Jean-Baptiste Faure a écrit 1840 commentaires

Non Bloctel ça ne marche pas.
Moi, je les comprends parce que la plupart des appels vocaux sont des agressions publicitaires. En fait ils ont atteint l'âge adulte dans l'utilisation du téléphone, alors que les générations précédentes, en particulier celles qui ont découvert le téléphone avec le fixe, toutes heureuses de la nouveauté technologique, courraient décrocher comme des toutous qu'on siffle.

J'ai l'impression qu'il y a un souci avec dicollecte.org : on arrive sur topspahotel.com/fr/dicollecte/

Ce que je comprends pas c'est que les journalistes qui ont des données sensibles sur leur téléphone n'aient pas un système d'effacement d'urgence pour faire face à ce genre de situation. Par exemple effacement automatique si le téléphone est déverrouillé après un certain délai pouvant correspondre à une durée de séquestration, ou bien, inversement effacement si le téléphone n'est pas déverrouillé régulièrement. Il doit bien y avoir moyen de faire ce genre de chose pour protéger ses sources, non ?

Non ce n'est interdit en France : https://www.ecologie.gouv.fr/politiques-publiques/savoir-retrofit-electrique

Pour la météo j'utilise meteoblue. C'est une entreprise suisse.
Il y a des pubs paraît-il, mais avec uBlock Origin je ne les vois pas. Il y a aussi une appli que j'ai installée depuis le magasin e/OS ou aurora store, je ne sais plus. e/OS bloque les traqueurs. L'appli permet d'afficher la météo prévue la veille…
Meteoblue a un mode multimodèle qui permet de comparer les prévisions de la kyrielle de modèles numériques qu'ils utilisent.

J'ai eu à résoudre un problème semblable pour la librairie coopérative que je préside (il s'agit d'une Société Coopérative d'Intérêt Collectif en Région AURA). Le but était de stocker tous les documents hors métier librairie (stock, commandes, retours, déclarations Sofia, etc.) pour lequel nous avions évidemment déjà une solution informatique. Là je voulais stocker tout le reste c'est-à-dire ce qui concerne la vie coopérative (docs AG et Comex, sociétaires, révision coopérative), RH, banque, communication, contrats et conventions autres que les relations avec les fournisseurs de marchandises (livres, papeterie, jeux), agendas partagés, etc.

Nous avions un fournisseur d'une solution Nextcloud + Collabora Office depuis décembre 21. Il s'agissait d'une SCOP locale. Début 2024 j'ai dû me mettre en quête d'un nouveau fournisseur suite à l'arrêt d'activité du premier (ça arrive). J'ai donc cherché un peu tous azimuts : associations, SCOP et entreprises standard, avec une préférence a priori pour une SCOP. Je voulais quelqu'un qui gère pour nous une installation Nextcloud couplée à une installation de Collabora Office. Collabora Office était un impératif pour moi, pas question d'utiliser OnlyOffice.

Parmi les entreprises standard j'ai interrogé Ionos sans être convaincu (je ne suis pas arrivé à savoir ce qu'ils font et ce qu'il te reste à faire). J'ai interrogé des associations, mais pas convaincu non plus (chers et ne s'engagent à rien). Parmi les coopératives celle qui m'a convaincu est Elabore à Valence. Ils sont spécialistes de Odoo, mais on peut se contenter de Nextcloud + Collabora Office. Le fonctionnement de base est que tu loues un serveur chez le fournisseur que tu veux et tu en délègues la gestion à Elabore qui se charge de toute l'installation (Debian 12 + Nextcloud + Collabora Office), de la migration éventuelle de ton ancienne installation Nextcloud, de la maintenance et des sauvegardes. Tu es administrateur de ton Nextcloud et tu gères tes utilisateurs comme bon te semble.
L'avantage de louer soi-même le serveur c'est que tu es propriétaire de tes données (elles sont chez toi) et que tu n'as pas de souci de migration si tu dois changer de prestataire.

Ça tourne depuis le mois de mai sans aucun souci. Et j'ai un vrai interlocuteur avec lequel je peux discuter.

Même pas ; je crois que, à part les journalistes, commentateurs et personnels politiques, tout le monde s'en fiche complètement.

Je le trouve ici : https://www.chez-mon-libraire.fr/ebook/9782271082886-l-astronomie-au-feminin-yael-naze/

C'est pratique : tu l'achètes en ligne et tu choisis la librairie qui fait la marge comme si tu l'avais acheté dans son magasin.

N'importe quoi. Mettre un bouton pour allumer chaque lampadaire ça revient juste à s'assurer qu'au bout d'une semaine aucun lampadaire ne pourra plus être allumé soit par défaillance soit, plus probablement par vandalisme.

Assez d'accord. J'espère juste qu'il y aura encore dans l'avenir assez de gens soucieux de réparabilité et prêts à aligner leurs décisions d'achat sur leurs idées pour permettre à Fairphone de continuer à produire et vendre des appareils robustes et réparables.

Bien entendu, mais avec une intelligence réelle l'ajustement n'est jamais définitif, il se poursuit quand le sujet accumule de l'expérience. De la sorte elle peut éviter de répéter indéfiniment les mêmes erreurs.

L'intelligence ça a toujours été défini par la capacité d'un agent (vivant ou non) à réagir à une situation nouvelle à partir d'un apprentissage. C'est exactement ce que font les IA dont on parle.

Vraiment ? Elle est drôlement vague ta définition. Sauf à redéfinir "réagir" n'importe quel logiciel dont on ajuste les paramètres est intelligent.

L'apprentissage suppose d'ajuster ses connaissances en fonction de l'expérience. Et donc il n'y a pas d'apprentissage dans chatgpt et consort, juste de l'ajustement automatique de paramètres. Une fois cet ajustement réalisé, la modèle est figé et donc n'apprend rien.

Cela dit, j'aimerais qu'on m'explique ce qu'ont de plus les soi-disant IA sur n'importe quel modèle numérique de mécanique des fluides qui fait de l'ajustement automatique de paramètres sur des données observées. Par exemple des modèles météo, hydrologiques ou hydrauliques. Quand on faisait ça dans les années 70-80 on n'aurait pas eu le culot de prétendre faire des IA. Juste mettre en code une part plus grande de l'expertise des concepteurs-utilisateurs de ces modèles.

Tu ne précises pas la contenance de ton chauffe-eau alors que c'est un point crucial. Jamais eu ce genre de souci avec mon cumulus, mais il est vrai que j'avais 4 femmes à la maison et pas de garçon ;-) En fait tout dépend de la capacité du cumulus. C'est sûr qu'avec un cumulus de 150L pour une famille de 5 personnes c'est trop juste, mais avec 300L pas de souci, il tient 36 à 48 heures. Et je conjecture qu'il consomme moins parce qu'il a une meilleure inertie.

Bien sûr, tu peux installer des extensions, mais tu as les mêmes sur les autres navigateurs.

Non, pas sur mobile, qui est, à ce qu'on dit, la principale plateforme utilisée pour surfer sur le net. Sur mobile, seul Firefox (et ses quelques dérivés) permet d'installer des extensions.

Sauf erreur de ma part, ça concerne seulement la presse, pas les livres. Les livres nous sont livrés par des transporteurs comme DPD filiale de La Poste ou d'autres transporteurs de colis.

Quelques compléments d'information :
- Dans notre librairie coopérative, Hachette représente un tiers du stock. Difficile de s'en passer, même si les marges accordées par Hachette sont plutôt en dessous de celles des autres éditeurs et si nous avons beaucoup d'éditeurs indépendants.
- Nous n'avons en stock ni le livre de Bardella, ni celui de de Villiers, mais bien sûr il n'y a aucune difficulté pour les commander (ils le sont, mais pas beaucoup).
- Des distributeurs fournissent certains livres sous X : le libraire ne sait pas ce qu'il va recevoir et doit donc faire confiance pour recevoir un livre qui se vend bien et qui est dans sa ligne éditoriale. En pratique ça permet aux distributeurs de forcer la mise en place de certains livres dans un plus grand nombre de librairies. La politique de notre libraire est de toujours refuser les livres sous X : c'est elle seule qui décide quelles marchandises entrent dans la librairie ; c'est son métier de choisir ce qu'elle met en avant pour sa clientèle.

Bon, tu es juste hors sujet. La tribune n'est pas sur le problème de la vente en ligne, mais sur celui de la mainmise de Bolloré sur toute la chaîne de production et diffusion du livre : édition, distribution, vente.

Je pense que cette tribune s'adresse en premier aux librairies indépendantes pour qu'elles osent prendre le risque de proposer d'autres productions que celles que Bolloré promeut en soutien à son entreprise idéologique de conquête du pouvoir par l'extrême droite.

leslibraires.fr ce n'est qu'un réseau parmi d'autres. Il y en a d'autres comme "Chez mon libraire" en région AURA.

Mon hypothèse, que je n'avance que pour le français, est que les prénoms où le son i est prééminent et/ou qui se terminent par a, sont plutôt attribués au genre féminin. Cela dit, je n'ai pas fait de statistiques pour valider cette hypothèse.

Est-ce qu'un lien mailto fonctionne quand le visiteur n'utilise qu'un webmail pour le courriel et que son webmail est fermé ? Vraie question, je n'utilise jamais de webmail.

Et ça fonctionnait très bien. Quand le téléphone sonnait ce n'était pas parce qu'un enfoiré essayait de vous arnaquer. Il pouvait y avoir des erreurs de numéro, mais la plupart des sonneries intempestives se produisaient par temps d'orage. On décrochait et la dame du téléphone disait "ça doit être l'orage" et on raccrochait après un échange d'amabilité.

Apprendre à téléphoner était une étape dans les apprentissages d'un enfant. Il fallait pomper sur la manette du téléphone pour appeler l'opératrice, puis lui dire la phrase magique, quelque chose comme "Bonjour, pour le 7 à XXX je voudrais Ségur 56 78 à Paris". S'il y avait une ligne libre elle nous passait la communication, sinon elle nous disait qu'elle nous rappellerait quand elle aurait pu établir la communication.
L'apprentissage comprenait aussi celui de la discrétion : ne jamais parler de choses confidentielles au téléphone bien trop facile à écouter. Le spectre des choses confidentielles était large pour nous les enfants.
Nous avions cependant le droit de répondre quand le téléphone sonnait et de faire les standardistes pour passer l'appareil au destinataire de l'appel. En fait comme le téléphone était fixe au sens propre du terme, c'est celui qui était le plus proche qui allait décrocher.

Ne marche pas sur une ligne fixe, ça ne suffit donc pas pour résoudre le problème du harcèlement par le démarchage téléphonique.

Oui c'est bien net.thunderbird.android
C'est l'appli "Thunderbird : Courrier libre" qu'on voit en ce moment en plein milieu de l'onglet "Nouveautés" de l'appli F-droid.

Sur la page de Thunderbird sur f-droid le lien de téléchargement est https://f-droid.org/repo/net.thunderbird.android_4.apk
J'imagine que c'est ça que j'ai installé depuis l'appli f-droid.

Moi j'ai bien une icône Thunderbird ( je n'aime pas trop son arrière-plan blanc) et l'appli s'appelle Thunderbird.