Je sais pas comment réagir à ton message. Il me semble que tu n'as lu que des papiers d'opinion orientés anti-banque pour réagir comme cela. On pourrait te répondre sur chacun des points, mais aurais-tu vraiment envie de nous lire ? Un conseil : ne prends pas ce que tu penses comme vérité absolue parce que tu en es très loin.
En fait, j'ai compris de quoi tu parlais en lisant des textes bizarroïdes. Ce que tu dis dans le cas de ton prêt, c'est que les 100 euros restent sur le compte du tiers qui a déposé. Tu te places du point de vue client en réalité, avec son relevé de compte en banque qui ne bouge pas. Ce qui est exact.
Par contre, la banque a probablement déposé ton argent quelque part : elle l'a placé, peut-être via un prêt à une autre personne. Dans le cas où ta banque a seulement deux clients, un qui a déposé 100 et l'autre emprunté 100, il reste en réalité dans la banque 0, même si ce n'est pas visible par les clients. Si celui qui a déposé vient retirer son dépôt alors que l'argent a été prêté, la banque empruntera sur le marché interbancaire.
En réalité, on dit la même chose, mais avec deux visions différentes, et me plaçant d'un point de vue comptable, on arrivera alors toujours dans la même situation : la banque ne crée pas d'argent (sinon son actif serait différent du passif).
Tu confonds capital et dépôt client. Du coup, ton raisonnement est intégralement faussé : la banque n'a effectivement pas le droit de prêter le capital, mais a tout à fait le droit de prêter le montant des dépôts.
Non mais il faut arrêter le délire : les banques prêtent l'argent qu'elles ont soit via un dépôt, soit emprunté. En aucun cas elles n'invente de l'argent comme le prétendent certains ici. Seule la BCE participe à la création monétaire.
Comme dit précédemment c'est faux car trop simpliste : imaginons ton cas, c'est-à-dire que la banque emprunte à 1% à un an auprès de la BCE et prête à 5 ans à l'état à 3%. Tu vas avoir plusieurs types de coût :
- le coût en capital demandé pour l'opération
- le coût du risque dû à l'énorme différence de maturité entre le prêt et l'emprunt. Exemple concret : si le taux des prêts à la BCE augmente dans les 5 prochaines années (ce qui n'est pas irréaliste), alors la marge sera diminuée d'autant
- le coût du risque crédit de l'état en question : pour rappel, les états rigoureux payent beaucoup moins que les états dispendieux
- le coût du risque opérationnel sur l'opération (relativement minime dans ce cas)
- le coût RH des différents intervenants sur l'opération - au bas mot une bonne vingtaine
- le coût du système d'information mis en place
- le coût de tous les opérations juridiques menées pour avoir le droit à la fois de participer aux adjudications des états, mais aussi au placement auprès de la BCE
C'est une opération qui est très peu rentable pour la banque en question, la marge étant généralement inférieure à 0.1%.
Ce n'est pas un cercle vicieux car ça permet à la fois aux banques d'utiliser leurs dépôts en priorité, le marché interbancaire, et en dernier lieux la BCE. Le taux de la BCE est beaucoup plus cher que celui du marché interbancaire.
Le dernier bilan de la SG que j'ai regardé présentait 40 milliards d'euros prêtés aux états pour 2 milliards empruntés à la BCE. Il faut arrêter avec cette obnubilation d'intermédiation des banques entre la BCE et avec les états. Cela fonctionne bien actuellement !
En réalité, tu serais obligé de trouver un moyen de combler la perte au niveau de la BCE. J'imagine (mais je ne suis pas expert) que le moyen approprié serait de la création monétaire du montant de la dette perdue, ce qui aurait comme conséquence un dévaluation de l'euro et une augmentation conséquente de l'inflation.
Ta vision est beaucoup trop optimiste à mon sens : si la BCE prêtait directement aux états, que se passerait-il si un état n'arrivait plus à rembourser ?
Je suis assez d'accord avec toi pour les sujets IT où je suis rarement en accord avec lui, mais Zenitram me semble connaitre le sujet bancaire ou en tout cas ses mécanismes principaux.
Tu te rends compte que certains des intervenants de ce site peuvent être plus compétents que les personnes de l'émission ? Il se peut même que certains travaillent sur ces sujets depuis de nombreuses années.
Tout simplement le déport du risque de crédit sur les dettes de souverains vers les banques ==> si la Grèce fait défaut, des banques peuvent sombrer mais pas la BCE.
Si ta banque a été créée avec un capital de 10000€ par ses actionnaires, elle ne vaut plus que 9000€
Tu délires complètement, en confondant entreprise et banque.
Il ne délire pas du tout : c'est le rôle du capital d'une banque d'absorber les pertes non attendues.
Elle n'a pas forcément emprunté à la BCE : elle prend en priorité sur ses dépôts, puis sur le marché interbancaire à l'EONIA + quelques points de base, et enfin à la BCE.
Ce qui me fait rire, c'est qu'à chaque fois que je vois les notes de version des releases MAC OS X récentes, j'ai la même réaction : ha, ils ont juste rajouté des éléments d'iOS, mais je n'en vois pas l'intérêt sur un desktop…
GS est assez mythique : on y trouve des gens d'une très grande compétence (considéré comme le top de la profession), et en même temps qui a eu des écarts avec la morale et la légalité beaucoup trop importants et nombreux.
J'avoue que l'argumentation est habile, ce texte est écrit par quelqu'un qui maitrise les rouages de la réthorique. Si tu le réécris de manière différente par contre, ça ne donne pas le même sens. Je reprends uniquement les éléments du texte :
- 206 milliards d’euros de dette détenus par des créanciers privés
- cette dette est échangée par une autre dette de 106 milliards d'euros, mieux garantie
- des fonds étatiques sont consacrés au remboursement anticipé d'une partie de ces 106 milliards d'euros
Relis bien l'article et tu verras qu'il s'agit exactement de la retranscription. Alors qu'en lisant l'article, on pouvait imaginer que les créanciers privés avaient perdu beaucoup moins que 100 milliards d'euros, on se rend compte que non, ils ont bel et bien perdus 100 milliards d'euros en échange d'une garantie et d'un remboursement anticipé d'une partie de la dette restante.
Tu parles du problème majeur de l'électricité en France depuis de longues années : le manque de capacité de génération d'électricité ponctuelle en France qui provoque des surcouts lors des chutes brutales de température. Je doute qu'aucune des solutions à ce problème ne contente les écologistes. La Bretagne a par exemple choisi une centrale à gaz.
Il n'empêche que la règle générale est toujours la même : en temps normal, l'électricité est moins chère en France qu'en Allemagne.
Je ne compare effectivement pas les coûts de production, mais les coûts de l'énergie disponible, ton commentaire est donc pertinent en ce sens. Pour les volumes, s'ils sont très différents, ils sont tout de même significatifs : 18 GWh traités quotidiennement n'est pas ridicule. Pour ton exemple d'arrêt du nucléaire, ça ne marche pas, j'ai pris des futurs très court-terme comme exemple, qui ne seraient donc pas impactés par un arrêt du nucléaire hypothétique en 2020.
C'est bien du volume à terme traité sur le marché organisé (qui représente une partie des transactions vu l'importance du marché OTC). Prendre le cours du jour, c'est un peu faussé : tu as toujours des épiphénomènes qui inversent des tendances. Je ne travaille plus dans le domaine de l'énergie, mais j'ai le souvenir de l'épisode de grève des inspecteurs dans le nucléaire, il y a deux ans il me semble. Tu avais eu en conséquence un nombre tellement importante de centrales nucléaires arrêtées qu'on avait été obligé d'importer massivement de l'Allemagne. Durant cette période, le prix de l'électricité avait effectivement été plus important en France qu'en Allemagne.
La tendance est elle bien déterminée par les contrats futurs qui confirment la tendance, à savoir qu'hors exception l'électricité est bien moins chère en France qu'en Allemagne.
Pour être tout à fait honnête, les données financières de la Grèce étaient fausses, de manière volontaire. Et ces chiffres étaient les seuls publics. Les institutions financières qui ont prêtées à la Grèce se sont fait escroquées.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à -1.
Je sais pas comment réagir à ton message. Il me semble que tu n'as lu que des papiers d'opinion orientés anti-banque pour réagir comme cela. On pourrait te répondre sur chacun des points, mais aurais-tu vraiment envie de nous lire ? Un conseil : ne prends pas ce que tu penses comme vérité absolue parce que tu en es très loin.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 2.
En fait, j'ai compris de quoi tu parlais en lisant des textes bizarroïdes. Ce que tu dis dans le cas de ton prêt, c'est que les 100 euros restent sur le compte du tiers qui a déposé. Tu te places du point de vue client en réalité, avec son relevé de compte en banque qui ne bouge pas. Ce qui est exact.
Par contre, la banque a probablement déposé ton argent quelque part : elle l'a placé, peut-être via un prêt à une autre personne. Dans le cas où ta banque a seulement deux clients, un qui a déposé 100 et l'autre emprunté 100, il reste en réalité dans la banque 0, même si ce n'est pas visible par les clients. Si celui qui a déposé vient retirer son dépôt alors que l'argent a été prêté, la banque empruntera sur le marché interbancaire.
En réalité, on dit la même chose, mais avec deux visions différentes, et me plaçant d'un point de vue comptable, on arrivera alors toujours dans la même situation : la banque ne crée pas d'argent (sinon son actif serait différent du passif).
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 3.
Tu confonds capital et dépôt client. Du coup, ton raisonnement est intégralement faussé : la banque n'a effectivement pas le droit de prêter le capital, mais a tout à fait le droit de prêter le montant des dépôts.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 0.
Non mais il faut arrêter le délire : les banques prêtent l'argent qu'elles ont soit via un dépôt, soit emprunté. En aucun cas elles n'invente de l'argent comme le prétendent certains ici. Seule la BCE participe à la création monétaire.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 2.
Honnêtement, j'aimerais bien comprendre qui vous a dit ça.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 4.
Comme dit précédemment c'est faux car trop simpliste : imaginons ton cas, c'est-à-dire que la banque emprunte à 1% à un an auprès de la BCE et prête à 5 ans à l'état à 3%. Tu vas avoir plusieurs types de coût :
- le coût en capital demandé pour l'opération
- le coût du risque dû à l'énorme différence de maturité entre le prêt et l'emprunt. Exemple concret : si le taux des prêts à la BCE augmente dans les 5 prochaines années (ce qui n'est pas irréaliste), alors la marge sera diminuée d'autant
- le coût du risque crédit de l'état en question : pour rappel, les états rigoureux payent beaucoup moins que les états dispendieux
- le coût du risque opérationnel sur l'opération (relativement minime dans ce cas)
- le coût RH des différents intervenants sur l'opération - au bas mot une bonne vingtaine
- le coût du système d'information mis en place
- le coût de tous les opérations juridiques menées pour avoir le droit à la fois de participer aux adjudications des états, mais aussi au placement auprès de la BCE
C'est une opération qui est très peu rentable pour la banque en question, la marge étant généralement inférieure à 0.1%.
Ce n'est pas un cercle vicieux car ça permet à la fois aux banques d'utiliser leurs dépôts en priorité, le marché interbancaire, et en dernier lieux la BCE. Le taux de la BCE est beaucoup plus cher que celui du marché interbancaire.
Le dernier bilan de la SG que j'ai regardé présentait 40 milliards d'euros prêtés aux états pour 2 milliards empruntés à la BCE. Il faut arrêter avec cette obnubilation d'intermédiation des banques entre la BCE et avec les états. Cela fonctionne bien actuellement !
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 3.
En réalité, tu serais obligé de trouver un moyen de combler la perte au niveau de la BCE. J'imagine (mais je ne suis pas expert) que le moyen approprié serait de la création monétaire du montant de la dette perdue, ce qui aurait comme conséquence un dévaluation de l'euro et une augmentation conséquente de l'inflation.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 2.
Ta vision est beaucoup trop optimiste à mon sens : si la BCE prêtait directement aux états, que se passerait-il si un état n'arrivait plus à rembourser ?
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 0.
Je suis assez d'accord avec toi pour les sujets IT où je suis rarement en accord avec lui, mais Zenitram me semble connaitre le sujet bancaire ou en tout cas ses mécanismes principaux.
[^] # Re: Courte critique à lire
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 2.
Sur les réserves à déposer à la BCE, c'est ici : http://www.ecb.int/mopo/implement/mr/html/calc.en.html
Je confirme, ça n'a pas de lien avec Bale III.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à -1.
Tu te rends compte que certains des intervenants de ce site peuvent être plus compétents que les personnes de l'émission ? Il se peut même que certains travaillent sur ces sujets depuis de nombreuses années.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 5.
Tout simplement le déport du risque de crédit sur les dettes de souverains vers les banques ==> si la Grèce fait défaut, des banques peuvent sombrer mais pas la BCE.
[^] # Re: Les fameux intérêts manquants...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 4.
Il ne délire pas du tout : c'est le rôle du capital d'une banque d'absorber les pertes non attendues.
[^] # Re: mouais ...
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'argent dette. Évalué à 2.
Elle n'a pas forcément emprunté à la BCE : elle prend en priorité sur ses dépôts, puis sur le marché interbancaire à l'EONIA + quelques points de base, et enfin à la BCE.
# Mac OS X
Posté par lezardbreton . En réponse au journal De la convergence des interfaces, le revers de la médaille. Évalué à 3.
Ce qui me fait rire, c'est qu'à chaque fois que je vois les notes de version des releases MAC OS X récentes, j'ai la même réaction : ha, ils ont juste rajouté des éléments d'iOS, mais je n'en vois pas l'intérêt sur un desktop…
[^] # Re: pulseaudio
Posté par lezardbreton . En réponse au journal Quelle distribution restera dans l'esprit UNIX?. Évalué à 7.
Je ne comprends pas : ça marchait très bien sous OSS et Alsa avant PulseAudio. Pour mon usage, PulseAudio n'a rien apporté.
[^] # Re: Vendredi c'est après demain
Posté par lezardbreton . En réponse au journal Qui par ici est anti-conspirationniste. Évalué à 2.
GS est assez mythique : on y trouve des gens d'une très grande compétence (considéré comme le top de la profession), et en même temps qui a eu des écarts avec la morale et la légalité beaucoup trop importants et nombreux.
[^] # Re: Vendredi c'est après demain
Posté par lezardbreton . En réponse au journal Qui par ici est anti-conspirationniste. Évalué à 3. Dernière modification le 24 mai 2012 à 11:49.
J'avoue que l'argumentation est habile, ce texte est écrit par quelqu'un qui maitrise les rouages de la réthorique. Si tu le réécris de manière différente par contre, ça ne donne pas le même sens. Je reprends uniquement les éléments du texte :
- 206 milliards d’euros de dette détenus par des créanciers privés
- cette dette est échangée par une autre dette de 106 milliards d'euros, mieux garantie
- des fonds étatiques sont consacrés au remboursement anticipé d'une partie de ces 106 milliards d'euros
Relis bien l'article et tu verras qu'il s'agit exactement de la retranscription. Alors qu'en lisant l'article, on pouvait imaginer que les créanciers privés avaient perdu beaucoup moins que 100 milliards d'euros, on se rend compte que non, ils ont bel et bien perdus 100 milliards d'euros en échange d'une garantie et d'un remboursement anticipé d'une partie de la dette restante.
[^] # Re: Vendredi c'est après demain
Posté par lezardbreton . En réponse au journal Qui par ici est anti-conspirationniste. Évalué à 1.
Là-dessus, je suis entièrement d'accord : GS devrait être très largement condamné (pas que sur ce sujet d'ailleurs).
[^] # Re: Allons
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'énergie électrique est moins cher en Allemagne qu'en France. Évalué à 4.
Tu parles du problème majeur de l'électricité en France depuis de longues années : le manque de capacité de génération d'électricité ponctuelle en France qui provoque des surcouts lors des chutes brutales de température. Je doute qu'aucune des solutions à ce problème ne contente les écologistes. La Bretagne a par exemple choisi une centrale à gaz.
Il n'empêche que la règle générale est toujours la même : en temps normal, l'électricité est moins chère en France qu'en Allemagne.
[^] # Re: Allons
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'énergie électrique est moins cher en Allemagne qu'en France. Évalué à 1.
Je ne compare effectivement pas les coûts de production, mais les coûts de l'énergie disponible, ton commentaire est donc pertinent en ce sens. Pour les volumes, s'ils sont très différents, ils sont tout de même significatifs : 18 GWh traités quotidiennement n'est pas ridicule. Pour ton exemple d'arrêt du nucléaire, ça ne marche pas, j'ai pris des futurs très court-terme comme exemple, qui ne seraient donc pas impactés par un arrêt du nucléaire hypothétique en 2020.
[^] # Re: Allons
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'énergie électrique est moins cher en Allemagne qu'en France. Évalué à 1.
C'est bien du volume à terme traité sur le marché organisé (qui représente une partie des transactions vu l'importance du marché OTC). Prendre le cours du jour, c'est un peu faussé : tu as toujours des épiphénomènes qui inversent des tendances. Je ne travaille plus dans le domaine de l'énergie, mais j'ai le souvenir de l'épisode de grève des inspecteurs dans le nucléaire, il y a deux ans il me semble. Tu avais eu en conséquence un nombre tellement importante de centrales nucléaires arrêtées qu'on avait été obligé d'importer massivement de l'Allemagne. Durant cette période, le prix de l'électricité avait effectivement été plus important en France qu'en Allemagne.
La tendance est elle bien déterminée par les contrats futurs qui confirment la tendance, à savoir qu'hors exception l'électricité est bien moins chère en France qu'en Allemagne.
[^] # Re: Vendredi c'est après demain
Posté par lezardbreton . En réponse au journal Qui par ici est anti-conspirationniste. Évalué à 2.
En partie Goldman Sachs. Donc, tu veux dire qu'il suffit qu'une banque fasse des conneries pour que toutes soient condamnables ? Curieuse philosophie.
[^] # Re: Vendredi c'est après demain
Posté par lezardbreton . En réponse au journal Qui par ici est anti-conspirationniste. Évalué à 1.
Pour être tout à fait honnête, les données financières de la Grèce étaient fausses, de manière volontaire. Et ces chiffres étaient les seuls publics. Les institutions financières qui ont prêtées à la Grèce se sont fait escroquées.
# Allons
Posté par lezardbreton . En réponse au journal L'énergie électrique est moins cher en Allemagne qu'en France. Évalué à 8.
http://www.eex.com/en/
Prix du contrat juin en Allemagne : 39.48 €/MWh
Prix du contrat juin en France : 38.38 €/MWh
Prix du contrat Juillet-Septembre Allemagne : 41.28 €/MWh
Prix du contrat Juillet-Septembre France : 38.50 €/MWh
Bref, 5 minutes pour voir que c'est faux.