Ysabeau 🧶 a écrit 7556 commentaires

Coté MS-Office : je cherche encore la logique, à part le fait qu'il faut peut être SUIVRE et PAYER une formation pour la trouver (à mon avis elle est là la logique … )

Honnêtement, apprendre à utiliser une suite bureautique ne me choque pas, c'est une nécessité et ça permet de gagner beaucoup de temps par la suite. Payer les personnes qui délivrent les formations me paraît aussi tout à fait normal.

Après il faut voir qui délivre les formations bureautiques, et là, ça pêche assez souvent. Mais il y a des trucs dans MsOffice qui me sont restés assez obscurs, sans que je puisse trouver en effet une logique ou des explications dessus (même sur le site de Microsoft). Je crois que c'est obscur pour tout le monde (ou alors il faut se peler les 5 000 de spécifications du format OOXML, et là…).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Honnêtement, parler de l'efficacité de la gestion des docs complexes de MsOffice par rapport à LibreOffice m'étonne toujours. J'ai perdu énormément de temps avec les histoires d'entête et de pieds de page dans Word, jamais dans Writer grâce aux styles de pages. Idem, la possibilité de styler les images, les cadres et les tableaux permet de gagner énormément de temps et de remettre d'équerre rapidement une mise en page foirée.

Pour ce qui est de l'ergonomie, euh… la logique de MsOffice est spéciale.

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Qui le gère à fond oui. Et l'énorme différence entre le vieux .doc et le format ODF c'est qu'il est non seulement ouvert, mais, en prime, il sépare complètement le fond de la forme. Ce qui n'est pas le cas par exemple du format OOXML qui n'est complètement géré par aucune suite bureautique et dont la qualité de format ouvert est très discutable. Et, évidemment, le budget pour faire une très efficace et performante suite comme LibreOffice est sans aucune comparaison avec les montagnes d'argent investis dans MsOffice.

Mais, ici il n'est question que de quelques suites bureautiques, il en existe en ligne qui gère l'ODF : Collabora Online, Googledocs (géré par Google, une toute petite entreprise qui a de l'avenir) ou encore Zoho.

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J'imagine en effet qu'il y a peu de monde dessus. C'est vrai que c'est une suite bureautique plutôt sympathique. Je l'utilise aussi de temps à autre.

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De toutes les suites citées, c’est la suite encore développée qui gère le mieux l’ODF et c’est, bien évidemment, la plus complète et puissante.

• Apache OpenOffice n’est plus développée depuis au moins 2014 et ne supporte pas l’ODF 1.3.
• Calligra Suite semble être en stase, dernière version janvier 2021.
• Neo Office n’était développée que pour Mac, le projet n’est plus actif (il se définit lui-même comme « Un vieux fork de LibreOffice »).
• le format natif d’OnlyOffice est l’OOXML et il ne supporte pas terriblement l’ODF (et, personnellement, je n’aime pas l’interface très copiée sur celle de MsOffice).

Je serais curieuse de savoir s’il existe d’autres suites bureautiques libres qui supportent nativement le format ODF et sont encore développées.

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Faut juste que je sache où trouver de l'info dessus.

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Je n'allais pas citer tous les cas d'usage dans la dépêche :-). Et alors que je pensais que les feuilles de papier carbone pour papier n'étaient plus fabriquées apparemment c'est faux parce qu'on peut toujours en acheter avec cet argument :

Les feuilles de carbone sont connues pour être utilisées à l'école. Le papier carbone permet en effet d'écrire en double une leçon, ce qui est par exemple pratique pour prendre des notes pour un camarade. Il peut également s'avérer utile dans le monde professionnel pour les mêmes raisons. En effet, vos notes manuscrites ne sont plus limitées à un seul exemplaire.

Argument qui provient du site www.bureau-vallee.fr.

Cela dit, je pense que les gamins et les gamines auraient plutôt tendance à photographier les notes de cours avec leur ordiphone et à donner ensuite les photos à leurs camarades.

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J'ai effectivement corrigé la rédaction sur cette histoire de PDF et de RTF.

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Voilà, ce n'est pas un format. Et un grand merci pour le commentaire parce que je crois bien que je vais ajouter ça à la prochaine dépêche du Transimpressux qui va porter sur le code (donc le code des lettres).

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La variante RTF de Microsoft est un format mort, et c'est vraiment important :-). Mais j'ai corrigé la dépêche pour ajouter cette remarque.

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Je me suis posée la question d'un autre côté, il n'était pas dans mon intention de m'étaler sur LaTeX. D'où aussi a formule "d'écosystème" qui permet de ne pas réduire TeX et avatars à un seul langage de balisage.

On est en tout cas encore loin d'une séparation complète du contenu et de la forme !

Alors que c'est complètement le cas du format ODF puisque la mise en en forme repose sur les styles (faut juste les utiliser ce qui est très simple).

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J'ignorais complètement l'existence de roff et autres. Ça c'est la premier point, et compte tenu de l'angle de la dépêche (grand public plutôt), je ne suis pas convaincue que la nécessité d'en parler. En outre si on commence comme ça, il y aura des remarques "ah mais oui mais il n'y a pas tel langage pour LaTeX". Il faudrait sans doute faire un truc spécifique pour LaTeX, mais bon.

Concernant le Postscript, j'ai complètement shunté. Et, effectivement c'est peut-être dommage (bien que le format ne soit plus guère utilisé).

Pour le titre, tu t'attendais à quoi à part le pire ?

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Plutôt "peu" que "prou" :-) Par exemple, les icônes tu te les dessines comme tu veux (perso avec Inkscape) alors que MsOffice ne permettait que des horreurs en pixels. C'était très limité.

Et on n'a jamais pu changer de jeux d'icônes etc. depuis je ne sais pas ce qui se fait. Et, de toute façon, tu n'as pas de profil pour récupérer d'une version à une autre tes personnalisations (ou importer le profil sur une autre machine). S'il existe, tu n'y accèdes de toute façon pas vraiment.

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Mais ce qui est agaçant c'est de les voir reprocher l'interface soit-disant vieillotte de LibreOffice alors qu'elle est terriblement innovante :

• choix des jeux d'icônes
• choix du type d'interface (avec ou sans onglet, les rubans de MsOffice)
• on peut personnaliser à fond les menus, les menus contextuels et les barres d'outils
• on peut créer des barres d'outils pour l'ensemble du logiciel, une application ou un document
• on peut même remplacer les icônes (pas toutes) par les siennes
• on peut changer de thème (pas assez à mon goût, mais bon)
• on peut personnaliser les couleurs de l'interface
• plus deux ou trois autres trucs.

Je ne vois pas vraiment ce qu'il y a de vieillot là-dedans à part que ça ne ressemble pas à ce que fait MsOffice.

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Toi tu n'as pas une liseuse comme la Diva avec dictionnaire intégré ! Tu sélectionnes le mot et la définition s'affiche.

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Ça fonctionne bien aussi avec ordiphone sous Android et Fennec.

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Je ne sais pas à quoi tu t'attends :-) mais ça fonctionne bien sur ordinateur.

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Intéressant lien, merci. C'est pour des machines à tricoter équipées (donc chères). J'ai pensé qu'on pouvait utiliser les motifs pour du tricot manuel. Mais ce n'est pas terriblement lisible, notamment, il n'y a pas d'indication de couleur ce qui devient très gênant dès qu'on en a plus de deux.

Le programme est sous licence MIT et téléchargeable. Le site knitscape permet de faire des motifs (si j'ai bien compris, sauf que je ne sais pas comment en créer un) et propose une bibliothèque de points. Téléchargeables aux formats txt, json et svg.

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Ça ressemble un peu au Quidditch !

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Mais on ne compte pas du tout la même chose. Quand je compte mes tomates à partir de 1, je compte des unités. Là tu me parles de longueurs. Même si, d'ailleurs, l'option dans ce cas de partir de 0 est discutable.

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La procédure sans smartphone existe ; quelqu'un a déjà essayé ?

Dans le cadre d'une succession, l'étude de notaire m'avait envoyé un lien vers Yousign, pour accéder aux documents signés numériquement par les notaires et les signer à mon tour. Je n'ai pas eu besoin d'ordiphone, seulement d'une image de ma carte d'identité et, si je me souviens bien, de gribouiller ma signature à l'écran.

Je n'ai pas eu de compte à créer non plus. Et je doute que ça coûte plus cher aux notaires qu'un recommandé AR.

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Mais si je compte, disons, mes tomates, à partir de zéro, je me retrouve au bout du compte avec neuf tomates alors que j'en ai en fait dix.

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Je savais que ça pouvait pas être aussi simple.

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Mais si on commence à compter à partir de zéro, c'est que zéro égal un, un égal deux, etc.

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Il ne devait pas en être très fier :-)

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