Après être passé à GNU/Linux en 2004 et être revenu aux logiciels de Microsoft en 2017, Munich repasse aux logiciels libres.
Fait intéressant, le motif principal est politique : l'argent public doit servir à financer des biens publics.
Je me met à rêver d'une Europe ou les collectivités locales (municipalités, régions, états) financeraient du logiciel libre pour leur besoins propres et ce faisant, irrigueraient une économie du logiciel libre périlleuse autrement. Les entreprises bénéficieraient d'un socle informatique performant et (…)