tu aurais vu qu'il y a un paragraphe "Exposure" qui se termine par :
Donc que du typo-squatting ou name-squatting, peu de downloads, qu'est-ce qui fait halluciner?
Toujours pas compris ce qui est hallucinant ou populaire dans ce que tu as copié.
Est-ce que les mainteneurs de pip, rubygems, packages.debian.org ou epel
Tu mélanges 2 types de repos:
- Les repos où il te faut un "sponsor", et ça prend des mois/années avant d'y être, et les typos sont vues en amont, pendant tout le process, et le "sponsor" a une bonne raison de proposer le logiciel.
- Les repos où n'importe qui peut uploader avec un nom avec des typos, les typos sont vu à postériori.
Les 2 cas ont des problèmes de sécurité très différents.
Et pour le premier cas, le "sponsor" est connu, et s'engage, donc beaucoup moins de risque de typo-squatting (je crois même que ce n'est jamais arrivé).
As-tu lu le lien que tu mets?
("50 real installations" je n'appelle pas ça populaire mais typo-squatting, comme ceux qui écrivent sur le lien que tu as mis)
pourtant le post de Bruce Perens est équivoque sur son blog,
Voulais-tu dire "non équivoque"? Car le reste de ton message le laisse entendre.
Sinon, oui je suis d'accord avec toi c'est équivoque ;-).
il s'agit d'une opinion pas d'une affirmation. Et à la fin il précise bien qu'il faut se référencer à un avocat sur la question du droit
De mon point de vue, je me sens manipulé : un disclaimer à la fin, mais au début :
"It’s my strong opinion that your company should avoid the Grsecurity product sold at grsecurity.net because it presents a contributory infringement and breach of contract risk."
La phrase, telle que je la comprend, a 2 parties : son opinion est d'éviter, mais pourquoi? réponse en deuxième partie, car ça enfreint, sans opinion (présenté comme un fait "because it presents", et le mot à la fin "risk" ne tempère que peu), et ça c'est mal. Un disclaimer a la fin ne change pas la manipulation au début, dans la première phrase, celle que les gens vont retenir.
C'est très très équivoque… Et malsain dès le départ, en mélange des affirmations et des opinions (le disclaimer aurait dû être au début de son post, et afficher clairement que ce n'est que son opinion et que rien n'est sûr dans ce qu'il dit). Le procès est pas forcément malin, mais se comprend si l'auteur a été averti au préalable du problème de sa formulation, et surtout si les clients ont remonté des peurs (on ne sait pas ça, mais j'imagine que le procès n'est pas fait pour rien), et ça peut chiffrer vite en coût (conséquence de la phrase, si elle est fausse, et attaquer "gratuitement" une entreprise n'est pas bien vu par la justice, exemple).
On peut s'attendre quand même à un effet Streisand sur Open Source Security, Inc.
Ils ont déjà tous les pro-GPL contre eux (Open Source Security étant déjà connu dans le milieu GPL et "intégristes libristes"), ça ne va pas changer grand chose.
Par contre, ils vont sans doute avoir de la compassion de tous ceux qui se prennent des "mais si, tu enfreins la GPL, allez mise au pilori méchant et je ne compte pas discuter", et ça risque aussi de faire fuir les potentiels sponsors de logiciels GPL ("hum, votre licence est trop peu claire, ça trolle à tous vas, on va éviter de s'embarquer dans ce bordel") à part pour ceux utilisant la GPL avec tous les droits à l'entité (ça permet de faire la GPL comme produit d'appel pour vendre la version non libre, business différent), pas sûr que l'effet Streisand soit dans le sens que tu penses.
L'avenir nous départagera.
Perso, ça me rappelle, pour les diableries franco-françaises, le procès contre Iliad, où les personnes affirmant publiquement que la GPL a été violée n'étaient pas foutu d'aller jusqu'au bout pour demander l'avis d'une tierce personnes (un juge), et on préféré ne pas prendre le risque de se faire infirmer leur façon de voir. Il y a un problème dans le monde de la GPL, c'est celui d'affirmer plein d'obligations et faire du "public shaming" sans tenter préalablement de demander à un juge si leur façon de voir est correcte. Le "public shaming" n'est pas vu par tout le monde comme positif.
les M$ et compagnie genre moronix, c'est pas un peu gamin?
Si on n'aime pas ("frustré") la manière de traiter l'info, on n'est pas obligé d'aller voir ce qu'il écrit.
Mais au fur et à mesure le noyau vanilla diverge inexorablement
C'est pour ça que seuls les patchs critiques sont rétroportés.
Vraiment, c'est exactement ce qu'on demande à RedHat, et pas pour rien que c'est lui qui est utilisé en professionnel dans les grosses boites (je mets de côté le professionnel qui aime bidouiller et/ou a des trucs court terme) : ne rien casser sans qu'on le décide nous-même (en passant à la version suivante).
mais garder un noyau frankenstein pendant plus de 10 ans c'est pas non plus une solution attirante.
Ben si, car on n'a pas du tout envie de fixer un bug qui apparait à cause d'une update de noyau ou autre.
A noter que "10 ans", c'est pour un logiciel X à nous dans une version Y qu'on ne touche pas et qu'on ne veut pas une nouvelle fonctionnalité (on veut que le logiciel marche toujours tout en étant protégé niveau OS, sans avoir peur lors d'une MAJ de l'OS), ça ne veut pas dire qu'on n'a pas un nouveau noyau pour les nouveaux projets. A noter qu'avec RedHat, c'est plutôt 5 ans, les autres années servent aux fix critiques et pas plus (plus de MAJ des logiciels).
Bref, ce qui est critiqué est exactement ce pour quoi elle est utilisée : nous laisser libre de choisir quand on casse la compatibilité en upgradant de version, sinon nous assurer la maintenance sur la vielle version. Et ça marche tellement bien qu'en pratique on est passé de cycle de nouvelles versions tous les 2 ans (RHEL jusqu'à la 5) à plutôt 3-4 ans (RHEL 7 a déjà 3 ans et toujours pas de 8 en ligne de mire, faut croire qu'il n'y a pas encore besoin de casser la compatibilité pour des fonctionnalités hypes, ils ont même réussi à y mettre HTTP2 sans casser les ABI)
Edit : grillé par WhiteCat, ça m'apprendra à ne pas actualiser la page au réveil :), on est bien synchro sur la réaction.
la réelle avancée du bitcoin a été cette BDD distribuée.
On peut justement dire que ce n'est pas forcément une avancée.
tout ce qui est nouveau n'est pas forcément une avancée.
Il faut peser les avantages vs les inconvénients.
Et désolé, mais la prime énormes aux premiers arrivés + la conso, ce n'est pas forcément à dire que c'est une énorme avancée.
Ce ne serait pas le première fois qu'une "super avancée" se révèlerai être une régression et un problème en fait. L'histoire est faite de conneries monstrueuses ayant été vue comme des avancées à leur époque.
Donc : une nouveauté avec le bitcoin est cette BDD distribuée. pour "avancée", faut argumenter, avantage/inconvénients.
alors on ne peut pas prendre de position tranchée comme j'ai l'impression que tu le fais.
On peut prendre une position tranchée car la personne annonce texto qu'elle désobéira de nouveau si ça lui chante.
Ca, c'est impossible à faire autre chose que licencier, quelque soit la partie humaine derrière.
c'est que si on est d'accord que le licenciement n'est pas la conclusion inéluctable
Je dis que ce n'est pas inéluctable à la condition de ne pas dire "fuck rien à foutre de mon supérieur et je ne compte pas écouter" lors de l'entretien.
Donc je dis que c'est inéluctable dans le cas du journal.
(notamment sur les aspects humains)
Aucun aspect humain ne justifie dire qu'on le refera si sa morale lui dit. C'est bien le problème : ici la personne a mis sa morale au dessus de tout, et à partir de là c'est mort : licenciement pour faute est en pratique l'unique possibilité.
Tu parles de cas où les personnes débattent, voient qu'il y a un problème. Quand une personne arrive et balance "je n'ai fait aucune faute", tu sais qu'il n'y a *aucune volonté de débattre. Donc licenciement.
Je dis que le licenciement n'est pas l'unique sortie en cas d'insubordination, oui, on est en phase.
Mais je dis aussi que le licenciement est l'unique sortie en cas d'une personne qui dit qu'elle continuera l'insubordination.
Note : les linuxfrien estimant que mes réponses sont ininteressante, je m'arrête la.
Après, si on réfléchit par le design, ce n'est pas étonnant, vu que tu ajoutes le minage à tout le reste qui concerne une transaction, et que le minage semble bien plus consommateur que la gestion d'une transaction de manière sécurisé chez VISA.
"Defective by design"? Sans doute… Mais le design ne semble pas avoir été de faire quelque chose d'écologique, juste filer du fric à spéculateurs (et pour ce but, il faut l'avouer, ça marche sacrément bien).
Si tu n'utilise pas une définition "commune", tu ne pourras que mal comprendre mes réponses (note : c'est vrai aussi quand quelqu'un parle d'actes illégaux, on ne peut pas faire de l'insubordination dans ce cas, par définition, car il faut que la demande soit légale, donc dire "tu as pas dit d'actes légaux donc je précise" est comique, car c'est du troll plus que du débat, que de spécifier un truc déjà dans la description du mot)
Est-ce qu'on peut s'entendre là dessus ?
Il faut qu'on s'entende sur une définition. J'utilise celle du dico et/ou de Wikipedia, je propose de limiter le débat à ces définition et pas "pour moi".
non, je ne dis pas ça. Parfois, "ne pas respecter ponctuellement une clause du contrat" n'est pas équivalent à "ne pas respecter n'importe quelle clause du contrat".
Qui décide de ce qui est à respecter tout le temps et pas le reste? tu pars dans le subjectif, jeu dangereux car chacun invente un truc différent.
Si tu acceptes d'essayer de reformuler la fin de ton commentaire, je répondrais avec plaisir.
Tu pars sur un truc "oui mais la ce n'est pas grave", je précise donc que c'est ta morale que tu appliques, et que dès qu'une morale se pointe le débat ne peut que pourrir, car ta morale n'est pas celle des autres. Dans un contrat de travail, tu "vends" ta subordination contre une rémunération, l'une n'est pas plus importante que l'autre. Tu refuses la subordination? L'autre peut alors refuser le salaire. Tu accepte qu'une partie ne fasse pas son taf en demandant que l'autre partie fasse le sien? L'autre peut dire la même chose (et tu es mal parti pour régler le conflit).
Ce n'est pas "un principe", c'est la base, et c'est pour ça que c'est important.
Ensuite, ça n’empêche pas de parler, ça n’empêche pas de refuser une demande illégale, ça n’empêche pas la démission (symboliquement, démissionner et non pas pousser au licenciement est fort : tu indiques à l'employeur un gros désaccord, bien plus que ne pas accepter l'insubordination qui est une gaminerie "ma morale bla bla bla" non réfléchie : tu peux même faire une lettre de démission publique, si tu veux, c'est plus classe quand même que de te faire virer pour insubordination), mais rien de tout ça n'a été fait dans le cas cité, donc…
Pour exemple, quand Mozilla a nommé un PDG ayant donné de l'argent pour des militants contre le mariage homo, contraire à la charte (tient donc… une charte, comme… :) ) de Mozilla, les employés de Mozilla (les subordonnés des gens ayant nommé) n'ont pas refusé d’obéir aux ordres (c'est le PDG et on fait avec), ils ont juste dit publiquement leur désaccord, sans insulte, sans haine, sans dire à leur chef "fuck". Et ça, c'était classe, et comment il faut faire (note : d'abord en interne si possible, et ensuite en public si c'est toujours un problème en désaccord).
Note qu'il y aurait pu y avoir un débat argumenté pour savoir si c'est de l'insubordination (= l'acte demandé est illégal), mais la personne licenciée a tué ce débat par ses écrits après le licenciement, en disant clairement que c'était plus sa morale que la légalité (donc exit le débat sur la charte etc, on est sur sa morale, et ça, ça dégage rapidos comme excuse).
Par contre, je pense que les situations humaines font que la résolution d'une situation liée à un acte d'insubordination, c'est pas forcément la conclusion théorique logique du licenciement.
C'est sans doute la le sujet de notre incompréhension, si on part sur l'idée qu'un licenciement n'est pas illégitime dans ce cas : personne n'a dit qu'une insubordination a forcément la conclusion théorique logique du licenciement, on s'est sans doute mal compris.
Ce qui conclut au licenciement, c'est l'annonce lors de l'entretien pour blâme/avertissement (à ma connaissance c'est ce qui arrive le plus souvent quand il y a une insubordination) que l'insubordination n'a pas été une faute (refus de reconnaitre le problème) + annonce de le refaire (mon "fuck", j'ai traduit), ces 2 choses (note : pour le cas discuté, la personne licenciée l' "assume") empêchent une conclusion autre que le licenciement (impossible d'avoir confiance que le salarié fera ce pour quoi il est payé), et je/on a parlé que de ça.
Je pense qu'on est d'accord sur le fait que l'employeur devrait pouvoir laisser de la marge à ses salariés oui.
Oui, mais ce n'est pas le sujet ;-).
OUI, il faudrait plus de discussion, mais NON le salarié ayant un lien de subordination n'a pas le dernier mot en cas de désaccord.
Le problème ici est quand une personne n'accepte pas la décision finale, après discussion.
Rappel : discuter, ce n'est pas imposer son idée, c'est convaincre. Et vu les textes de la personne concernée par le journal, la discussion était impossible par ce qu'il a fait et par le fait qu'il n'y voit aucune faute, coupant court à tout débat sur le reste, donc pas le choix (ce que tu dis aussi, certes :) ).
le principe de faire respecte le lien de subordination
le lien n'est pas qu'un principe, il est la base du contrat de travail.
Si tu ne peux plus faire respecter le lien de subordination, tu ne peux plus avoir confiance dans l'employé, tu ne peux donc plus lui assigner de tâches.
Bizarrement, tu n'as pas répondu pour défendre ne pas faire respecter le principe qu'un salarié doit être payé. Est-ce qu'il faut faire respecter le payement d'un salaire pour le principe de faire respecte le payement d'un salaire ? Si tu es d'accord pour travailler sans être payé, tu reste logique, sinon il te faut accepter le lien de subordination y compris sur le "principe".
Rappel 1 : le salariat, c'est des droits, et des devoirs.
Rappel 2 : tu n'es pas esclave, tu peux démissionner si ça ne te convient pas
Rappel 3 : les autres ont aussi des droits comme celui de licencier si tu refuse le lien de subordination, ce n'est pas immoral, alors pourquoi on parle que ça irait pas? Tu ne vois des droits que dans un sens (cf rappel 1), respect les droits de tous, y compris de l'employeur.
Est-ce que la réponse immédiate et automatique, c'est le licenciement ?
Si la personne arrive pendant l'entretien et dit "fuck, c'est immoral et c'est moi qui décide", oui : pas le choix! (vraiment, pas le choix, c'est la notion de base du salariat, tu as un lien de subordination et ce n'est pas toi qui décide, si tu es incapable de comprendre ça tu ne peux pas être salarié).
Si la personne en discute, tout en comprenant que sont premier "fuck" était pas approprié, pas de licenciement.
Rappel : "son évolution personnelle l'incite à estimer", c'est l'argument utilisé par les maires homophobes pour ne pas marier des personnes de même sexes il n'y a pas longtemps. Ces personnes sont-elles légitimes? Tu réponds que oui si tu est logique avec tes arguments, désolé je répond que non (les maires représentent l'Etat et doivent appliquer la loi, quelque soit leur évolution personnelle, ce qui n'interdit pas de militer contre à titre personnel).
ps: je sais très bien que ça n'a rien à voir avec le cas de wikimediaFrance,
Très bien, oui, mais tu vas prendre peur avec ta logique, avec toutes les conséquences. Attention, je vais aller à "mon éthique m'interdit de servir les noires et les femmes", je vais te pousser à comprendre que ta logique amène à ce genre de réaction… Non, on n'est pas libre de tout même par "évolution personnelle".
et que la rupture n'est pas nécessairement la conclusion inéluctable d'un refus ponctuel de cette subordination
Généralement, c'est un avertissement, c'est une grosse marge de manoeuvre car chacun peut dire ce qu'il a à dire, et même être assisté d'un conseil (comme un syndicaliste).
Sauf quand la personne, lors de l'entretien et tentative de discussion, dit "fuck la subordination je le referai chaque fois que j'en ai envie suivant mes règles c'est moi le calife".
Mais beaucoup de commentaires ramènent systématiquement au cas particulier
J'ai personnellement toujours donné quelque chose de général, car c'est général.
Mais ça s'applique très bien dans le cas précis discuté, et raison pour laquelle je ne comprend pas qu'on puisse défendre une telle chose. Qu'on débatte de savoir si ce qu'il a refusé était vraiment pas raccord avec la charte, admettons, mais en être à débattre du bien fondé du licenciement, désolé c'est chiant de tout refaire.
Full disclosure : j'ai déjà quitté un emploi qui me demandait de faire des choses légales mais qui ne me plaisaient pas.
J'ai déjà eu des discussions intéressantes avec des gens priorisant leur éthique à leur carrière, et qui choisissent leur entreprise différemment (=que du salaire et carrière, le classique).
Mais au final, la conclusion est pas toujours positive, car du coup toutes les personnes avec "une éthique" se retrouvent dans une même entité, sur base d'un tronc commun de "valeurs", mais pas toutes les valeurs sont les mêmes pour tout le monde, et comme il y a des gens qui sont la "pour l'éthique", ça clashe aussi :).
Bref, clairement l'insubordination n'est pas acceptable, même dans une entreprise "ayant une charte", et il ne faut pas oublier qu'ici on a déjà une éthique dans le but de l'entité; maintenant, il faut savoir mettre des limites à son éthique pour pouvoir vivre ensemble dans une entité. Mais surtout, la chose à ne pas faire est l'insubordination (répétée) et après insulter son ancien employeur tout en emmenant une partie de la communauté juste pour un désaccord. L'éthique prend le dessus? On démissionne et on dit qu'on n'était pas d'accord, calmement, sans troller, libre de tout contrat.
c'est dingue la vision militaire que tu sembles avoir de l'entreprise
C'est dingue de lire que c'est une vision militaire que de demander le respect des règles.
Faut arrêter!
C'est la grosse différence entre consultant et salarié : consultant n'a pas de lien de subordination (uniquement contractuel), salarié en un un, et en échange a d'autres droits.
Toi, tu trouves "militaire" de respecte cette façon de faire, bref tu veux les droits sans les devoirs.
Faut arrêter un peu cette mascarade.
Parfois l'insubordination est motrice de changement positif dans une entreprise.
Jamais. Ca pourrit les choses.
Ce qui fait des changements positifs, c'est de remettre en question, montrer son d"accord, demander l'ordre par écrit pour laisser des traces afin de pouvoir débattre, pas de faire de l'insubordination qui va juste permettre de te faire licencier pour faute (et c'est normal).
Toi, tu dis que parfois que l'employeur ne paye pas les salaires (ça découle du lien de subordination que tu ne veux pas respecter) est motrice de changement positif dans une entreprise. OK, mais fait-toi confirmer ça par les salariés avant de trop jouer avec, je doute qu'ils apprécient.
tout le monde semble d'accord pour dire qu'on n'a pas tous les éléments pour trancher
Sur le point précis du licenciement, on a tous les élément car la personne licenciée dit elle même qu'elle a dit "fuck" à son supérieur. Et donc le licenciement était "obligatoire" (sans licenciement, tu disais à tous les autres employés "faites ce qu'il vous plait", intenable)
C'est dur le reste qu'on n'a pas tous les éléments.
Comme dit dès le départ, il y a plein de cases vides, tout le monde semble en vouloir à tout le monde, et pas forcément de manière objective. La, ici, défendre une personne pour faute qui ne reconnait pas sa faute (elle reconnait le geste, mais refuse de dire que c'est une faute alors que c'est évident, par définition de "salarié"), n'est pas fait pour trier le vrai/légitime du faux/illégitime.
Alors, SVP, restons objectif, et virons déjà les n'importe quoi en terme de légal/moral. Et si on parlait du reste, qui est plus à débattre car plus de la relation humaine?
Où est-ce qu'on va rester sur des trucs gros comme l'idée qu'il n'y aurait pas de faute si on dit fuck à son chef qui empêche tout débat tellement c'est bloquant de ne pas reconnaitre les problèmes? Note que ça ne pose pas de problème d'en discuter, si tu as une bonne raison pour dire qu'il y a un soucis, tout en respectant la loi et le salariat (ici, rien vu de tel, non l’insubordination n'apporte pas de choses positives).
Justement, tu parles de loi, je te défie de me dire en quoi c'est le sujet (donc qu'il a désobéi à une ordre illégal).
Ne fuit pas, tu as parlé d'illégal (tu as donné un exemple d'ordre illégal, pour comparer à ce qu'il a fait), maintenant explique en quoi c'est le sujet ici (la personne licenciée a refus un ordre, pour que ton exemple soit dans le sujet, il faut que cet ordre soit illégal), ou tu peux aussi dire que bon en fait ce que tu as dit est 100% HS et vaut mieux passer à autre chose.
C'est un peu gonflant d'avoir comme réponse, pour défendre, des choses qui sont hors sujet.
Et si on parlait du sujet, en évitant les exemples foireux hors sujet qui rajoutent du bordel inutile à déjà un gros bordel?
J'avoue que j'avais espéré un débat constructif donc avec des exemples en relation avec le sujet, pas des exemples foireux sans expliquer en quoi il y a un lien qui ne font que pousser à l’extrême les conflits (merci, on sait tous ou presque qu'il faut désobéir à un ordre illégal)
tu n'es pas tenu d'obéir à un ordre qui te demande d'enfreindre la loi.
Est-ce la cas ici? Non, la personne licenciée le dit aussi.
alors SVP, le sujet est déjà bordélique du fait de relations humaines, n'y mettons pas des fantasmes hors sujet.
Ici, on parle de demande 100% légale, juste "pas morale" pour la personne qui doit obéir (et la morale ne permet pas de désobéir, par contre on peut démissionner ou attendre le licenciement pour faute, au choix, faut juste pas se plaindre ensuite des conséquences normales de ses actes).
Et si on considère la charte de Wikimedia comme le règlement intérieur de l'entreprise,
charte != règlement.
de plus, de ce que j'ai compris c'est très subjectif cette "violation de charte", non démontrée (juste une personne qui dit que ça viole ses principes "et la charte", mais souvent quand une personne y met sa morale tu peux te dire que le reste est à prendre avec des pincettes).
Je serais curieux de voir comment un juge pourrait traiter cette affaire.
Ca ne sera pas le cas ici, car la personne est certes assez imbue d'elle-même pour penser qu'elle n'a commis aucune faute (ce qui est faux, d'où le licenciement pour faute), mais pas assez pour dépenser du temps et de l'argent pour un procès (elle l'a dit sur Twitter que morale != légal donc pas prévu; tiens ça parlait de morale et non de charte au passage).
Bref, la sur ce point ça ressemble à de la mauvaise foi pour se faire mousser et faire plaisir à son armée de fan, faut peut-être arrêter d'aller dans son sens sur ce point (pour le reste, aucune idée, trop bordélique et relations humaines, moins factuel)
J'avoue que je ne pensais pas à avoir comme réponse des exemples évidement dans le sens où tu dois désobéir à ton employeur, car la loi est au dessus du contrat de travail.
Mais bon, puisque tu es parti dans ce jeu, maintenant il te faut démontrer que son chef a demandé de faire quelque chose d'illégal.
(spoiler : même lui dit que c'est légal, tu es donc mal barré)
Bordel, il faudra arrêter un jour de confondre sa morale avec la loi. La morale, c'est ce qui est utilisé pour oppresser, pas pour défendre des gens. Et le premier que vous enfoncez (si il lit), c'est celui qui a désobéi en ne comprenant pas qu'il a fait une faute, car vous l'aidez à s'auto-convaincre, et ça va mal finir pour lui (et pour vous, si vous jouez à la même chose un jour, et ce pour de bonnes raisons).
Légal (vie en société, règles entre personnes, ce qui régit la relation entre employeur et salarié) != morale (quelque chose de 100% personnel, ce qui fait que tu peux être licencié si tu tentes de l'imposer à ton chef car ce n'est pas la base de votre deal d'échange taf contre sous).
Ce qui est sûr, c'est que quand le seul argument de l'encadrement est le lien de subordination du contrat de travail, ça peut pas bien se passer.
Ce qui est sûr, c'est que si après une demande d'ordre écrite (ce qui semble avoir été fait) est faite et qu'un salarié n'obéit pas à son supérieur hiérarchique (notion qui vire ton exemple sur la direction, HS), ça ne peut pas bien se passer, quelques soient les problèmes à côté.
On ne peut pas avoir toutes les protections des salariés par rapport à un contractant ou un conseil d'administration, sans avoir les contraintes (donc le lien de subordination, qui est la base du salariat et fait qu'il y a des protections pour lui, c'est d'ailleurs ce qu'on me ressort à chaque fois que je dis que l'employeur a aussi des contraintes, tiens bizarre quand c'est le salarié qui fait des conneries de non respect de son contrat de travail, c'est moins un problème que quand c'est l'employeur).
Il y a un moment où il faut admettre certaines bêtises évidentes et indéfendables objectivement.
Note : encore un rappel, je n'ai aucune idée de qui est le gentil, je sais juste que ce qui est décrit par le salarié licencié lui-même est une faute (insubordination), quelque soit l'ordre (la "morale" n'a rien à faire ici, il pouvait faire le geste demandé et poser sa démission ensuite, si le salariat et son lien de subordination ne lui convenaient pas) et l'idée que c'est une excuse, et que défendre cette personne sur ce sujet est plus du populisme ("tu as bien fait trop cool même si c'est illégal et ils sont cons de te licencier défend-toi") que du respect du contrat signé (et il le dit lui-même, il sait que le licenciement est légal, il l'attaque alors sur la "morale", le mot utile quand tu n'as pas le peuple derrière toi, c'est pour rappel le même mot utilisé pour les maires qui refusent de marier les homos). Que je critique un bord ne dit pas qu'il n'y a rein à critiquer de l'autre (mais c'est plus subjectif, de ce que je comprend, moins facile à décortiquer)
Même plus besoin de juge pour savoir si le préjudice existe vraiment, il suffit de payer un avocat…
Faut arrêter le délire la : la phrase est toute banale, il y a un tiers dont c'est le métier (mais qui peut être de mauvaise foi aussi, vu qui le paye, néanmoins il ne peut pas aller très loin dans la mauvaise foi sans se prendre un retour de bâton de son bâtonnier) qui dit "hum hum tu vas dans les emmerdes", et toi tu réagis comme "bouh, l'avocat se fait juge", tu rentres dans le jeu trollesque (attention : souvent, ça fini mal pour celui qui refuse de comprendre les avertissements, car c'est la sanction du juge qui est l'étape suivante).
Moi-même peut dire que non, il n’est pas illégitime devant un tel refus de signifier par courrier d’avocat que le préjudice est avéré, dans l’espoir que cela permette une réelle prise en compte des problèmes évoqués, avant de sortir l'arme nucléaire (aller devant le juge, qui face à la non prise en compte d'un courrier d'avocat constructif souhaitant éviter la confrontation ne va pas être bien tolérant) qui ferait mal à tout le monde (mais comme pour le Brexit : tout le monde oui et aucun gagnant, mais plus à celui qui refuse de comprendre le problème).
Maitre Eolas, avocat connu pour la défense des "petits", l'a dit suffisamment : on n'ignore pas un courrier d'avocat, et on le prend au sérieux (troll : même LinuxFr a fait attention à ça quand il en a reçu un), soit il est "rigolo" et on le tourne en dérision en faisant attention à ne pas faire de connerie (donc pas en trollant dessus sans se renseigner sur ce qu'on peut faire et ce qu'on ne peut pas faire, genre en sortant "Même plus besoin de juge pour savoir si le préjudice existe vraiment" mais ce n'est pas la personne visée qui l'a sorti, ouf), soit il est est "pas complètement faux" et on évite d'en plaisanter le temps de régler le problème.
mais bon rien de nouveau, j'ai déjà vu des "un avocat? tu me menaces?" (euh, non, juste devant ton refus de comprendre avec un simple mail qui aurait pu apaiser les choses si on était entre personnes constructives, ben on passe à l'étape suivante pour essayer de te faire comprendre le problème, bon il faut croire que tu es encore pire que se qu'on pensait, on n'est pas sorti de l'auberge pour apaiser la discussion et parler du problème…)
OK, mais c'est bordélique! Dans les droits de réponse, il y a une intro pour remettre le contexte, sur la même page. Suivant de loin, ce n'est qu'après avoir posté mon message que je me suis rendu compte de l'incohérence entre le site hôte et les arguments avancés.
Tout semble fait pour que ça parte en bataille rangée…
(note : quand je lis des délires de ce genre, avec une liste de choses HS pour la faute reprochée, et "je n'ai commis aucune faute" ensuite, je me dis que ça ne peut que péter devant tant de refus de voir la faute reprochée)
PS : aucune idée de qui est le bon et qui est le méchant dans cette histoire hein, la j'ai juste donné un exemple de pourquoi tout est fait pour partir en vrille vu les réactions "outrées", et c'est sans doute comme souvent qu'il n'y a pas de méchant vraiment méchant ni de gentil vraiment gentil.
Pour équilibrer, le Droit de réponse du CA de Wikimédia France.
(Sur un site perso, ça fait bizarre, mais ça semble une version "légitime"; Faudra quand même se poser la question, si c'est légitime, de où Wikimedia met ses réponses; si c'est illégitime, c'est encore plus foireux comme ambiance)
Je regarde de loin, mais la première chose que je me dit est "combien de fric dépensé la dedans!" Après, dès qu'on est à plus de 1, ça arrive souvent d'avoir une partie plus ou moins grosse du fric dépensée en "gestion humaine".
[^] # Re: "assez populaire"?
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Au voleur.sh. Évalué à 3. Dernière modification le 04 août 2017 à 11:43.
Je l'ai lu, et vu ce que tu as copié.
Donc que du typo-squatting ou name-squatting, peu de downloads, qu'est-ce qui fait halluciner?
Toujours pas compris ce qui est hallucinant ou populaire dans ce que tu as copié.
[^] # Re: npm
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Au voleur.sh. Évalué à 1. Dernière modification le 04 août 2017 à 11:38.
Tu mélanges 2 types de repos:
- Les repos où il te faut un "sponsor", et ça prend des mois/années avant d'y être, et les typos sont vues en amont, pendant tout le process, et le "sponsor" a une bonne raison de proposer le logiciel.
- Les repos où n'importe qui peut uploader avec un nom avec des typos, les typos sont vu à postériori.
Les 2 cas ont des problèmes de sécurité très différents.
Et pour le premier cas, le "sponsor" est connu, et s'engage, donc beaucoup moins de risque de typo-squatting (je crois même que ce n'est jamais arrivé).
# "assez populaire"?
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Au voleur.sh. Évalué à 5. Dernière modification le 04 août 2017 à 11:30.
As-tu lu le lien que tu mets?
("50 real installations" je n'appelle pas ça populaire mais typo-squatting, comme ceux qui écrivent sur le lien que tu as mis)
Ou je n'ai pas compris, peux-tu expliciter?
Pas compris, peux-tu citer?
[^] # Re: Diffamation vs opinion
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Grsecurity attaque Bruce Perens en justice pour diffamation. Évalué à -2. Dernière modification le 04 août 2017 à 10:58.
Voulais-tu dire "non équivoque"? Car le reste de ton message le laisse entendre.
Sinon, oui je suis d'accord avec toi c'est équivoque ;-).
De mon point de vue, je me sens manipulé : un disclaimer à la fin, mais au début :
"It’s my strong opinion that your company should avoid the Grsecurity product sold at grsecurity.net because it presents a contributory infringement and breach of contract risk."
La phrase, telle que je la comprend, a 2 parties : son opinion est d'éviter, mais pourquoi? réponse en deuxième partie, car ça enfreint, sans opinion (présenté comme un fait "because it presents", et le mot à la fin "risk" ne tempère que peu), et ça c'est mal. Un disclaimer a la fin ne change pas la manipulation au début, dans la première phrase, celle que les gens vont retenir.
C'est très très équivoque… Et malsain dès le départ, en mélange des affirmations et des opinions (le disclaimer aurait dû être au début de son post, et afficher clairement que ce n'est que son opinion et que rien n'est sûr dans ce qu'il dit). Le procès est pas forcément malin, mais se comprend si l'auteur a été averti au préalable du problème de sa formulation, et surtout si les clients ont remonté des peurs (on ne sait pas ça, mais j'imagine que le procès n'est pas fait pour rien), et ça peut chiffrer vite en coût (conséquence de la phrase, si elle est fausse, et attaquer "gratuitement" une entreprise n'est pas bien vu par la justice, exemple).
Ils ont déjà tous les pro-GPL contre eux (Open Source Security étant déjà connu dans le milieu GPL et "intégristes libristes"), ça ne va pas changer grand chose.
Par contre, ils vont sans doute avoir de la compassion de tous ceux qui se prennent des "mais si, tu enfreins la GPL, allez mise au pilori méchant et je ne compte pas discuter", et ça risque aussi de faire fuir les potentiels sponsors de logiciels GPL ("hum, votre licence est trop peu claire, ça trolle à tous vas, on va éviter de s'embarquer dans ce bordel") à part pour ceux utilisant la GPL avec tous les droits à l'entité (ça permet de faire la GPL comme produit d'appel pour vendre la version non libre, business différent), pas sûr que l'effet Streisand soit dans le sens que tu penses.
L'avenir nous départagera.
Perso, ça me rappelle, pour les diableries franco-françaises, le procès contre Iliad, où les personnes affirmant publiquement que la GPL a été violée n'étaient pas foutu d'aller jusqu'au bout pour demander l'avis d'une tierce personnes (un juge), et on préféré ne pas prendre le risque de se faire infirmer leur façon de voir. Il y a un problème dans le monde de la GPL, c'est celui d'affirmer plein d'obligations et faire du "public shaming" sans tenter préalablement de demander à un juge si leur façon de voir est correcte. Le "public shaming" n'est pas vu par tout le monde comme positif.
[^] # Re: Coquille
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Btrfs ne serait plus le futur. Évalué à 10.
les M$ et compagnie genre moronix, c'est pas un peu gamin?
Si on n'aime pas ("frustré") la manière de traiter l'info, on n'est pas obligé d'aller voir ce qu'il écrit.
[^] # Re: Red Hat != World
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Btrfs ne serait plus le futur. Évalué à 6. Dernière modification le 03 août 2017 à 08:22.
C'est pour ça que seuls les patchs critiques sont rétroportés.
Vraiment, c'est exactement ce qu'on demande à RedHat, et pas pour rien que c'est lui qui est utilisé en professionnel dans les grosses boites (je mets de côté le professionnel qui aime bidouiller et/ou a des trucs court terme) : ne rien casser sans qu'on le décide nous-même (en passant à la version suivante).
Ben si, car on n'a pas du tout envie de fixer un bug qui apparait à cause d'une update de noyau ou autre.
A noter que "10 ans", c'est pour un logiciel X à nous dans une version Y qu'on ne touche pas et qu'on ne veut pas une nouvelle fonctionnalité (on veut que le logiciel marche toujours tout en étant protégé niveau OS, sans avoir peur lors d'une MAJ de l'OS), ça ne veut pas dire qu'on n'a pas un nouveau noyau pour les nouveaux projets. A noter qu'avec RedHat, c'est plutôt 5 ans, les autres années servent aux fix critiques et pas plus (plus de MAJ des logiciels).
Bref, ce qui est critiqué est exactement ce pour quoi elle est utilisée : nous laisser libre de choisir quand on casse la compatibilité en upgradant de version, sinon nous assurer la maintenance sur la vielle version. Et ça marche tellement bien qu'en pratique on est passé de cycle de nouvelles versions tous les 2 ans (RHEL jusqu'à la 5) à plutôt 3-4 ans (RHEL 7 a déjà 3 ans et toujours pas de 8 en ligne de mire, faut croire qu'il n'y a pas encore besoin de casser la compatibilité pour des fonctionnalités hypes, ils ont même réussi à y mettre HTTP2 sans casser les ABI)
Edit : grillé par WhiteCat, ça m'apprendra à ne pas actualiser la page au réveil :), on est bien synchro sur la réaction.
[^] # Re: preuve de travail
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Hardfork du Bitcoin : bienvenue au Bitcoin Cash. Évalué à -1. Dernière modification le 02 août 2017 à 18:37.
On peut justement dire que ce n'est pas forcément une avancée.
tout ce qui est nouveau n'est pas forcément une avancée.
Il faut peser les avantages vs les inconvénients.
Et désolé, mais la prime énormes aux premiers arrivés + la conso, ce n'est pas forcément à dire que c'est une énorme avancée.
Ce ne serait pas le première fois qu'une "super avancée" se révèlerai être une régression et un problème en fait. L'histoire est faite de conneries monstrueuses ayant été vue comme des avancées à leur époque.
Donc : une nouveauté avec le bitcoin est cette BDD distribuée. pour "avancée", faut argumenter, avantage/inconvénients.
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -1. Dernière modification le 02 août 2017 à 17:34.
On peut prendre une position tranchée car la personne annonce texto qu'elle désobéira de nouveau si ça lui chante.
Ca, c'est impossible à faire autre chose que licencier, quelque soit la partie humaine derrière.
Je dis que ce n'est pas inéluctable à la condition de ne pas dire "fuck rien à foutre de mon supérieur et je ne compte pas écouter" lors de l'entretien.
Donc je dis que c'est inéluctable dans le cas du journal.
Aucun aspect humain ne justifie dire qu'on le refera si sa morale lui dit. C'est bien le problème : ici la personne a mis sa morale au dessus de tout, et à partir de là c'est mort : licenciement pour faute est en pratique l'unique possibilité.
Tu parles de cas où les personnes débattent, voient qu'il y a un problème. Quand une personne arrive et balance "je n'ai fait aucune faute", tu sais qu'il n'y a *aucune volonté de débattre. Donc licenciement.
Je dis que le licenciement n'est pas l'unique sortie en cas d'insubordination, oui, on est en phase.
Mais je dis aussi que le licenciement est l'unique sortie en cas d'une personne qui dit qu'elle continuera l'insubordination.
Note : les linuxfrien estimant que mes réponses sont ininteressante, je m'arrête la.
[^] # Re: Preuve de travail
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Hardfork du Bitcoin : bienvenue au Bitcoin Cash. Évalué à 6.
Il y a pas mal de liens à lire (oui, j'ai la flemme de la preuve exacte calculée, j'avoue) sur
http://digiconomist.net/bitcoin-energy-consumption
Après, si on réfléchit par le design, ce n'est pas étonnant, vu que tu ajoutes le minage à tout le reste qui concerne une transaction, et que le minage semble bien plus consommateur que la gestion d'une transaction de manière sécurisé chez VISA.
"Defective by design"? Sans doute… Mais le design ne semble pas avoir été de faire quelque chose d'écologique, juste filer du fric à spéculateurs (et pour ce but, il faut l'avouer, ça marche sacrément bien).
[^] # Re: Preuve de travail
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Hardfork du Bitcoin : bienvenue au Bitcoin Cash. Évalué à 10.
Pour en rajouter : À chaque transaction en ether, environ 45 kilowatt-heure seraient utilisés, soit l’équivalent de de 7 000 transactions en carte bancaire VISA (désolé, ils ne disent pas exactement pour Bitcoin, mais je doute que ça change beaucoup).
Question optimisation, on repassera… Je serai curieux de rencontrer un fan des crypto-monnaies se disant écologiste ;-).
A noter aussi que ça a un impact sur toute personne souhaitant juste jouer en provoquant une pénurie de carte graphique (pareil, un écologiste aimant les cryptomonnaies devra m'expliquer en quoi fondre du silicium et produire, produire… Des cartes, pour "ça", est rentable pour la planète par rapport à son utilité)
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à 1.
Sans langue commune, on ne peut pas débattre correctement.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Insubordination
Dire "c'est de la merde" n'est pas de l'insubordination.
Si tu n'utilise pas une définition "commune", tu ne pourras que mal comprendre mes réponses (note : c'est vrai aussi quand quelqu'un parle d'actes illégaux, on ne peut pas faire de l'insubordination dans ce cas, par définition, car il faut que la demande soit légale, donc dire "tu as pas dit d'actes légaux donc je précise" est comique, car c'est du troll plus que du débat, que de spécifier un truc déjà dans la description du mot)
Il faut qu'on s'entende sur une définition. J'utilise celle du dico et/ou de Wikipedia, je propose de limiter le débat à ces définition et pas "pour moi".
Qui décide de ce qui est à respecter tout le temps et pas le reste? tu pars dans le subjectif, jeu dangereux car chacun invente un truc différent.
Tu pars sur un truc "oui mais la ce n'est pas grave", je précise donc que c'est ta morale que tu appliques, et que dès qu'une morale se pointe le débat ne peut que pourrir, car ta morale n'est pas celle des autres. Dans un contrat de travail, tu "vends" ta subordination contre une rémunération, l'une n'est pas plus importante que l'autre. Tu refuses la subordination? L'autre peut alors refuser le salaire. Tu accepte qu'une partie ne fasse pas son taf en demandant que l'autre partie fasse le sien? L'autre peut dire la même chose (et tu es mal parti pour régler le conflit).
Ce n'est pas "un principe", c'est la base, et c'est pour ça que c'est important.
Ensuite, ça n’empêche pas de parler, ça n’empêche pas de refuser une demande illégale, ça n’empêche pas la démission (symboliquement, démissionner et non pas pousser au licenciement est fort : tu indiques à l'employeur un gros désaccord, bien plus que ne pas accepter l'insubordination qui est une gaminerie "ma morale bla bla bla" non réfléchie : tu peux même faire une lettre de démission publique, si tu veux, c'est plus classe quand même que de te faire virer pour insubordination), mais rien de tout ça n'a été fait dans le cas cité, donc…
Pour exemple, quand Mozilla a nommé un PDG ayant donné de l'argent pour des militants contre le mariage homo, contraire à la charte (tient donc… une charte, comme… :) ) de Mozilla, les employés de Mozilla (les subordonnés des gens ayant nommé) n'ont pas refusé d’obéir aux ordres (c'est le PDG et on fait avec), ils ont juste dit publiquement leur désaccord, sans insulte, sans haine, sans dire à leur chef "fuck". Et ça, c'était classe, et comment il faut faire (note : d'abord en interne si possible, et ensuite en public si c'est toujours un problème en désaccord).
Note qu'il y aurait pu y avoir un débat argumenté pour savoir si c'est de l'insubordination (= l'acte demandé est illégal), mais la personne licenciée a tué ce débat par ses écrits après le licenciement, en disant clairement que c'était plus sa morale que la légalité (donc exit le débat sur la charte etc, on est sur sa morale, et ça, ça dégage rapidos comme excuse).
Voila, j'espère avoir été plus clair.
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -1.
C'est sans doute la le sujet de notre incompréhension, si on part sur l'idée qu'un licenciement n'est pas illégitime dans ce cas : personne n'a dit qu'une insubordination a forcément la conclusion théorique logique du licenciement, on s'est sans doute mal compris.
Ce qui conclut au licenciement, c'est l'annonce lors de l'entretien pour blâme/avertissement (à ma connaissance c'est ce qui arrive le plus souvent quand il y a une insubordination) que l'insubordination n'a pas été une faute (refus de reconnaitre le problème) + annonce de le refaire (mon "fuck", j'ai traduit), ces 2 choses (note : pour le cas discuté, la personne licenciée l' "assume") empêchent une conclusion autre que le licenciement (impossible d'avoir confiance que le salarié fera ce pour quoi il est payé), et je/on a parlé que de ça.
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -1. Dernière modification le 01 août 2017 à 18:20.
Oui, mais ce n'est pas le sujet ;-).
OUI, il faudrait plus de discussion, mais NON le salarié ayant un lien de subordination n'a pas le dernier mot en cas de désaccord.
Le problème ici est quand une personne n'accepte pas la décision finale, après discussion.
Rappel : discuter, ce n'est pas imposer son idée, c'est convaincre. Et vu les textes de la personne concernée par le journal, la discussion était impossible par ce qu'il a fait et par le fait qu'il n'y voit aucune faute, coupant court à tout débat sur le reste, donc pas le choix (ce que tu dis aussi, certes :) ).
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -1.
le lien n'est pas qu'un principe, il est la base du contrat de travail.
Si tu ne peux plus faire respecter le lien de subordination, tu ne peux plus avoir confiance dans l'employé, tu ne peux donc plus lui assigner de tâches.
Bizarrement, tu n'as pas répondu pour défendre ne pas faire respecter le principe qu'un salarié doit être payé. Est-ce qu'il faut faire respecter le payement d'un salaire pour le principe de faire respecte le payement d'un salaire ? Si tu es d'accord pour travailler sans être payé, tu reste logique, sinon il te faut accepter le lien de subordination y compris sur le "principe".
Rappel 1 : le salariat, c'est des droits, et des devoirs.
Rappel 2 : tu n'es pas esclave, tu peux démissionner si ça ne te convient pas
Rappel 3 : les autres ont aussi des droits comme celui de licencier si tu refuse le lien de subordination, ce n'est pas immoral, alors pourquoi on parle que ça irait pas? Tu ne vois des droits que dans un sens (cf rappel 1), respect les droits de tous, y compris de l'employeur.
[^] # Re: Sexe
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mozilla Common Voice : vers une reconnaissance vocale libre. Évalué à 4.
Ta traduction est donc bonne, et ce n'est pas ce qui est critiqué par le commentaire.
Ton choix est donc bon pour la traduction.
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -2. Dernière modification le 01 août 2017 à 17:51.
Si la personne arrive pendant l'entretien et dit "fuck, c'est immoral et c'est moi qui décide", oui : pas le choix! (vraiment, pas le choix, c'est la notion de base du salariat, tu as un lien de subordination et ce n'est pas toi qui décide, si tu es incapable de comprendre ça tu ne peux pas être salarié).
Si la personne en discute, tout en comprenant que sont premier "fuck" était pas approprié, pas de licenciement.
Rappel : "son évolution personnelle l'incite à estimer", c'est l'argument utilisé par les maires homophobes pour ne pas marier des personnes de même sexes il n'y a pas longtemps. Ces personnes sont-elles légitimes? Tu réponds que oui si tu est logique avec tes arguments, désolé je répond que non (les maires représentent l'Etat et doivent appliquer la loi, quelque soit leur évolution personnelle, ce qui n'interdit pas de militer contre à titre personnel).
Très bien, oui, mais tu vas prendre peur avec ta logique, avec toutes les conséquences. Attention, je vais aller à "mon éthique m'interdit de servir les noires et les femmes", je vais te pousser à comprendre que ta logique amène à ce genre de réaction… Non, on n'est pas libre de tout même par "évolution personnelle".
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -1.
Généralement, c'est un avertissement, c'est une grosse marge de manoeuvre car chacun peut dire ce qu'il a à dire, et même être assisté d'un conseil (comme un syndicaliste).
Sauf quand la personne, lors de l'entretien et tentative de discussion, dit "fuck la subordination je le referai chaque fois que j'en ai envie suivant mes règles c'est moi le calife".
J'ai personnellement toujours donné quelque chose de général, car c'est général.
Mais ça s'applique très bien dans le cas précis discuté, et raison pour laquelle je ne comprend pas qu'on puisse défendre une telle chose. Qu'on débatte de savoir si ce qu'il a refusé était vraiment pas raccord avec la charte, admettons, mais en être à débattre du bien fondé du licenciement, désolé c'est chiant de tout refaire.
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -3.
J'ai déjà eu des discussions intéressantes avec des gens priorisant leur éthique à leur carrière, et qui choisissent leur entreprise différemment (=que du salaire et carrière, le classique).
Mais au final, la conclusion est pas toujours positive, car du coup toutes les personnes avec "une éthique" se retrouvent dans une même entité, sur base d'un tronc commun de "valeurs", mais pas toutes les valeurs sont les mêmes pour tout le monde, et comme il y a des gens qui sont la "pour l'éthique", ça clashe aussi :).
Bref, clairement l'insubordination n'est pas acceptable, même dans une entreprise "ayant une charte", et il ne faut pas oublier qu'ici on a déjà une éthique dans le but de l'entité; maintenant, il faut savoir mettre des limites à son éthique pour pouvoir vivre ensemble dans une entité. Mais surtout, la chose à ne pas faire est l'insubordination (répétée) et après insulter son ancien employeur tout en emmenant une partie de la communauté juste pour un désaccord. L'éthique prend le dessus? On démissionne et on dit qu'on n'était pas d'accord, calmement, sans troller, libre de tout contrat.
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -1.
C'est dingue de lire que c'est une vision militaire que de demander le respect des règles.
Faut arrêter!
C'est la grosse différence entre consultant et salarié : consultant n'a pas de lien de subordination (uniquement contractuel), salarié en un un, et en échange a d'autres droits.
Toi, tu trouves "militaire" de respecte cette façon de faire, bref tu veux les droits sans les devoirs.
Faut arrêter un peu cette mascarade.
Jamais. Ca pourrit les choses.
Ce qui fait des changements positifs, c'est de remettre en question, montrer son d"accord, demander l'ordre par écrit pour laisser des traces afin de pouvoir débattre, pas de faire de l'insubordination qui va juste permettre de te faire licencier pour faute (et c'est normal).
Toi, tu dis que parfois que l'employeur ne paye pas les salaires (ça découle du lien de subordination que tu ne veux pas respecter) est motrice de changement positif dans une entreprise. OK, mais fait-toi confirmer ça par les salariés avant de trop jouer avec, je doute qu'ils apprécient.
Sur le point précis du licenciement, on a tous les élément car la personne licenciée dit elle même qu'elle a dit "fuck" à son supérieur. Et donc le licenciement était "obligatoire" (sans licenciement, tu disais à tous les autres employés "faites ce qu'il vous plait", intenable)
C'est dur le reste qu'on n'a pas tous les éléments.
Comme dit dès le départ, il y a plein de cases vides, tout le monde semble en vouloir à tout le monde, et pas forcément de manière objective. La, ici, défendre une personne pour faute qui ne reconnait pas sa faute (elle reconnait le geste, mais refuse de dire que c'est une faute alors que c'est évident, par définition de "salarié"), n'est pas fait pour trier le vrai/légitime du faux/illégitime.
Alors, SVP, restons objectif, et virons déjà les n'importe quoi en terme de légal/moral. Et si on parlait du reste, qui est plus à débattre car plus de la relation humaine?
Où est-ce qu'on va rester sur des trucs gros comme l'idée qu'il n'y aurait pas de faute si on dit fuck à son chef qui empêche tout débat tellement c'est bloquant de ne pas reconnaitre les problèmes? Note que ça ne pose pas de problème d'en discuter, si tu as une bonne raison pour dire qu'il y a un soucis, tout en respectant la loi et le salariat (ici, rien vu de tel, non l’insubordination n'apporte pas de choses positives).
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -2. Dernière modification le 01 août 2017 à 15:47.
Justement, tu parles de loi, je te défie de me dire en quoi c'est le sujet (donc qu'il a désobéi à une ordre illégal).
Ne fuit pas, tu as parlé d'illégal (tu as donné un exemple d'ordre illégal, pour comparer à ce qu'il a fait), maintenant explique en quoi c'est le sujet ici (la personne licenciée a refus un ordre, pour que ton exemple soit dans le sujet, il faut que cet ordre soit illégal), ou tu peux aussi dire que bon en fait ce que tu as dit est 100% HS et vaut mieux passer à autre chose.
C'est un peu gonflant d'avoir comme réponse, pour défendre, des choses qui sont hors sujet.
Et si on parlait du sujet, en évitant les exemples foireux hors sujet qui rajoutent du bordel inutile à déjà un gros bordel?
J'avoue que j'avais espéré un débat constructif donc avec des exemples en relation avec le sujet, pas des exemples foireux sans expliquer en quoi il y a un lien qui ne font que pousser à l’extrême les conflits (merci, on sait tous ou presque qu'il faut désobéir à un ordre illégal)
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -3.
Est-ce la cas ici? Non, la personne licenciée le dit aussi.
alors SVP, le sujet est déjà bordélique du fait de relations humaines, n'y mettons pas des fantasmes hors sujet.
Ici, on parle de demande 100% légale, juste "pas morale" pour la personne qui doit obéir (et la morale ne permet pas de désobéir, par contre on peut démissionner ou attendre le licenciement pour faute, au choix, faut juste pas se plaindre ensuite des conséquences normales de ses actes).
charte != règlement.
de plus, de ce que j'ai compris c'est très subjectif cette "violation de charte", non démontrée (juste une personne qui dit que ça viole ses principes "et la charte", mais souvent quand une personne y met sa morale tu peux te dire que le reste est à prendre avec des pincettes).
Ca ne sera pas le cas ici, car la personne est certes assez imbue d'elle-même pour penser qu'elle n'a commis aucune faute (ce qui est faux, d'où le licenciement pour faute), mais pas assez pour dépenser du temps et de l'argent pour un procès (elle l'a dit sur Twitter que morale != légal donc pas prévu; tiens ça parlait de morale et non de charte au passage).
Bref, la sur ce point ça ressemble à de la mauvaise foi pour se faire mousser et faire plaisir à son armée de fan, faut peut-être arrêter d'aller dans son sens sur ce point (pour le reste, aucune idée, trop bordélique et relations humaines, moins factuel)
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à -2.
J'avoue que je ne pensais pas à avoir comme réponse des exemples évidement dans le sens où tu dois désobéir à ton employeur, car la loi est au dessus du contrat de travail.
Mais bon, puisque tu es parti dans ce jeu, maintenant il te faut démontrer que son chef a demandé de faire quelque chose d'illégal.
(spoiler : même lui dit que c'est légal, tu es donc mal barré)
Bordel, il faudra arrêter un jour de confondre sa morale avec la loi. La morale, c'est ce qui est utilisé pour oppresser, pas pour défendre des gens. Et le premier que vous enfoncez (si il lit), c'est celui qui a désobéi en ne comprenant pas qu'il a fait une faute, car vous l'aidez à s'auto-convaincre, et ça va mal finir pour lui (et pour vous, si vous jouez à la même chose un jour, et ce pour de bonnes raisons).
Légal (vie en société, règles entre personnes, ce qui régit la relation entre employeur et salarié) != morale (quelque chose de 100% personnel, ce qui fait que tu peux être licencié si tu tentes de l'imposer à ton chef car ce n'est pas la base de votre deal d'échange taf contre sous).
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à 1. Dernière modification le 31 juillet 2017 à 15:03.
Ce qui est sûr, c'est que si après une demande d'ordre écrite (ce qui semble avoir été fait) est faite et qu'un salarié n'obéit pas à son supérieur hiérarchique (notion qui vire ton exemple sur la direction, HS), ça ne peut pas bien se passer, quelques soient les problèmes à côté.
On ne peut pas avoir toutes les protections des salariés par rapport à un contractant ou un conseil d'administration, sans avoir les contraintes (donc le lien de subordination, qui est la base du salariat et fait qu'il y a des protections pour lui, c'est d'ailleurs ce qu'on me ressort à chaque fois que je dis que l'employeur a aussi des contraintes, tiens bizarre quand c'est le salarié qui fait des conneries de non respect de son contrat de travail, c'est moins un problème que quand c'est l'employeur).
Il y a un moment où il faut admettre certaines bêtises évidentes et indéfendables objectivement.
Note : encore un rappel, je n'ai aucune idée de qui est le gentil, je sais juste que ce qui est décrit par le salarié licencié lui-même est une faute (insubordination), quelque soit l'ordre (la "morale" n'a rien à faire ici, il pouvait faire le geste demandé et poser sa démission ensuite, si le salariat et son lien de subordination ne lui convenaient pas) et l'idée que c'est une excuse, et que défendre cette personne sur ce sujet est plus du populisme ("tu as bien fait trop cool même si c'est illégal et ils sont cons de te licencier défend-toi") que du respect du contrat signé (et il le dit lui-même, il sait que le licenciement est légal, il l'attaque alors sur la "morale", le mot utile quand tu n'as pas le peuple derrière toi, c'est pour rappel le même mot utilisé pour les maires qui refusent de marier les homos). Que je critique un bord ne dit pas qu'il n'y a rein à critiquer de l'autre (mais c'est plus subjectif, de ce que je comprend, moins facile à décortiquer)
[^] # Re: Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à 1. Dernière modification le 30 juillet 2017 à 19:12.
Faut arrêter le délire la : la phrase est toute banale, il y a un tiers dont c'est le métier (mais qui peut être de mauvaise foi aussi, vu qui le paye, néanmoins il ne peut pas aller très loin dans la mauvaise foi sans se prendre un retour de bâton de son bâtonnier) qui dit "hum hum tu vas dans les emmerdes", et toi tu réagis comme "bouh, l'avocat se fait juge", tu rentres dans le jeu trollesque (attention : souvent, ça fini mal pour celui qui refuse de comprendre les avertissements, car c'est la sanction du juge qui est l'étape suivante).
Moi-même peut dire que non, il n’est pas illégitime devant un tel refus de signifier par courrier d’avocat que le préjudice est avéré, dans l’espoir que cela permette une réelle prise en compte des problèmes évoqués, avant de sortir l'arme nucléaire (aller devant le juge, qui face à la non prise en compte d'un courrier d'avocat constructif souhaitant éviter la confrontation ne va pas être bien tolérant) qui ferait mal à tout le monde (mais comme pour le Brexit : tout le monde oui et aucun gagnant, mais plus à celui qui refuse de comprendre le problème).
Maitre Eolas, avocat connu pour la défense des "petits", l'a dit suffisamment : on n'ignore pas un courrier d'avocat, et on le prend au sérieux (troll : même LinuxFr a fait attention à ça quand il en a reçu un), soit il est "rigolo" et on le tourne en dérision en faisant attention à ne pas faire de connerie (donc pas en trollant dessus sans se renseigner sur ce qu'on peut faire et ce qu'on ne peut pas faire, genre en sortant "Même plus besoin de juge pour savoir si le préjudice existe vraiment" mais ce n'est pas la personne visée qui l'a sorti, ouf), soit il est est "pas complètement faux" et on évite d'en plaisanter le temps de régler le problème.
mais bon rien de nouveau, j'ai déjà vu des "un avocat? tu me menaces?" (euh, non, juste devant ton refus de comprendre avec un simple mail qui aurait pu apaiser les choses si on était entre personnes constructives, ben on passe à l'étape suivante pour essayer de te faire comprendre le problème, bon il faut croire que tu es encore pire que se qu'on pensait, on n'est pas sorti de l'auberge pour apaiser la discussion et parler du problème…)
OK, mais c'est bordélique! Dans les droits de réponse, il y a une intro pour remettre le contexte, sur la même page. Suivant de loin, ce n'est qu'après avoir posté mon message que je me suis rendu compte de l'incohérence entre le site hôte et les arguments avancés.
Tout semble fait pour que ça parte en bataille rangée…
(note : quand je lis des délires de ce genre, avec une liste de choses HS pour la faute reprochée, et "je n'ai commis aucune faute" ensuite, je me dis que ça ne peut que péter devant tant de refus de voir la faute reprochée)
PS : aucune idée de qui est le bon et qui est le méchant dans cette histoire hein, la j'ai juste donné un exemple de pourquoi tout est fait pour partir en vrille vu les réactions "outrées", et c'est sans doute comme souvent qu'il n'y a pas de méchant vraiment méchant ni de gentil vraiment gentil.
# Autre lien
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Rififi chez Wikimédia France. Évalué à 6.
Pour équilibrer, le Droit de réponse du CA de Wikimédia France.
(Sur un site perso, ça fait bizarre, mais ça semble une version "légitime"; Faudra quand même se poser la question, si c'est légitime, de où Wikimedia met ses réponses; si c'est illégitime, c'est encore plus foireux comme ambiance)
Je regarde de loin, mais la première chose que je me dit est "combien de fric dépensé la dedans!" Après, dès qu'on est à plus de 1, ça arrive souvent d'avoir une partie plus ou moins grosse du fric dépensée en "gestion humaine".