Strash a écrit 942 commentaires

  • [^] # Re: Tracim avec éventuellement module dédié ?

    Posté par  . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 3.

    Cette solution me semble intéressante selon certains aspects.

    Quelques questions :

    Où vivent les documents ? Dans des bases de données ? Si non, sont-ils des documents directement utilisables en temps que tel ? Y a-t-il une arborescence conservée dans des dossiers ?

    le fait de mettre des tags "nommés" sur des versions de document (le versionning de tracim est suffisant techniquement, mais il ne permettra pas d'avoir des tags explicites, juste des numéros de version)

    Une version est créée à chaque modification du document ?

  • [^] # Re: LibreOffice + WebDAV

    Posté par  . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 4.

    On crache beaucoup sur Word et le WYSIWYG, mais c'est tout de même ce qui se fait de plus proche à l'utilisation d'un stylo et d'une feuille de papier. Il faut arrêter de vouloir tout ramener à que l'utilisateur a été déformé par le méchant Microsoft. Un traitement de texte WYSIWYG est quand même beaucoup plus abordable et intuitif qu'un langage à balise.

    Heu, comment veux-tu la même « facilité » que Word avec un langage textuel ?

    Je n'ai pas vraiment dit que je souhaitais un langage textuel. Je souhaite un système qui me permette de gérer la documentation des machines, à partir de master, d'options, avec une gestion des versions des documents à chaque validation.
    Le côté langage textuel est uniquement un aspect pour la technique qui est pour moi plus un obstacle qu'une aide.

  • [^] # Re: LibreOffice + WebDAV

    Posté par  . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 2. Dernière modification le 22 janvier 2019 à 13:30.

    Sans passer par un Webdav, nous avons aujourd'hui déjà simplement des dossiers sur un serveur sur le réseau dans lesquels chaque projet vit. Chaque personne édite les documents directement dessus, et personne ne conserve de copie locale ou ne les envoie par email. Ça s'ouvre directement dans Word et se sauvegarde directement dessus.

    Je ne comprends pas bien l'intérêt d'un Webdav par rapport à la solution actuelle.

    Je suis par contre d'accord avec toi que le problème est de l'ordre des connaissances des utilisateurs. Par contre je ne suis pas d'accord avec toi qu'un bon outil ne pourrait résoudre le problème.
    Word est un très bon outil, fiable, efficace et facile à utiliser. Les utilisateurs seraient sans aucun souci capable de s'adapter à un autre outil si il fournissait la même facilité d'utilisation. Mais Markdown ou autres langages à balise ne sont juste pas au niveau de ce côté là.

  • [^] # Re: DITA

    Posté par  . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 2.

    C'est exactement ce que je recherchais comme retour à mon journal : des retours concrets de boîtes qui ont le même besoin. Je me doutais que l'on était pas la seule entreprise à écrire de la documentation.

    Je vais regarder ce DITA de plus près et voir si ça correspond à ce que je recherche.

    Merci !

  • [^] # Re: Markdown…

    Posté par  . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 2.

    C'est exactement ce qui me fait peur avec tout les langages à balise.

    S'il est agréable d'avoir des documents clean et au comportement prévisible, je pense qu'il est préférable d'avoir une approche "sale" à la Word qui autorise quelqu'un a faire de la mise en page dégelasse à base d'espace et de tabulations. Au moins la personne est autonome. Ça autorise aussi facilement d'accepter une nouvelle personne dans l'équipe (intérim, remplacement maladie, etc…).

    J'imagine que mon seul souci est de vouloir le meilleur des deux mondes.

  • [^] # Re: etherpad, wiki, Lyx, ...

    Posté par  . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 2.

    Je viens de regarder Etherpad, je vois en quoi il réponds aux besoin de suivi des changements et gestion des versions, je ne vois pas comment il peut résoudre le coté document master, branching et fusion.

    Je vais regarder un peu plus du côté des Wiki, mais ça me semble quelque chose de très lourd à gérer, j'aurais préféré une solution où l'on reste sur des documents qui vivent dans des fichiers séparés et éditable directement, le fait que les documents vivent dans une base de donnée quelque part ne m'attire pas du tout.

  • [^] # Re: git

    Posté par  . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 2.

    Justement je ne les vois pas ouvrir une console et lancer du git. C'est bien pour cela que je cherche des outils.

    Quand à suivre la procédure ISO, bien entendu je fais ça tout les jours, mais il faudra bien d'abord trouver un concept qui tiens la route.

  • # Il était une fois...

    Posté par  . En réponse au journal trames de roman photo pour BD + outils. Évalué à 3.

    Un jeu de société peut t'aider à trouver des thèmes pour une histoire, peut-être à jouer avant de lancer le processus de création de ton roman photo ?

    https://boardgamegeek.com/boardgameversion/140627/french-edition

  • [^] # Re: Proposition n°1: la production doit être durable

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 10. Dernière modification le 17 janvier 2019 à 15:16.

    Encore une fois vous ne savez vraiment pas de quoi vous parlez. 2-3€ ? C'est énorme ! Les discussions avec les fournisseurs au département achat se jouent sur chaque pièces et les négociations reviennent à quelques centimes par pièces. Et comment les développeurs pouvaient savoir que c'est cette résistance qui allait être le maillon faible ? Et si ils avaient pris une meilleure qualité, est-ce que la résistance d'à coté n'allait pas péter aussi ? On rajoute aussi 2-3€ sur tout les composants pour être sûr ?

    Je ne connais pas le monde de l'électronique grand public, mais dans mes domaines le service SAV est présent dès le début de la conception et ils valident la plupart des décisions qui les impactent. Encore une fois vous semblez ne rien connaître de la réalité industrielle.

    Le monde du jetable est imposé par la frénésie d'achat créée par le marketing et la course à la dernière innovation au plus bas coût de la part du public. Au niveau conception on ne fait que s'adapter à la demande de la part des chefs de produits, ou la prochaine génération de matériel doit faire mieux, plus beau et moins cher, au risque de perdre des clients. Encore une fois on ne nous demande jamais de faire moins maintenable ni réparable.

    Pourrait-on faire mieux au même prix ? Oui, peut-être, on est humain et on ne prends pas toujours la meilleure décision à tout les moments de la conception. Par contre nous mettez pas sur le dos cette obsolescence programmée que j'entends m'être reprochée dès que je croise une nouvelle personne et que je lui parles de mon métier. On a juste pas le temps et le budget à calculer pour que la pièce fasse exprès de mourir à la fin de la garantie.

    L'obsolescence du matériel est une conséquence de notre mode de consommation, toujours moins cher et plus neuf. Pas l'inverse.

  • [^] # Re: Proposition n°1: la production doit être durable

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 4. Dernière modification le 17 janvier 2019 à 14:15.

    Sauf que mon raisonnement est que la plupart de ces modifications ne sont pas faites explicitement pour réduire la maintenabilité, mais réduire les coûts ou pour la miniaturisation.

    Je pense que tu ne te rends pas compte du gain de coût entre des clips et des vis.

    Sauf que bon, quelqu'un qui n'a jamais bossé dans le domaine de la fabrication mécanique va forcément regarder le truc et dire qu'il aurait fait mieux que les professionnels.

  • [^] # Re: Proposition n°1: la production doit être durable

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 7.

    J'aimerais savoir ce que tu trouves de fallacieux dans mon argumentaire. En temps qu'industriel et ingénieur j'ai ma part de responsabilité quant à la réparabilité et impact écologique des produits que je conçois. Mais j'ai aussi une réalité économique.

    Lorsque je le peux je met en place des solutions qui permettent une meilleure ergonomie, on ne perds pas du temps à concevoir explicitement quelque chose de non démontable ou réparable. Certains industriels le font cependant, je ne suis pas au pays des bisounours (j'ai voulu démonter ma cafetière pour changer un joint et je me suis rendu compte que les vis ont une tête inconnue au bataillon, même dans mon bestiaire de tournevis étranges). Mais personnellement je n'ai jamais, en 10 ans de carrière, reçu la moindre instruction de qui que ce soit de faire exprès d'entraver la réparabilité ou la démontabilité. Ce serait plutôt même l'inverse.

    Par contre la pression du coût est elle bien réelle. Avec la réalité de la compétition internationale, produire un produit grand public est avant tout contraint par le coût. Et le temps de développement et de validation a un réel impact sur le prix final du produit, ainsi que le coût des matériaux et du montage. Si tu produit un produit au dessus du prix du marché, tu ne vas tout simplement pas vendre.

  • [^] # Re: Proposition n°1: la production doit être durable

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 10.

    Je suis ingénieur en mécanique et j'ai justement travaillé pendant des années pour des produits grands publics (des chaudières à gaz de petite puissance) et plus récemment des produits industriels (justement des laveurs industriels). Je vais donc pouvoir rapidement te décrire les deux milieux, leurs contraintes et les conséquences sur la maintenance.

    En milieu industriel, il y a plusieurs éléments qui permettent d'améliorer considérablement la maintenance :

    • L'espace : les usines sont généralement des locaux avec un plafond à 3m ou plus, et où les contraintes de place sont assez larges, on peut fournir des machines où la carrosserie est démontable de tout les côtés visibles. L'intérieur de la zone technique est très spacieux et les éléments à l'intérieur sont organisés de façon à permettre l'accès à tout les éléments critiques.

    • Le prix : un industriel qui achète un matériel fait un investissement, cette machine va améliorer un process de sa chaîne de production et il va calculer qu'il rentrera dans ses frais en X années. De plus cette machine pourra être revendue à un autre industriel après quelques années de bons et loyaux services. Le prix n'a rien à voir avec un matériel équivalent pour les particuliers.

    • Les contrats de maintenance : Pour des machines industrielles un contrat de maintenance entre le constructeur du matériel et le client existe généralement. Dans le cas le plus minimum il y a un engagement du constructeur à fournir les pièces détachées pendant X années (20 ans n'est pas rare). Si la pièce n'est pas fabriqué le constructeur mettra ce qu'il faut en place pour trouver un équivalent (vu le prix des pièces détachées qui est souvent x5 par rapport à ce qui a facturé initialement), quitte à modifier la machine, recoder l'automate, etc…

    • Le niveau de compétence de l'équipe de maintenance : En milieu industriel il y a une équipe de maintenance sur place qui effectue les maintenances préventives et correctives sur les appareils de l'usine. Cette équipe a un niveau de formation élevé qui lui permet d'éventuellement faire des modifications à la machine. Ceci en appliquant les règles de sécurité en vigueur (port des équipements de sécurité, habilitation électrique…).

    Tout ceci n'est pas présent dans un matériel grand public où les contraintes de la conception sont plutôt : le coût (limiter au maximum le nombre de pièces afin de réduire le nombre d'étapes dans la chaîne de production, limiter le coût de chaque élement), la sécurité des personnes (beaucoup d'essais normés liés à la sécurité pour obtenir un marquage CE), la miniaturisation.

    Donc ton idée de rajouter des LEDs d'état à la carte mère, avec une jolie trappe pour les voir facilement, ça se traduit par :
    - Coût supplémentaire pour les composants de la carte mère
    - Coût supplémentaire pour les tests software (à ne pas négliger)
    - Deux pièces de plus à assembler lors du montage (la trappe et le joint)
    - Deux pièces de plus à concevoir
    - Des prototypes pour tester que la trappe ferme et s'ouvre bien
    - Deux moules d'injection plastique à concevoir et à fabriquer (quelques dizaine de milliers d'euros par moule surtout si tu as du volume)
    - Des prototypes pour les tests de protection IP (eau et poussière) qui sont plus difficiles à passer car tu as un joint supplémentaire
    - Des tests DBT plus difficile à passer, il faudrait pas que quelqu'un puisse s'électrocuter ou abîmer la machine en passant un tourne-vis par la trappe
    - Un coût de documentation de la signification des LEDs
    - Des heures de réunion d'analyse de risques afin de tout documenter

    Bref, c'est très bien de croire que l'on peut mieux faire que les équipes de conception des machines que vous utilisez tout les jours, mais pour fournir en boutique une machine à laver à 300€, il faut vraiment faire des gros efforts de conception, des validations internes et réglementaire, des heures d'analyse de risque, des heures d'UX et d'essais de maintenabilité, etc…

  • [^] # Re: Personne n'y croit

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 5. Dernière modification le 16 janvier 2019 à 17:10.

    Personnellement je pense comme toi, que la répression n'est pas la solution et que cela n'amène que la violence. Par contre je n'aime aussi pas du tout la désinformation, et affirmer que lors de manifestations, les forces de l'ordre sont 1 contre 1 avec les manifestant, c'est de la désinformation.

  • [^] # Re: Personne n'y croit

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 5. Dernière modification le 16 janvier 2019 à 16:30.

    Sauf que les forces de l'ordre sont réparties sur tout le territoire, et non pas toutes regroupées à l'endroit même de la manifestation.

  • [^] # Re: Allez hop, des doléances en bon uniforme

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 3. Dernière modification le 16 janvier 2019 à 09:14.

    Et si je fais la même petite histoire sans partir d'un prêt j'arrive au même problème:


    On vit tous les trois avec Jice sur une île, il n'y a pas d'argent.

    J'ai des talents de coiffeur et je propose donc mes services. Je suis assez doué je demande 2 coquillage pour une coupe. Jice souhaites une coupe. Hors il n'y a pas d'argent sur l'île. Comment faire sachant qu'il n'a pas d'argent ?

    Il faut attendre que Jice vienne te voir pour faire un emprunt.


    Le problème de vos exemple n'est pas les banques, le problème est les services. Les services ne créent pas de richesses tangibles que l'on pourrait échanger par la suite (une maison, une pépite d'or…).

    Le service fourni par la banque est une avance sur l'argent, le service fourni par le coiffeur est une coupe de cheveux.

    Jice et moi, on pourrait très bien payer tes intérêts en noix de coco ou en feuilles de bananier pour ta maison, et on aurait aucun problème d'emprunt nécessaire.

  • [^] # Re: Allez hop, des doléances en bon uniforme

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 3.

    J'ai toujours pas compris comment tu peux affirmer quelque chose comme ça. Je vois pas en quoi le fait que la banque exige paiement contre le service quelle fourni a quelque chose a voir avec le fait que l'on serait obligé d'emprunter pour rembourser les intérêts.

    Explique toi plus car pour l'instant ce que tu as dit c'est ça :

    On emprunte 100.000€ à la banque, on rembourse 130.000€, donc on est obligé de réemprunter pour payer les 30.000€ en plus de notre emprunt. Ce donc n'a rien d'évident du tout, j'aimerais que tu m'expliques.

  • [^] # Re: Allez hop, des doléances en bon uniforme

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 4. Dernière modification le 14 janvier 2019 à 17:54.

    Ces 30k€ ils viennent des clients de mon entreprise qui ont eux acheté les produits de mon entreprise. A aucun moment il n'y a eu création de monnaie qui ne va être détruite par la suite dans cette histoire.

    Les banques créent de la monnaie mais elle va être complètement détruite lorsque les dettes sont remboursées.

    La véritable création de monnaie, c'est dans les mains des états et des banques centrales. Sinon on n'aurait pas une inflation à 1% chaque année.

    Comparez avec les pays qui font tourner la planche à billets comme le Venezuela, là il y a une énorme création de monnaie.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9ation_mon%C3%A9taire

  • [^] # Re: Allez hop, des doléances en bon uniforme

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 8.

    Pourquoi taxer le carburant routier ?

    Transport routier :

    Le transport routier est responsable de 16 % de la production mondiale de CO2

    Transport Aérien :

    les émissions représentent de 2 à 3 %

    Transport Maritime :

    les émissions de dioxyde de carbone provenant du transport maritime en 2012 étaient égales à 2,2%

    Je suis d'accord que le transport Aérien et Maritime mériteraient d'être également taxé, mais si on veut avoir un impact significatif il faut absolument réduire le transport routier qui représente 16%, soit plus de 3 fois plus que l'aérien et le maritime réunis !

  • [^] # Re: Allez hop, des doléances en bon uniforme

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 3.

    Je ne comprends pas ce que tu veux dire, j'emprunte 100.000 € + 30.000 € d'intérêts. Je travaille et je rembourse à la banque 130.000 €. A quel moment quelqu'un a sorti de l'argent de nulle part pour créer de l'argent qui n'existe pas ? Ces 130.000€ ont tous été à un moment sur ma fiche de paie.

    Ces 30.000€ servent à la banque à payer ses infrastructures, ses employés, ses assurances, ses actionnaires, etc… On peut considérer que c'est trop, c'est un autre débat, mais je vois pas à quel moment quelqu'un a sorti de l'argent de son chapeau.

  • [^] # Re: Allez hop, des doléances en bon uniforme

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 3.

    Quelle est la différence avec une banque et un prêt ?

    Tu souhaites acheter une maison à 100 000€ mais tu n'en as pas les moyens. Tu vas voir la banque pour qu'elle l'achète pour toi, contre une reconnaissance de dette. Petit à petit par le fruit de ton travail tu rembourses la dette.

    C'est strictement équivalent à :

    Tu souhaites te faire couper les cheveux mais tu ne sais pas le faire toi même. Tu vas voir un coiffeur pour qu'il le fasse pour toi, contre une reconnaissance de dette. Que tu payes en sortant de chez le coiffeur.

    Pour la maison si tu avais mis de le fruit de ton travail sous un matelas et que tu l'achètes cash au bout de 20 ans, est-ce que tu as créé de l'argent ? Non. La banque c'est pareil, au final elle ne crée pas d'argent, elle prend juste le risque (ou plutôt l'assurance prend le risque) que tu ne rembourses pas (comme le coiffeur qui prend le risque que tu partes en courant après ta coupe).

  • [^] # Re: Proposition n°1: la production doit être durable

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 3.

    Je suis d'accord avec toi sur le constat actuel du monde informatique. Mais selon moi c'est un constat, et non pas un idéal vers lequel tendre. On notera aussi que cela s’aggrave, car maintenant de nombreux composants ne sont plus remplaçables (mémoire vive et SSD soudés, système complets sur une même carte mère, etc…).

    Vous l'avez dit au dessus, cet état de fait ne serait pas accepté dans l'automobile, où tu t'attends à retrouver une pièce détachée des années après la fin de la commercialisation de la voiture. Pourquoi ça n'est pas le cas en informatique ?

    La nécessité d'une progression technologique était peut-être vraie il y a quelques années, mais aujourd'hui avec des écrans avec une densité de plus de 100 px/cm, on atteint quelque chose où il est difficile de dire que ce qui sortira dans 10 ans sera vraiment beaucoup mieux (à part éventuellement pour des professions spécifiques), à part à sortir des arguments de commerciaux.
    Pour ce qui est des standards de connectiques et de sans fils, il me semble que les temps d'évolution de ces éléments sont bien plus long que le cycle de 3 ans que l'on parles ici.
    Quant au poids des logiciels, l'utilisation faite d'un ordinateur par la majorité des utilisateurs (bureautique et surf sur le web), un ordinateur qui a 10 ans suffit amplement. Il est vrai qu'il y aura quelques lenteurs par rapport à du matériel récent, mais pour la majorité ce sera suffisant. Sauf argument marketing.

    Tout ça serait d'autant plus vrai si les constructeurs étaient forcés de fournir un support matériel et logiciel pendant une longue durée, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Cela arrange bien les fabricants que la plupart des "prescripteurs" de matériel auprès du grand public (le copain/fils geek de la voisine) soit des personnes à la recherche des dernières nouveautés et de la super performance.

  • [^] # Re: Proposition n°1: la production doit être durable

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 10.

    Je pense qu'il est vraiment absurde écologiquement de penser qu'un ordinateur et un téléphone portable ne doit durer que 2-3 ans.

    Mon ordinateur portable a plus de 7 ans et à l'utilisation je ne vois aucun souci de le faire durer encore pendant quelques années. Mon téléphone portable a plus de 3 ans et j'espère le faire durer encore autant.

    Ce n'est pas parce que quelque chose de nouveau est sorti entre temps qu'il faut absolument le remplacer, et il faut arrêter de se faire avoir par la publicité.

  • [^] # Re: Personne n'y croit

    Posté par  . En réponse au journal Cahier de doléances. Évalué à 10.

    Ce qui est assez paradoxal est que les mêmes personnes qui demandaient d'avoir un débat où tous peuvent s'exprimer, disent aujourd'hui (avant même la mise en place de ce débat), que celui mis en place par le gouvernement ne servira à rien.

    Comment est-ce que le gouvernement pouvait s'en sortir ?
    => Il n'organise pas de débat, on lui dit qu'on en veut un
    => Il en organise un, on lui dit qu'il est pourri

    Je pense surtout qu'aujourd'hui le climat national est tellement pourri par les extrêmes et désorganisé du côté des anciens gros partis que l'on se retrouve avec des dialogues de sourds.

  • # iD et Potlatch 2

    Posté par  . En réponse au message Contribuer à la carte de l'application OpenStreetMap. Évalué à 3.

    Il n'y a pas de validation, même si il y a des robots qui vérifient qu'il n'y a pas de vandalisme.
    La mise à jour est fonction de l'activité. En général c'est assez rapide.

    A noter que l'on peut également éditer la carte directement dans le navigateur sans avoir à télécharger de logiciel avec iD et Potlatch 2 (voir directement sur le site osm.org).

  • [^] # Re: Personnellement, je trouve cela très gênant.

    Posté par  . En réponse au journal Nouvelle version de Notepad++. Évalué à 3.

    Après rien n'empêche les professionnels du secteur de s'unir pour créer un site comme Booking (ou autre) dont ils ont le contrôle.

    Ben si, à peu près tout les en empêche, aujourd'hui si tu ne proposes pas ton établissement sur Booking, tu ne reçois pas de client. Donc tu vas chez Booking. Tu peux créer ta propre plateforme à coté, mais sans trafic sur la plateforme tu vas devoir fermer ton établissement.