Lien RoboCup 2022 : une équipe de Brest championne du monde ! (avec un robot sans connexion extérieure)


Le robot humanoïde libre InMoov a été créé par le sculpteur français Gaêl Langevin à des fins artistiques.
Voyez la photo du Robot InMoov sur WikiPedia prise par HairyGael.
Il est conçu pour être éditable avec une imprimante 3D de petit format pouvant modeler un bloc de 12 x 12 x 12 cm. Les fichiers *.STL permettant de piloter l’imprimante 3D sont disponibles dans la galerie du site InMoov.
Ce robot humanoïde est piloté par le cadriciel libre MyRobotLab écrit en Java qui lance des scripts écrits en Python. Il utilise Kinect comme module infra-rouge, afin de détecter les obstacles, cartographier la pièce en trois dimensions et capter les commandes vocales en français (ou en anglais) du propriétaire du robot. Ses membres sont actionnés par de petits moteurs contrôlés par des cartes Arduino uno.

Déjà On dit GNU/Linux et pas Linux! Oui oui OK, je sais mais pour ce journal on dira Linux si vous le voulez bien.
Dernièrement, mon fils aîné a manifesté le désir d'avoir un robot pour Noël. Sachant que sa demande n'a pas faibli pendant plus de 6 mois, j'ai dit OK pour casser la tirelire. Au vu de tout ce que devait faire ce robot ultime et du fonctionnement intellectuel du fiston (un éternel "mais papa comment ça fonctionne?") (…)

Bonjour,
Le fils d'un ami commence à s'intéresser sérieusement à l'informatique et évidemment, c'est par l'aspect Youtubeur/Fortnite/Popularité mais lui ayant donné quelques cours sur Scratch, il a bien adhéré et je me demandais s'il n'existait pas un projet robotique un peu sympa à base…"de vrai matériel" en fait, surtout un petit projet robotique ludico-malin. :)
L'enfant est sous Windows mais c'est peu gênant, je pense.
Merci pour les pistes et retours d'expériences !

Utiliser un logiciel de simulation de robots a longtemps nécessité une grande motivation et beaucoup de temps pour installer des gros logiciels et surtout comprendre comment ils marchent…
Heureusement, le cloud vient à notre rescousse : Robotbenchmark nous propose de programmer des robots en Python sans trop se fatiguer avec une série de petits challenges variés. Du suivi de mur pour un robot à roues à une course de dix mètres pour un petit robot humanoïde, un pendule inversé ou encore un suivi visuel pour un robot chien… Ce site utilise X3DOM (un frontal libre à WebGL pour représenter les robots et leur environnement en 3D dans le navigateur. La simulation, assez réaliste, tourne dans le cloud sur des serveurs GNU/Linux. Notre petit programme en Python qui contrôle notre robot tourne lui dans Firejail, un « bac à sable » de sécurité pour GNU/Linux.
Bon, mon programme Python a fait une minute, 46 secondes et 51 dixièmes sur le sprint du robot humanoïde, c’est bien, mais je ne suis pas le plus fort. J’y retourne…
N. D. M. : Robotbenchmark utilise une infrastructure de simulation qui est un logiciel privateur.
Même pour un circuit numérique, il y a une dose d’électronique analogique. « Malheureusement », penseront certains. Voyons le cas des diodes.
Une diode est un dipôle (un bipède électronique), qui a un sens de branchement. Elle existe sous plusieurs formes, avec une tension de référence, à partir de laquelle, le courant qui la traverse peut s’envoler, la tension restant fixe, et la diode se comporte presque comme un fil.

Pour un circuit numérique, il y a toujours une dose d’électronique analogique. “Malheureusement”, penseront certain. Découvrons les condensateurs.
Un condensateur est un bipède, qui a un sens de branchement la plupart du temps, selon la technologie employée, contrairement à la théorie. Sa grandeur principale se mesure en farads (F). Elle va de quelques picofarads (pF) à quelques centaines de farads (F).
La petite équation est I = C*du/dt, l’intensité est proportionnelle aux variations de tension, ou Q = C*U, la (…)

Dans un circuit numérique, il y a une dose d’électronique analogique. “Malheureusement”, penseront certains. Voyons les résistances.
Si on veut utiliser un microcontrôleur pour un projet de robotique ou de domotique, on doit parfois créer sa propre carte numérique, ou créer une carte de périphérique, connecté à une carte numérique plus dense comme l’Arduino ou la Raspberry Pi.
Le but de cet article est de montrer les pièges et embûches à éviter, lorsque l’on essaye d’appliquer la théorie.
Une résistance (…)
La carte programmable Esus est un nouveau projet proposé sur le site de financement participatif Kickstarter.

Elle est conçue pour le contrôle d’un robot mobile ou des projets d’objets connectés. Pour la programmation, elle se programme avec l’IDE Arduino ou en langage Blockly pour les enfants. Un projet GitHub existe et la licence annoncée est Creative Commons BY-SA 3.0.
Bonjour,
Pour le cadeau d'anniv de mon ado je suis à la recherche d'un kit lui permettant de s'initier à la robotique. L'idée est qu'il puisse le faire seul et que le kit soit évolutif. Pour le moment je pensais m'orienter sur une base de Raspberry avec les modules groove.
Il aime bien comprendre comment ça marche mais pour le moment l'informatique est, pour lui, un outil qui doit marcher et si c'est pas le cas "c'est de la merde !!!" ;)
Cher journal,
Je t'écris pour te donner des nouvelles suite à mon précédent message. Pour rappel, j'avais construit un ami fidèle (lui!) afin de combler mon existence un peu terne à ce moment là. Il était équipé d'un Arduino Uno, d'un senseur Infrarouge, d'un pare-choc intelligent créé avec des pailles et d'un châssis en polycarbonate. Il s'appelait J.O.H.N.N.Y 5 et nous avons passé des moments formidables. La transition a été saisissante, ma vie est passée du noir et blanc (…)
La revue de presse de l'April est régulièrement éditée par les membres de l'association. Elle couvre l'actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s'agit donc d'une sélection d'articles de presse et non de prises de position de l'association de promotion et de défense du logiciel libre.