Lien Les détracteurs de l’IA construisent des pièges pour attraper et tromper les robots d’IA

L’open source dans l’informatique embarquée se limitait historiquement aux systèmes d’exploitation et aux compilateurs. On connaît bien GCC, BusyBox et FreeRTOS. Puis, Arduino a fait son entrée dans le monde du semi-professionnel. Mais cela évolue rapidement. Trois domaines se développent avec des logiciels, et, parfois des produits open source, qui commencent à se croiser.
À part les liens Wikipedia, les sites pointés sont en anglais.
Pas de pulsar iconique comme il y a déjà trois ans, mais à nouveau une application GTK/Fortran liée au travail du graphiste Peter Saville au sein du label Factory Records et servant de prétexte à une vaste déambulation entre sub-culture, technologie, blues du lundi et prévention du suicide, guerre froide et ours polaires, jusqu’à aboutir à une destination inconnue de l’auteur lui-même. Notre e-madeleine pour faire revivre un monde disparu est une disquette iconique. Direction Manchester, oasis musicale !
Le robot humanoïde Poppy a été créé en 2012 dans le laboratoire Flowers bordelais de l’INRIA.
Il est open source : sous licence CC-by-SA 4.0 pour le matériel et sous licence GPLv3 pour le logiciel.
Il utilise un RaspBerry Pi 3 ou 4.
Les pièces de robot peuvent être imprimées par une imprimante 3D (les fichiers .STL sont fournis).