Beurt a écrit 1607 commentaires

  • [^] # Re: SUPER!

    Posté par  . En réponse au journal Google se met aussi à reprendre nom et photo pour ses pubs !. Évalué à 2.

    Bah, si tu veux contrôler comment la photo de ton profil Google+ est affiché, alors que tu n'as pas de profil Google+, je crois quand même que la réponse est dans la question…

    C'est bien les questions comme ça… mais… ce n'est pas ma question :-)

    Ma question est: comment empêcher que mes activités et ma photo de mon profil Google (et non Google+ car oui, il y avait un avant Google+) soient communiqués dans les pubs, sachant que la seule possibilité de désactiver cette «fonctionnalité» semble réservée à ceux qui ont un compte Google+ ? (et bien sûr que moi, j'ai pas de compte Google+).

    Car elle est bien là la subtilité: jusqu'alors Google utilisait déjà les photos des profils Google+ dans les pubs et les recommandations (notamment sur Google Play). Dans les nouvelles CGU, Google s'autorise à utiliser toute l'activité sur Google d'un utilisateur, qu'il ait un compte Google+ ou un simple compte Google normal. Or, la possibilité de contrôler cette fonctionnalité n'existe, à ma connaissance, que pour ceux qui ont un compte Google+. Google propose même, pour pouvoir contrôler cette fonctionnalité à ceux qui n'ont pas de compte Google+, d'en créer un ! Ce qui m'ennuie, car je préfèrerai: continuer à ne pas avoir de compte Google+ et ne pas participer aux «recommandations partagées». D'où ma question initiale:

    D'ailleurs, et ceux qui comme moi ont un compte Google, mais pas de compte Google+, ça se passe comment ? (car moi je ne peux pas accéder à cette option !)

  • [^] # Re: SUPER!

    Posté par  . En réponse au journal Google se met aussi à reprendre nom et photo pour ses pubs !. Évalué à 1.

    J'ai déjà lu cette page, bien sûr ! Et justement cette page détaille bien ce qui m'inquiète. Deux citations:

    Dès le début il est écrit que:

    Pour que vos amis et vos proches puissent profiter de vos recommandations, nous affichons parfois sur nos produits et services vos avis, vos recommandations, ainsi que vos autres activités susceptibles de les intéresser. Ces recommandations peuvent notamment apparaître dans des contextes commerciaux tels que la section musicale de Google Play ou les annonces. Le nom et la photo de votre profil sont susceptibles d'y être diffusés également.

    (j'ai ajouté le gras)

    Puis la seconde étape pour désactiver les fameuses recommandations partagées:

    Accédez à la page de configuration des recommandations partagées. Si vous n'avez pas encore de compte Google+, il vous sera demandé d'en créer un.

    (j'ai ajouté le gras)

    J'en déduis que:
    1. Google se réserve le droite «partager» non seulement les «recommandations» (ce qu'il fait déjà depuis plusieurs mois, au moins dans Google Play, mais qu'il faisait aussi tout au début de G+ dans Google Search), mais aussi « vos autres activités susceptibles de les intéresser », donc tout ce qu'ils veulent parmi nos «activités» sur le domaine Google.tld (et donc aussi en dehors de G+).
    2. Pour réguler ce «partage», il faut avoir un compte G+

    J'en reviens donc à ma question initiale:

    D'ailleurs, et ceux qui comme moi ont un compte Google, mais pas de compte Google+, ça se passe comment ? (car moi je ne peux pas accéder à cette option !)

  • [^] # Re: SUPER!

    Posté par  . En réponse au journal Google se met aussi à reprendre nom et photo pour ses pubs !. Évalué à 1.

    Bah, l'option, c'est pour dire si tu veux que ta photo apparaisse sur les trucs sur lesquels tu as fait +1 avec ton compte Google+, donc si t'as pas de compte Google+, la question ne se pose pas, non ?

    Je pense que non, puisque j'ai déjà les +1 de mes connaissances signalés dans le Play Store par ex. (page d’accueil du Play Store: je peux y voir que certaines applis, livres, ou autres ont reçu des +1 de personnes à qui j'ai déjà envoyé un email avec gmail). Donc, ces histoires de +1 qui servent de support publicitaires (avec la photo de la personne), c'est pas nouveau (déjà depuis plusieurs mois que je vois ça).

    Voilà pourquoi je m'inquiète, car désormais Google étend le champ de cette «fonctionnalité» des +1 à d'autres actions comme commenter des contenus ou autres. Je voudrais éviter que mes actions dans les applis Google servent de support publicitaire comme les +1 le font déjà. Or, il ne semble pas possible de l'éviter sans compte Google+ (ou j'ai pas trouvé comment).

  • [^] # Re: SUPER!

    Posté par  . En réponse au journal Google se met aussi à reprendre nom et photo pour ses pubs !. Évalué à 1.

    D'ailleurs, et ceux qui comme moi ont un compte Google, mais pas de compte Google+, ça se passe comment ? (car moi je ne peux pas accéder à cette option !)

  • [^] # Re: Euhh...

    Posté par  . En réponse au journal La popularité d'Androïd bénéficiera t-elle à Linux ?. Évalué à 10.

    S'il vous plait, n'entrez pas en résonance, on ne tiendra pas le coup !

  • [^] # Re: Ni oui ni non : l'anglais c'est vraiment très pratique, mais vraiment très limitant

    Posté par  . En réponse au journal Happy Bastille Day !. Évalué à 3.

    Je suis très heureux de lire que tu parles de la question de la recherche (en informatique par exemple) et du fait de s'exprimer dans une langue non natale… Il est clair qu'il est très difficile pour les chercheurs non locuteurs natifs d'exprimer — par exemple dans leurs interventions et leurs papiers — en anglais et de façon claire et concise des idées très complexes (par exemple des problèmes de modélisation). Les subtilités sémantiques ne sont parfois pas à la portée du locuteur et pire encore, parfois pas à la portée de la plupart des auditeurs/lecteurs !

    Bref: le locuteur croit exprimer quelque chose mais ce qu'il dit n'est pas exactement ce qu'il pense. L'auditeur croit comprendre quelque chose, mais ce n'est ni ce que le locuteur dit, ni ce qu'il pense. Bien sûr, ce genre de malentendu est possible avec des locuteurs/auditeurs natifs ! Ça m'est déjà arrivé dans un contexte fanco-français, mais les chances que ça arrive sont plus grandes en passant par une langue apprise (et j’assiste à ça très souvent avec les confs en anglais).

    Je reviens justement d'une conf scientifique à l'étranger, et franchement et comme d'hab, on comprend mal ce qui est dit/écrit notamment parce que les gens ne s'expriment pas dans leur langue natale. Le malentendu est très fréquent et parfois la lecture des papiers ne suffit pas lever les doutes sur l'incompréhension. Par ailleurs, il se trouve que c'était en Chine et il est clair que lire dans ce journal que l'anglais est simple à apprendre me fait doucement rigoler car ça n'a pas du tout l'air d'être le cas pour les Chinois (qui sont ou seront très rapidement leaders dans tous les domaines de la recherche).

    La question de l'anglais est un débat courant dans ma communauté scientifique qui est très dynamique à l'échelle «locale» (c'est à dire francophone), mais aussi à l'échelle internationale (c'est à dire anglophone) et où certaines recherches françaises de qualité restent méconnues à l'international car mal exprimées en anglais ou pire n'ayant pu passer la barrière du niveau d'anglais requis pour les publi scientifiques. Il est certain (on le voit dans les taux de publications internationales) que les anglophones natifs sont largement avantagés dans la propagation de leur travaux.
    Plein de solutions sont déjà évoquées dans ce journal (les nouvelles langues, un meilleur apprentissage de l'anglais ou du Putong-Hua, etc.), Mais parmi les solutions que je trouve intéressantes (et peu orthodoxe, il faut le dire) c'est l'écriture systématique dans sa langue natale. Il semble que certains cursus préparent les étudiants à lire dans 8 ou 9 langues en plus de leur langue natale. Dans ces cursus on fait correspondre les étudiants: le A écrit dans la langue natale, le B répond dans la sienne et ainsi de suite. Évidement, ça demande un effort colossal d'apprentissage des langues (quoi que avec l'aide des traducteurs automatiques…), mais je trouve le principe sympa car il évite l'appauvrissement des idées qui est une conséquence du passage par le «globish» (anglais qui est compris par tous: phrase courtes, vocabulaire commun, peu de nuances, etc.).

  • [^] # Re: docXXX

    Posté par  . En réponse au journal Pourquoi je suis passé de LibreOffice à une suite propriétaire.... Évalué à 1.

    Je ne crois pas qu'il y ait une version d'Office qui sorte du docX au format OpenXML qui a été standardisé !

  • [^] # Re: Boutique de quartier ?

    Posté par  . En réponse au journal Dell, le degré zéro du service client.. Évalué à 0.

    Ce que je voulais surtout mettre en exergue, mais il fallait lire entre les lignes, c'est que par nature le but du commerce est de faire du bénéfice.

    Oops ! et moi qui rêvait bêtement que le but était de rendre service au autres !

  • [^] # Re: Wai

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Un écart de 28 %. Enfin non, 18%. Enfin en comparant des choux et des carottes. Évalué à 3.

    lorsqu'un gars parmi 10 n'hésite pas une seconde à se jeter dans une maison en flamme pour sauver un gamin

    Si tu savais combien sont payés les pompiers…

  • [^] # Re: KDE ne chôme pas !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Calligra 2.6. Évalué à 8.

    Ça peut permettre de faire des schéma facilement? L'autre jour j'ai du faire un schéma d'un schéma relationnel (haha), et j'ai fait ça à la Rache™ sur LibreOffice Calc, je peux vous dire que j'ai pleurer pour faire les flèches…

    Gniii ? Pourquoi pas avec LibreOffice Draw qui propose vraiment une tonne de fonctions de dessin, et notamment une très bonne gestion des connecteurs ?

    Le seul défaut -> pas d'export SVG ! (ni d'import correct d'ailleurs)

  • [^] # Re: Et pour la musique ancienne...

    Posté par  . En réponse à la dépêche For musicians only (*), ou petit panorama des éditeurs musicaux libres. Évalué à 2.

    Salut,

    super outil !

    En cherchant un peu d'infos sur l'éditeur en ligne je suis tombé sur jgabc: https://code.google.com/p/jgabc/

    je n'ai pas encore réussi à l'héberger, mais il y a un module pour chrome qui fonctionne bien…

  • [^] # Re: Pas plus sur l'iconographie?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Fleur Pellerin se déclare favorable au logiciel libre, quelques associations réagissent. Évalué à 1.

    Heu… C'est un montage !

  • [^] # Re: historique

    Posté par  . En réponse au journal Qu'est supposée être OpenMandriva ?. Évalué à 2.

    Merci de dés-obscurcir un peu les choses car bien que je sois utilisateur de Mandrake/driva depuis toujours et de Mageia depuis un an, j'ai un peu de mal à comprendre ce qui se passe et de savoir à quel sein me vouer…

  • [^] # Re: rapporter?

    Posté par  . En réponse au journal L'hameçonnage facile avec google. Évalué à 3.

    oui… le lien tout en bas à gauche : signaler une utilisation abusive

  • [^] # Re: Pardonnez ma question

    Posté par  . En réponse au journal et ce qui devait arriver, arriva .... Évalué à 6.

    Et quelle est la question qu'on doit te pardonner ?

  • [^] # Re: Privé moins cher ?

    Posté par  . En réponse au journal L’aventure spatiale perd un peu de sa liberté. Évalué à 0.

    Trop souvent, l'actionnaire n'attend de l'entreprise que des dividendes et ne s’intéresse pas vraiment au service qu'elle peut rendre.

    Mais les clients si. Et sans client, pas de dividende.

    La tendance actuelle des entreprises dont la capitalisation est détenue par des organismes chargé de faire des bénéfices (fonds de pension, banques, etc.) est de ne considérer le client que comme un outil et non comme une fin. Toujours dans le but d'augmenter les dividendes. Si le client peut ne pas être satisfait et le dividende grandir c'est cette option qui sera choisie.

  • [^] # Re: Privé moins cher ?

    Posté par  . En réponse au journal L’aventure spatiale perd un peu de sa liberté. Évalué à -1.

    Tu oublie un point très important. Dans le cas d'un service public, il n'y a pas de concurrence, donc peu d'émulation (sauf cas exceptionnels).

    Non je ne l'oublie pas. La concurrence dans le public peut exister aussi. Il suffit de mettre deux structures en concurrence.
    La concurrence dans le privé a l'effet pervers suivant: on ne cherche pas à fournir un meilleur service, mais le plus rentable (en terme de dividendes), car finalement celui qui a le dernier mot dans une entreprise: c'est son actionnaire (et non le client ou l'utilisateur final). Trop souvent, l'actionnaire n'attend de l'entreprise que des dividendes et ne s’intéresse pas vraiment au service qu'elle peut rendre. Et le financiarisation de l'économie tend à augmenter cette tendance.

    La question est plutôt de savoir pourquoi certains pourraient vivre tranquillement alors que d'autres bossent beaucoup pour arriver à vivre.

    La privatisation ne sera jamais une réponse à cette question: elle ne fait (et ne fera) qu'accentuer les inégalités. Avec en plus le bénéfice que les citoyens n'auront plus aucun contrôle sur ces inégalités.

    C'est surtout parce que l'état le veut bien. Sinon, il mettrait des normes plus strictes.

    L'expérience montre qu'un état qui dépend d'une entreprise ne peut plus rien lui imposer (voir les crises actuelles avec l'impuissance des états face aux banques dont ils se sont rendu dépendants).

  • [^] # Re: Privé moins cher ?

    Posté par  . En réponse au journal L’aventure spatiale perd un peu de sa liberté. Évalué à -1.

    Au moins le service public d'état est sous contrôle démocratique. Les entreprises: non (et les crises financières actuelles tendent à montrer que ce serait plutôt l'inverse en ce moment…)

    J'ai bien rît. Tu crois sérieusement ta phrase?
    Pourquoi serait-elle moins vrai que ma phrase : le but du service public est d'engraisser les gens ayant un bon carnet d'adresse pour être "embauché", et soutirer des sous d'un monopole sans que les citoyens puissent dire non à cette chose qu'ils n'utilisent pas

    Ce paragraphe n'a ni queue ni tête ! Qui est ce "service public" si méchant dans tes propos ? Le service public d'état n'est que ce que les élus en font. L'engraissement par carnet d'adresse existe dans toutes les structures, y compris privées. La question reste quel est le but de l'entreprise (publique ou privée), ou plutôt qui définit ce but et avec quelles motivations.

    • public: c'est l'exécutif qui définit ces buts avec théoriquement l'objectif de servir les citoyens (reste à choisir les bons élus, mais c'est quelque chose que nous pouvons faire)
    • privé: ce sont les propriétaires/actionnaires qui définissent les buts, avec pour objectifs d'augmenter la plus-value de leur investissement (là dessus, les citoyens, mais aussi les clients, n'ont quasiment aucun contrôle).
  • [^] # Re: Privé moins cher ?

    Posté par  . En réponse au journal L’aventure spatiale perd un peu de sa liberté. Évalué à 1.

    Qu'est-ce qui emperchait la NASA de faire un véhicule équivalent au Dragon ?

  • # Privé moins cher ?

    Posté par  . En réponse au journal L’aventure spatiale perd un peu de sa liberté. Évalué à -5.

    Encore ce dogme étrangement illogique qui prétend que le privé est moins cher que le public alors que si on y réfléchit c'est tout simplement impossible:

    • le but d'un service public d'état est de fournir le meilleur service au public
    • le but d'un service public privé est de répondre au cahier des charges en dégageant un maximum de bénéfices. Ces deux derniers aspects étant évidement un peu contradictoires. Et les tensions provoquées par ce paradoxe sont au cœur de ce que l'on appelle la concurrence (faire varier la proportion respect du cahier des charges/bénéfice… Une autre variable d'ajustement est popularisée depuis une 40aine d'année par les acteurs du privé: paupériser les salariés).

    Si la NASA abandonne ses navettes pour du transport spatial privé ce n'est certainement pas pour baisser le coût du transport spatial pour l'état (puisque il ne sera jamais moins cher qu'avec une entreprise publique¹). C'est pour transférer l'argent dédié au programme spatial à des acteurs privés et donc au marché (investisseurs, fonds, de pension, etc.)
    On est ici dans le dogme de la financiarisation de l'économie: une économie boursière libérale est meilleure qu'une économie dominée par l'état.

    ¹J'entends déjà les néolibéraux dire: «mais dans le public c'est plein de salariés grassement payés et qui foutent rien». Même si c'était vrai, et alors ? Est-ce vraiment un coût pour un état d'avoir des citoyens qui vivent bien de et avec leur travail ? Par contre c'est un coût d'avoir des citoyens paupérisés et épuisés par le travail. Car la privatisation engendre surtout des coût sociaux tout à fait considérables (mais qui certes se payent plus sur le long terme).

  • [^] # Re: Monnot Paul

    Posté par  . En réponse au journal Top 5 des meilleurs excuses pour utiliser Windows. Évalué à 10.

    Microsoft est monté en puissance uniquement avec sa politique de vente liée et son marketing monstre,

    Comme d'habitude : c'est toujours la faute des autres les méchants, ne jamais remettre en question son poulain.
    Non, c'est pas que ça. C'est que Microsoft a répondu au besoin des gens, qu'ils soient utilisateurs (faire des trucs de base sans passer par la ligne de commande, oui c'est important. Envoyer chier les gens en leur disant que pour être pur, faut apprendre une langue barbare, les gens disent merde) ou fabriquants (ne pas avoir d'interface stable pour les pilotes, dire "c'est soit libre, soit va te faire foutre, ben les gens vont ailleurs).

    Mais de quoi tu parles ???

    Le commentaire auquel tu crois répondre dit:

    "Windows c'est bien, c'est graphique et pour tous" : c'est pas comme si Atari ST, Amiga, NeXT, Acorn Risc OS, Macintosh n'existaient pas en 1995. BeOS était pas loin de sortir d'ailleurs, et Microsoft l'a tué. Microsoft est monté en puissance uniquement avec sa politique de vente liée et son marketing monstre, pas pour ses qualités intrinsèques : les autres OS de la même époque étaient plus performants, voire même plus ergonomiques (NeXTstep…)

    et tu réponds:

    Envoyer chier les gens en leur disant que pour être pur, faut apprendre une langue barbare, les gens disent merde

    ???

    Mais de quoi tu parles ? Les gens qui utilisaient des Atari ST, Amiga, Acorn Risc OS et Mac avaient besoin de la ligne de commande, ou d'apprendre une langue barbare ? Pas moi en tout cas…

    Le reste de ton message ne parle que de Linux alors qu'une fois encore favardin n'en parle pas…

    Tu réponds à coté par stratégie ou par maladresse ? Parce que dans les deux cas c'est couillon.

  • # Mars One et ça repart !

    Posté par  . En réponse au journal Il était une fois, un petit pas... Maintenant, c'est 6 grandes roues !. Évalué à 1.

    Je suis super emballé par Curiosity !

    Mais je viens d'apprendre qu'un nouvelle société vient de se constituer (notamment avec un ancien producteur de l'émission Big Brother d'Endemol) autour d'un projet encore plus ambitieux financé par la «téléréalité»: Mars One ! http://mars-one.com/en/

    L'idée étant ni plus ni moins que d'envoyer (sans billet de retour) des colons sur Mars d'ici 2023…

  • [^] # Re: Pas Linux, mais Ubuntu

    Posté par  . En réponse au journal Linux, ce méconnu. Évalué à 8.

    En tout cas, quand les gens remarquent que je suis sous Linux, ils ne me demandent pas si je suis sous Linux mais "Tu es sous Ubuntu ?¹" (Alors que ma Mageia avec KDE n'a pas vraiment une tête d'Ubuntu…)

    ¹ C'est un peu insultant quand même…

  • # Très pratique !

    Posté par  . En réponse au journal Zen coding pour Kate. Évalué à 7.

    Ah ben merci voilà un bidule bien pratique ! (à noter que ça marche aussi dans kwrite et tout ce qui utilise katepart).

  • # 3 jeux de plus !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Humble Indie Bundle n°5 est disponible. Évalué à 3.

    Pour ceux qui paient plus que la moyenne, le Humble Indie Bundle V vient de s'enrichir de 3 jeux (qui étaient déjà distribués dans des Bundles précédents, mais qui n'en sont pas moins des hits):
    - Braid
    - Lone Survivor
    - Super Meat Boy

    (actuellement plus de 400000 Bundles V vendus pour plus de 3,3 millions de $. Il semble que ce soit un record)