SpaceFox a écrit 1609 commentaires

Parce que l'association ne réponds plus aux critères légaux pour ce faire. Cf https://linuxfr.org/users/maderios--2/liens/l-agrement-de-l-ong-anti-corruption-anticor-annule-par-le-tribunal-administratif#comment-1928202 et en particulier le second lien qui répond très précisément à ta question, avec des extraits de tous les documents à ce sujets.

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L’agrément a été annulé à la demande de membres d’Anticor car depuis 2021 l’association ne respecte plus les conditions légales de l’octroi de cet agrément. Il y a une grosse crise interne notamment sur des financements opaques — un comble.

L’agrément lui a été donné par le gouvernement malgré ces problèmes largement connus. C’est un anti-complot à ce niveau.

Que l’association se remette en conformité avec ses obligations et elle pourra solliciter à nouveau cet agrément. Cacher ses turpitudes derrière un appel à l’indignation est TRÈS décevant de sa part.

Source : Maître Eolas sur Twitter https://twitter.com/Maitre_Eolas/status/1672246779071406080

PS : et une explication avec des drapeaux
https://twitter.com/Collabblues/status/1672242137163874305 et surtout des extraits des PV, status et jugements.

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C’est Canard PC Hardware, historiquement moins généreux en jeux de mots vaseux (un concept normal pour un canard, c’est là qu’il y trouve sa nourriture).

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Non seulement la procédure est donnée, mais en plus il y a plusieurs alternatives, dont une compatible Linux, et à chaque fois c’est de vrais tutos pour que n’importe qui puisse les suivre.

Je suis impressionné !

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OK, merci à vous deux. Mes cours de C sont anciens (C pour microcontrôleur en plus), mais je pensais bien que le langage n’avait pas évolué à ce point et autant au-delà de son concept de base, d’où mon étonnement !

Quant à qualifier C de « langage qui fonctionne bien », eh bien… On va dire que ça dépend ce qu’on lui demande, et qu’on l’a très probablement beaucoup trop utilisé au-delà de ses capacités (coucou les CVE de sécurité pour des détails stupides de dépassement de pile et autres joyeusetés). Mais pour faire des trucs louches avec des microcontrôleurs exotiques, ça fonctionnait bien.

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Déjà un point qui m’étonne :

on voit très bien que c'est ce qu'on fait depuis toujours avec un langage fonctionnel (C pour ma part)

Tu parles bien de « fonctionnel » comme dans programmation fonctionnelle au sens de cette définition ? Si oui, je ne savais pas qu’on pouvait faire ça avec C.

Quant au reste, c’est une question de facilité d’usage et de quantité d’effort à mettre sur la conception. Si ton langage est conçu pour faire de la POO (tu peux remplacer ce terme par n’importe quel autre paradigme de programmation dans la suite de la phrase), tu auras nativement les outils pour suivre ce paradigme et ça te demandera beaucoup moins d’efforts pour avoir un code correctement architecturé (selon ces paradigmes) ; l’énergie économisée peut servir à autre chose.

D’autre part, le message principal du billet – et je crois que c’est dit explicitement dans la dernière partie – c’est surtout qu’il ne faut pas rester collé à un paradigme de programmation en particulier, et adopter ceux qui sont pertinents pour l’ensemble (problème, langage, équipe). Et donc qu’essayer de tout faire avec de la POO, c’est aussi stupide que de vouloir tout faire avec de la programmation fonctionnelle¹, des ECS ou que sais-je. De la même façon, refuser l’un de ces paradigme par principe serait idiot parce que ça priverait d’un outil qui peut être utile.

Cette volonté de coller à tout prix à un paradigme maladapté est sans doute l’un des plus gros problèmes de la POO (et là aussi je pense qu’on peut remplacer « POO » par n’importe quel autre paradigme). Le confort qu’offre le choix du paradigme est tel que beaucoup de langages modernes (ou versions modernes de langages plus anciens) fournissent nativement les outils et structures pour utiliser des techniques de programmation variées.

Cela dit, c’est tout à fait possible que, dans les ensembles (problème, langage, équipe) que tu as rencontré dans ta vie, la POO n’était jamais la solution préférable, surtout en embarqué.

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Une fois de plus, l'analyse de fred42 est plus intéressante que l'article lui-même :

https://www.nextinpact.com/blog/69835/next-inpact-a-croisee-chemins#comment/2139288

À titre personnel j'ai un abonnement de 2 ans qui se termine le 26 juin, je vais attendre sagement de vraies informations avant de le renouveler.

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Pour moi c’est des notions différentes, en particulier :

• les beans doivent être modifiables (les objets fonctionnels ne le sont qu’au besoin),
• les beans doivent être sérialisables (ça n’est pas un besoin pour les objets utilisés dans le contexte fonctionnel),
• les beans doivent pouvoir être étendus (ça n’est pas un besoin pour les objets utilisés dans le contexte fonctionnel)
• les beans sont censés gérer des listeners, ce qui sort du cadre de l’objet « sans comportement »
• les POJO c’est juste un acronyme pour parler des objets qui ne dépendent pas d’un framework particulier (en particulier face aux EJB à l’époque)

On peut se servir de « beans » dans les parties fonctionnelles de code Java, mais ça n’est pas nécessaire que les objets utilisés recouvrent toutes les parties des beans. En fait, ça fait longtemps que je n’entends plus grand-monde parler de « beans » ou « JavaBeans » hors du contexte de code historique. Éventuellement pour parler d’un objet qui sert uniquement de « structure de données » (c’est ce dont il s’agit ici), mais j’entends plutôt parler de POJO, « data object » (par mimétisme avec les data class de Kotlin) ou de Record dans ce cas précis.

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La mode des objets sans comportement dans Java avec Getter/setter ressemble furieusement à du code fonctionnel sans en avoir le nom.

En fais ça en a le nom : la « mode » est arrivée avec celle du paradigme fonctionnel dans Java 8, et a été pérennisée avec les record (Java 17 pour la première version LTS où c’est disponible).

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Ensuite, certains ont écrit leur affiliation, que tu as soit ignoré (seule les organismes dont tu as entendu parlé seraient valides ?) ou que tu as classifiée comme "militant donc ça compte pas".

Vraiment, arrête d’essayer de me faire dire des trucs.

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1. On va se calmer avec les attaques personnelles, merci. Tu n’est pas dans ma tête, ne prétends pas dire ce que je crois ou ce que je pense.
2. Pour reprendre ton exemple, il aurait suffit que ces personnes signent la pétition en tant que « membre du Shift Project », et là j’aurais pu faire le lien avec leur légitimité. Ce qui n’est pas fait dans les exemples que je dénonce : les gens ont peut-être des compétences qui donnerait du poids à leur signature, n’indiquent pas cette compétence.

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100 % d’accord – et ça donnerait d’autant plus de poids à son propos.

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Ces personnes, en signant ce document sous cette forme, sous-entendent qu’elles sont scientifiques et qu’elles ont une quelconque légitimité pour parler du nucléaire. C’est leur affirmation, donc c’est à elles d’apporter la preuve de ce qu’elles affirment. Ça n’est pas aux contradicteurs d’apporter la preuve du contraire – ce sophisme est l’inversion de la charge de la preuve.

En l’état, le point 1 (« Les signataires sont scientifiques ») est presque toujours donné ; le point 2 (« Les signataires ont une légitimité quelconque pour parler de nucléaire ») presque jamais.

Note que la représentativité des signataires par rapport à la population générale ou même par rapport à la population « des scientifiques » ne rentre absolument pas en ligne de compte ici. Comme déjà dit, problème n’est pas que cet document soit représentatif de quoi que ce soit. Mon problème est que des gens utilisent leur côté « scientifique » sans jamais montrer qu’il y a un réel lien entre ce point et la thèse qu’ils défendent.

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« Mal placés » je ne sais pas. Mais d’évidence, un militant va avoir un but, celui pour lequel il milite. Ça n’est absolument pas un problème en soi, on a besoin de militants dans tous les domaines.

Ça devient plus gênant quand le militantisme est déguisé sous une apparence neutre – ici scientifique — parce qu’il y a une rupture du contrat de confiance et une forme de mensonge. Ici, le document s’appelle « Appel de scientifiques contre un nouveau programme nucléaire », ce qui sous-entends fortement que des scientifiques de tous horizons et du domaine sont contre un nouveau programme nucléaire. Or, ça n’est absolument pas le cas : la plupart des scientifiques n’indiquent pas clairement leurs compétences scientifiques sur le nucléaire¹, et on y trouve des militants.

Si le document s’était intitulé quelque chose comme « Appel général contre un nouveau programme nucléaire » ou quelque chose d’encore plus clairement partisan – en fait à peu près n’importe quoi sans ce verni de caution scientifique mensonger – ça ne m’aurait pas dérangé.

En l’état, c’est un peu comme si on montait une pétition en faveur du logiciel libre² en la présentant sous le titre « Appel d’informaticiens pour l’utilisation de logiciels libres ». La partie « d’informaticiens » introduit une notion mensongère en laissant penser que c’est parce que les signataires sont informaticiens qu’ils sont pour l’utilisation de logiciels libres, alors qu’en réalité c’est parce qu’ils sont militants.

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Je ne sais pas pour l’Ile-de-France, mais au moins en Occitanie, c’est bien l’exploitant qui a été pénalisé pour ses manquements, or une partie des retards étaient précisément dus à l’exploitant lui-même (manque de personnel notamment, il y a eu de grosses grèves à ce sujet ici).

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Pour commencer, la première ligne de mon commentaire est (avec le gras d’origine) :

Je reprends ta liste et je raye les noms qui, d’après les informations fournies, n’ont aucune légitimité pour se positionner formellement sur un tel sujet.

Or il s’est présenté ainsi :

Vincent FRISTOT, Maître de conférences à Grenoble

Sans plus de précision.

D’autre part, ce monsieur est un militant antinucléaire (« sobriété et 100% d'énergies renouvelables, c'est le bon cap ! »), et ancien porte-parole de negaWatt (pas très pro-nucléaires non plus). Bref, un militant qu’il n’est pas très étonnant de retrouver dans cette liste.

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+1, et éviter les blagues comme on l’a avec l’Ile-de-France et l’Occitanie en ce moment, à savoir : les trains sont sous-financés, donc les trains sous-financés ne sont pas à l’heure, donc il y a des pénalités financières qui réduisent encore plus les financements des trains (mais sans évolutions des objectifs), et ça boucle.

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1. Je reprends ta liste et je raye les noms qui, d’après les informations fournies, n’ont aucune légitimité pour se positionner formellement sur un tel sujet. Je ne conserve que les personnes qui indiquent une activité claire dans le domaine du nucléaire.
3. Jean ADAM, Ingénieur (ingénieur en quoi ?)
4. Mikael AKIMOWICZ, Maître de Conférences en Economie
5. Françoise AKOUM, universitaire (physique) retraitée _(c’est large la physique)
6. Samuel ALIZON, directeur de recherche, biologiste de l'évolution
7. Bruno ALONSO, Directeur de recherche, CNRS (quel type de recherche ?)
8. Jean-Christophe ANGAUT, Maître de conférences, École Normale Supérieure de Lyon
9. Marie-Anne ARRIO, Chercheuse CNRS en physique-chimie (trop large)
10. Marie AUGENDRE, Geographe. Université de Lyon 2 (C’est une université de sciences sociales…)
11. Geneviève AZAM, Enseignante-Chercheur honoraire, Économiste
12. Igor BABOU, Enseignant-chercheur à l'Université de Paris en Sciences de l'information et de la communication
13. Pierre BADIN, Directeur de Recheche au CNRS retraité
14. Jean-Baptiste BAHERS, Chercheur CNRS en métabolisme urbain et déchets
15. Fabienne BARATAUD, Ingénieure de recherches INRAE
16. Carine BARBIER, Ingérieure de Recherche, économiste de l'environnement, CNRS
17. Frédéric BARD, Ingénieur
18. Christophe BARNES, Enseignant et chercheur en géosciences
19. Laure BARTHÉLEMY, Docteure en Psychologie environnementale et sociale, Chargée de recherches et de surveillance citoyenne des installations nucléaires (La seule occurrence du titre « Chargée de recherches et de surveillance citoyenne des installations nucléaires » est cette pétition…)
20. Francine BAVAY, Ingénieure, promotion Condorcet de l’ENA, retraitée
21. Abraham BEHAR, Médecin honoraire des hôpitaux de Paris. Président de l'Association des médecins français pour la prévention de la guerre nucléaire
22. Najib BENARAFA, Professeur Agrégé de SVT et Conseiller départemental 92
23. Paule BENIT, ingénieure biologie / biochimie à I' Inserm
24. Aurélien BERLAN, Philosophe, maître de conférence à Toulouse
25. Domi BERNARD, Maitre de Conférences, Physique
26. Yves BERTRAN ALVAREZ, Docteur en géologie
27. Antoine BIARDEAU, Ancien élève du Dpt Energétique de l'INSA de Lyon (campus de la Doua à Villeurbanne), option physique atomique (Je suis gentil : c’est litigieux mais je le garde)
28. Emma BIGÉ, Philosophe, pofesseure d'épistémologie
29. Idriss BILLARD, Ingénieur en génie des matériaux
30. Laurent BILLAUD, Ingénieur, Directeur Bureau d'Etudes Thermiques & Environnementales
31. Bernard BILLOUD, Enseignant-chercheur en bio-informatique
32. Edgar BLAUSTEIN, économiste
33. Guillaume BLAVETTE , Enseignant diplômé de troisième cycle, membre de FNE et du GSIEN (FNE et le GISEN sont deux associations anti-nucléaire)
34. Françoise BLOCH, socio-anthropologue, CNRS retraitée
35. Noam BLOCH, Doctorant en énergie hydraulique, Université Grenoble Alpes
36. Michèle BONNIN , Sociologue, ex-ingénieur hospitalier
37. Marie BONNIN, Enseignant-chercheur en génie des procédés et de l'environnement
38. Anne-Marie BONNISSEAU, Professeure en Sciences Physiques
39. Matthias BORER, MCF, mathématiques
40. Bertile BOUCARD, professeure de microbiologie retraitée
41. Philippe BOURSIER, Professeur de sciences économiques et sociales
42. Pauline BOYER, Docteur en pharmacie et ingénierie des installations chimiques, diplômée personne compétente en radioprotection (On ne sait pas quel est ce diplôme, mais OK)
43. Stephane BRENGARTH, Medecin
44. Vincent BRIAND-BOUCHER, Docteur ingénieur, consultant climat énergie
45. Sylvie BRODZIAK, Universitaire
46. Jean-Marie BROM, directeur de recherches émérite en physique des particules au CNRS (la physique des particules n’a pas grand-chose à voir avec la production d’électricité nucléaire)
47. Xavier BROUT, enseignant physique chimie
48. Jean BRÉHÉRET, Dr ès Sciences Géologie Professeur émérite
49. Guillaume BURATO, Docteur en physique des matériaux, Développeur informatique
50. Jules CADIERGUE, Ingénieur thermicien
51. Catherine CADOU, Traductrice-interprète spécailsiée dans le nucléaire (elle est traductrice, elle a le vocabulaire mais pas forcément les compétences techniques)
52. Benjamin CAILLARD, Docteur en microélectronique, ancien chercheur en micro et nanotechnologie
53. Claude CALAME, Directeur d'études EHESS , Paris, historien, anthropologue
54. Jacques CAMBON, Expert en aménagement et gestion des eaux, diplomé de l'Institut des Sciences de l'Ingénieur de Montpellier, retraité
55. Georges CANIAC, Spécialiste en Radioprotection: Centre Esssais du Pacifique- Médecine Nucléaire- CERN
56. Anne CARRÉ, Ingénieur
57. Lise CARY, scientifique
58. Pierrick CHALAYE, Enseignant chercheur, sociologie de l'environnement
59. Philippe CHARREYRON, Ingénieur des Mines
60. Mathieu CHASSÉ, Maître de conférences en géosciences
61. Francis CHATEAURAYNAUD, sociologue, Directeur de recherche à l'EHESS, Directeur du Groupe de sociologie pragmatique et réflexive
62. Stéphane CHATELIN, Ingénieur
63. Étienne CHAUVEAU, Géographe, Université de Nantes
64. ~~Joël CHENAIS, Enseignant chercheur biologie moléculaire retraité ~~
65. Boris CHENAUD, Enseignent chercheur en physique quantique, Université Montpellier
66. Gildas CHERBONNIER, Ingénieur en génie électrique, responsable du parcours Électricité et Maitrise de l'Énergie de l'IUT d'Angers-Cholet
67. Françoise CHEVALIER, Medecin
68. Nicolas CHEVAUGEON, Docteur en Génie Mécanique, Enseignant chercheur, Maître de Conférence
69. Iris CHIONNE, MCF
70. Solange COADOU, Doctorante en océanographie
71. Yves COCHET, Ancien ministre de l'environnement
72. Aurélien Gabriel COHEN, Chercheur en géographie environnementale et en philosophie des sciences
73. Jean-François COLLIN, Haut fonctionnaire, ENA (promotion Fernad Braudel), retraité
74. Vincent COMPARAT, Ancien directeur de recherche en physique nucléaire _(je suis gentil)
75. Olivier COQ, Chercheur CNRS en Neuroscience à Marseille
76. Mickael CORIAT, Astrophysicien
77. Jean-Paul COSTE, Physicien Universitaire (Maître de Conférences, retraité)
78. Bernard COTTIER, Enseignant en électrotechnique et énergies renouvelables, agrégé de Sciences physiques
79. Romain COUILLET, Professeur des Universités, Chercheur transdisciplinaire.
80. Guillaume COURONNÉ, Ingénieur INSA
81. Cédric CRETON, expert énergéticien Mines Paris, gérant BET
82. Valérie D'ACREMONT, Médecin, prof universitaire de santé globale
83. Louis DALBERA, Economiste, consultant spécialiste en Développement
84. Jean-Marie DARBON, DR INSERM retraité
85. Thierry de LAROCHELAMBERT, Physicien énergéticien, chercheur émérite département énergie de l’Institut FEMTO-ST
86. Raoul de SAINT-VENANT, Polytechnicien (1973), conseil en stratégie (montrer son diplôme de 50 ans d’âge comme un argument, c’est triste)
87. Anne DELABALLE, anthropologue, direction UGA Design Factory
88. Baptiste DELAUNAY, Ingénieur ENSAM - Ingeniero superior ETSII
89. Marc DELEPOUVE, Mathématicien CNAM
90. Jean-Jacques DELFOUR, Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieur de St. Cloud
91. Agnès DELTOUR, Médecin en retraite
92. Arnaud DEMARLE, Professeur en Génie climatique
93. Dominique DENIER-GÉGU, Dr es Sciences
94. Marc DENIS, Docteur Physique atomique et moléculaire , GSIEN
95. Frédéric DENNINGER , Ingénieur École des Mines de Nancy FITI 2001
96. Isabelle DEPORTES, Ingénieure impacts sanitaires et écotoxicologique de l'économie circulaire
97. Roland DESBORDES, physicien spécialité physique appliquée, retraité
98. Lucien DESCHARMES, cadre industrie
99. Maylis DESROUSSEAUX, Maîtresse de conférences en droit de l'environnement
100. Jean-Philippe DEVULDER, Graphiste, de formation scientifique en physique nucléaire
101. Adrien DICKELÉ, Professeur agrégé de physique-chimie option physique
102. Jean-Marie DOLLAT, Retraité ingénieur de l'industrie chimique
103. Jean-Marc DOLLET, Medecin
104. Philippe DOLLFUS, directeur de recherche, CNRS, physique
105. Alain DUBOIS, Professeur Emérite au Muséum National d'Histoire Naturelle
106. André DUPRÉ, scientifique
107. Frédéric DURAND, Professeur des universités, géographie, université Toulouse II-Jean Jaurès
108. Philippe ENCLOS, Maître de conférences en droit privé, retraité, université de Lille
109. Arthur ENGEUHARD, Géoscientifique - Sismologue - Artiste sonore
110. Jean-Pierre ESCOFIER, Maître de conférences mathématiques
111. Guillaume ETIEVENT, Ingénieur informatique
112. Alain FABART, Économiste, animateur de l’espace thématique Migrations d’Attac, membre de son conseil scientifique, militant pour une éducation populaire altermondialiste
113. Abigail FALLOT, chercheure au CIRAD
114. Georges FARGEAS, Ingénieur de recherche
115. Christine FASSERT, Socio- anthropologue
116. Nicole FAUCON, médecin de PMI
117. Eric FAUDRY, Directeur de recherche en biologie
118. Emmanuel FERNANDEZ, Ingénieur
119. Jacques FERRAT, Universitaire retraité
120. Pierre FETET, archéologue
121. Jean-Louis FISCHER, Docteur d'État ès-Lettres et Sciences humaines… Biologiste, Historien des Sciences …
122. Dominique FLAHAUT, Ingénieur urbaniste, docteur en géographie
123. Antoine FORT, Ingénieur
124. Michèle FOUCHÉ, ancienne chimiste retraitée
125. Anny FRADIN, Docteure en Biologie
126. Laurent FRAISSE, Sociologue
127. Gilles FRAPPER, maître de conférences de chimie théorique
128. Jean-Baptiste FRESSOZ, Historien, CNRS
129. Gilles FRISON, chercheur CNRS
130. Vincent FRISTOT, Maître de conférences à Grenoble
131. Leïla FROUILLOU, MCF sociologie UPN
132. Jean-Louis GABY, Ingénieur électromécanicien, ancien artisan en énergie solaire
133. Pierre-Olivier GARCIA , Maître de conférence en géographie, Université Grenoble Alpes
134. Gilles GARCIA, Ingénieur divisionnaire des travaux publics de l'Etat (retraité)
135. Paul-Antoine GAUCHON, Ingénieur thermicien, Charpentier
136. Franck GAUDICHAUD, Historien, Professeur des universités, Université Toulouse Jean Jaurès
137. Jean-Luc GAUTERO, Maître de conférences en philosophie des sciences
138. Mariette GERBER, Dr en Médecne, es-Sciences et PhD, chercheur honoraire INSERM
139. Michael GHIL, Professeur émérite, sciences de la planète
140. François GHINET, Ingénieur CERN, retraité.
141. Nicolas GILLET, chercheur, sciences de la Terre
142. Jean-Christophe GIMEL, Chercheur
143. Pierre GINESTE, Ingénieur, chercheur à EDF, Etudes et Recherches, retraité
144. Gaël GINOT, Physicien
145. Dominique GLAYMANN, Professeur des universités émérite en sociologie
146. Jean-Luc GODET, Maître de conférences de physique émérite
147. Anne-Sophie GODFROY, Maîtresse de conférences en philosophie, Université Paris-Est Creteil et République des savoirs (ENS, CNRS, Collège de France)
148. Isabelle GOLDRINGER, Dr, directrice de recherche, agroécologie et biodiversité cultivée
149. Sophie GOSSELIN, philosophe
150. Isabelle GOUNAND, chargée de recherche CNRS en écologie à iEES-Paris
151. Pierre-Henri GOUYON , Professeur Muséum National d'Histoire Naturelle
152. Massimo GRANATA, Docteur – Ingénieur de Recherches CNRS
153. Jean GUENOT, technicien en electronique et en automatisme industriel / infirmier éducation nationale
154. Joël GUERRY, Ingénieur du Centre d'Etudes Supérieures des Techniques Industrielles (CESTI), docteur-ingénieur en Energie et Pollution (Paris VII) _(je suis gentil)
155. Bernard GUIBERT, Polytechnicien, Docteur en économie, Statisticien, Retraité
156. Pouny GUILLE, Médecin
157. Didier GUY, Enseignant en ingénierie mécanique - Université de Strasbourg
158. Stéphane GÉNIEYS, Maître de conférences en mathématiques, INSA de Toulouse
159. Bruno GÉNÉRÉ , ingénieur en chimie industrielle retraité
160. Marie-Elise HANNE, Médecin biologiste honoraire
161. Jean-Marie HARRIBEY, Economiste, Université de Bordeaux
162. Mari-Luz HERNANDEZ NICAISE, Professeur de biologie émérite
163. Pascal HINGAMP, Biologiste, enseignant-chercheur
164. Stéphane HIS, HEC, UTC, Université d’Orsay, consultant indépendant
165. Sophie HOUDART, Ethnologie et sociologie comparative. Directrice de recherche CNRS
166. Sylvain HOUPERT, Docteur en sciences de l’ingénieur, thèse CNRS
167. Benoit HUOU, Enseignant de mthématiques, Université Toulouse Capitole
168. Jean-Michel HUPÉ, Chercheur CNRS en écologie politique
169. Didier INOWLOCKI, Doctor en histoire contemporaine
170. Sabina ISSEHNANE , Économiste, Maîtresse de conférences à l'Université Paris Cité
171. François JARRIGE, Historien
172. Yann JAUTARD, Ingénieur en électronique
173. Christian JAUTROU, médecin retraité
174. Kévin JEAN, Enseignant-chercheur en épidémiologie au Cnam
175. Leborgne JEAN, Docteur ingénieur en physique des matériaux
176. Catherine JEANDEL, Directrice de recherche au CNRS en océanographie
177. Paul JOBIN, Sociologue, Institute of Sociology, Academia Sinica
178. Nicolas JOLY, Dr HDR, enseignant chercheur
179. Yves JOURNAUX, directeur de recherche émérite CNRS, chimiste
180. Elise JULIEN, Maîtresse de conférences, Sciences Po Lille
181. Sarah LABAT-JACQMIN, Maîtresse de Conférences
182. Nicolas LABRIERE, Ingénieur de recherche écologie des forêts tropicales
183. Michel LABROUSSE, Arts et Métiers, ex-ingénieur CEA et consultant en maîtrise de l’énergie, retraité
184. Jean-Paul LACOTE, Vice-président de l'ANCCLI
185. Jean LAFONT, ancien polytechnicien, Ingénieur général des ponts et chaussées retraité
186. Meriem LALIDJI, Master – Enseignante Biotechnologies
187. Marie-Laure LAMBERT, Maitresse de conférence en droit de l'environnement
188. Annie LANGLAIS, Professeure agrégée d’anglais, docteure en linguistique anglaise
189. Bernard LAPONCHE, Polytechnicien, physicien nucléaire
190. Antoine LASSERRE , Ingénieur météorologiste
191. Hubert LE BOZEC, Dr sciences physiques, DR CNRS retraité
192. Alain LE COMTE, Maître de Conférences en Physique
193. Hervé LE CROSNIER, McF Informatique, Université de Caen
194. Victor LE DEUFF, Ingénieur
195. Hervé LE GOFF, ingenieur de recherche en oceanographie, CNRS , retraité
196. Joëlle LE MAREC, Professeure, Museum d'histoire naturelle de Paris
197. Jean-Noël LE TOULOUZAN, Professeur Université, Énergétique, retraité
198. Christophe LEBèGUE, Ingénieur INRAE
199. François LEFLOCH, Ingenieur
200. Yves LENOIR, Ingénieur de recherche à l'Ecole des Mines de Paris (1971-2010)
201. David LEPETIT-BARBIER , Ingénieur d'étude en biologie
202. Emilie LETOUZEY, Anthropologue
203. Thomas LETZ, Docteur Ingénieur en solaire thermique
204. Alain LIPIETZ, Economiste
205. Hervé LOQUAIS, Ingénieur Arts et Métiers, professeur certifié de mathématiques
206. Isabelle LOUVET, Assistante Ingénieure CNRS en analyse chimique
207. Philippe LÉVY, Professeur des Universités Praticien Hospitalier
208. Jean-Luc MABILLON, médecin
209. Thibaud MAIMBOURG, Chercheur en physique (postdoc)
210. Sébastien MAJEROWICZ, Docteur en astrophysique, ingénieur en informatique
211. Christine MALFAY-REGNIER, Médecin
212. Jean MALIFAUD, Maitre de conférence mathématiques
213. Jean-Paul MALRIEU, Directeur de Recherches Emérite
214. Mathieu MANGEOT, Enseignant-chercheur en sciences de la soutenabilité
215. Odin MARC, Chargé de Recherche au CNRS, Géophysicien
216. Philippe MARCHENAY, Docteur en biologie, ethnobotaniste, ex chercheur CNRS
217. Philippe MARMOTTANT, Physicien, CNRS et Univ. Grenoble Alpes
218. André MARQUET, Ingénieur, chercheur à EDF, Etudes et Recherches, retraité
219. Jean-Louis MARTIN, Directeur de Recherche Emerite au CNRS, Ecologue
220. Patrice MASSENET, Conseiller prévention des risques
221. Gustave MASSIAH, Ingénieur, économiste, altermondialiste, ancien professeur à l' École nationale supérieure d'architecture
222. Laurence MAURICE, Hydro-géochimiste de l'environnement, Directrice de Recherches à l'IRD
223. Olivier MAZET, Enseignant-Chercheur, Université et Institut Mathématique de Toulouse
224. Jean-Philippe MELCHIOR, MCF HDR en sociologie, Le Mans Université
225. François MENET-HAURE , ingenieur dans le génie des systèmes industriels génie des systèmes thermiques
226. Damien MENIGAUX, Directeur scientifique
227. Thibaut MENOUX, enseignant-chercheur en sociologie
228. Jeanne MERMET, Ingénieure Polytechnicienne
229. Renaud METEREAU, Économiste, Maître de conférences à Université Paris Cité
230. Alain MILLE, Professeur émérite, Informatique, Université Lyon1, CNRS UMR 5205
231. Alban MOSNIER, Ingénieur chercheur physique des accélérateurs (retraité)
232. Waleed MOUHALI, Docteur en Physique et conseiller municipal à la Garenne-Colombes
233. Marie-Paule MOUSSE, ISPV retraitée
234. Bernard MULTON, Professeur des Universités, énergétique électrique
235. Philippe MUSSI, Chargé de recherche Inria (retraité)
236. Ludivine MÉNISSIER, Ingénieure
237. Fabienne MÉROLA, Biophysicienne, directrice recherche CNRS
238. Marie NAVEAU, Ingénieure chimiste, Docteur en biologie
239. Emmanuel NEGRO, Dr, physicien, chercheur ENR et transition énergétique
240. Nhan NGUYEN KHAC, Ancien Professeur a l Institut National Plytechnique de Grenoblee
241. Ghislain NICAISE, Biologiste, Professeur d'Université émérite
242. Guillaume NORMAND, medecin
243. Gaël NOUVEL , Enseignant physique chimie
244. Gérard PAGET, Ingénieur de recherche INRIA retraité.
245. Lilli PAPALOÏZOS, docteure en linguistique
246. Hélène PARISOT-DUPUIS, Enseignant-chercheur en mécanique des fluides
247. Pierre PARREAUX, Ingénieur diplômé ENSMM (SupMicroTech)
248. Anthony PECQUEUX, Sociologue, CNRS
249. Anne-Marie PEGUIN, Professeur de scieces physiques retraité
250. Pierre PEGUIN, Physicien universitaire retraité
251. Serge PELISSIER, Directeur de recherche - Génie Electrique
252. Philippe PELLETIER, Geographe. Université de Lyon 2
253. Evelyne PERRIN, économiste directrice de recherches retraitée du PUCA, Ministère de l'Equipement
254. Patrick PETITJEAN, polytechnicien, physicien signataire de l'appel de 1974, historien retraité
255. Jean-Yves PEYREL , docteur en géologie, retraité
256. Roland PFEFFERKORN, professeur émérite de sociologie, université de Strasbourg
257. Odile PIGAGLIO, Médecin
258. Jérôme PION, Ingénieur électronicien - 30 ans d'expérience dans l'industrie
259. Martin PIPONNIER, Docteur, Ingénieur en Optique et Photonique
260. Jean-Raoul PLAUSSU MONTEIL, Ingénieur CNRS en microélectronique
261. Bertrand PLEZ, Astrophysicien, Professeur à l'Université de Montpellier
262. Gaël PLUMECOCQ, Economiste, chargé de recherches INRAE
263. Jean-Luc POITOUX, ingénieur génie électrique, médiateur, chercheur sur la théorie de la médiation
264. Laurent POURINET, Géographe, IE Cnrs
265. Jacques PRADES, Economiste
266. Geneviève PRUVOST, Sociologue
267. Claude PÉNIT, Biologiste Directeur de Recherches CNRS Docteur en Médecine Militant altermondialiste
268. Philippe QUAGLIA, Docteur en physique
269. Myriam QUATRINI, Maitresse de Conférences en Mathématiques
270. Mathieu QUET, directeur de recherche en sociologie, IRD
271. Pierre RABANY, Medecin
272. Yves RENAUD, GSIEN/Gazette Nucléaire, CUEPE Uni de Genève
273. Claire REVOL, Docteure en philosophie, maitresse de conférence à l'Université Grenoble-Alpes
274. Christian REYNAUD, Dr ès Sciences de l'Education, enseignant chercheur
275. Thierry RIBAULT, chercheur au CNRS Université de Lille
276. Olivier RICHARD , Docteur en géologie, ingénieur conseil
277. Noa RIGOUDY, Doctorante en Ecologie comportementale
278. Jean-Michel RISSE, Expert en sûreté HP/BP
279. Frédérique ROBIN, EC Psychologie
280. Delphine ROCKLIN, Docteur en écologie marine
281. Sara RODRIGUES MILHAO, Médecin généraliste
282. Valérie ROLLE, MCF, sociologie
283. Jean-Claude ROSTAN, Biologiste Ecologue retraité, Lyon 1
284. Gilles ROTILLON, Professeur émérite en économie, Université Paris-Nanterre
285. Jacques ROTURIER, Docteur ès sciences physiques, professeur des universités, retraité
286. Camille ROUX-GOUPILLE, Maîtresse de conférences Biologie UPEC
287. Etienne RUELLAN, Directeur de recherche en géosciences marines
288. Claudio RUMOLINO , Ingénieur
289. Pierre RUSTIN , DR CE CNRS
290. Corine SAGLIET, Agrégée et doctorat de physio végétale
291. Hervé SAINT-MAXENT, professeur de biotechnologies retraité
292. Loic SALMON, Biophysicien, chercheur CNRS
293. Jean-Baptiste SALOMON, Astrophysicien
294. Erica SANDFORD, Hydrogéologue
295. Danielle SAUTEREL, Ingénieur environnement (retraitée)
296. Christian SAUTTERIN, Ingénieur, directeur d'études EHESS (EHESS = sciences sociales)
297. alexandre SCHUBNEL, Géophysicien, directeur du laboratoire de Géologie de l’ENS Paris
298. Raymond SENÉ, Physicien nucléaire CNRS, cofondateur GSIEN
299. Gilles SIMON, Ingenieur d'études CNRS
300. Etienne SIPP, Ingénieur, Docteur de l'Université de Bordeaux (Sciences des Matériaux)
301. Jérôme SOLARD, Ingénieur agricole, consultant en économie d'énergie
302. Magali SOUCASSE, ingénieure électricité
303. Laurent STAINIER, Ingénieur, Docteur en Sciences Appliquées, Professeur des Université (mécanique)
304. Dirk STRATMANN, Enseignant-chercheur en biophysique
305. Kurumi SUGITA, socio-anthropologue, chercheuse retraitée de CNRS
306. Alexis TANTET, Enseignant-chercheur en sciences du climat
307. Geneviève TEIL, Sociologue INRA
308. Jacques TERRACHER, Officier mécanicien navigant de l’aviation civile, retraité
309. Jacques TESTART, Biologiste
310. Annie THEBAUD MONY, directrice de recherche honoraire INSERM, sociologue
311. Patrick THOLLARD, Maître de conférences honoraire en archéologie- chercheur associé UMR 5140 Montpellier
312. Sezin TOPÇU, Sociologue au Cnrs
313. Guy TORREILLES, retraité, ancien chef BE engins de manutention nucléaire
314. Dominique TREMOUSAYGUE, Chargée de recherche en biologie moléculaire végétale
315. Tristan URTIZBEREA, Ingénieur
316. Constance VALENTIN , Chercheuse en Physique
317. François VALLET, Ingénieur en génie climatique, énergétique et environnement
318. Pierre VALVIN, Ingénieur instrumentation optique, CNRS, Montpellier
319. Marieke VAN LICHTERVELDE, Chercheur, Géologie
320. Sébastien VANZIELEGHEM, Ingénieur R&D
321. Fernand VEDEL, Chercheur retraité cnrs
322. Philippe VERDIER, sociologue et urbaniste (retraité)
323. Pedro VIANNA, économiste, poète, homme de théâtre, enseignant universitaire
324. Christophe VIEU, Biophysicien, Professeur INSA Toulouse
325. Michel VILLAZ, biologiste, retraité
326. Catherine VINCENSINI, Professeur agrégé
327. Christiane VOLLAIRE, Philosophe, chercheure associée au Centre de Recherche sur le Travail et le Développement du CNAM
328. Sophie WAHNICH, directrice de recherche , CNRS. shs en interdisciplinarité
329. Stanislas WALIGORSKI, Médecin psychiatre retraité
330. Dror WARSCHAWSKI, Docteur en Biophysique et Chercheur au CNRS
331. Erwin WEISS, Ingénieur mécanique
332. Wolfgang WIETZKE, Ingénieur
333. Jérôme WILGAUX, Enseignant-chercheur (Histoire)
334. Françoise WILLMANN, Maîtresse de conférences émérite, Université de Lorraine
335. Marie-Christine ZELEM, Professeur d'université en sociologie de l'énergie
336. Jean Claude ZERBIB, Ingénieur en radioprotection (retraité)

Cet appel devrait être renommé en quelque chose comme : « Des scientifiques signent une pétition qui sort complètement de leur domaine de compétence, ce qui n’est pas très rassurant quant à leur éthique en général, et c’est bien dommage ».

PS : bien sûr que les gens ont le doit de signer ce qu’ils veulent, et bien sûr que la question du nucléaire est multi-domaine. Mais là je prends le parti d’être d’aussi mauvaise foi que les tenants de cette pétition. Le vrai problème de ce déluge de noms, c’est que beaucoup de ces « scientifiques » n’ont pas de compétence dans le domaine, même de loin. C’est donc un dévoiement de la parole scientifique au profit du militantisme : la plupart des signataires n’ont probablement pas d’arguments scientifiques en faveur d’une interdiction, mais une opinion qu’ils soutiennent en mettant l’argument d’autorité « je suis scientifique » dans la balance. Et c’est ça le problème.

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Oui, ma phrase était pas claire : je comprends qu'on puisse aimer ce genre de sports, mais il ne me touche pas (sauf le côté technique). Sans doute une histoire de ratio entre les actions décisives et la partie routinière pendant la course. Un peu comme au tennis ou au football.

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Le but d’un sport, c’est l’action en elle-même. Si tu t’intéresses au résultat seulement, et à l’efficacité de la transformation d’énergie, tu t’intéresses à un travail. Et avec ce genre de raisonnement, tous les sports sont à rejeter.

Le pilote n'étant guère qu'un accessoire médiocre. Probablement d'ailleurs que les performances des machines seraient bien meilleures pilotées à distance, ou carrément par un programme.

Tu prouves surtout que tu n’y connais absolument rien en sport mécanique. Sinon tu saurais qu’il y a énormément de règles très strictes pour renforcer le spectacle et le rôle des pilotes ; et minimiser l’avantage que pourrait avoir l’équipe la plus riche. En particulier : la plupart des automatismes sont interdits. Par exemple, l’ABS, obligatoire sur ta voiture, est interdit en F1. En fait, dans la plupart des courses hors celles plus prestigieuses (Formule E, Formule 3, Formule 2…), un seul modèle de véhicule est autorisé pour tous les concurrents, la différence ne fait que sur les talents des pilotes.

Et je dis ça alors que je ne comprends pas l’intérêt de ce genre de sports : je ne trouve aucun intérêt à regarder des véhicules tourner en rond (ou à tourner en rond moi-même), et les retombées annoncées dans le monde automobile général ne me semblent pas du tout rentable par rapport à la débauche de moyens affichée. Même si au final c’est la logistique qui pollue le plus dans ces sports – et c’est un problème commun à toutes les grandes compétitions sportives internationales, ça n’est pas exclusifs aux sports mécaniques.

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Tu parle bien de la personne qui a été interdite de publication dans toutes les revues de l’American Society for Microbiology ? (source : DOI: 10.1126/science.335.6072.1033).

Sans parler de la floppée d’affaires en cours, qui sont simplement… en cours (elles n’ont pas « fait flop ».

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C’est même pire que ça : quelqu’un sans entraînement ne peut tout simplement pas conduire une Formule 1. Déjà parce que si on ne roule pas assez vite, la Formule 1 ne fonctionne plus correctement. Ensuite parce que les passages de vitesses, le freinage, les trajectoires, les forces subies… rien de tout ça n’est commun avec la conduite automobile – et je parle juste de réussir à finir un tour de circuit, pas de « piloter aux limites » comme les pilotes.

Oui, la Formule 1 c’est un sport.

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https://www.sixthtone.com/news/1012991

L'article de Courrier International est une traduction de celui-ci, puisque c'est le concept du journal (des traductions d'articles de journaux internationaux avec de la mise en contexte).

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Et même en ayant compris ce dont tu parles (ce qui est mon cas), on se demande bien quel peut être l'intérêt du journal. Juste savoir s'il y a des pilotes de planeur ici ? Eh bien, porte simplement sur les logiciels utilisés, au mieux tu auras intéressé plein de gens, au pire tu auras juste perdu ton temps à toi.

C'est un peu le même principe que ça https://nohello.net/fr/

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On peut ajouter que les infractions des cyclistes sont visibles, tandis qu'un automobiliste peut être en infraction invisible (excès de vitesse pas trop grand, téléphone au volant, non port de la ceinture, et j'en passe). Et je ne parle pas des infractions visibles pour les voitures dont tout le monde se fout, comme le non respect des sas vélo.

D'autre part en tant que cycliste, mon expérience va dans le sens du premier lien : il y a des endroits où, à vélo, c'est dangereux de respecter le code de la route à la lettre.
L'exemple classique, c'est les feux rouges où il faut démarrer avant les voitures sous peine de se faire frôler par une série de conducteurs qui accélèrent sans regarder ce qui se passe. Si c'est en plus à un feu avec un sas vélo, on obtient exactement la situation décrite dans l'article : les spectateurs vont râler sur les vélos qui grillent le feu (mais le font pour leur sécurité) et pas sur les voitures qui squattent le sas vélo.
Un autre, c'est le stop. À vélo, on est beaucoup plus haut qu'en voiture (même plus haut qu'à pieds sur un vélo bien réglé si on se redresse) donc on a une bien meilleure vue sur les environs ; d'autre part, un arrêt complet à vélo est très coûteux en énergie (s'arrêter, poser le pied à terre, relancer le vélo, réaccélérer). Donc les cyclistes "glissent" souvent les stops. C'est visible et sans danger tant que tu gardes la marge pour t'arrêter si besoin.

Tous ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de cyclistes débiles, inconscients et dangereux. Mais que, en général, ils ne sont pas plus dangereux que les automobilistes, même s'ils paraissent plus irrespectueux du code de la route.

Enfin un connard sur la route l'est quel que soit son mode de déplacement. Et il vaut mieux qu'il le soit à vélo qu'en voiture : les conséquences de son comportement seront moins graves ainsi.

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