Sortie de Framacalc : tableur collaboratif en ligne

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Édité par Davy Defaud, Nÿco et Xavier Teyssier. Modéré par Xavier Teyssier. Licence CC By‑SA.
42
3
oct.
2012
Internet

Framacalc est un nouveau projet du réseau Framasoft. Il se veut être au tableur ce que le projet Framapad est au traitement de texte. Il offre la possibilité de travailler à plusieurs sur un même tableur toujours accessible sur Internet depuis son navigateur.

De la même manière que Framapad se base directement sur l’application libre Etherpad, Framacalc repose sur Ethercalc. Il a été francisé et adapté pour l’occasion.

Le projet est encore jeune, et même si les fonctionnalités tableur sont déjà bien avancées, il reste encore beaucoup à réaliser en ce qui concerne le volet collaboration (par exemple, on voit bien les éditions des autres apparaître en temps réel, mais sans savoir qui se cache derrière). Il n’y a pas de fenêtre de discussion (« clavardage ») et surtout l’exportation est pour le moment rudimentaire, avec seulement le HTML proposé.

Framacalc, Framapad, Framadate, etc., l’objectif de Framasoft est ici non seulement de proposer un service, mais aussi, voire surtout, de montrer qu’on peut faire de l’informatique en nuage qui soit libre et décentralisée, en invitant les utilisateurs à installer leurs propres instances sur leurs serveurs. Histoire aussi, petit à petit, de desserrer l’étau des Google, Apple, Facebook, etc.

Il y a évidemment Ethercalc sur GitHub, mais Framasoft vous invite également à vous inscrire à une liste de discussion dédiée pour faire avancer le projet ses développeurs (suivre le lien sur l’annonce du Framablog).

Le Framablog fête les 10 ans de Wikipédia

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par Lucas Bonnet.
11
26
jan.
2011
Éducation
Le 15 janvier dernier Wikipédia célébrait son dixième anniversaire (cf. cette vidéo sous-titrée de son fondateur Jimmy Wales). L'occasion pour le Framablog de participer à l'évènement en mettant à contribution son équipe de traducteurs Framalang.

Ces articles font naturellement le bilan et les perspectives du projet, mais, à l'exception notable de la grande presse (se désole aKa), le logiciel libre et ses enjeux ne sont jamais très loin.

« L’erreur fatale de Wikipedia est que tout article est pensé comme un logiciel libre en imaginant que, comme lui, il sera transformé par des améliorations constantes pour atteindre un idéal. Mais le logiciel est en développement continu, et est sans arrêt testé avec des critères objectifs. L’article de Wikipédia, lui, change tout le temps pour le meilleur ou pour le pire, et n’est jaugé par aucun standard auquel l’utilisateur puisse se fier. » affirme ainsi un ancien rédacteur en chef de Britannica.

Quant à Sue Gardner, Executive Director de la Wikimedia Foundation, elle formule le vœu suivant : « Nous devons sans cesse nous faire entendre pour définir ce qu’Internet doit être à nos yeux. Dans les premières années, le pouvoir législatif s’est contenté d’observer son développement, mais maintenant il veut de plus en plus avoir son mot à dire (...) J’aimerais que les Wikipédiens s’engagent (...) afin d’influencer le développement d’Internet. »

Une inquiétude sur la neutralité du réseau que ne partage pas totalement J. Wales, qui est en revanche préoccupé du succès de l'App Store d'Apple. On notera également un reportage suisse très didactique quant aux devenirs des dons, ainsi qu'une interrogation sur l'influence américaine de Wikipédia.

L'éducation à l'honneur sur le Framablog

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par Bruno Michel.
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20
15
sept.
2010
Éducation
C'est la rentrée de classes et elle s'annonce difficile. Ainsi les élèves semblent être de plus en plus attirés par les produits Apple, les enseignants ne respectent pas les droits d'auteurs et leurs inspecteurs recommandent toujours l'usage de Word et de Doc. Et puis il y a cette nouveauté : « La loi Hadopi favorise la diffusion et la protection de la création sur internet et demande à l’éducation nationale de renforcer l’information et la prévention auprès des jeunes qui lui sont confiés ».

Heureusement, certains enseignants, individuellement (Christine Mytko) ou collectivement (Sésamath), montrent la voie en témoignant par la pratique de l'intérêt d'utiliser des logiciels et des ressources éducatives libres. Quant à l'information Hadopi, il y a moyen de contourner le problème (et la propagande) en mettant tous ensemble un pied dans la porte d'une discipline méconnue : l'ECJS.

Le hacker à l'honneur sur le Framablog

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par Benoît Sibaud.
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21
8
sept.
2010
Internet
En moins d'un mois, le Framablog a publié cinq articles qui ont le hacker comme dénominateur commun.

Il convient tout d'abord de ne pas le confondre avec le cracker, comme nous le rappelle cette lettre envoyée par des activistes slovènes à leurs médias.

Le second article est un témoignage, celui d'un développeur qui a découvert l'informatique en bidouillant ses machines Apple et qui constate qu'il serait impossible d'en faire de même aujourd'hui. Sauf si l'on se fournit chez Hackables:Devices, qui fait l'objet du troisième article.

Enfin, pour porter la contradiction, on trouve deux textes polémiques et politiques. Un article qui se demande si l'esprit Hacker ne s'est pas dissout dans le marketing web 2.0 et un autre qui considère carrément le hacker comme le parasite d'un système technologique aliénant.

Quoi de neuf sur Apple chez Framablog ?

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par patrick_g.
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28
13
juin
2010
Apple
En complément d'une récente dépêche évoquant l'actualité d'Apple, le Framablog propose quelques traductions circonstanciées à l'occasion notamment de la sortie de l'iPad en France. L'iPad cristallise en effet de nombreuses critiques en soi mais c'est toute la « chaîne » Apple qui est pointée du doigt.

« C’est un énorme pas en arrière dans l’histoire de l'informatique » nous disait déjà la FSF lors de la sortie de l'iPad aux USA. « Je n'en achèterai pas et vous invite à en faire de autant », surenchérit l'écrivain Cory Doctorow qui déplore la fermeture à tous les étages du système Apple. Nous sommes à des années-lumière d'un projet « hackable » comme Arduino.

Au même moment une journaliste du New York Times n'hésite pas, quant à elle, à anticiper « la mort du Web ouvert » à l'aide d'une analogie urbanistique : Apple est à l'Internet ce que les banlieues riches et sécurisées sont à l'aménagement du territoire.

On pourra également lire ce coup de gueule d'un évangéliste de Mozilla qui s'interroge sur l'honnêteté intellectuelle d'Apple (mais aussi de Google) vis-à-vis du HTML5. Manipulation marketing ou vrai souci de rendre service à l'utilisateur ?

Et pour finir un dessin humoristique du Geektionnerd qui n'a pas peur de qualifier GNU/Linux de « Mac OS X du pauvre » !

Comment détruire votre communauté

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par rootix.
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25
10
fév.
2010
Communauté
Vous êtes une entreprise qui développe ou soutient directement un logiciel libre, et qui ne souhaite pas, contrairement aux beaux discours ambiants, voir une communauté se créer et venir troubler le projet ? Alors il y a une succession de points à respecter pour être certain d'arriver à vos fins.


  1. Rendez le projet dépendant d’outils complexes

  2. Attirez les participants nocifs et optimisez les dégâts qu’ils peuvent engendrer

  3. Ne fournissez pas de documentation

  4. Prenez les décisions relatives au projet en petit comité

  5. Sortez la grosse artillerie juridique

  6. Choisissez avec soin l'agent de liaison avec la communauté

  7. Rendez opaques les prises de décision

  8. Faites n'importe quoi avec les licences

  9. N'accordez jamais l'accès au commit à quelqu'un d'extérieur à l'entreprise

  10. Réfugiez-vous dans le silence



Un howto ironique issu d'une récente conférence remarquée du développeur PostgreSQL Josh Berkus, relatée par Jonathan Corbet et traduite par Framasoft.

Le discours très libre du président brésilien Lula

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par rootix.
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24
27
jan.
2010
Internet
Il est rarissime de voir les plus hauts représentants d'un État s'exprimer publiquement et ouvertement en faveur du logiciel libre. C'est pourtant ce qu'a connu le Brésil l'été dernier lorsque son président Lula est venu inaugurer le Fórum Internacional Software Livre de Porto Alegre.

« Maintenant que le plat est servi, il est très facile pour nous de manger. Mais préparer ce plat n’a pas été un jeu d’enfant [...] Car nous devions choisir : ou nous allions dans la cuisine préparer le plat que nous voulions manger, avec l’assaisonnement que nous voulions y mettre, et donner un goût brésilien à la nourriture, ou nous mangerions ce que Microsoft voulait vendre aux gens. Et, c’est tout simplement l’idée de la liberté qui l’a emporté. »

Une vidéo sous licence Creative Commons By-Sa de TV Software Livre, traduite, sous-titrée et montée par Michaël Dias, Thibaut Boyer et Johann Bulteau pour Framasoft.

Richard Stallman et la révolution du logiciel libre - Une biographie autorisée

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par j.
25
21
jan.
2010
GNU
Initiée par Framasoft il y a plus de deux ans et finalisée par les éditions Eyrolles, la biographie de Richard Stallman est sortie officiellement aujourd'hui. Elle comporte trois auteurs : le journaliste Sam Williams, dont la traduction de Free as in Freedom : Richard Stallman's Crusade for Free Software aura servi de base à l'ouvrage, l'enseignant chercheur Christophe Masutti, qui a coordonné la traduction pour Framasoft en collaboration avec Richard Stallman lui-même, venu ici non sans originalité modifier, annoter, et compléter sa propre biographie.

L'aventure de ce framabook si particulier est racontée par Christophe Masutti sur le Framablog. Il explique notamment comment et pourquoi Richard Stallman est intervenu dans le projet : « il a souhaité hacker le livre ».

Le livre est sous GNU Free Documentation License (c'est la première fois qu'Eyrolles publie d'emblée sous une licence libre). Vous en trouverez les sources sur le site Framabook, qui en propose également une lecture en ligne grâce à l'outil d'édition La Poule ou l’Oeuf .

Partagez-vous le sens du mot « open » selon Google ?

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par Nÿco.
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18
1
jan.
2010
Communauté
Si la décennie précédente aura été marquée par Microsoft comme symbole hégémonique d'une informatique propriétaire qui capte nos usages logiciels, il est probable que la suivante sera placée sous celui de Google comme symbole hégémonique d'une informatique dans les nuages qui capte nos données personnelles.

Dans ce contexte, il n'est pas anodin que Google ait tenu récemment à clarifier le sens qu'elle donnait au mot « open », dans un long et dense billet de son blog officiel, intitulé The meaning of open, et traduit par le Framablog dans son intégralité.

Que va en penser « la communauté du logiciel libre » ? Comment va-t-elle se positionner vis-à-vis d'une société qui, comme l'affirme Matt Asay sur Cnet news, est devenue rien moins que le premier contributeur « open source » au monde ?

C'est le débat que je vous propose ici-même pour débuter la nouvelle année sur les chapeaux de roue !

MimOOo ou « la plus grosse migration OpenOffice.org au monde » en questions

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par Bruno Michel.
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21
17
nov.
2009
Bureautique
En septembre 2006, DLFP publiait une dépêche intitulée « La plus grosse migration OpenOffice.org au monde : 400 000 postes dans l'administration française ». Outre ce chiffre impressionnant, on y évoquait le format OpenDocument ainsi que de nombreux outils mis à disposition (cédérom interministériel d’installation d’OpenOffice.org, mallette pédagogique, formation en ligne, pack de communication, outils d’accompagnement, mémentos, guide, etc.). C'est le groupe de travail interministériel MimOOo, pour Mutualisation Interministérielle à la Migration OpenOffice.org, qui était responsable de ce déploiement.

Où en sommes-nous trois ans plus tard ? Difficile à dire puisque, comme le remarque le Framablog, on ne dispose aujourd'hui que d'une seule et unique page web d'information publique, datant elle aussi de septembre 2006. Ayant eu vent d'une récente réunion du groupe (où l'Éducation nationale n'était pas présente), le Framablog s'étonne de ce manque d'ouverture en posant un certain nombre de questions.

« N’y voyez surtout pas un nouvel avatar de la dictature d’Internet qui souhaite mettre son nez partout. Et nous comprenons fort bien que certaines informations n’aient pas vocation ni intérêt à être diffusées publiquement. Nous, simples citoyens (et contribuables) en appelons juste à plus de transparence, puisque ce projet concerne l’administration publique en route vers une migration massive en logiciel libre et format ouvert. »

Weblettres, LinuxÉdu et CaRMetal : trois entretiens libres et éducatifs sur le Framablog

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par tuiu pol.
8
22
oct.
2009
Éducation
Depuis la rentrée, le Framablog a publié trois entretiens avec des enseignants dont le dénominateur commun est le logiciel libre en milieu éducatif.
  • Caroline d'Atabekian de Weblettres : l'association de professeurs de français Weblettres n'est pas aussi libre que Sésamath, mais elle pourrait bien rapidement suivre le sillon tracé, comme en témoigne la sortie de l'application collaborative Vocabulettres.
  • Rémi Boulle de LinuxÉdu : site d'information, liste de discussion, formation continue, journées de sensibilisation en partenariat avec les acteurs associatifs du terrain... et si toutes les académies se mettaient à suivre l'exemple toulousain ?
  • Eric Hakenholz de CaRMetal : CaRMetal est un logiciel libre de géométrie dynamique massivement utilisé en mathématiques, son développeur nous le présente plus en détails, tout en donnant son point de vue sur la situation du logiciel libre en éducation.

Ad Bard, une régie publicitaire en ligne dédiée au logiciel libre

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par tuiu pol.
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6
7
juin
2009
Commercial
La régie publicitaire en ligne Google Adsense cumule, entre autres, trois problèmes. D'abord cela participe au « Google everywhere ». Ensuite elle est (presque) en situation de monopole. En enfin elle affiche des publicités qu'il n'est pas possible de contrôler (autrement que par liste noire).

Il arrive ainsi souvent que des sites de promotion et de diffusion du logiciel libre se retrouvent à l'insu de leur plein gré à afficher des annonces pour du logiciel propriétaire.

Dans ce contexte l'apparition de la régie Ad Bard, soutenue par la Free Software Foundation (FSF), est une alternative intéressante. Elle se veut « éthique » et souhaite faire apparaître sur les sites affiliés uniquement de la publicité pour les produits et les services Open Source, en se réservant le droit de sélectionner aussi bien les annonceurs que les afficheurs.

Comment peut-on sauver Thunderbird alors que le courrier électronique se meurt ?

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par j.
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16
12
avr.
2009
Mozilla
Le client de messagerie Thunderbird se trouve un peu à la croisée des chemins. À l'intérieur, il est dans l'ombre de Firefox et l'on attend beaucoup de la version 3.0 (qui tarde à venir). À l'extérieur il doit faire face non seulement à la concurrence des webmails comme Gmail mais surtout à une évolution globale d'Internet défavorable à la messagerie (spams omniprésents, nouveaux usages de types Facebook ou Twitter, nouvelle génération qui l'utilise peu ou pas...).

C'est ce qu'expose Glyn Moody, dans un récent article traduit par le Framablog, non sans proposer au passage quelques conseils pour l'avenir.

Tristan Nitot, venu commenter la traduction, en est bien conscient mais se montre résolument optimiste depuis que David Ascher a repris le projet au sein de la Fondation Mozilla.
Il nous invite par ailleurs lui aussi à donner notre avis sur ce qui pourrait être fait pour améliorer Thunderbird.

Notre opinion sur GNU/Linux doit-elle être mise à jour ?

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par j.
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4
9
avr.
2009
Linux
Voici l'introduction d'une récente traduction du Framablog : « Bien qu’il soit désormais prêt à partir à la conquête de nos ordinateurs, les mythes (et préjugés) autour du GNU/Linux continuent d’avoir la vie dure. C’est ce que nous raconte ici Bruce Byfield en passant en revue une dizaine de légendes urbaines qui demanderaient à être quelque peu réactualisées. Et de se demander en conclusion, qui de GNU/Linux ou de l’utilisateur est le moins préparé à ce que cette rencontre ait bel et bien lieu. »

Les 9 mythes dont il est question sont les suivants :
  1. Les trop nombreuses distributions compliquent la tâche des développeurs
  2. Aucun outil de migration n’est disponible
  3. Le matériel n’est pas reconnu
  4. La ligne de commande est indispensable
  5. Il n’y a pas de logiciel
  6. L’apparence des logiciels laisse à désirer
  7. Le service est inexistant
  8. Les options sont trop nombreuses
  9. L’installation des logiciels est trop compliquée

Et Bruce Byfield de conclure : « De tels arguments en disent plus long sur leurs auteurs que sur GNU/Linux. Au pire, ce sont des signes d’ignorance des dernières avancées de GNU/Linux, au mieux, c’est un ensemble de préjugés ou d’habitudes (...) Ils ont beau dire que GNU/Linux n’est pas prêt pour eux, l’inexactitude de leurs arguments laisse plutôt à penser qu’en fait, ce sont eux qui ne sont pas prêts pour GNU/Linux. »

Kit pédagogique ou Googleducation ?

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par Jaimé Ragnagna.
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12
29
mar.
2009
Éducation
Soutenu par le ministère de l'Éducation Nationale, que penser d'un jeu censé « aider les élèves à maîtriser Internet et les outils de communication numérique en toute sécurité » dont un document d'accompagnement n'évoquerait que les services Google et inciterait plus que fortement des élèves de 11/12 ans à se créer un compte chez Google pour y participer ?

C'est ce qui vient de se produire avec le lancement, le 20 mars dernier, du jeu ChercheNet « initié par Google et mis en œuvre par Calysto » dont le « Kit pédagogique » que l'on pouvait trouver sur le site de l'opération s'est avéré être, malgré quelques références au logiciel libre, beaucoup plus Google que pédagogique.

Trois jours plus tard le Kit était retiré du site, le ministère ayant expliqué « ne pas souhaiter que Google soit aussi fortement mis en avant sur ce document destiné aux professeurs et aux élèves ».

Framasoft, qui dénonce souvent la trop forte influence de Microsoft à l'école, l'a récupéré et nous en propose une analyse détaillée sur le Framablog.