Sendmail (actuellement en version 8.13.1) est un programme libre de transfert de mail (Mail Transfert Agent ou MTA)*.
Le projet Sendmail a été lancé en 1979 par Eric Allman. Il a longtemps constitué le serveur SMTP de référence du monde du libre et continue à être extrêmement répandu. Pourtant plusieurs problèmes demeurent :
- C'est l'archétype du logiciel gros et complexe ;
- Il a connu de nombreuses failles de sécurité critiques ;
- Son fichier de configuration est difficilement compréhensible ;
- Ses performances ne sont pas optimales.
Pour remédier à ces faiblesses, une réécriture majeure est prévue - au point que l'on peut se demander si il est opportun de conserver le nom du programme.
L'idée générale est de fragmenter au maximum le programme (qui est actuellement assez monolithique) pour se diriger vers une architecture légère et modulaire regroupant plusieurs processus coopérants. Le fichier de configuration utilisera une syntaxe proche du C.
Peut-on se payer le noyau Linux ?
Le 7 octobre 2004 une étrange offre est apparue sur la liste de diffusion des développeurs du noyau Linux. Jeff V. Merkey proposait d'acheter pour 50.000 dollars une licence du copyright du noyau afin de convertir la licence GPL en une licence plus permissive (la BSD).
Qu'est-ce que cela signifie réellement ?
Monsieur Merkley veut utiliser le noyau en y incorporant des modifications non-libres (propriétaires) et il veut ensuite distribuer (commercialement ou non ce n'est pas le problème) ce noyau modifié.
Pourtant cela est expressément interdit par la licence GPL de Linux qui stipule que le noyau modifié doit rester libre s'il est redistribué. Jeff Merkey a alors une idée : pourquoi ne pas se payer une licence spéciale auprès des propriétaires du noyau pour remplacer la licence GPL par la licence BSD (qui autorise l'incorporation de modifications propriétaires) ?
Aussitôt dit aussitôt fait, il envoie son fameux courriel en proposant 50.000 dollars pour le noyau et il attend les réponses...
Qu'est-ce que cela signifie réellement ?
Monsieur Merkley veut utiliser le noyau en y incorporant des modifications non-libres (propriétaires) et il veut ensuite distribuer (commercialement ou non ce n'est pas le problème) ce noyau modifié.
Pourtant cela est expressément interdit par la licence GPL de Linux qui stipule que le noyau modifié doit rester libre s'il est redistribué. Jeff Merkey a alors une idée : pourquoi ne pas se payer une licence spéciale auprès des propriétaires du noyau pour remplacer la licence GPL par la licence BSD (qui autorise l'incorporation de modifications propriétaires) ?
Aussitôt dit aussitôt fait, il envoie son fameux courriel en proposant 50.000 dollars pour le noyau et il attend les réponses...
Les politiques de sorties des grands projets Open Source
Le rythme d'apparition (« releases ») des grands projets libres est extrêmement variable et ne semble pas obéir à un schéma commun identifiable.
Il est peut-être intéressant de tenter une revue globale (avec les citations issues des sites web officiels) afin de d'analyser les diverses solutions adoptées et d'en présenter les forces et les faiblesses.
Regardons plus en détails les politiques de sortie de divers noyaux et systèmes (Linux, OpenBSD, FreeBSD, NetBSD), distributions GNU/Linux (Gentoo, Debian, Mandrake, Fedora, Slackware), gestionnaires de bureau et autres (GNOME, KDE, Mozilla).
Il est peut-être intéressant de tenter une revue globale (avec les citations issues des sites web officiels) afin de d'analyser les diverses solutions adoptées et d'en présenter les forces et les faiblesses.
Regardons plus en détails les politiques de sortie de divers noyaux et systèmes (Linux, OpenBSD, FreeBSD, NetBSD), distributions GNU/Linux (Gentoo, Debian, Mandrake, Fedora, Slackware), gestionnaires de bureau et autres (GNOME, KDE, Mozilla).
Mono 1.0 sous le feu des projecteurs
Mono est une plate-forme de développement qui propose une alternative libre à l'environnement .Net de Microsoft et qui met l'accent sur la compatibilité en s'appuyant sur la norme officielle de l'ECMA. Après la sortie le mois dernier de la version 1.0, on commence à voir fleurir sur le net des analyses techniques qui permettent d'apprécier les avantages de cette plate-forme et de les confronter avec les alternatives existantes.
Un article sur le site Arstechnica donne des exemples (et du code ; par exemple avec GTK#) et développe l'idée que ce framework offre des gages de rapidité de développement, du fait d'une grande simplicité.
Un article sur le site Arstechnica donne des exemples (et du code ; par exemple avec GTK#) et développe l'idée que ce framework offre des gages de rapidité de développement, du fait d'une grande simplicité.
Les nouveautés de Qt 4
Après une brève annonce sans trop de détails il y a quelques mois (voir le lien sur la dépêche de cette époque), la société Trolltech vient de fournir une description beaucoup plus complète des nouveautés présentes dans la future grande version de l'environnement Qt.
Cette boite à outils de développement (Toolkit) écrite en C++, et qui est la base du très apprécié bureau KDE, est disponible en double licence (GPL et propriétaire).
La version Qt 4 va changer beaucoup de briques technologiques sous-jacentes afin d'obtenir notamment une rapidité accrue et de nouvelles fonctionnalités ; une boite de compatibilité avec Qt 3.x est prévue afin de faciliter la migration des applications existantes.
La sortie de la version finale est envisagée au cours du premier trimestre 2005 et nous pouvons donc espérer une version de KDE 4 dans la seconde moitié de l'année 2005.
Cette boite à outils de développement (Toolkit) écrite en C++, et qui est la base du très apprécié bureau KDE, est disponible en double licence (GPL et propriétaire).
La version Qt 4 va changer beaucoup de briques technologiques sous-jacentes afin d'obtenir notamment une rapidité accrue et de nouvelles fonctionnalités ; une boite de compatibilité avec Qt 3.x est prévue afin de faciliter la migration des applications existantes.
La sortie de la version finale est envisagée au cours du premier trimestre 2005 et nous pouvons donc espérer une version de KDE 4 dans la seconde moitié de l'année 2005.
Mac OS X et les technologies du libre
La Keynote (présentation) traditionnelle de Steve Jobs (PDG d'Apple) vient d'avoir lieu et les annonces des nouveautés à venir semblent alléchantes... Elles se basent largement sur les technologies libres !
La future version du système d'exploitation (OS X Tiger) qui sortira dans la première moitié de 2005 comprendra entre autres :
- Intégration d'un serveur iChat basé sur Jabber avec possibilité de crypter les conversations (protocole ouvert)
- Intégration de SQLite dans l'OS (licence : domaine public)
- Serveur weblog intégré basé sur Blojsom (licence : BSD)
- GCC version 3.5 avec auto-vectorisation du code pour Altivec (licence : GPL)
- Système de Build basé sur Ant (licence : Apache) et support de Subversion (licence : Apache).
PS1: Tiger intègre un système de fichier à-la-BeOS qui permet des recherches ultra-rapides et les live-queries (technologie Spotlight)... avec le WinFS de Longhorn à l'horizon il apparaît urgent que le libre se mobilise pour avoir un équivalent (Storage pour Gnome ?).
PS2 : L'annonce de GCC version 3.5 est étrange sachant que nous en somme à la 3.4 et que les développeurs hésitent à nommer la suivante 3.5 ou 4.0.
La future version du système d'exploitation (OS X Tiger) qui sortira dans la première moitié de 2005 comprendra entre autres :
- Intégration d'un serveur iChat basé sur Jabber avec possibilité de crypter les conversations (protocole ouvert)
- Intégration de SQLite dans l'OS (licence : domaine public)
- Serveur weblog intégré basé sur Blojsom (licence : BSD)
- GCC version 3.5 avec auto-vectorisation du code pour Altivec (licence : GPL)
- Système de Build basé sur Ant (licence : Apache) et support de Subversion (licence : Apache).
PS1: Tiger intègre un système de fichier à-la-BeOS qui permet des recherches ultra-rapides et les live-queries (technologie Spotlight)... avec le WinFS de Longhorn à l'horizon il apparaît urgent que le libre se mobilise pour avoir un équivalent (Storage pour Gnome ?).
PS2 : L'annonce de GCC version 3.5 est étrange sachant que nous en somme à la 3.4 et que les développeurs hésitent à nommer la suivante 3.5 ou 4.0.
Qt 4 à l'horizon !
Qt est, avec Gtk+, l'un des deux environnements privilégiés du système GNU/Linux.
Il s'agit d'une "boite à outils" (toolkit) pour faciliter le travail des programmeurs en leur proposant une multitude de routines qui assurent la cohérence des logiciels développés.
Ainsi l'environnement de bureau KDE est basé sur Qt et l'environnement de bureau Gnome est basé sur Gtk+.
Qt est actuellement en version 3.3 et Trolltech qui est l'entreprise derrière cette boite à outils annonce la disponibilité de la prochaine grande version (version 4.0) dans la seconde moitié de cette année.
Il s'agit d'une "boite à outils" (toolkit) pour faciliter le travail des programmeurs en leur proposant une multitude de routines qui assurent la cohérence des logiciels développés.
Ainsi l'environnement de bureau KDE est basé sur Qt et l'environnement de bureau Gnome est basé sur Gtk+.
Qt est actuellement en version 3.3 et Trolltech qui est l'entreprise derrière cette boite à outils annonce la disponibilité de la prochaine grande version (version 4.0) dans la seconde moitié de cette année.
"Big fish" de Tim Burton
C'est l'histoire des relations entre un père et un fils
à la sauce burtonienne !
Big fish qui est sorti mercredi dernier est le nouveau film de Tim Burton (le réalisateur de "Edward aux mains d'argent", de "Ed wood", de "Mars attacks" et de plein d'autres bijoux du cinéma).
Le film raconte les relations complexes entre un père affabulateur et son fils. Ce dernier a eu son enfance baignée par les histoires à dormir debout que lui racontait son père au coin du lit des histoires de géants et de sorcières ; maintenant qu'il est adulte et que son père meurt d'un cancer, il prend conscience qu'il ne le connaît pas réellement.
Il va donc essayer de lui soutirer la vérité avant qu'il ne meurt.
Le casting est prestigieux : Ewan McGregor, Helena Bonham Carter, Danny DeVito, Steve Buscemi, Albert Finney, Jessica Lange, et Marion Cotillard, la frenchie décidément aussi talentueuse que jolie.
Big fish qui est sorti mercredi dernier est le nouveau film de Tim Burton (le réalisateur de "Edward aux mains d'argent", de "Ed wood", de "Mars attacks" et de plein d'autres bijoux du cinéma).
Le film raconte les relations complexes entre un père affabulateur et son fils. Ce dernier a eu son enfance baignée par les histoires à dormir debout que lui racontait son père au coin du lit des histoires de géants et de sorcières ; maintenant qu'il est adulte et que son père meurt d'un cancer, il prend conscience qu'il ne le connaît pas réellement.
Il va donc essayer de lui soutirer la vérité avant qu'il ne meurt.
Le casting est prestigieux : Ewan McGregor, Helena Bonham Carter, Danny DeVito, Steve Buscemi, Albert Finney, Jessica Lange, et Marion Cotillard, la frenchie décidément aussi talentueuse que jolie.
XFree86 : ce qui s'est passé depuis 1 an
Il y a quelques temps, l'équipe qui gère le XFree avait changé la licence, provoquant quelques problèmes avec les éditeurs de distributions Linux et BSD.
Ce problème n'est en fait que la conséquence d'une année de péripéties et de conflits d'intérêts, personnels ou non, autour du serveur X. OSnews publie un article (NdM : quelque peu partial semble-t-il), qui récapitule les principaux événements de ces 12 derniers mois.
La lecture de cet article est intéressante et remet en perspective les problèmes divers perturbant ce projet.
Ce problème n'est en fait que la conséquence d'une année de péripéties et de conflits d'intérêts, personnels ou non, autour du serveur X. OSnews publie un article (NdM : quelque peu partial semble-t-il), qui récapitule les principaux événements de ces 12 derniers mois.
La lecture de cet article est intéressante et remet en perspective les problèmes divers perturbant ce projet.
Intel a choisi d'étendre X86 vers le 64 bits
Jusqu'à présent la situation était claire car Intel avait deux architectures majeures pour ses processeurs :
- IA32 (aussi connu comme X86) qui est l'architecture classique et ancienne sur 32 bits.
- IA64 qui est la nouvelle architecture haute performance sur 64 bits
Cependant il existait plusieurs problèmes car IA32 est performant et très répandu alors que IA64 ne parvient pas à faire vraiment la différence en performances réelles et est incompatible avec l'existant sans une surcouche d'émulation.
AMD a tiré profit de cette situation et a developpé une extension de IA32 vers le 64 bits (X86-64).
Cette extension cumule les avantages : elle reste compatible nativement avec les programmes IA32 existants et apporte tous les avantages du 64 bits.
Intel était donc confronté à un choix difficile : continuer sur sa voie et risquer de laisser AMD lui prendre des parts de marché ou bien suivre le même chemin d'une extension d'IA32 et fragiliser sa nouvelle architecture IA64.
C'est cette dernière solution qui aujourd'hui s'impose et qui consacre définitivement X86-64.
Ndm : oui c'est hors sujet
- IA32 (aussi connu comme X86) qui est l'architecture classique et ancienne sur 32 bits.
- IA64 qui est la nouvelle architecture haute performance sur 64 bits
Cependant il existait plusieurs problèmes car IA32 est performant et très répandu alors que IA64 ne parvient pas à faire vraiment la différence en performances réelles et est incompatible avec l'existant sans une surcouche d'émulation.
AMD a tiré profit de cette situation et a developpé une extension de IA32 vers le 64 bits (X86-64).
Cette extension cumule les avantages : elle reste compatible nativement avec les programmes IA32 existants et apporte tous les avantages du 64 bits.
Intel était donc confronté à un choix difficile : continuer sur sa voie et risquer de laisser AMD lui prendre des parts de marché ou bien suivre le même chemin d'une extension d'IA32 et fragiliser sa nouvelle architecture IA64.
C'est cette dernière solution qui aujourd'hui s'impose et qui consacre définitivement X86-64.
Ndm : oui c'est hors sujet
Une nouvelle approche dans le monde des GUI
SegusoLand est un nouveau concept de GUI (Graphical User Interface) qui permet une interaction uniforme et cohérente entre l'utilisateur et son ordinateur.
La page du tutoriel (qui inclus des captures d'écrans explicatives) est vraiment bien faite et intuitive.
L'idée est de faire agir l'utilisateur en selectionnant dans cinq panels : le panel des verbes; le panel des fichiers; le panel des programmes; le panel des dispositifs physiques et enfin le panel du temps.
La page du tutoriel (qui inclus des captures d'écrans explicatives) est vraiment bien faite et intuitive.
L'idée est de faire agir l'utilisateur en selectionnant dans cinq panels : le panel des verbes; le panel des fichiers; le panel des programmes; le panel des dispositifs physiques et enfin le panel du temps.
Où en est Gstreamer ?
Gstreamer est une infrastructure multimedia basée sur le concept de "pipeline" qui permet de facilement réorganiser des blocs fonctionnels afin d'offrir une grande versatilité aux applications clientes.
Christian Schaller (qui est un des développeurs) a écrit un article de présentation assez complet et très accessible sur cette infrastructure réellement innovante.
À ce sujet une petite citation : GStreamer was not a simple re-implementation of something which had been done before. I guess we did what Steve Balmer claims free software never does: we innovated.
Le fait que le projet soit désormais hébergé sur Freedesktop.org est une indication qu'il est maintenant reconnu comme une application ayant vocation à être largement interopérable et standardisée.
Christian Schaller (qui est un des développeurs) a écrit un article de présentation assez complet et très accessible sur cette infrastructure réellement innovante.
À ce sujet une petite citation : GStreamer was not a simple re-implementation of something which had been done before. I guess we did what Steve Balmer claims free software never does: we innovated.
Le fait que le projet soit désormais hébergé sur Freedesktop.org est une indication qu'il est maintenant reconnu comme une application ayant vocation à être largement interopérable et standardisée.
Comparaison de neuf langages sur un micro-benchmark
Ce micro-benchmark de neuf langages porte uniquement sur les opérations mathématiques de base et nest donc pas représentatif de la vitesse en conditions réelles.
Néanmoins il est intéressant dans la mesure où il permet de visualiser simplement la différence qui peut exister entre les langages compilés, les semi-compilés et les purement interprétés.
NdM : en effet, "benchmark" très peu représentatif. Les trolleurs s'en sont déjà donné à coeur-joie sur OSNews et SlashDot. À vous maintenant, c'est l'occasion de tester la montée en charge du nouveau serveur ;-)
Néanmoins il est intéressant dans la mesure où il permet de visualiser simplement la différence qui peut exister entre les langages compilés, les semi-compilés et les purement interprétés.
NdM : en effet, "benchmark" très peu représentatif. Les trolleurs s'en sont déjà donné à coeur-joie sur OSNews et SlashDot. À vous maintenant, c'est l'occasion de tester la montée en charge du nouveau serveur ;-)
La longue marche vers le hardware libre
Dans un article daté d'aujourd'hui sur le site The Inquirer on découvre que la firme de Minneapolis SILICORE vient de choisir de placer son microcontroleur SLC1657 sous licence LGPL.
Ce chip (RISC 8 bits) est conçu pour les senseurs, les appareils médicaux et l'électronique de grande consommation ("sensors, medical devices and consumer electronics").
L'article est vraiment très intéressant car il semble que le président de cette société soit devenu un partisan résolu de ce qu'il nomme an open source business model for semiconductor .
Il explique qu'il voyait les microprocesseurs comme des produits mais qu'il considère maintenant ceux-ci comme des services.
Il pense que les intégrateurs de ces services vont préférer ce modèle libre qui permet de réduire les coûts, de simplifier la gestion des licences, de réduire les obsolescences, d'augmenter la sécurité et de leur donner un plus grand contrôle sur leurs systèmes.
L'article élargit ensuite cet exemple particulier pour discuter brièvement de l'idée générale du hardware libre et du "saint Graal" que représente un CPU généraliste libre.
Ce chip (RISC 8 bits) est conçu pour les senseurs, les appareils médicaux et l'électronique de grande consommation ("sensors, medical devices and consumer electronics").
L'article est vraiment très intéressant car il semble que le président de cette société soit devenu un partisan résolu de ce qu'il nomme an open source business model for semiconductor .
Il explique qu'il voyait les microprocesseurs comme des produits mais qu'il considère maintenant ceux-ci comme des services.
Il pense que les intégrateurs de ces services vont préférer ce modèle libre qui permet de réduire les coûts, de simplifier la gestion des licences, de réduire les obsolescences, d'augmenter la sécurité et de leur donner un plus grand contrôle sur leurs systèmes.
L'article élargit ensuite cet exemple particulier pour discuter brièvement de l'idée générale du hardware libre et du "saint Graal" que représente un CPU généraliste libre.
Gentoo bascule vers un schéma strict de 4 versions par an
La prochaine version de la distribution Gentoo sortira en janvier 2004.
Son nom sera Gentoo Linux 2004 et elle inaugure un nouveau style de versionning basé sur un rythme constant (4 versions par an:Janvier,Avril,Juillet,Octobre).
Les prochaines releases porteront les suffixes ".1" ".2" ".3" après le nom.
Son nom sera Gentoo Linux 2004 et elle inaugure un nouveau style de versionning basé sur un rythme constant (4 versions par an:Janvier,Avril,Juillet,Octobre).
Les prochaines releases porteront les suffixes ".1" ".2" ".3" après le nom.