La promotion des logiciels libres est un sacerdoce de tous les jours. Il faut faire connaître les produits, convaincre qu'ils sont aussi efficaces que leur alter-ego propriétaires et finalement amener à les utiliser.
Pour des geeks habitués à découvrir, expérimenter, s'adapter à de nouvelles technologies, franchir le pas semble aller de soi. L'installation de nouveaux systèmes d'exploitation, le test des versions alpha ou beta de logiciels se font comme si cela allait de soi.
Mais "l'homme de la rue", lui, quand il se retrouve devant un ordinateur, n'a pas du tout la même approche. Le changement dans son utilisation quotidienne d'un outil est loin d'être évident. Les blocages psychologiques ou comportementaux face à une "migration" d'un monde (Windows) à l'autre (Linux) sont à prendre en compte, du côté de ceux qui invitent à la migration autant que du côté de ceux qui tentent l'aventure.
Un charmant article de François Obada parle de tout cela sur Framasoft.
Publi-information de Microsoft à l'école, quand un parent d'élève se rebiffe !
Le très discutable "Tour de France des collèges", qui devant nos élèves entretient la confusion entre information et publicité, a déjà été évoqué sur LinuxFr avec une réponse cinglante de l'APRIL/FSF France.
Ici un parent d'élève s'est arrêté aux pages 16 et 17 du guide distribué aux parents à cette occasion. Sous la forme d'une lettre, on peut lire une "publi-information" de Microsoft dont le nombre d'omissions et d'inexactitudes laisse perplexe.
Mais encore plus surprenant est le passe-droit qu'accorde ainsi l'Education Nationale à la société américaine qui ne fait après tout que jouer son rôle d'entreprise toujours en quête de nouveaux marchés.
La réponse, publiée sur Framasoft, est d'autant plus virulente que l'existence des logiciels libres permet justement d'éviter la marchandisation annoncée de l'école où l'informatique joue le rôle de véritable cheval de Troie.
Ici un parent d'élève s'est arrêté aux pages 16 et 17 du guide distribué aux parents à cette occasion. Sous la forme d'une lettre, on peut lire une "publi-information" de Microsoft dont le nombre d'omissions et d'inexactitudes laisse perplexe.
Mais encore plus surprenant est le passe-droit qu'accorde ainsi l'Education Nationale à la société américaine qui ne fait après tout que jouer son rôle d'entreprise toujours en quête de nouveaux marchés.
La réponse, publiée sur Framasoft, est d'autant plus virulente que l'existence des logiciels libres permet justement d'éviter la marchandisation annoncée de l'école où l'informatique joue le rôle de véritable cheval de Troie.
[débat] Pour ou contre le développement des logiciels libres sous Windows ?
Développer des logiciels libres sous Windows favorise-t-il les prises de conscience et les processus de migration ou bien au contraire ne fait-il que renforcer la position dominante de Microsoft pour finir par faire du tort aux projets d'OS libres ?
Le débat n'est pas nouveau. Mais il reste pourtant d'actualité avec aujourd'hui une situation qui voit les logiciels libres en passe de couvrir presque tout le spectre applicatif sous Windows, alors que dans le même temps Linux continue ses spectaculaires progrès pour se rendre de plus en plus accessible.
C'est sur ce thème que, prenant pour point de départ le projet de portage KDE sous Windows, deux développeurs de cet environnement graphique, Aaron J. Seigo (le "contre") et Kurt Pfeifle (le "pour") se sont livrés il y a peu à une intéressante petite passe d'armes traduite en français par Framasoft.
Le débat n'est pas nouveau. Mais il reste pourtant d'actualité avec aujourd'hui une situation qui voit les logiciels libres en passe de couvrir presque tout le spectre applicatif sous Windows, alors que dans le même temps Linux continue ses spectaculaires progrès pour se rendre de plus en plus accessible.
C'est sur ce thème que, prenant pour point de départ le projet de portage KDE sous Windows, deux développeurs de cet environnement graphique, Aaron J. Seigo (le "contre") et Kurt Pfeifle (le "pour") se sont livrés il y a peu à une intéressante petite passe d'armes traduite en français par Framasoft.
Interview Slashdot du fantasque Mark Shuttleworth
Certains rêvent de gagner d’un coup 600 millions de dollars, d’autres de s’envoler dans l’espace, d’agir concrètement en faveur de l’éducation, ou encore de marquer de leur empreinte le monde des logiciels libres. À lui tout seul, le sud-africain Mark Shuttleworth, créateur trentenaire de la distribution Ubuntu Linux, a déjà réalisé tout cela !
À l'occasion d'une récente interview réalisée par les "slashdotters", il revient longuement sur Ubuntu, son objectif, sa spécificité, son organisation, sa relation avec Debian et son business plan. Il répond également à des question sur la fracture numérique en Afrique ou encore sur la pertinence de "s'envoyer en l'air" pour 20 millions de dollars alors que cet argent pourrait être utilisé autrement.
Vous en trouverez une traduction française sur Framasoft.
À l'occasion d'une récente interview réalisée par les "slashdotters", il revient longuement sur Ubuntu, son objectif, sa spécificité, son organisation, sa relation avec Debian et son business plan. Il répond également à des question sur la fracture numérique en Afrique ou encore sur la pertinence de "s'envoyer en l'air" pour 20 millions de dollars alors que cet argent pourrait être utilisé autrement.
Vous en trouverez une traduction française sur Framasoft.
TheOpenCD 2.0 entièrement traduit en français
Encore une compilation sur CD de logiciels libres sous Windows qui n'est en fait rien d'autre que la version entièrement francisée du projet anglophone TheOpenCD 2.0.
Par rapport à l'original, l'équipe de traduction, issue du site Framasoft, a apporté bien entendu la traduction de l'interface mais surtout l'installation directement en français des logiciels ayant cette option. On y trouvera également des articles, des tutoriels et de nombreux liens dans la langue de chez nous.
Par rapport aux autres compilations telles que LoliWin ou WinLibre, TheOpenCD propose l'installation individuelle de chaque logiciel en soignant particulièrement l'esthétique et la fonctionnalité de l'interface de présentation via un navigateur autonome qui se lance au démarrage (version modifiée de K-Meleon).
Ajoutons que TheOpenCD est partenaire d'Ubuntu Linux puisque l'on trouve une présentation d'Ubuntu dans TheOpenCD et une petite sélection des logiciels de TheOpenCD dans le liveCD d'Ubuntu.
Par rapport à l'original, l'équipe de traduction, issue du site Framasoft, a apporté bien entendu la traduction de l'interface mais surtout l'installation directement en français des logiciels ayant cette option. On y trouvera également des articles, des tutoriels et de nombreux liens dans la langue de chez nous.
Par rapport aux autres compilations telles que LoliWin ou WinLibre, TheOpenCD propose l'installation individuelle de chaque logiciel en soignant particulièrement l'esthétique et la fonctionnalité de l'interface de présentation via un navigateur autonome qui se lance au démarrage (version modifiée de K-Meleon).
Ajoutons que TheOpenCD est partenaire d'Ubuntu Linux puisque l'on trouve une présentation d'Ubuntu dans TheOpenCD et une petite sélection des logiciels de TheOpenCD dans le liveCD d'Ubuntu.
Paru dans Le Monde : La liberté de choix des logiciels, enjeu politique
S'appuyant sur un récent partenariat entre Microsoft et l'Unesco et sur le feuilleton des brevets logiciels en Europe, les journalistes Thierry Noisette et Perline, auteurs du livre La bataille du logiciel libre, évoquent dans Le Monde du 14 décembre les enjeux politiques qui se cachent derrière ces deux événements pour un public pas forcément sensibilisé aux problématiques exposées.
Et de conclure : Plus que jamais, la liberté des logiciels est un enjeu politique : à chacun, citoyen, association, collectivité, entreprise, d'en être conscient et de faire respecter cette liberté.
Et de conclure : Plus que jamais, la liberté des logiciels est un enjeu politique : à chacun, citoyen, association, collectivité, entreprise, d'en être conscient et de faire respecter cette liberté.
Il n'y a pas que le traitement de texte pour manipuler du texte !
À l'heure où l'on parle beaucoup de la suite bureautique libre OpenOffice.org (dont Writer) en lieu et place de MS Office (dont Word), il n'est peut-être pas inutile de rappeler à un public non averti qu'il existe d'autres options pour la manipulation de textes.
Après avoir pointé les différences entre traitement de texte, formateur de texte et éditeur de texte, Jacques Bon se livre sur Framasoft a une sorte de plaidoyer pour ce dernier.
L'éditeur de texte n'est pas la panacée mais dans bien des situations il se révèle plus pertinent qu'un traitement de texte, dont la complexité et la lourdeur rendent non seulement moins efficace mais sont également susceptible de vous faire perdre la compréhension générale des outils que vous manipulez.
Un article pédagogique en direction de l'école mais pas seulement.
Après avoir pointé les différences entre traitement de texte, formateur de texte et éditeur de texte, Jacques Bon se livre sur Framasoft a une sorte de plaidoyer pour ce dernier.
L'éditeur de texte n'est pas la panacée mais dans bien des situations il se révèle plus pertinent qu'un traitement de texte, dont la complexité et la lourdeur rendent non seulement moins efficace mais sont également susceptible de vous faire perdre la compréhension générale des outils que vous manipulez.
Un article pédagogique en direction de l'école mais pas seulement.
Livre : Du bon usage de la piraterie - Florent Latrive
Le nouveau livre de Florent Latrive, journaliste à Libération et coéditeur de « Libres enfants du savoir numérique », vient de sortir et s'intitule « Du bon usage de la piraterie - Culture libre, sciences ouvertes » (Éditions Exils, 18 euros).
Préfacé par Lawrence Lessig (à l'initiative des Creative Commons et auteur de Free Culture), en voici la présentation en quatrième de couverture :
Dans cet essai très documenté, Florent Latrive met à jour les enjeux de la bataille en cours autour de la propriété intellectuelle. Qu'il s'agisse de musiques ou d'images en ligne, de circulation des savoirs ou des brevets sur les médicaments, il plaide pour une ouverture raisonnée et contre le tour juridique. Au lieu de criminaliser tous les « pirates » sans distinction, établissons un régime équilibré de l'immatériel. Où créateurs et public ne seront plus soumis aux diktats des intermédiaires et producteurs.
Le livre est sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Il est disponible en téléchargement (PDF) sur le site dédié à l'ouvrage mais il est aussi est surtout disponible chez votre libraire le plus proche !
Préfacé par Lawrence Lessig (à l'initiative des Creative Commons et auteur de Free Culture), en voici la présentation en quatrième de couverture :
Dans cet essai très documenté, Florent Latrive met à jour les enjeux de la bataille en cours autour de la propriété intellectuelle. Qu'il s'agisse de musiques ou d'images en ligne, de circulation des savoirs ou des brevets sur les médicaments, il plaide pour une ouverture raisonnée et contre le tour juridique. Au lieu de criminaliser tous les « pirates » sans distinction, établissons un régime équilibré de l'immatériel. Où créateurs et public ne seront plus soumis aux diktats des intermédiaires et producteurs.
Le livre est sous licence Creative Commons BY-NC-SA. Il est disponible en téléchargement (PDF) sur le site dédié à l'ouvrage mais il est aussi est surtout disponible chez votre libraire le plus proche !
Quand la Mairie du 13ème arrondissement de Paris se propose de libérer son personnel
La Mairie de Paris ne migrera peut-être pas en bloc vers Linux mais en tout cas on y trouve en son sein quelques « hommes de bonne volonté ».
Ainsi en est-il de Jérôme Relinger, conseiller du 13ème arrondissement de Paris et délégué aux nouvelles technologies pour la démocratie locale, qui vient tout récemment d'envoyer une lettre aux employés de sa mairie pour leur proposer de faire partie de groupes pilotes d'utilisation de logiciels libres sur leur poste de travail.
Les arguments exposés ici ainsi que le plan progressif d'une migration accompagnée font de cette lettre un document qui dépasse de beaucoup le strict cadre de son champ d'application.
Ainsi en est-il de Jérôme Relinger, conseiller du 13ème arrondissement de Paris et délégué aux nouvelles technologies pour la démocratie locale, qui vient tout récemment d'envoyer une lettre aux employés de sa mairie pour leur proposer de faire partie de groupes pilotes d'utilisation de logiciels libres sur leur poste de travail.
Les arguments exposés ici ainsi que le plan progressif d'une migration accompagnée font de cette lettre un document qui dépasse de beaucoup le strict cadre de son champ d'application.
De l'Éducation nationale, de Microsoft, et des logiciels libres
C'est la rentrée ! Dans un récent courrier adressé à ses chefs d'établissements, une très haute autorité de l'Éducation nationale, un recteur d'académie, évoque ainsi les logiciels libres :
Les logiciels bureautiques sont devenus au fil des ans, l’outil de référence des utilisateurs. La place prise par MICROSOFT, dans ce domaine, est très importante mais il y a actuellement une avancée des "logiciels libres" dont le coût varie d’une société à l’autre et qui peut aller jusqu’à la gratuité, comme par exemple la "suite Open Office", téléchargeable gratuitement.
Je vous laisse apprécier la clarté du propos et la subjectivité du choix typographique.
Et puis c'est fini. La suite du courrier n'est qu'une longue information sur la mise en place d'un dispositif d'achat de produits et de prestations de services autour de Microsoft.
Les logiciels bureautiques sont devenus au fil des ans, l’outil de référence des utilisateurs. La place prise par MICROSOFT, dans ce domaine, est très importante mais il y a actuellement une avancée des "logiciels libres" dont le coût varie d’une société à l’autre et qui peut aller jusqu’à la gratuité, comme par exemple la "suite Open Office", téléchargeable gratuitement.
Je vous laisse apprécier la clarté du propos et la subjectivité du choix typographique.
Et puis c'est fini. La suite du courrier n'est qu'une longue information sur la mise en place d'un dispositif d'achat de produits et de prestations de services autour de Microsoft.
Le logiciel libre contribue à l'éducation à la citoyenneté de nos enfants
Michel Vauzelle, président de la Région PACA, a inauguré le 10 juin dernier le réseau informatique du lycée Pasquet en Arles, réseau qui a fait le choix de Linux.
Il a composé pour l'occasion un discours qui pour une fois n'insiste pas exclusivement sur les économies financières d'une telle opération.
Ainsi "le concept même de logiciel libre contribue à l'éducation à la citoyenneté de nos enfants".
Ainsi "depuis le début de l'humanité, et c'est encore plus vrai de nos jours, c'est la libre circulation des idées et des connaissances qui produit la richesse sociale, culturelle et économique de nos sociétés".
Ainsi "l'ouverture de nos jeunes à l'informatique ne doit pas inexorablement les faire entrer dans une mécanique commerciale infernale".
Un discours à faire d'autant plus circuler qu'il est susceptible de convaincre d'autres établissements scolaires et leurs partenaires institutionnels de suivre le même chemin.
Il a composé pour l'occasion un discours qui pour une fois n'insiste pas exclusivement sur les économies financières d'une telle opération.
Ainsi "le concept même de logiciel libre contribue à l'éducation à la citoyenneté de nos enfants".
Ainsi "depuis le début de l'humanité, et c'est encore plus vrai de nos jours, c'est la libre circulation des idées et des connaissances qui produit la richesse sociale, culturelle et économique de nos sociétés".
Ainsi "l'ouverture de nos jeunes à l'informatique ne doit pas inexorablement les faire entrer dans une mécanique commerciale infernale".
Un discours à faire d'autant plus circuler qu'il est susceptible de convaincre d'autres établissements scolaires et leurs partenaires institutionnels de suivre le même chemin.
Un tutoriel pour éditer ses pages Web avec Nvu
Bien|Vu, Fun Sun vient de mettre en ligne sur Framasoft un tutoriel conséquent (90 pages) pour cet éditeur de pages web, disponible sous Linux et Windows, issu du projet Mozilla.
Bien qu'ayant un numéro de version très bas, 0.2, il n'en est déjà pas moins pleinement fonctionnel. Et nul doute que les prochaines versions devraient le conforter dans son surnom de "Dreamweaver-killer" du monde du Libre !
Au menu : Installation, configuration, prise en main à l'aide d'exemples et d'exercices (avec une orientation très CSS) et des références autour des standards du Web.
Bien qu'ayant un numéro de version très bas, 0.2, il n'en est déjà pas moins pleinement fonctionnel. Et nul doute que les prochaines versions devraient le conforter dans son surnom de "Dreamweaver-killer" du monde du Libre !
Au menu : Installation, configuration, prise en main à l'aide d'exemples et d'exercices (avec une orientation très CSS) et des références autour des standards du Web.
Le choix de ma liberté avec les licences Creative Commons
Déjà évoquées par DLFP, ces licences modulables et filles des licences libres informatiques font de plus en plus parler d'elles. Il semblerait qu'elles soient en effet particulièrement adaptées aux supports numériques, à internet et aux pratiques qui en découlent. Et certains n'hésitent pas à affirmer qu'il s'agit d'une nouvelle approche de la propriété intellectuelle.
En attendant la traduction française en préparation, Framasoft propose un article de présentation générale accompagné de nombreux exemples pris dans des domaines aussi variés que la musique (dont Magnatune), les blogs, la publication scientifique, la littérature, le design web, ou encore la documentation.
En attendant la traduction française en préparation, Framasoft propose un article de présentation générale accompagné de nombreux exemples pris dans des domaines aussi variés que la musique (dont Magnatune), les blogs, la publication scientifique, la littérature, le design web, ou encore la documentation.
Framasoft propose d'un seul coup d'oeil plus de deux cents logiciels libres linux/windows
Le site vient de mettre en ligne sur une unique page tous les logiciels libres de sa base de données disponibles aussi bien sous linux que sous windows.
Classés par catégorie, on y trouvera pour chaque logiciel un court résumé renvoyant sur la notice complète ainsi que la présence des mots-clés français, mac, gpl, si tel est le cas.
Pratique si pour des raisons diverses et variées, il vous arrive de devoir parfois jongler avec ces deux OS (ou pour proposer une migration en douceur à vos beaux-parents).
Classés par catégorie, on y trouvera pour chaque logiciel un court résumé renvoyant sur la notice complète ainsi que la présence des mots-clés français, mac, gpl, si tel est le cas.
Pratique si pour des raisons diverses et variées, il vous arrive de devoir parfois jongler avec ces deux OS (ou pour proposer une migration en douceur à vos beaux-parents).
Peut-on dire je t'aime avec des logiciels libres ?
Très "blog style", c'est la drôle de question que s'est posée Jules, rédacteur intermittent du site Framasoft.
Un logiciel n'est qu'une suite de 0 et de 1 mais, tel un Pinocchio des temps modernes, ne gagne-t-il pas un petit supplément d'âme, lorsqu'il devient libre ?
Un article léger et sans prétention qui pourra faire sourire les initiés et intriguer les autres.
Un logiciel n'est qu'une suite de 0 et de 1 mais, tel un Pinocchio des temps modernes, ne gagne-t-il pas un petit supplément d'âme, lorsqu'il devient libre ?
Un article léger et sans prétention qui pourra faire sourire les initiés et intriguer les autres.