Je ne comprends pas que des solutions comme celle-ci ne soit pas utilisé : http://paletton.com/
Oh c’est super ça, merci pour le lien ! Je m’en servirai quand j’aurai besoin d’avoir une palette propre sans réutiliser une qui soit déjà trop vue. :-)
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Je ne pense pas justement que ce soit un argument « y a pire » mais au contraire : il est nécessaire, dans le monde où nous vivons, d'apporter des explications aux enfants.
Ah tiens, très juste, on peut aussi le lire dans ce sens, comme j’ai très souvent entendu l’argument « boarf, d’façon y a pire » donc je suis monté un peu vite au créneau, merci d’avoir relevé ce double sens, et pardon à Kerro< si je me suis trompé sur son intention. :-)
Cependant, je changerai difficilement d’avis sur l’idée qu’on ne peut pas déléguer cet apprentissage à un jeu vidéo et que la forme même du jeu vidéo n’est pas adaptée ce qui signifie que même comme simple support je doute franchement de la pertinence de la règle 5.
Globalement je trouve l’intitulé de la règle 5 déplacée, mais ça traduit une certaine ambiance générale incitant les enfants à jouer au docteur (alors que ça doit être à l’initiative de l’enfant avec un autre enfant ou bien ne pas être un jeu si on veut garantir qu’il n’y a pas de blessure).
D’une part « jouer au docteur » implique des amis intimes ou frères/sœurs/cousins d’âge semblable parce qu’il s’agit d’une expérience de découverte du corps de l’autre sans la connotation sexuelle (dans le sens acte sexuel et reproductif) qu’on les organes génitaux (il s’agit surtout de découvrir la différence corporelle) et en l’absence de notion d’intimité (qui n’est donc pas brisée) ni vraiment de sens moral (il n’y a pas volonté de mal faire), c’est aussi pour cela que « jouer au docteur » est toujours une initiative de la part de l’enfant lui-même qui y joue de sa propre méconnaissance, et c’est exactement cela qui le protège. C’est pour cela qu’il n’y a rien de grave à surprendre son enfant toucher sa sœur par exemple, parce qu’en fait il ne fait que constater une différence de forme et faire l’expérience de l’altérité, il n’en est pas encore à comprendre la sexualité, ses pulsions et ses responsabilités, et l’enfant ne connaît pas encore la notion d’intimité (il crie bien fort pour qu’on l’entende à travers toute la maison qu’il a fait caca pour qu’on l’essuie) ni vraiment de sens moral et c’est pourquoi il n’y a pas de perversion (faire mal, braver l’interdit) ni de blessure (il m’a vu). Ce sont des âges (2 à 5 ans) où l’on peut encore faire prendre le bain à des frères et sœurs très proches (1/2 ans d’écart) et où justement les parents peuvent en parler avec leurs enfants, ce qui évite que les enfants le fassent d’eux même et entre dans une démarche de désobéissance s’ils commencent à avoir le pressentiment que ça ne se fait pas.
D’autre part, jouer au docteur exclut les parents, les grand frères, et tout adulte. C’est toujours une initiative de l’enfant. Le cas du bain précité remplace efficacement le jeu du docteur et cela permet le contrôle des parents, mais ce n’est pas jouer au docteur, et dans ce cas ce n’est pas ludique. Si l’adulte participe, ça ne peut pas être ludique car lui n’a pas l’ignorance de l’enfant, et il faut qu’il soit capable de faire découvrir le frère à sa sœur et la sœur à son frère tout en témoignant que lui-même il ne joue pas. C’est très important que l’adulte ne joue pas avec la sexualité de l’enfant et que l’enfant ne voit pas le parent comme un partenaire de jeu sur ce plan là.
Dernièrement, « jouer au docteur » est une expérience qui se fait entre 2 et 5 ans. Après cet âge, l’enfant en sait déjà beaucoup, notamment il a fait l’expérience de l’intimité (il apprend à fermer la porte des toilettes par exemple, et il ne prend plus le bain avec ses frères et sœurs), c’est pourquoi, après 5 ans, « jouer au docteur » devient un jeu où il fait l’expérience de la transgression ou de la violation de l’intimité.
Hors justement, que propose la règle 5 ? Ce sont des adultes qui proposent à des enfants de 6 à 13 ans de « jouer au docteur », c’est à dire à un âge où cela n’est plus neutre et sans risque pour l’enfant. Il ne s’agit plus là de jouer au docteur, mais bien de jouer avec l’intimité des enfants, et d’inclure l’adulte dans la sexualité de l’enfant en le présentant comme un partenaire de jeu.
Donc pour résumer :
« jouer au docteur » à 6-13 ans c’est trop tard car ce n’est plus sans conséquence sur l’émotif de l’enfant qui va y rajouter la notion de moralité, d’intimité et de libre arbitre, ce qui signifie que l’enfant peut penser à mal et que le jeu peut entrer dans un processus de transgression délibéré ainsi que dans un processus de violation d’intimité.
Ça ne peut pas inclure de grand frère ou d’adulte, et si un adulte est impliqué dans le processus de découverte entre enfants (2-5 ans) ça ne doit pas être ludique parce que l’adulte ne doit pas être présenté comme un partenaire de jeu : quand bien même l’adulte n’a pas l’impression de participer, mais s’il est témoin, aux yeux de l’enfant il est partenaire du jeu).
« Jouer au docteur » c’est la très petite enfance, entre 2 et 5 ans, et l’adulte ne doit pas être partenaire de jeu. Si un de ces deux critères n’est pas respecté, on blesse l’enfant. La présente initiative a tout faux sur toute la ligne.
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le jeu doit traiter de sujets d’adulte ([…] sexualité…)
C'est vrai qu'expliquer aux enfants « comment on fait les bébés ».
Cette confusion sexualité/procréation est rétrograde.
Quand j’étais en CM2 j’étais considéré comme surlexique parce que j’employais des mots comme « célibataire » dans mes rédactions (là où les plus fins lettrés utilisaient le mot de « solitaire »), ma prof disait de moi que j’avais un vocabulaire d’adulte à cause de cela. C’était considéré comme anormal. Le problème c’est que c’est l’année où nous avions nos cours d’éducation sexuelle et reproductive, et l’on trouvait donc anormal qu’un enfant sache ce qu’est le célibat à l’âge où il était initié à la sexualité. Une pédagogie qui place l’initiation à la sexualité avant l’éducation au célibat est le meilleur moyen de produire des frustrés sexuels, ce qui forme d’excellents consommateurs, on en conviendra.
Ce n'est pas comme s'ils étaient bombardés de sexe bien cru et avec zéro explications.
L’argument « y a pire » n’est jamais un argument recevable, et l’éducation sexuelle parentale ne peut se déléguer à un jeu vidéo.
De même qu'on doit mettre en prison […]
Homme de paille, cet argument n’est pas recevable.
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les jeux crée doivent s’adresser tout spécialement au jeune public (pensez 6-13ans) 4. Gribouillis : le jeu doit être en partie conçu par un ou plusieurs enfants (concept, graphismes, sons…) 5. On joue au docteur ?: le jeu doit traiter de sujets d’adulte (actualité, politique, sexualité…)
Heureusement qu’il est précisé « Le jeu doit aussi obéir à au moins une de ces contraintes », malheureusement l’intitulé de la règle 5 ne laisse aucun doute quant à l’esprit de promiscuité sexuelle qui anime la règle 5, et l’ensemble des intitulés des règles ne laisse aucun doute quant au public visé (vocabulaire de primaire voire maternelle), la description du thème confirme (6-13 ans).
D’où vient cette obsession ambiante à vouloir mêler sexualité adulte et enfance? En fait une curieuse tendance se dessine en ce moment, où la promiscuité sexuelle adulte/enfant est vécue comme quelque chose de ludique (présente initiative) et dans d’autres situations, comme une avant garde voire un acte de résistance. Il y a d’énormes ressemblances avec les années 70 (ce qui est un peu raté pour une avant-garde).
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Le truc c’est que les gestionnaires de courrier électronique savent généralement prendre en compte les citations balisées par des chevrons (ce sont même eux qui les mettent), comme le markdown, donc pourquoi pas pousser un peu plus loin ?
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Si tu ne veux pas attraper de rhume, tu évites de te faire éternuer dessus et tu te laves les mains : c'est ça la réalité scientifique.
Effectivement, c’est bien plus sérieux et scientifique qu’éviter de se faire mettre n’importe quoi dans la bouche,
Qu’il ne faille pas mettre n’importe quoi sur sa peau, ça c’est la réalité scientifique, mais qu’il faille ne pas mettre n’importe quoi sous la peau, c’est comme tourner autour d’un puits à cloche pied une nuit de pleine-lune.
Même si ça marchait, ça ne veut pas dire que c'est vrai.
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C'est différent parceque rsync a besoin d'avoir un fichier et sa copie pour faire cette comparaison alors que dump se contente de se souvenir qu'il a fait une sauvegarde du système de fichiers le 29 août 2015.
Ah OK je n’avais pas compris cela.
Vu que rsync a un support ssh ce serait assez maladroit de ne pas en profiter et d'utiliser rsync à travers sshfs :)
Sauf que dans le cas évoqué, encfs est par dessus ssh si j’ai bien compris (donc en dessous d’rsync).
D’façon, si c’est pour ne faire que du rsync (et ne jamais les fonctionnaliés fs de ssh), autant directment rsyncer les fichiers chiffrés (donc via ssh, oui).
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Dump n'a pas besoin de rapatrier les données distantes pour faire de la vérification lors des sauvegardes incrémentelles parcequ'il utilise les dates de modification et travaille au niveau du système de fichiers (il suffit donc de se souvenir d'une date par système de fichiers).
C’est le fonctionnement par défaut de rsync qui utilise la date de modification et la taille pour savoir si un fichier a changé.
Si la date ou la taille ne sont pas un critère fiable dans ton contexte, tu peux utiliser l’option --checksum de rsync et là oui, la comparaison avec un système encfs sur un sshfs va tout retélécharger, mais si la date ou la taille te suffisent, rsync fait ça très bien, de base, et le monatge encfs sur sshfs va seulement télécharger ce qui est nécessaire pour comparer les metadata.
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Il semble que ce soit un problème d’export, dans le PDF ce sont des chiffres minuscules (mais qui rendent comme un mélange de chiffre et de lettre au copié-collé).
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C’est un type de palette qui devrait être par défaut.
Moi même je ne sais pas comment ajouter des couleurs dans LibreOffice ni même s’il y a plusieurs palettes et comment la choisir.
Une palette par défaut doit être tolérante aux erreurs. Faire de l’insupportable doit être un comportement avancé, et faire de l’agréable doit être par défaut. Libreoffice donne à l’utilisateur de faire par défaut de l’insupportable, et faire de l’agréable est à sa charge, s’il sait faire.
Changer de palette ou ajouter des couleurs, c’est comme le hors piste : tu es libre de le faire mais tu sais que tu prends des risques sous ta seule responsabilité. Sous LibreOffice, l’agréable est uniquement accessible en hors-piste. Ce devrait être l’inverse.
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À propos des couleurs, il serait très facile de récupérer une palette déjà faite par d’autres, comme la palette Tango.
OK, le problème de palette c’est que tout le monde ressemble à tout le monde et que ça réduit la diversité, mais tu fournis ça à un utilisateur, il sera dur pour lui de se planter. Ce sont des palettes bien choisie pour conserver un minimum d’harmonie quand tu composes avec.
Quand j’ai besoin de faire un document rapido sans faute de goût, j’utilise ce type de palette, ok il n’y a aucune originalité, mais ça ne pique pas les yeux.
Même si tu n’as aucune connaissance des théories des couleurs, ou que tu ne veux pas te prendre la tête, se limiter à une palette de ce type sauve la vie et gagne énormément de temps.
Ah, aussi, règle très facile à suivre, ne pas utiliser les couleurs VGA, qui ne se trouvent quasiment jamais visible en diffusion dans la nature. Ça agresse l’œil. C’est cool sur une démo 8bit qui flashouille et tournicote sur un écran cathodique, mais pas dans un document.
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Non, pas énormément, GStreamer est fabuleux pour cela.
Il faut que je publie le source sous GitHub et je ferais un journal pour sûr quand je publierai le source, mais ça peut être dans un an ou demain (mais c’est sûr que ce n’est pas demain)… :p
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Oui, enfin, il faudra ajouter les ~50 Mo que pèse Firefox,
$ ls -lah Firefox\ Setup\ 40.0.2/core/nss3.dll
-rw-rw-r-- 1 illwieckz illwieckz 1,7M août 13 04:58 Firefox Setup 40.0.2/core/nss3.dll
$ ls -lah Firefox\ Setup\ 40.0.2/core/updater.exe
-rw-rw-r-- 1 illwieckz illwieckz 291K août 13 04:58 Firefox Setup 40.0.2/core/updater.exe
Les crapwares actuels ne font peut-être qu’ajouter des extensions moisies à firefox, mais remplacer juste un binaire ou deux bien choisi (ou ajouter la signature du crapware) dans une installation existante n’est pas quelque chose d’inaccessible au premier venu, et pas besoin de 50Mb.
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Comme le dit si bien @SwiftOnSecurity "Security zen: If the NSA is after you you're already boned. Start Worrying about actual theats, like Estonian teenagers with exploits kits."
Je traduis : « Préoccupes-toi des vraies menaces et laisse la NSA tranquille : à moins qu’elle ne t’ai déjà fait abattre, méfie-toi de ton frère ».
Ah, d’accord.
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Hmmm… Entre ce qui est présentée ici et ce que produit Daft Punk, il n’y a probablement pas d’autres points communs que le fait que les sons produits le sont de manière électronique.
Pour faire une analogie, c’est comme si tu disais « on a retrouvé le violon de Vivaldi » en écoutant System of a Down, parce que leurs guitares sont également des instruments à corde, et en fait, il y a peut être plus de chose en commun entre Vivaldi et System of a Down qu’entre la musique 1-bit et Daft Punk. Hmm, oui en fait à bien y réfléchir ta comparaison est encore plus inadaptée.
Pour faire une autre analogie, c’est exactement comme lorsqu’une secrétaire demande à un administrateur système comment désactiver les annotations dans Word, parce que m’vois-tu, l’adminsys il s’y connaît en ordinateur, et que faire du secrétariat assisté par ordinateur c’est probablement pareil qu’administrer un réseau informatique, parce que ça se fait aussi avec un clavier. Ou quand le petit cousin croit que ce même adminsys fait des jeux vidéos parce que son tonton travaille dans l’informatique.
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Je travaille pour une radio FM associative, avec jack/gstreamer/alsa/opus je peux connecter des régies de studios distants entre elles (ça c’est pour le h24) et je peux aussi diffuser du son depuis n’importe où avec une connexion 3G pour une opération extérieure.
Dans ce dernier cas, la bascule entre les programmes (entre la playlist et le direct pour les décrochages/raccrochages par exemple) se fait avec jack, de même la sélection de son que je peux monitorer. Par exemple depuis le lieu du direct je peux préécouter le son après capture avant d’envoyer au studio (qui envoie à l’émetteur), donc après tous les différents traitements et toutes les sources de parasites, ou bien préécouter un retour du son à l’arrivée du studio donc après transport (qui me revient, ou encore le son au niveau du codec qui envoie à l’émetteur (donc après la sortie de jack) ou encore le son qui nous arrive du satellite pour le programme natio (ce qui fait que je peux écouter le programme natio qui arrive au studio depuis le lieu du direct pour raccrocher entre deux émissions proprement si je n’ai pas de balise).
Accessoirement je branche sur Jack un simple module gstreamer qui enregistre sur disque un son, ou un simple vu-mètre en mode texte.
Donc en fait, à part l’enregistrement et le vu-mètre, je n’utilise jack que pour connecter des cartes sons entre elles sur un même PC et opus/rtp pour connecter différents serveurs jack à plusieurs kilomètres (parfois centaine) de distance. Ce qui fait qu’un son qui rentre dans une carte son peut sortir sur une autre à l’autre bout du département, et l’ajout d’une carte son en enregistrement ou en sortie ou la connexion et déconnexion de réseaux doivent être complètement indépendant des serveurs jacks qui doivent pouvoir tourner seuls, sans rien, ou chargés de différentes sources.
En gros je fais de l’Audio sur IP et jack est un mixeur/pathfinder, et ne fait que cela (et surtout que cela).
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[^] # Re: Xamarin et LibreOffice ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.0 : sous le capot. Évalué à 2.
Oh c’est super ça, merci pour le lien ! Je m’en servirai quand j’aurai besoin d’avoir une palette propre sans réutiliser une qui soit déjà trop vue. :-)
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[^] # Re: Jouer au docteur: activité ludique sur la sexualité adulte (pensez 6-13ans)
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Concours de jeux vidéo. Évalué à 5. Dernière modification le 04 septembre 2015 à 09:46.
Ah tiens, très juste, on peut aussi le lire dans ce sens, comme j’ai très souvent entendu l’argument « boarf, d’façon y a pire » donc je suis monté un peu vite au créneau, merci d’avoir relevé ce double sens, et pardon à Kerro< si je me suis trompé sur son intention. :-)
Cependant, je changerai difficilement d’avis sur l’idée qu’on ne peut pas déléguer cet apprentissage à un jeu vidéo et que la forme même du jeu vidéo n’est pas adaptée ce qui signifie que même comme simple support je doute franchement de la pertinence de la règle 5.
Globalement je trouve l’intitulé de la règle 5 déplacée, mais ça traduit une certaine ambiance générale incitant les enfants à jouer au docteur (alors que ça doit être à l’initiative de l’enfant avec un autre enfant ou bien ne pas être un jeu si on veut garantir qu’il n’y a pas de blessure).
D’une part « jouer au docteur » implique des amis intimes ou frères/sœurs/cousins d’âge semblable parce qu’il s’agit d’une expérience de découverte du corps de l’autre sans la connotation sexuelle (dans le sens acte sexuel et reproductif) qu’on les organes génitaux (il s’agit surtout de découvrir la différence corporelle) et en l’absence de notion d’intimité (qui n’est donc pas brisée) ni vraiment de sens moral (il n’y a pas volonté de mal faire), c’est aussi pour cela que « jouer au docteur » est toujours une initiative de la part de l’enfant lui-même qui y joue de sa propre méconnaissance, et c’est exactement cela qui le protège. C’est pour cela qu’il n’y a rien de grave à surprendre son enfant toucher sa sœur par exemple, parce qu’en fait il ne fait que constater une différence de forme et faire l’expérience de l’altérité, il n’en est pas encore à comprendre la sexualité, ses pulsions et ses responsabilités, et l’enfant ne connaît pas encore la notion d’intimité (il crie bien fort pour qu’on l’entende à travers toute la maison qu’il a fait caca pour qu’on l’essuie) ni vraiment de sens moral et c’est pourquoi il n’y a pas de perversion (faire mal, braver l’interdit) ni de blessure (il m’a vu). Ce sont des âges (2 à 5 ans) où l’on peut encore faire prendre le bain à des frères et sœurs très proches (1/2 ans d’écart) et où justement les parents peuvent en parler avec leurs enfants, ce qui évite que les enfants le fassent d’eux même et entre dans une démarche de désobéissance s’ils commencent à avoir le pressentiment que ça ne se fait pas.
D’autre part, jouer au docteur exclut les parents, les grand frères, et tout adulte. C’est toujours une initiative de l’enfant. Le cas du bain précité remplace efficacement le jeu du docteur et cela permet le contrôle des parents, mais ce n’est pas jouer au docteur, et dans ce cas ce n’est pas ludique. Si l’adulte participe, ça ne peut pas être ludique car lui n’a pas l’ignorance de l’enfant, et il faut qu’il soit capable de faire découvrir le frère à sa sœur et la sœur à son frère tout en témoignant que lui-même il ne joue pas. C’est très important que l’adulte ne joue pas avec la sexualité de l’enfant et que l’enfant ne voit pas le parent comme un partenaire de jeu sur ce plan là.
Dernièrement, « jouer au docteur » est une expérience qui se fait entre 2 et 5 ans. Après cet âge, l’enfant en sait déjà beaucoup, notamment il a fait l’expérience de l’intimité (il apprend à fermer la porte des toilettes par exemple, et il ne prend plus le bain avec ses frères et sœurs), c’est pourquoi, après 5 ans, « jouer au docteur » devient un jeu où il fait l’expérience de la transgression ou de la violation de l’intimité.
Hors justement, que propose la règle 5 ? Ce sont des adultes qui proposent à des enfants de 6 à 13 ans de « jouer au docteur », c’est à dire à un âge où cela n’est plus neutre et sans risque pour l’enfant. Il ne s’agit plus là de jouer au docteur, mais bien de jouer avec l’intimité des enfants, et d’inclure l’adulte dans la sexualité de l’enfant en le présentant comme un partenaire de jeu.
Donc pour résumer :
« jouer au docteur » à 6-13 ans c’est trop tard car ce n’est plus sans conséquence sur l’émotif de l’enfant qui va y rajouter la notion de moralité, d’intimité et de libre arbitre, ce qui signifie que l’enfant peut penser à mal et que le jeu peut entrer dans un processus de transgression délibéré ainsi que dans un processus de violation d’intimité.
Ça ne peut pas inclure de grand frère ou d’adulte, et si un adulte est impliqué dans le processus de découverte entre enfants (2-5 ans) ça ne doit pas être ludique parce que l’adulte ne doit pas être présenté comme un partenaire de jeu : quand bien même l’adulte n’a pas l’impression de participer, mais s’il est témoin, aux yeux de l’enfant il est partenaire du jeu).
« Jouer au docteur » c’est la très petite enfance, entre 2 et 5 ans, et l’adulte ne doit pas être partenaire de jeu. Si un de ces deux critères n’est pas respecté, on blesse l’enfant. La présente initiative a tout faux sur toute la ligne.
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[^] # Re: Jouer au docteur: activité ludique sur la sexualité adulte (pensez 6-13ans)
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Concours de jeux vidéo. Évalué à 10. Dernière modification le 04 septembre 2015 à 03:25.
Cette confusion sexualité/procréation est rétrograde.
Quand j’étais en CM2 j’étais considéré comme surlexique parce que j’employais des mots comme « célibataire » dans mes rédactions (là où les plus fins lettrés utilisaient le mot de « solitaire »), ma prof disait de moi que j’avais un vocabulaire d’adulte à cause de cela. C’était considéré comme anormal. Le problème c’est que c’est l’année où nous avions nos cours d’éducation sexuelle et reproductive, et l’on trouvait donc anormal qu’un enfant sache ce qu’est le célibat à l’âge où il était initié à la sexualité. Une pédagogie qui place l’initiation à la sexualité avant l’éducation au célibat est le meilleur moyen de produire des frustrés sexuels, ce qui forme d’excellents consommateurs, on en conviendra.
L’argument « y a pire » n’est jamais un argument recevable, et l’éducation sexuelle parentale ne peut se déléguer à un jeu vidéo.
Homme de paille, cet argument n’est pas recevable.
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# Jouer au docteur: activité ludique sur la sexualité adulte (pensez 6-13ans)
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Concours de jeux vidéo. Évalué à -1. Dernière modification le 03 septembre 2015 à 20:06.
Heureusement qu’il est précisé « Le jeu doit aussi obéir à au moins une de ces contraintes », malheureusement l’intitulé de la règle 5 ne laisse aucun doute quant à l’esprit de promiscuité sexuelle qui anime la règle 5, et l’ensemble des intitulés des règles ne laisse aucun doute quant au public visé (vocabulaire de primaire voire maternelle), la description du thème confirme (6-13 ans).
D’où vient cette obsession ambiante à vouloir mêler sexualité adulte et enfance? En fait une curieuse tendance se dessine en ce moment, où la promiscuité sexuelle adulte/enfant est vécue comme quelque chose de ludique (présente initiative) et dans d’autres situations, comme une avant garde voire un acte de résistance. Il y a d’énormes ressemblances avec les années 70 (ce qui est un peu raté pour une avant-garde).
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[^] # Re: Pourquoi pas les copeaux directement ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [Cuisine] Le fromage à la fast-food chez vous !. Évalué à 3.
OK pour un vin chaud, OK pour un grand cru, mais c’est pas un peu dommage de chauffer un grand cru ?
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[^] # Re: Pourquoi pas les copeaux directement ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [Cuisine] Le fromage à la fast-food chez vous !. Évalué à 2.
Si c’est comme ça, moi aussi je suis incrédule !
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[^] # Re: Courrier électronique
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Marque Page sur Markdown et RFC. Évalué à 4.
Le truc c’est que les gestionnaires de courrier électronique savent généralement prendre en compte les citations balisées par des chevrons (ce sont même eux qui les mettent), comme le markdown, donc pourquoi pas pousser un peu plus loin ?
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[^] # Re: Une référence plus sérieuse
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Giulia Anders : "Le charme discret de l'intestin" . Évalué à -1.
Effectivement, c’est bien plus sérieux et scientifique qu’éviter de se faire mettre n’importe quoi dans la bouche,
Qu’il ne faille pas mettre n’importe quoi sur sa peau, ça c’est la réalité scientifique, mais qu’il faille ne pas mettre n’importe quoi sous la peau, c’est comme tourner autour d’un puits à cloche pied une nuit de pleine-lune.
Même si ça marchait, ça ne veut pas dire que c'est vrai.
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[^] # Re: Pérennité ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Typographie & logiciels. Évalué à 4.
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[^] # Re: astuce sécurité pour les paranoïaques
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal SSHFS est un vrai système de fichiers en réseau. Évalué à 2.
Ah OK je n’avais pas compris cela.
Sauf que dans le cas évoqué, encfs est par dessus ssh si j’ai bien compris (donc en dessous d’rsync).
D’façon, si c’est pour ne faire que du rsync (et ne jamais les fonctionnaliés fs de ssh), autant directment rsyncer les fichiers chiffrés (donc via ssh, oui).
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[^] # Re: Pérennité ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Typographie & logiciels. Évalué à 4.
Tu es abonné chez free?
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[^] # Re: astuce sécurité pour les paranoïaques
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal SSHFS est un vrai système de fichiers en réseau. Évalué à 2.
C’est le fonctionnement par défaut de rsync qui utilise la date de modification et la taille pour savoir si un fichier a changé.
Si la date ou la taille ne sont pas un critère fiable dans ton contexte, tu peux utiliser l’option
--checksumde rsync et là oui, la comparaison avec un système encfs sur un sshfs va tout retélécharger, mais si la date ou la taille te suffisent, rsync fait ça très bien, de base, et le monatge encfs sur sshfs va seulement télécharger ce qui est nécessaire pour comparer les metadata.ce commentaire est sous licence cc by 4 et précédentes
[^] # Re: Typornographie
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Typographie & logiciels. Évalué à 3.
Il semble que ce soit un problème d’export, dans le PDF ce sont des chiffres minuscules (mais qui rendent comme un mélange de chiffre et de lettre au copié-collé).
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[^] # Re: Pérennité ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Typographie & logiciels. Évalué à 10.
Le vrai problème c’est que le fichier n’est pas disponible sans avoir visionné une pub, et ça c’est non.
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[^] # Re: Styles et formatage
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.0 : sous le capot. Évalué à 3. Dernière modification le 27 août 2015 à 20:54.
Héhé, j’avais laissé celle-là pour permettre encore à quelqu’un de surenchérir. ;-)
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[^] # Re: Styles et formatage
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.0 : sous le capot. Évalué à 0.
Voilà ça pique moins les yeux (c’est encore plus flagrant en italique).
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[^] # Re: Xamarin et LibreOffice ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.0 : sous le capot. Évalué à 3.
Ah merci, mais ça c'est la méthode pour faire des choses inattendues.
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[^] # Re: Xamarin et LibreOffice ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.0 : sous le capot. Évalué à 10.
C’est un type de palette qui devrait être par défaut.
Moi même je ne sais pas comment ajouter des couleurs dans LibreOffice ni même s’il y a plusieurs palettes et comment la choisir.
Une palette par défaut doit être tolérante aux erreurs. Faire de l’insupportable doit être un comportement avancé, et faire de l’agréable doit être par défaut. Libreoffice donne à l’utilisateur de faire par défaut de l’insupportable, et faire de l’agréable est à sa charge, s’il sait faire.
Changer de palette ou ajouter des couleurs, c’est comme le hors piste : tu es libre de le faire mais tu sais que tu prends des risques sous ta seule responsabilité. Sous LibreOffice, l’agréable est uniquement accessible en hors-piste. Ce devrait être l’inverse.
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[^] # Re: Xamarin et LibreOffice ?
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.0 : sous le capot. Évalué à 8.
À propos des couleurs, il serait très facile de récupérer une palette déjà faite par d’autres, comme la palette Tango.
OK, le problème de palette c’est que tout le monde ressemble à tout le monde et que ça réduit la diversité, mais tu fournis ça à un utilisateur, il sera dur pour lui de se planter. Ce sont des palettes bien choisie pour conserver un minimum d’harmonie quand tu composes avec.
Quand j’ai besoin de faire un document rapido sans faute de goût, j’utilise ce type de palette, ok il n’y a aucune originalité, mais ça ne pique pas les yeux.
Même si tu n’as aucune connaissance des théories des couleurs, ou que tu ne veux pas te prendre la tête, se limiter à une palette de ce type sauve la vie et gagne énormément de temps.
Ah, aussi, règle très facile à suivre, ne pas utiliser les couleurs VGA, qui ne se trouvent quasiment jamais visible en diffusion dans la nature. Ça agresse l’œil. C’est cool sur une démo 8bit qui flashouille et tournicote sur un écran cathodique, mais pas dans un document.
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[^] # Re: Jack
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Pulseaudio & Android. Évalué à 4. Dernière modification le 26 août 2015 à 18:01.
Non, pas énormément, GStreamer est fabuleux pour cela.
Il faut que je publie le source sous GitHub et je ferais un journal pour sûr quand je publierai le source, mais ça peut être dans un an ou demain (mais c’est sûr que ce n’est pas demain)… :p
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[^] # Re: C'est peut être moi ...
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Comparaison des cartes entre Tremulous et Unvanquished. Évalué à 2.
Ah super, c’est exactement comme ça que j’ai commencé à contribué à Unvanquished, mon rôle sur le forum c’est « debugger ». :D
N’hésite pas à venir faire un tour, tu seras bien reçu. :-)
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[^] # Re: ....
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal La fin du "permissive add-on model" chez Mozilla, ou comment flinguer une base d'extensions. Évalué à 6.
Les crapwares actuels ne font peut-être qu’ajouter des extensions moisies à firefox, mais remplacer juste un binaire ou deux bien choisi (ou ajouter la signature du crapware) dans une installation existante n’est pas quelque chose d’inaccessible au premier venu, et pas besoin de 50Mb.
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[^] # Re: ....
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal La fin du "permissive add-on model" chez Mozilla, ou comment flinguer une base d'extensions. Évalué à 0. Dernière modification le 25 août 2015 à 23:40.
Je traduis : « Préoccupes-toi des vraies menaces et laisse la NSA tranquille : à moins qu’elle ne t’ai déjà fait abattre, méfie-toi de ton frère ».
Ah, d’accord.
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[^] # Re: Daft Punk
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Concours de musique 1-bit. Évalué à 4.
Hmmm… Entre ce qui est présentée ici et ce que produit Daft Punk, il n’y a probablement pas d’autres points communs que le fait que les sons produits le sont de manière électronique.
Pour faire une analogie, c’est comme si tu disais « on a retrouvé le violon de Vivaldi » en écoutant System of a Down, parce que leurs guitares sont également des instruments à corde, et en fait, il y a peut être plus de chose en commun entre Vivaldi et System of a Down qu’entre la musique 1-bit et Daft Punk. Hmm, oui en fait à bien y réfléchir ta comparaison est encore plus inadaptée.
Pour faire une autre analogie, c’est exactement comme lorsqu’une secrétaire demande à un administrateur système comment désactiver les annotations dans Word, parce que m’vois-tu, l’adminsys il s’y connaît en ordinateur, et que faire du secrétariat assisté par ordinateur c’est probablement pareil qu’administrer un réseau informatique, parce que ça se fait aussi avec un clavier. Ou quand le petit cousin croit que ce même adminsys fait des jeux vidéos parce que son tonton travaille dans l’informatique.
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[^] # Re: Jack
Posté par Thomas Debesse (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Pulseaudio & Android. Évalué à 10.
Je travaille pour une radio FM associative, avec jack/gstreamer/alsa/opus je peux connecter des régies de studios distants entre elles (ça c’est pour le h24) et je peux aussi diffuser du son depuis n’importe où avec une connexion 3G pour une opération extérieure.
Dans ce dernier cas, la bascule entre les programmes (entre la playlist et le direct pour les décrochages/raccrochages par exemple) se fait avec jack, de même la sélection de son que je peux monitorer. Par exemple depuis le lieu du direct je peux préécouter le son après capture avant d’envoyer au studio (qui envoie à l’émetteur), donc après tous les différents traitements et toutes les sources de parasites, ou bien préécouter un retour du son à l’arrivée du studio donc après transport (qui me revient, ou encore le son au niveau du codec qui envoie à l’émetteur (donc après la sortie de jack) ou encore le son qui nous arrive du satellite pour le programme natio (ce qui fait que je peux écouter le programme natio qui arrive au studio depuis le lieu du direct pour raccrocher entre deux émissions proprement si je n’ai pas de balise).
Accessoirement je branche sur Jack un simple module gstreamer qui enregistre sur disque un son, ou un simple vu-mètre en mode texte.
Donc en fait, à part l’enregistrement et le vu-mètre, je n’utilise jack que pour connecter des cartes sons entre elles sur un même PC et opus/rtp pour connecter différents serveurs jack à plusieurs kilomètres (parfois centaine) de distance. Ce qui fait qu’un son qui rentre dans une carte son peut sortir sur une autre à l’autre bout du département, et l’ajout d’une carte son en enregistrement ou en sortie ou la connexion et déconnexion de réseaux doivent être complètement indépendant des serveurs jacks qui doivent pouvoir tourner seuls, sans rien, ou chargés de différentes sources.
En gros je fais de l’Audio sur IP et jack est un mixeur/pathfinder, et ne fait que cela (et surtout que cela).
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