re: Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI. Évalué à 3.
Le truc avec cet article est qu'il faut lire entre les lignes : à l'OMPI ils sont comme à l'armée tenu à un droit de réserve. Quand j'étais à Genève, il semble qu'un membre de l'institution ait accordé une interview à un journal de Genève qui n'est jamais paru pour cause d'auto-censure journalistique où la personne s'exprimait de manière plus affirmée. Et, il a eu des problèmes par la suite.
Pourquoi ? L'OMPI est un organisme de normage : ils prennent en entrée le résultat des délibérations des nations au sein de l'OMC et proposent en sortie des normes juridique. Les négociations sont le lieu où les grosses nations roulent les petites dans la farine en leur faisant signer des accords que je nommerais propriété intellectuelle contre nourriture.
Les juristes de l'OMPI ont leur opinion, mais ils n'ont pas le droit de la rendre publique. Le lieu de l'injustice si injustice il y a, ce sont les salles de l'OMC où les nations se réunissent pour négocier sur divers sujets dont la propriété intellectuelle.
Quand les officiels de notre pays nous disent qu'ils ne peuvent rien faire, c'est un peu du pipeau. La mondialisation a vraiment bon dos là dessus. Il semble néanmoins que la position de la France n'est pas un position hyper calamiteuse à ce que j'ai compris, malheureusement, je n'ai pu avoir accès au minutes qui ne seront jamais publiées.
[^] # Re: Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI. Évalué à 1.
J'aurais adorer faire la meme chose avec Lawrence Lessig mais je n'en ai pas eu l'opportunité : l'occasion fait le larron.
Un débat sans informations, ça se termine en prêche et les seuls arguments dont on fini par débatre c'est le bien (TM) et le mal (c). C'est pas ma tasse de thé quand j'écris un article. Si tu veux en débattre tu peux aller sur le NG fr.comp.os.linux.debat haut lieu du troll de qualité en langue française.
[^] # Re: Festival
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI. Évalué à 4.
A coté de ça, ils ne sont pas décisionnaires dans ce domaine; les normes qu'ils proposent sont issus des consensus obtenus à partir des discussions entre état membre de l'OMC dans des salles closes.
Ainsi, la France là dessus a plus de pouvoir que l'OMPI sur les décisions à prendre en matière de propriété intellectuelle.
[^] # Re: Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI
Posté par Jul (site web personnel) . En réponse à la dépêche Propriété intellectuelle : le point de vue de l'OMPI. Évalué à 1.
Jul