En théorie c'est sympa ton exemple, mais dans la pratique ça ne se passe(ra) pas comme ça !
J'ai envie de répondre "et pourquoi pas".
La raison de mon journal est bien que dans la pratique ça ne se passe pas comme ça, je m'interroge donc si ça pourrait le devenir, et de manière simple !
Quand tu dis "je veux voir mes mails", tu utilises un logiciel ad-hoc (thunderbird par exemple)
Oui, mais là c'est facile : tu pars du principe que tu sais déjà ce que tu veux (utiliser un client imap pour te connecter à un serveur imap).
"Voir de mails" n'implique pas du tout d'utiliser Thunderbird ni de dialoguer en Imap.
À quoi sert-il que thunderbird puisse savoir que le serveur propose en plus le protocole MON_PROTOCOLE qu'il ne gère pas ?
J'ai donné l'exemple d'un client mail, c'est une illustration, mais on peut imaginer des cas où c'est utile. Déjà, en tant que simple utilisateur, j'aimerai pouvoir demander ce que le serveur propose, et peut-être alors que je choisirai un autre logiciel !
Ensuite, le logiciel dans lequel tu entre ton adresse d'identité et ton mot de passe n'est pas nécessairement un logiciel de courrier, cela peut-être un outil tel que celui-là :
(c'est le nouveau gestionnaire de compte en ligne de Gnome)
Ce logiciel, il ne cherche pas spécifiquement à te connecter à ta boîte mail, il cherche les services associés à ton compte identité.
S'il y a une boîte mail associée, il configurera ton client mail, s'il y a une service de messagerie associée, il configurera ton client IM, et ainsi de suite.
On peut imaginer qu'un tel outil puisse te connecter à un service de musique en ligne ou un bugtracker…
Je peux encore donner l'exemple du compte Ubuntu One : il propose un volume de stockage distant, on peut télécharger de la musique… Actuellement il faut un outil spécial pour se connecter à Ubuntu One, dans le bureau Ubuntu on a donc deux outils de connexion : celui de la copie d'écran, et celui d'Ubuntu. Pour le deuxième, ça ne marche que parce qu'on a déjà la réponse préinstallé dans un paquet .deb !
On a vu apparaitre sur nos bureaux linux des supers plugins qui savaient automatiquement récupérer des plugins manquant, on peut imaginer que le gestionnaire de connexion sus-cité propose le logiciel le plus adapté, ou un plugin dans le dépôt de la distribution !
J'imagine bien un message "Votre logiciel ne supporte que l'IMAP, mais vous ne pourrez pas classer vos conversations par tag, un plugin gère le protocole IMAP++ recommandé par votre fournisseur, voulez-vous l'installer ?".
Si le serveur ne déclare pas les ressources mais se laisse seulement interrogé, cela signifie que le "gestionnaire de connexion" doit être mit à jour à chaque nouveau protocole ou version, pour pouvoir interroger ce protocole nouveau (et cela signifie qu'il doit savoir parler ce protocole !). Si le seruveur déclare ses ressources, et que les logiciels clients déclarent les ressources gérées, alors le gestionnaire de connexion peut les relier entre eux sans rien connaitre du fonctionnement de ces protocoles : le client qui s'est vanté de savoir le faire s'en occupe !
C'est pour cela aussi que je vois plus la description selon l'usage que selon le protocole, ce que ne font pas les DNS SRV. Quand on demande un serveur imap j'ai envie de dire qu'on l'a déjà trouvé !
Le client email n'a qu'à fait une requêtes DNS SRV sur les protocoles qu'il supporte lors de l'auto-configuration et, hop, le tour est joué !
Comme dit plus ailleurs dans la discussion, il y a plein de protocoles qui fonctionnent sur http, je crois que les plugin du logiciel evolution pour les calendrier et contacts google passent par http, le DNS SRV ne déclarent rien dessus, je pense. Le DNS peut déclarer les miroirs de ces serveurs http, mais pas dire lesquels font du calendrier sur http !
Il faut bien pouvoir demander à un moment "tel usage" et se voir répondre "tel protocole et telle ressource". Ça n'enlève pas l'utilité du DNS SRV, c'est complémentaire : dans certains cas il suffirait seulement de répondre le protocole et le DNS SRV complèterait alors avec l'adresse du serveur.
Le DNS SRV ne répond pas à la question des usages mais à la question des moyens.
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Ce n'est pas une critique envers le fait que ce soit un crayonné ou du noir et blanc, hein…
Par exemple les textes sont très peu lisibles ! La définition est très mauvaise. Ils sont obligés de faire du monochrome strict ? Et même en monochrome, on peut tout de même nettoyer les quelques pixels parasites ! Là ça fait très mauvais scan sorti d'un scanner monochrome (pas niveaux de gris) avec une très basse résolution ! Même les cliparts de win95 étaient plus soignés
Déjà en résolution normale c'est pas génial, mais dès que l'image est un tout petit peu réduite ça pique les yeux, rien que pour lire !
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Heureusement que c'est libre, on peut le redessiner en plus lisible, parce que pour le moment ce n'est qu'un brouillon !
après on s'étonne que certains trouvent que les logiciels libres manquent de finition… mais ça doit être un état d'esprit en fait :/
Non, vraiment, je trouve l'initiative sympa et l'idée du dessin excellente, même si le jeu de mot avec boot ne passe pas la traduction, mais je trouve dommage qu'on se satisfasse d'une telle qualité. L'essentiel est fait, il ne manque que la finition…
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Pouvoir référencer les outils répondant à un besoin/usage donné. En effet il ne suffit pas de cercher un protocole donné ou un serveur donné pour tout savoir. Autant un serveur imap annonce qu'il supporte le chiffrement ou non, et les formes de connexion possible, mais un serveur http ne décrit pas les services disponibles, qui sont établis sur une couche encore supérieure.
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Tu as cerné exactement le problème que je voulais décrire ! Le problème est sémantique !
J'ai reregardé les SRV suite au message de Gilles Mocellin, plus haut, wikipedia me dit par exemple :
Un enregistrement SRV contient les informations suivantes :
Service: le nom symbolique du service concerné.
Protocole: généralement, c'est soit TCP, soit UDP.
Nom de domaine: le domaine de validité de l'enregistrement.
[…]
Par exemple, un enregistrement SRV peut ressembler à ceci : _sip._tcp.example.com. 86400 IN SRV 0 5 5060 serveursip.example.com.
La personne qui fait la requête SRV sait déjà ce qu'il cherche : il cherche du sip sur tcp !
hors moi je voudrais pouvoir demander à un serveur ce qu'il propose pour un usage, mais point de vue humain.
Q : je veux voir mes mails
R : je propose de l'imap ou de l'exchange pour ça
Q : je veux discuter (voix, texte)
R : je propose du XMPP, du SIP et un serveur murmur !
Q : je veux mes contacts
R : ils sont dans le compte exchange ou le compte XMPP !
Après ça, SRV peut servir à trouver les serveurs, en effet…
En plus, une telle méthode permettrait d'annoncer des protocoles expérimentaux pour un usage habituel
Q : je veux voir mes mails
R : je propose imap, mais aussi x-google-maboiteaulettre
avec le SRV, on sait déjà ce qu'on cherche, donc on ne saura jamais qu'il y a de nouvelles méthodes.
Et oui il y a certainement, en associant tout ce qu'on connait, la possibilité d'annoncer et rechercher… mais ce n'est pas adopté. Peut-être que ce n'est pas adopté parce que l'actuel n'est pas évident et ne répond que partiellement au besoin, et qu'il faut cumuler plusieurs services pour avoir ce qu'on veux !
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Je m'attendais à ce quelqu'un me fasse remarquer que je demandais quelque chose de KISS tout en donnant un exemple de requête HTTP GET (pas qu'HTTP ne soit pas KISS, mais que c'est fait pour tout faire !), c'était un très discret œuf de troll pour le vendredi ! :)
les enregistrements SRV ont été créés pour trouver le nom de la machine pour un service donné.
Je ne connais pas bien SRV, mais il me semble, comme tu le dis, que le SRV renseigne un service donné : tu sais déjà quel protocole tu recherche !
Moi je veux savoir quels sont les protocoles disponibles pour un usage. Comme le relève kaouette plus bas, le problème est sémantique.
Et puis l'expérience montre qu'il ne suffit pas de connaître les noms de serveurs mais qu'il faut en savoir souvent un peu plus (port, méthode de chiffrement, les trucs dégueu à la pop-before-smtp (ça existe encore ??) ça ne se devine pas).
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Pour moi, la principale difficulté d'un protocole unique et universel […]
La solution serait de définir une API commune […]
En fait en parlant de protocole je pensais beaucoup à des manières commune de décrire des informations. Je voyais plus le mot protocole comme "les bonnes manières en société" que protocole "comme peuvent l'être HTTP ou XMPP", il n'est peut-être pas nécessaire de toujours établir comment poser les questions etc. mais au moins de définir comment les informations sont récupérables.
Dans mon exemple de balise <share /> plus haut, j'ai utilisé comme exemple les identifiants News/33122 et Comment/1364847, ces identifiants sont tout simplement ceux du flux RSS, je sous entendais que le logiciel qui recevait l'information de cette balise possède également les flux d'informations référencés par la page en question. Après, comment le navigateur transmet ces informations à un quelconque logiciel comme movim, je n'en sais rien, et peu importe en fait.
Il y a plein de choses qui pourraient être beaucoup plus simples si elles étaient simplement décrites.
[edit : bon en fait comme c'est un peu long je vais peut-être faire un journal]
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Oui mais la probabilité d'obtenir une suite de onze 6 après 11 lancés est très faible.
Ça s'appelle de la superstition ! Tu supposes que quelque chose a le pouvoir de piper le dé au onzième lancé parce que ce quelque chose aurait mémoire ou conscience des lancés précédents.
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C'est peut-être pour ça que ça n'a pas trop dérangé les détracteurs de Galilée : il suffit de faire le grand écart en disant que le calendrier est solaire parce que c'est un modèle pratique sans nécessairement reconnaitre l'héliocentrisme.
Cependant, il apparait que Copernic a travaillé sur un premier travail de réforme du calendrier sous Léon X, travaile que Grégoire XIII relancera et terminera. Cette réforme du calendrier est donc difficilement dissociable du système copernicien.
C'est donc autant plus étonnant de constater que le système copernicien qui a servi à l'élaboration (Léon X) du calendrier (Grégoire XIII) fut censuré en 1616 (pape Paul V), ce qui donnera prétexte aux détracteurs de Galilée et donnera matière à sa condamnation (Urbain VIII) il n'est pas condamné pour sa position scientifique mais pour ne pas respecter une décision de justice.
Petite frise chronologique papale :
1513 – 1521 : Léon X -> Paul de Middelburg préside une commission élaborant un nouveau calendrier à la demande de Léon X (1514)
Copernic y participe (1515)
1522 – 1523 : Adrien VI
1523 – 1534 : Clément VII
1534 – 1549 : Paul III
1550 – 1555 : Jules III
1555 – 1555 : Marcel II
1555 – 1559 : Paul IV
1559 – 1565 : Pie IV -> Naissance de Galilée (15 février 1564)
1566 – 1572 : Pie V
1572 – 1585 : Grégoire XIII -> Luigi Lilio, Christophorus Clavius et Pedro Chaco travaillent sur le calendrier (1582)
Grégoire XIII le fait appliquer au monde catholique (14 février 1582)
1585 – 1590 : Sixte V
1590 – 1590 : Urbain VII
1590 – 1591 : Grégoire XIV
1591 – 1591 : Innocent IX
1592 – 1605 : Clément VIII
1605 – 1605 : Léon XI
1605 – 1621 : Paul V -> Attaque de Martin Horky avec argument qui n'a rien de catholique ni scientifique (astrologie) (juin 1610)
-> Attaque sur les corps flottants à la table du grand-duc Cosme II de Toscane
(car héliocentrisme inattaquable scientifiquement) (septembre 1611)
-> Attaque du dominicain Niccolo Lorini dans un sermon (lecture littérale d'un livre biblique
qui relate un évènement surnaturel qui par nature ne peut servir d'argument scientifique) (2 novembre 1612)
-> Attaque du père Caccini (20 décembre 1616), controverse
cardinal Bellarmin (favorable à galilée) calme le jeu par un argument "diplomatique"(12 avril 1616)
système de Copernic pratique pour calcul astronomique, formellement imprudent de l'ériger en vérité physique.
-> Censure de la théorie copernicienne et ratification par le Paul V (25 février et 26 février 1616)
L'arrêté s'étend au monde catholique (comme le calendrier !)
La théorie n'est enseignable uniquement que comme théorie.
-> Un phénomène cosmique relance les discussions (passage de comètes) (1618)
-> Horatio Grassi attaque Galilée par un pamphlet (insinuation religieuses)
Galilée soutenu et encouragé par le cardinal Barberini (futur pape Urbain VIII)
Le jésuite Grassin savant très renommé est ridiculisé, il envoie une lettre anonyme à l'inquisition, non-lieu.
1621 – 1623 : Grégoire XV -> Galilée devient consul de l'Accademia fiorentina 20 janvier 1621
-> Cosme II, protecteur de Galilée, meurt (28 février 1621)
Publication d'une Apologie de Galilée par Tommaso Campanella, hérétique notoire (c'est pas le moment !)
(écrit en 1616, publié en 1622)
1623 – 1644 : Urbain VIII -> Urbain VIII (l'ami Barberini) autorise la publication du nouveau livre de Galilée (3 février, 20 octobre 1623)
-> Urbain VIII charge Gélilée d'écrire un livre de présentation impartiale des deux systèmes.
-> protégé par Urbain VIII et Ferdinand II de Médicis, Galilée fait paraître son livre (21 février 1632)
Mais il y moque le géocentrisme de Ptolémée, le pape ne peut le protéger.
-> Galilée convoqué par le Saint-Office (1er octobre 1632)
Il lui est reproché de ne pas respecter une décision de justice, sa thèse n'est pas reprochée.
-> Galilée est condamné et abjure, son livre est interdit (22 juin 1633)
peine de prison changée en assignation en résidence par Urbain VIII
-> Mort de Galilée 8 janvier 1642
Wikipédia précise :
Le texte de la sentence est diffusé largement : à Rome […] Florence […] Allemagne […] Pays-Bas Espagnols […]. Les décrets du Saint-Office ne seront jamais publiés en France, mais, prudemment et pour éviter la controverse, René Descartes renonce à faire paraître son traité du monde et de la lumière.
Beaucoup (y compris Descartes), à l'époque, pensèrent que Galilée était la victime d'une cabale des Jésuites qui se vengeaient ainsi de l'affront subi par Orazio Grassi dans le Saggiatore.
Justement, pourquoi se limiter au web ? Pourquoi ne pas avoir un protocole général qui me permettrait d'avoir un bouton "like" également dans mon client P2P, mon client XMPP ou mon gestionnaire de paquets ?
Évidemment, d'ailleurs certains discutaient plus haut du partage de fichiers, ces fichiers ne sont pas nécessairement sur le web.
J'ai aussi cité le taggage de photo. Je n'ai donné que l'exemple du "like", mais c'est aussi tagger une personne (associée à une identité) à certaines coordonnées d'une photo, placer un marqueur temporel sur une vidéo, etc…
Je n'ai donné qu'un exemple de balise web parce que c'était, je pense, un exemple d'implémentation qui pouvait parler à beaucoup. Mon commentaire était déjà long ! Dans l'exemple de cette balise, ce serait bien un protocole non spécifique au web qui serait utilisé par le client web, qui récupèrerait les infos de la page web et qui l'enverrait à Movim. Le but d'une balise web c'est que le "code" qui l'interprète soit dans le client, et normalisé, au lieu de lancer un javascript douteux ! Le même protocole pourrait être utilisé ailleurs que sur le web.
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Ah c'est déjà une solution intéressante pour "faire avec" l'existant. En attendant des jours meilleurs avec des protocoles ouverts et sans nécessité d'importer/exécuter du code extérieur…
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Pour le partage de documents il existe deux façon de faire, soit tu fait un espèce de P2P entre les deux clients, soit tu balance ça sur un serveur et tu file une url (plus simple à implémenter), la première est standardisé l'autre c'est juste un hack :)
On peut imaginer un serveur (pas un p2p) qui utiliserait le protocole de son choix (https, sftp), mais qui aurait aussi une identité sur le réseau XMPP.
Cette identité serait capable de fournir l'url du contenu s'il est déplacé.
l'utilisateur illwieckz@toto.net fait héberger ses photos par le service photosharing.com.
Le service photosharing aurait un compte bot@photosharing.com, il possède un portefeuille d'identifiant, et peut servir la photo associée sur un quelconque miroir sur un quelconque protocole.
Quand illwieckz@toto.net ajoute une photo sur le serveur photosharing.com, les photos sont hébergées sur photosharing.com, mais le portefeuille d'illwieckz.net contient une entrée photo (illwieckz@toto.net)/uuid-111-222-333.jpg qui est un alias vers (bot@photosharing.com)/uuid-111-222-333.jpg
On a toujours un système client/serveur (compatible pour la masse), mais on n'est pas limité à garantir l'a pérennité d'une url.
Après on peut imaginer que le client fasse cache ou bien que movim.eu duplique la photo sur http://cdn.movim.eu et l'annonce à photosharing.com, on en viendrait à développer un p2p, mais là encore, le système serait utilisable même si le client ne fait pas p2p smartphone par exemple).
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Évidemment que c'est voulu pour facebook, sauf qu'un projet comme Movim¹ n'a pas besoin de cette stratégie, et j'espère que des projets libres aux protocoles ouverts exploreront cette direction.
Je pense que le réseau social devrait être l'Internet, il faut donc ajouter un protocole social sur internet.
Les trucs à la facebook ne sont que des terminaux qui n'ont en rapport avec Internet que le fait d'avoir une interface écrite avec des technos web.
Ploum parle de blog un peu plus haut. Dans facebook on peut écrire son humeur sur son mur, dire qu'on aime des liens, ou écrire des articles. Ces articles pourraient être sur un blog public. Il suffirait que les logiciels de publications implémentent un protocole d'annonce, ainsi, dès qu'une moule publie un journal sur DLFP ou un article sur son blog perso, ses copains XMPP voient une annonce "Untel vient de parler à Nal !".
Pour faire ça avec fb ou d'autres, encore une fois, il faut faire une app facebook, insérer du code fb etc. et ce pour chacune des plate-formes sociales
existantes. Avec un protocole d'anonnce inter-application, on pourrait avoir moulte serveurs d'identité sociale, moulte logiciels de blogs compatibles, et moulte clients.
Dans les commentaires de cette dépêche certains parlent de séparation vue/moteur… Movim n'a pas forcément à tout gérer.
Par exemple, le partage de photo (très utilisé sur fb) :
Ce n'est pas forcément à Movim d'héberger les photos sur lesquelles on tagge les lieux et les personnes présentes, et qu'on commente.
Il pourrait y avoir plusieurs hébergeurs de photos qui exporteraient un identifiant pour chaque photo, et Movim associerai à cet identifiant les tags (lieux, personne), et les annoncerait aux amis de celui qui taggue.
Il y a un avantage qu'il ne faut pas oublier : c'est que ce type de méthode peut être implémenté par les "grands" (à la flickr, tumblr) qui pourraient toujours fournir un service plein de pub au péquin moyen. Ils assumeraient toujours leur rôle d'hébergeurs de photo pour la masse, ils n'auraient pas à craindre un "aspirateur de contenu" comme facebook puisque le réseau social serait Internet. Et le geek, le libriste et le soucieux de sa vie privé pourrait utiliser son propre serveur de photo, et avoir son propre compte social sur son serveur social connecté au reste du monde.
¹ je cite Movim en exemple parce que c'est celui de la dépêche, je n'ai aucune préférence pour le moment
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Euh, la « seconde qui existe vraiment », c'est une explication qui ne veut rien dire. C'est les humains qui décident de comment appeler les choses, qu'il décident d'appeler « minute » 61 secondes, ou « seconde », 999/1000 d'une seconde habituelle (cf UTC-SLS plus bas que je viens de découvrir), ça ne change rien à ce qui existe ou non.
Que ça existe ou non, les machines fournissent des services pour des humains.
Si les humains ont dit "il y aura 61 secondes telle minute du 30 juin 2012", il faut que la machine fasse en sorte que cette minute dure 61 secondes et non 60. La machine est au service de l'humain même si cet humain est complètement tordu.
C'est l'homme qui a décidé ce qu'était une seconde, comme tu les dis, et c'est justement pour cela qu'il peut aussi définir des minutes de 61 secondes.
Le temps existe sans l'homme, mais la seconde ou la minute n'existent que parce que l'homme les ont définies.
Cette seconde intercalaire existe parce que l'homme l'a défini. Si ta machine rajoute un millième de seconde toutes les secondes pendant 1000 secondes, ta machine arrive au même instant que la machine qui a compté 61 secondes la dernière minute, mais son comptage est erroné : elle a compté une seconde de moins. Elle sonne minuit au même instant mais elle n'a pas compté le nombre de secondes voulu et défini par l'homme, elle est donc défectueuse.
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Ce qui est intéressant, c'est que seul mon fournisseur de service connaît ce que je lis, pas les fournisseurs de services de mes amis ni ceux "assez gros" pour avoir une place sur la page.
Parce que bon, en ayant ni compte fb, ni twitter, ni g+, ni je ne sais quoi, il suffit qu'il y ai les boutons [Like] [Twit] [+1] sur les pages que je visites pour que je sois tracé par ces trois là.
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Ce qui m'intéresse, dans tous ces "réseaux sociaux", c'est de voir comment on peut éviter les erreurs à la facebook (et équivalents) qui rendent indissociable l'interface utilisateur et les protocoles derrière.
Par exemple : le bouton "J'aime" de facebook : il faut ajouter un script de chez facebook.
Conséquence : les visiteurs exécutent tous du code facebook !
Alors qu'on pourrait imaginer une balise du genre :
<shareid="News/33122"opt="like">J'aime cette dépêche</share>
Qui afficherait un bouton "J'aime cette dépêche", si je clique dessus le navigateur transmet au logiciel Movim ou autre (pas nécessairement une webapp) que j'aime l'élement News/33122, avec le flux atom il récupère le titre, le contenu, une image, et sur le "mur" du client il diffuse un truc du genre :
Une fois n’est pas coutume, Movim est à nouveau très en retard. Ceci dit, cette version pourrait être considérée comme majeure dans le processus de développement tant les évolutions sont importantes.
Movim (My Open Virtual Identity Manager) est un réseau social décentralisé écrit en PHP basé sur XMPP. Si vous avez perdu le fil, voici […] lire la suite
ou bien
<shareid="Comment/1364847"opt="like"/>
qui afficherai un simple bouton "J'aime"
Et là encore les logiciels trouveraient les informations correctement renseignées dans les divers flux atom.
J'en parlais dans un récent journal et une grille comparative est tenue à jour, pour ceux qui acceptent d'éditer […] lire la suite
En retour, si le profil est publique, le client Movim ou assimilé enverrait un identifiant du type illwieckz@monfournisseur/uuid à LinuxFR
Si la ressource illwieckz@monfournisseur/uuid est disponible, LinuxFR m'inscrit dans la liste des gens qui "aiment" ce contenu.
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Pour la petite histoire, lorsque le pape Grégoire X (pas 10, X pour je ne sais plus) à imposé son calendrier, il a zappé d'un coup le décalage accumulé en divisant la durée du mois courant par deux ! ce qui a eu des conséquences assez tordues sur la vie courante des gens : comment vous faites lorsque votre proprio vous réclame un loyer complet et que votre patron ne vous paie qu'un demi salaire ?
Tout à fait, ce qui fait que Thérèse_d'Avila est morte dans la nuit du jeudi 4 au vendredi 15 octobre 1582 (et c'était le pape Grégoire XIII, le X n'était pas loin ;).
En l’occurrence, ce n'est pas très problématique d'être payé un demi salaire puisque vous avez réellement travaillé un demi mois. Si tu es payé à l'heure, cela ne pose aucun problème. Tout ça ce sont des questions légales, comme l'a écrit 2ptitsverres : ça se résout par la loi.
(et juste pour le goût du troll, le calendrier grégorien a donc été imposé par un pape catholique en 1582. Le calendrier grégorien est un calendrier solaire, c'est à dire qu'un pape catholique a imposé de calculer les dates en partant du principe que la terre tourne autour du soleil. À cette époque, Galilée avait 18 ans. Les attaques contre Galilée commenceront vraiment autour des années 1610, il avait donc plus de 45 ans, et Galilée fut condamné en 1633 (69 ans). Lorsqu'il fut condamné, cela faisait déjà 51 ans que ses détracteurs calculaient leurs jours selon la rotation de la terre autour du soleil, certains n'avaient peut-être même pas connu autre chose qu'un calendrier héliocentrique. Était-ce une attaque scientifique, religieuse, ou n'était-ce pas plutôt une attaque personnelle qui a instrumentalisé la science et la foi ?)
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Euh, la « seconde qui existe vraiment », c'est une explication qui ne veut rien dire. C'est les humains qui décident de comment appeler les choses, qu'il décident d'appeler « minute » […]
Et les humains fournissent [par l'intermédiaire de machines] des services pour les humains.
Par exemple, je travaille pour une radio. Cette radio fait partie d'un réseau national de radios locales. Nous avons un calendrier précis de balises, ces balises sont des secondes de silence pendant lesquelles ont peut raccrocher ou décrocher c'est à dire passer d'un programme (national par exemple) à un autre programme (local). Dans notre radio nous avons la particularité d'avoir deux programme locaux, parfois communs, parfois dissociés.
Tout ça est donc géré à la seconde près. Il faut que nous décrochions ou raccrochions, c'est à dire commencions ou terminions nos émissions à la même heure et même minute et même seconde que l'autre programme commence ou termine, en même temps que nous basculions les sources sonores. Lorsque nous décrochons en local il y a toujours du son sur le national vu que d'autres radio locales ne décrochent pas forcément à cette balise là, mais à d'autres. Parfois certains décrochages se font manuellement (émission en direct, par exemple).
Il faut donc que le système de gestion du temps utilise le temps des humains. Nos automates utilisent les secondes humaines, pas le temps Unix ou que sais-je. Quand je prends la balise de 17:59:01, je prends 17:59:01, que j'ai eu une minute de 60s ou de 61s dans la nuit qui a précédé.
C'est un homme qui écoute la radio, c'est donc à sa perception humaine de l'heure que nos machines doivent se plier.
L'auditeur a une grille de programme dans la main, ce programme est un calendrier humain.
Si le programme national gère la 61ème seconde mais pas le local, ou l'inverse, alors à chaque balise on peut se retrouver avec une seconde d'émission parasite. C'est dégueu !
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Moi je l'ai eu sur une bécane, sur un vieux service proprio usé par tout les bouts mais malheureusement irremplaçable. Évidemment je ne l'ai vu qu'au réveil… et remettre tout ça en état m'a fait rater la messe !
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C'est un peu la gestion par défaut, aussi. :/ (Debian/LibreOffice).
C'est une vraie critique ça, le kerning est moisi sur cet exemple. Je ne sais pas trop à qui il faut l'attribuer.
Aussi je ne sais plus trop quelle police était utilisée dans ce document bidon, c'est peut-être la faute à la police !
J'avoue que ce n'est pas avec cette machine que je tappe mon texte d'habitude, mais c'est celle que j'avais sous la main pour faire une copie d'écran (et cette machine est prévue pour afficher des consoles).
…et puis s/personalisé/personnalisé/, ça aussi ça pique les yeux !
Au fait… quelqu'un sait pourquoi OOo et LibO utilisent par défaut les polices microsoft quand elles sont disponibles (ce ne sont pas celles-utilisées dans l'exemple) ? Je comprends qu'elles soient utilisées lorsqu'on ouvre un .doc venant de Windows, mais pourquoi les utiliser dans les nouveaux documents ?
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Pour ceux qui ça intéresse, chez moi Writer ressemble à ça :
Je trouve qu'il n'y a pas mieux pour être productif proprement !
Pas de formatage direct, la liste des styles et le navigateur sous le coude, et quelques boutons pratiques (afficher le fond des champs, afficher le fond les caractères non imprimables, exporter en PDF, annoter)…
Je crée un nouveau titre en écrivant son nom dans le champ prévu à cet effet, il est donc automagiquement attribué au paragraphe courant, puis je l'édite !
(En fait, mon Writer ressemble plus exactement à cela : ,
mais je comprendrai que certains soient rebutés par le sombre)
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[^] # Re: libre n'est pas nécessairement brouillon !
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Secure boot : le dessin !. Évalué à 2.
Ah merci ! vive le libre qui permet d'apporter de telles modifications :D
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[^] # Re: libre n'est pas nécessairement brouillon !
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Secure boot : le dessin !. Évalué à 10.
Bon ok, j'avoue, avec des années d'expérience de lecture de captchas j'ai trouvé celui là très très facile ! :)
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[^] # Re: Sémantique
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Décrire les services servis et comment s'y connecter. Évalué à 3.
J'ai envie de répondre "et pourquoi pas".
La raison de mon journal est bien que dans la pratique ça ne se passe pas comme ça, je m'interroge donc si ça pourrait le devenir, et de manière simple !
Oui, mais là c'est facile : tu pars du principe que tu sais déjà ce que tu veux (utiliser un client imap pour te connecter à un serveur imap).
"Voir de mails" n'implique pas du tout d'utiliser Thunderbird ni de dialoguer en Imap.
J'ai donné l'exemple d'un client mail, c'est une illustration, mais on peut imaginer des cas où c'est utile. Déjà, en tant que simple utilisateur, j'aimerai pouvoir demander ce que le serveur propose, et peut-être alors que je choisirai un autre logiciel !
Ensuite, le logiciel dans lequel tu entre ton adresse d'identité et ton mot de passe n'est pas nécessairement un logiciel de courrier, cela peut-être un outil tel que celui-là :
(c'est le nouveau gestionnaire de compte en ligne de Gnome)
Ce logiciel, il ne cherche pas spécifiquement à te connecter à ta boîte mail, il cherche les services associés à ton compte identité.
S'il y a une boîte mail associée, il configurera ton client mail, s'il y a une service de messagerie associée, il configurera ton client IM, et ainsi de suite.
On peut imaginer qu'un tel outil puisse te connecter à un service de musique en ligne ou un bugtracker…
Je peux encore donner l'exemple du compte Ubuntu One : il propose un volume de stockage distant, on peut télécharger de la musique… Actuellement il faut un outil spécial pour se connecter à Ubuntu One, dans le bureau Ubuntu on a donc deux outils de connexion : celui de la copie d'écran, et celui d'Ubuntu. Pour le deuxième, ça ne marche que parce qu'on a déjà la réponse préinstallé dans un paquet .deb !
On a vu apparaitre sur nos bureaux linux des supers plugins qui savaient automatiquement récupérer des plugins manquant, on peut imaginer que le gestionnaire de connexion sus-cité propose le logiciel le plus adapté, ou un plugin dans le dépôt de la distribution !
J'imagine bien un message "Votre logiciel ne supporte que l'IMAP, mais vous ne pourrez pas classer vos conversations par tag, un plugin gère le protocole IMAP++ recommandé par votre fournisseur, voulez-vous l'installer ?".
Si le serveur ne déclare pas les ressources mais se laisse seulement interrogé, cela signifie que le "gestionnaire de connexion" doit être mit à jour à chaque nouveau protocole ou version, pour pouvoir interroger ce protocole nouveau (et cela signifie qu'il doit savoir parler ce protocole !). Si le seruveur déclare ses ressources, et que les logiciels clients déclarent les ressources gérées, alors le gestionnaire de connexion peut les relier entre eux sans rien connaitre du fonctionnement de ces protocoles : le client qui s'est vanté de savoir le faire s'en occupe !
C'est pour cela aussi que je vois plus la description selon l'usage que selon le protocole, ce que ne font pas les DNS SRV. Quand on demande un serveur imap j'ai envie de dire qu'on l'a déjà trouvé !
Comme dit plus ailleurs dans la discussion, il y a plein de protocoles qui fonctionnent sur http, je crois que les plugin du logiciel evolution pour les calendrier et contacts google passent par http, le DNS SRV ne déclarent rien dessus, je pense. Le DNS peut déclarer les miroirs de ces serveurs http, mais pas dire lesquels font du calendrier sur http !
Il faut bien pouvoir demander à un moment "tel usage" et se voir répondre "tel protocole et telle ressource". Ça n'enlève pas l'utilité du DNS SRV, c'est complémentaire : dans certains cas il suffirait seulement de répondre le protocole et le DNS SRV complèterait alors avec l'adresse du serveur.
Le DNS SRV ne répond pas à la question des usages mais à la question des moyens.
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[^] # Re: Champs SRV du DNS
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Décrire les services servis et comment s'y connecter. Évalué à 3.
oui, j'avais omi la définition de règle par souci de concision, ça devient vite compliqué une messagerie !
Je ne connaissais pas XRDS, je me penche dessus merci ! C'est utilisé, sinon pourquoi ?
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[^] # Re: libre n'est pas nécessairement brouillon !
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Secure boot : le dessin !. Évalué à 10.
Ce n'est pas une critique envers le fait que ce soit un crayonné ou du noir et blanc, hein…
Par exemple les textes sont très peu lisibles ! La définition est très mauvaise. Ils sont obligés de faire du monochrome strict ? Et même en monochrome, on peut tout de même nettoyer les quelques pixels parasites ! Là ça fait très mauvais scan sorti d'un scanner monochrome (pas niveaux de gris) avec une très basse résolution ! Même les cliparts de win95 étaient plus soignés
Déjà en résolution normale c'est pas génial, mais dès que l'image est un tout petit peu réduite ça pique les yeux, rien que pour lire !
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# libre n'est pas nécessairement brouillon !
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Secure boot : le dessin !. Évalué à 10.
Heureusement que c'est libre, on peut le redessiner en plus lisible, parce que pour le moment ce n'est qu'un brouillon !
après on s'étonne que certains trouvent que les logiciels libres manquent de finition… mais ça doit être un état d'esprit en fait :/
Non, vraiment, je trouve l'initiative sympa et l'idée du dessin excellente, même si le jeu de mot avec boot ne passe pas la traduction, mais je trouve dommage qu'on se satisfasse d'une telle qualité. L'essentiel est fait, il ne manque que la finition…
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[^] # Re: Champs SRV du DNS
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Décrire les services servis et comment s'y connecter. Évalué à 2.
Et je dirais aussi que sans carnet d'adresse tu ne fais pas grand chose (d'ailleurs beaucoup de monde préféreraient perdre leur mbox que leur carnet)
Ce qui montre bien que les solutions à la DNS SRV ne répondent pas au problème : le protocole ne décrit pas l'usage.
Rien n'empêche de répondre ainsi :
Pouvoir référencer les outils répondant à un besoin/usage donné. En effet il ne suffit pas de cercher un protocole donné ou un serveur donné pour tout savoir. Autant un serveur imap annonce qu'il supporte le chiffrement ou non, et les formes de connexion possible, mais un serveur http ne décrit pas les services disponibles, qui sont établis sur une couche encore supérieure.
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[^] # Re: Sémantique
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Décrire les services servis et comment s'y connecter. Évalué à 6.
Tu as cerné exactement le problème que je voulais décrire ! Le problème est sémantique !
J'ai reregardé les SRV suite au message de Gilles Mocellin, plus haut, wikipedia me dit par exemple :
La personne qui fait la requête SRV sait déjà ce qu'il cherche : il cherche du sip sur tcp !
hors moi je voudrais pouvoir demander à un serveur ce qu'il propose pour un usage, mais point de vue humain.
Q : je veux voir mes mails
R : je propose de l'imap ou de l'exchange pour ça
Q : je veux discuter (voix, texte)
R : je propose du XMPP, du SIP et un serveur murmur !
Q : je veux mes contacts
R : ils sont dans le compte exchange ou le compte XMPP !
Après ça, SRV peut servir à trouver les serveurs, en effet…
En plus, une telle méthode permettrait d'annoncer des protocoles expérimentaux pour un usage habituel
Q : je veux voir mes mails
R : je propose imap, mais aussi x-google-maboiteaulettre
avec le SRV, on sait déjà ce qu'on cherche, donc on ne saura jamais qu'il y a de nouvelles méthodes.
Et oui il y a certainement, en associant tout ce qu'on connait, la possibilité d'annoncer et rechercher… mais ce n'est pas adopté. Peut-être que ce n'est pas adopté parce que l'actuel n'est pas évident et ne répond que partiellement au besoin, et qu'il faut cumuler plusieurs services pour avoir ce qu'on veux !
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[^] # Re: Champs SRV du DNS
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Décrire les services servis et comment s'y connecter. Évalué à 3.
Je m'attendais à ce quelqu'un me fasse remarquer que je demandais quelque chose de KISS tout en donnant un exemple de requête HTTP GET (pas qu'HTTP ne soit pas KISS, mais que c'est fait pour tout faire !), c'était un très discret œuf de troll pour le vendredi ! :)
Je ne connais pas bien SRV, mais il me semble, comme tu le dis, que le SRV renseigne un service donné : tu sais déjà quel protocole tu recherche !
Moi je veux savoir quels sont les protocoles disponibles pour un usage. Comme le relève kaouette plus bas, le problème est sémantique.
Et puis l'expérience montre qu'il ne suffit pas de connaître les noms de serveurs mais qu'il faut en savoir souvent un peu plus (port, méthode de chiffrement, les trucs dégueu à la pop-before-smtp (ça existe encore ??) ça ne se devine pas).
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[^] # Re: décentralisation, protocoles
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Et voici Movim 0.5 « Snowball » !. Évalué à 4. Dernière modification le 05 juillet 2012 à 23:06.
En fait en parlant de protocole je pensais beaucoup à des manières commune de décrire des informations. Je voyais plus le mot protocole comme "les bonnes manières en société" que protocole "comme peuvent l'être HTTP ou XMPP", il n'est peut-être pas nécessaire de toujours établir comment poser les questions etc. mais au moins de définir comment les informations sont récupérables.
Dans mon exemple de balise
<share />
plus haut, j'ai utilisé comme exemple les identifiants News/33122 et Comment/1364847, ces identifiants sont tout simplement ceux du flux RSS, je sous entendais que le logiciel qui recevait l'information de cette balise possède également les flux d'informations référencés par la page en question. Après, comment le navigateur transmet ces informations à un quelconque logiciel comme movim, je n'en sais rien, et peu importe en fait.Il y a plein de choses qui pourraient être beaucoup plus simples si elles étaient simplement décrites.
[edit : bon en fait comme c'est un peu long je vais peut-être faire un journal]
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[^] # Re: J'ai du mal a comprendre
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal 5-sigma: le boson de Higgs est débusqué !. Évalué à 7.
Ça s'appelle de la superstition ! Tu supposes que quelque chose a le pouvoir de piper le dé au onzième lancé parce que ce quelque chose aurait mémoire ou conscience des lancés précédents.
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[^] # Re: Récurent
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Leap second. Évalué à 3.
C'est peut-être pour ça que ça n'a pas trop dérangé les détracteurs de Galilée : il suffit de faire le grand écart en disant que le calendrier est solaire parce que c'est un modèle pratique sans nécessairement reconnaitre l'héliocentrisme.
Cependant, il apparait que Copernic a travaillé sur un premier travail de réforme du calendrier sous Léon X, travaile que Grégoire XIII relancera et terminera. Cette réforme du calendrier est donc difficilement dissociable du système copernicien.
C'est donc autant plus étonnant de constater que le système copernicien qui a servi à l'élaboration (Léon X) du calendrier (Grégoire XIII) fut censuré en 1616 (pape Paul V), ce qui donnera prétexte aux détracteurs de Galilée et donnera matière à sa condamnation (Urbain VIII) il n'est pas condamné pour sa position scientifique mais pour ne pas respecter une décision de justice.
Petite frise chronologique papale :
Wikipédia précise :
Sources :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Passage_au_calendrier_gr%C3%A9gorien
https://fr.wikipedia.org/wiki/Copernic
https://fr.wikipedia.org/wiki/Galil%C3%A9e_%28savant%29#La_censure_de_la_th.C3.A8se_copernicienne_.281616.29
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_papes
http://366jours.free.fr/articles.php?lng=fr&pg=1018
Note : à l'époque on changeait souvent de Pape !
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[^] # Re: décentralisation, protocoles
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Et voici Movim 0.5 « Snowball » !. Évalué à 2.
Évidemment, d'ailleurs certains discutaient plus haut du partage de fichiers, ces fichiers ne sont pas nécessairement sur le web.
J'ai aussi cité le taggage de photo. Je n'ai donné que l'exemple du "like", mais c'est aussi tagger une personne (associée à une identité) à certaines coordonnées d'une photo, placer un marqueur temporel sur une vidéo, etc…
Je n'ai donné qu'un exemple de balise web parce que c'était, je pense, un exemple d'implémentation qui pouvait parler à beaucoup. Mon commentaire était déjà long ! Dans l'exemple de cette balise, ce serait bien un protocole non spécifique au web qui serait utilisé par le client web, qui récupèrerait les infos de la page web et qui l'enverrait à Movim. Le but d'une balise web c'est que le "code" qui l'interprète soit dans le client, et normalisé, au lieu de lancer un javascript douteux ! Le même protocole pourrait être utilisé ailleurs que sur le web.
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[^] # Re: décentralisation, protocoles
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Et voici Movim 0.5 « Snowball » !. Évalué à 2.
Ah c'est déjà une solution intéressante pour "faire avec" l'existant. En attendant des jours meilleurs avec des protocoles ouverts et sans nécessité d'importer/exécuter du code extérieur…
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[^] # Re: bosh?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Et voici Movim 0.5 « Snowball » !. Évalué à 8.
On peut imaginer un serveur (pas un p2p) qui utiliserait le protocole de son choix (https, sftp), mais qui aurait aussi une identité sur le réseau XMPP.
Cette identité serait capable de fournir l'url du contenu s'il est déplacé.
l'utilisateur illwieckz@toto.net fait héberger ses photos par le service photosharing.com.
Le service photosharing aurait un compte bot@photosharing.com, il possède un portefeuille d'identifiant, et peut servir la photo associée sur un quelconque miroir sur un quelconque protocole.
Quand illwieckz@toto.net ajoute une photo sur le serveur photosharing.com, les photos sont hébergées sur photosharing.com, mais le portefeuille d'illwieckz.net contient une entrée photo (illwieckz@toto.net)/uuid-111-222-333.jpg qui est un alias vers (bot@photosharing.com)/uuid-111-222-333.jpg
Si edhelas@social.net veut voir la photo (illwieckz@toto.net)/uuid-111-222-333.jpg le serveur "toto.net" transmet la demande à bot@photosharing.com et photosharing.com lui sert https://dl.12345.mirror.cdn.photosharing.com/uuid-111-222-333.jpg
Quand edhelas@social.net tagge vincent14@movim.eu sur la photo (illwieckz@toto.net)/uuid-111-222-333.jpg
social.net envoie sa requête à toto.net et movim.eu, si les paramètres de confidentialité de chacun le permettent, alors la tag est enregistré dans les portefeuille de edhelas@social.net.
À cet instant le serveur movim.eu copie ce tag dans le portefeuille de vincent14@movim.eu (idem pour illwieckz@toto.net), le client vincent14@movim.eu reçoit une notification, demande la photo (illwieckz@toto.net)/uuid-111-222-333.jpg et photosharing.com lui sert https://dl.54321.mirror.cdn.photosharing.com/uuid-111-222-333.jpg. Son client affiche la photo et le tag au bon endroit.
On a toujours un système client/serveur (compatible pour la masse), mais on n'est pas limité à garantir l'a pérennité d'une url.
Après on peut imaginer que le client fasse cache ou bien que movim.eu duplique la photo sur http://cdn.movim.eu et l'annonce à photosharing.com, on en viendrait à développer un p2p, mais là encore, le système serait utilisable même si le client ne fait pas p2p smartphone par exemple).
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[^] # Re: décentralisation, protocoles
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Et voici Movim 0.5 « Snowball » !. Évalué à 5.
Évidemment que c'est voulu pour facebook, sauf qu'un projet comme Movim¹ n'a pas besoin de cette stratégie, et j'espère que des projets libres aux protocoles ouverts exploreront cette direction.
Je pense que le réseau social devrait être l'Internet, il faut donc ajouter un protocole social sur internet.
Les trucs à la facebook ne sont que des terminaux qui n'ont en rapport avec Internet que le fait d'avoir une interface écrite avec des technos web.
Ploum parle de blog un peu plus haut. Dans facebook on peut écrire son humeur sur son mur, dire qu'on aime des liens, ou écrire des articles. Ces articles pourraient être sur un blog public. Il suffirait que les logiciels de publications implémentent un protocole d'annonce, ainsi, dès qu'une moule publie un journal sur DLFP ou un article sur son blog perso, ses copains XMPP voient une annonce "Untel vient de parler à Nal !".
Pour faire ça avec fb ou d'autres, encore une fois, il faut faire une app facebook, insérer du code fb etc. et ce pour chacune des plate-formes sociales
existantes. Avec un protocole d'anonnce inter-application, on pourrait avoir moulte serveurs d'identité sociale, moulte logiciels de blogs compatibles, et moulte clients.
Dans les commentaires de cette dépêche certains parlent de séparation vue/moteur… Movim n'a pas forcément à tout gérer.
Par exemple, le partage de photo (très utilisé sur fb) :
Ce n'est pas forcément à Movim d'héberger les photos sur lesquelles on tagge les lieux et les personnes présentes, et qu'on commente.
Il pourrait y avoir plusieurs hébergeurs de photos qui exporteraient un identifiant pour chaque photo, et Movim associerai à cet identifiant les tags (lieux, personne), et les annoncerait aux amis de celui qui taggue.
Il y a un avantage qu'il ne faut pas oublier : c'est que ce type de méthode peut être implémenté par les "grands" (à la flickr, tumblr) qui pourraient toujours fournir un service plein de pub au péquin moyen. Ils assumeraient toujours leur rôle d'hébergeurs de photo pour la masse, ils n'auraient pas à craindre un "aspirateur de contenu" comme facebook puisque le réseau social serait Internet. Et le geek, le libriste et le soucieux de sa vie privé pourrait utiliser son propre serveur de photo, et avoir son propre compte social sur son serveur social connecté au reste du monde.
¹ je cite Movim en exemple parce que c'est celui de la dépêche, je n'ai aucune préférence pour le moment
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[^] # Re: Récurent
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Leap second. Évalué à 8. Dernière modification le 02 juillet 2012 à 17:05.
Tu as dit
Que ça existe ou non, les machines fournissent des services pour des humains.
Si les humains ont dit "il y aura 61 secondes telle minute du 30 juin 2012", il faut que la machine fasse en sorte que cette minute dure 61 secondes et non 60. La machine est au service de l'humain même si cet humain est complètement tordu.
C'est l'homme qui a décidé ce qu'était une seconde, comme tu les dis, et c'est justement pour cela qu'il peut aussi définir des minutes de 61 secondes.
Le temps existe sans l'homme, mais la seconde ou la minute n'existent que parce que l'homme les ont définies.
Cette seconde intercalaire existe parce que l'homme l'a défini. Si ta machine rajoute un millième de seconde toutes les secondes pendant 1000 secondes, ta machine arrive au même instant que la machine qui a compté 61 secondes la dernière minute, mais son comptage est erroné : elle a compté une seconde de moins. Elle sonne minuit au même instant mais elle n'a pas compté le nombre de secondes voulu et défini par l'homme, elle est donc défectueuse.
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[^] # Re: décentralisation, protocoles
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Et voici Movim 0.5 « Snowball » !. Évalué à 4.
Ce qui est intéressant, c'est que seul mon fournisseur de service connaît ce que je lis, pas les fournisseurs de services de mes amis ni ceux "assez gros" pour avoir une place sur la page.
Parce que bon, en ayant ni compte fb, ni twitter, ni g+, ni je ne sais quoi, il suffit qu'il y ai les boutons [Like] [Twit] [+1] sur les pages que je visites pour que je sois tracé par ces trois là.
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# décentralisation, protocoles
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Et voici Movim 0.5 « Snowball » !. Évalué à 8.
Ce qui m'intéresse, dans tous ces "réseaux sociaux", c'est de voir comment on peut éviter les erreurs à la facebook (et équivalents) qui rendent indissociable l'interface utilisateur et les protocoles derrière.
Par exemple : le bouton "J'aime" de facebook : il faut ajouter un script de chez facebook.
Conséquence : les visiteurs exécutent tous du code facebook !
Alors qu'on pourrait imaginer une balise du genre :
Qui afficherait un bouton "J'aime cette dépêche", si je clique dessus le navigateur transmet au logiciel Movim ou autre (pas nécessairement une webapp) que j'aime l'élement News/33122, avec le flux atom il récupère le titre, le contenu, une image, et sur le "mur" du client il diffuse un truc du genre :
ou bien
qui afficherai un simple bouton "J'aime"
Et là encore les logiciels trouveraient les informations correctement renseignées dans les divers flux atom.
En retour, si le profil est publique, le client Movim ou assimilé enverrait un identifiant du type illwieckz@monfournisseur/uuid à LinuxFR
Si la ressource illwieckz@monfournisseur/uuid est disponible, LinuxFR m'inscrit dans la liste des gens qui "aiment" ce contenu.
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[^] # Re: Récurent
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Leap second. Évalué à 7.
Tout à fait, ce qui fait que Thérèse_d'Avila est morte dans la nuit du jeudi 4 au vendredi 15 octobre 1582 (et c'était le pape Grégoire XIII, le X n'était pas loin ;).
En l’occurrence, ce n'est pas très problématique d'être payé un demi salaire puisque vous avez réellement travaillé un demi mois. Si tu es payé à l'heure, cela ne pose aucun problème. Tout ça ce sont des questions légales, comme l'a écrit 2ptitsverres : ça se résout par la loi.
(et juste pour le goût du troll, le calendrier grégorien a donc été imposé par un pape catholique en 1582. Le calendrier grégorien est un calendrier solaire, c'est à dire qu'un pape catholique a imposé de calculer les dates en partant du principe que la terre tourne autour du soleil. À cette époque, Galilée avait 18 ans. Les attaques contre Galilée commenceront vraiment autour des années 1610, il avait donc plus de 45 ans, et Galilée fut condamné en 1633 (69 ans). Lorsqu'il fut condamné, cela faisait déjà 51 ans que ses détracteurs calculaient leurs jours selon la rotation de la terre autour du soleil, certains n'avaient peut-être même pas connu autre chose qu'un calendrier héliocentrique. Était-ce une attaque scientifique, religieuse, ou n'était-ce pas plutôt une attaque personnelle qui a instrumentalisé la science et la foi ?)
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[^] # Re: Récurent
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Leap second. Évalué à 9.
Et les humains fournissent [par l'intermédiaire de machines] des services pour les humains.
Par exemple, je travaille pour une radio. Cette radio fait partie d'un réseau national de radios locales. Nous avons un calendrier précis de balises, ces balises sont des secondes de silence pendant lesquelles ont peut raccrocher ou décrocher c'est à dire passer d'un programme (national par exemple) à un autre programme (local). Dans notre radio nous avons la particularité d'avoir deux programme locaux, parfois communs, parfois dissociés.
Tout ça est donc géré à la seconde près. Il faut que nous décrochions ou raccrochions, c'est à dire commencions ou terminions nos émissions à la même heure et même minute et même seconde que l'autre programme commence ou termine, en même temps que nous basculions les sources sonores. Lorsque nous décrochons en local il y a toujours du son sur le national vu que d'autres radio locales ne décrochent pas forcément à cette balise là, mais à d'autres. Parfois certains décrochages se font manuellement (émission en direct, par exemple).
Il faut donc que le système de gestion du temps utilise le temps des humains. Nos automates utilisent les secondes humaines, pas le temps Unix ou que sais-je. Quand je prends la balise de 17:59:01, je prends 17:59:01, que j'ai eu une minute de 60s ou de 61s dans la nuit qui a précédé.
C'est un homme qui écoute la radio, c'est donc à sa perception humaine de l'heure que nos machines doivent se plier.
L'auditeur a une grille de programme dans la main, ce programme est un calendrier humain.
Si le programme national gère la 61ème seconde mais pas le local, ou l'inverse, alors à chaque balise on peut se retrouver avec une seconde d'émission parasite. C'est dégueu !
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[^] # Re: Il existe vraiment ce bug ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Leap second. Évalué à 3.
Moi je l'ai eu sur une bécane, sur un vieux service proprio usé par tout les bouts mais malheureusement irremplaçable. Évidemment je ne l'ai vu qu'au réveil… et remettre tout ça en état m'a fait rater la messe !
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[^] # Re: Quel est le plus dur ? Quitter windows XP ou passer à linux ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Pourquoi plus aucune ville ne passe à Linux ?. Évalué à 1.
C'est pas de l'ordre du magistère mais de la tradition !
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[^] # Re: l'inverse est vrai également
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Pourquoi plus aucune ville ne passe à Linux ?. Évalué à 3.
C'est un peu la gestion par défaut, aussi. :/ (Debian/LibreOffice).
C'est une vraie critique ça, le kerning est moisi sur cet exemple. Je ne sais pas trop à qui il faut l'attribuer.
Aussi je ne sais plus trop quelle police était utilisée dans ce document bidon, c'est peut-être la faute à la police !
J'avoue que ce n'est pas avec cette machine que je tappe mon texte d'habitude, mais c'est celle que j'avais sous la main pour faire une copie d'écran (et cette machine est prévue pour afficher des consoles).
…et puis s/personalisé/personnalisé/, ça aussi ça pique les yeux !
Au fait… quelqu'un sait pourquoi OOo et LibO utilisent par défaut les polices microsoft quand elles sont disponibles (ce ne sont pas celles-utilisées dans l'exemple) ? Je comprends qu'elles soient utilisées lorsqu'on ouvre un .doc venant de Windows, mais pourquoi les utiliser dans les nouveaux documents ?
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[^] # Re: l'inverse est vrai également
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Pourquoi plus aucune ville ne passe à Linux ?. Évalué à 3.
Pour ceux qui ça intéresse, chez moi Writer ressemble à ça :
Je trouve qu'il n'y a pas mieux pour être productif proprement !
Pas de formatage direct, la liste des styles et le navigateur sous le coude, et quelques boutons pratiques (afficher le fond des champs, afficher le fond les caractères non imprimables, exporter en PDF, annoter)…
Je crée un nouveau titre en écrivant son nom dans le champ prévu à cet effet, il est donc automagiquement attribué au paragraphe courant, puis je l'édite !
(En fait, mon Writer ressemble plus exactement à cela :
,
mais je comprendrai que certains soient rebutés par le sombre)
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