lejocelyn a écrit 714 commentaires

  • # Hum, et monsieur Frédéric Couchet de l'April...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Kit pédagogique ou Googleducation ?. Évalué à 4.

    Je me demande dans quelle mesure Frédéric Couchet était au courant de la portée de son texte.
  • # À noter que...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de Linux 2.6.29. Évalué à 5.

    ... le diable de Tasmanie porte le nom savant de sarcophile. Ce n'est peut-être pas à nous mais à lui de nous sauver.
  • [^] # Re: À noter quand même...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Hors sujet. Évalué à 2.

    Effectivement, je parlais des enseignants-chercheurs. Le thésard était à comprendre dans le sens où les enseignants chercheurs sont des thésards niveau formation.
  • [^] # Re: À noter quand même...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Hors sujet. Évalué à 2.

    Enfin, le système remis en question au niveau de la fac est surtout celui des enseignants chercheurs. Des thésards qui ne gagnent au début que 1700 € net pour un travail d'enseignant et de chercheur (et souvent aussi de secrétaire).

    Dans mon domaine, (sciences du langage), tous mes professeurs sont enseignants-chercheurs.
  • # À noter quand même...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Hors sujet. Évalué à 7.

    ... que les revendications de l'éducation nationale ne tournent pas autour du salaire mais de l'organisation et des réformes à venir. Idem pour la recherche. Je ne sais pas ce qu'il en est le secteur privé.
  • [^] # Re: Comme quoi ...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le logiciel libre en gendarmerie : 70% d'économie. Évalué à 10.

    Je pense au contraire qu'une organisation comme l'armée est bien plus à même d'accepter ce genre de changement que les entreprises ou les administrations.

    Ce n'est qu'une impression ceci dit.
  • # Non non, le point commun ce n'est pas les jeux vidéo...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La société de l'autruche .... Évalué à 8.

    Tous ces jeunes utilisaient Microsoft Windows, voilà pourquoi ils ont pété les plombs... Mais que fait la police ?
  • [^] # Re: Ognon

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 2.

    À noter que «ai», «ei» étaient prononcés comme des diphtongues autrefois, ce qui explique que nous les écrivions de cette manière. Cela est d'ailleurs souvent le cas pour beaucoup de graphies qui nous semblent compliquées ou en tout cas non pertinentes, elles correspondent à des sons qui étaient réalisés autrefois.

    Pour ce qui est des désinences et de la redondance des informations, ce n'est pas forcément un problème, cela permet de valider et confirmer certaines informations, de les préciser et donc au récepteur de les contrôler aussi. Assez utile lorsqu'il y a des parasites lors de la transmission.

    Le phénomène de coller le pronom (ou déterminant verbal plus exactement), exemple : «chais», «chvais», «tsais», au verbe est peut-être une désinence qui se fait par préfixation. Mine de rien, ces phénomènes, considérés comme des erreurs par beaucoup, doivent être enseignés aux apprenants non-natifs du français si on souhaite qu'ils comprennent ce qu'on dit.
  • [^] # Re: Ognon

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 1.

    "Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas un mto n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire soeint à la bnnoe pclae.
    Le rsete peut êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlbème. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot."


    J'ai d'ailleurs fait lire ce texte en français à des étudiants chinois apprenant le français, ils arrivaient à le lire. L'intérêt de ce texte était je crois de montrer que le cerveau traitait les mots d'une manière particulière. Ça n'avait que peu de rapport avec le bruit dans la transmission du message, d'ailleurs, je me demande ce qui se passeraient si on glissait des erreurs de langue dans les mots (à faire avec méthode, car les erreurs répondent à des règles). Ceci dit, l'observation est valable pour l'anglais ou pour le français mais pas forcément à toutes les langues. Je ne connais pas bien leur travail et leur méthode.

    «Maintenant, imagine un étranger, complètement ab initio, essayant d'apprendre la langue en partant du S.M.S. Comme, selon toi, le dictionnaire ne doit même plus faire référence, il n'a aucun moyen de savoir de quels mots il s'agit réellement. Pire que ça : d'ici une cinquantaine d'année, comme le contexte ne sera plus du tout le même, les francophones natifs de la langue eux-mêmes ne seront plus capables de la lire. Il n'y a qu'à entendre les expressions « jeunes » de nos parents ou grands parents pour se rendre compte qu'il n'y a plus rien de commun avec le langage actuel.»

    Je n'ai pas dit qu'on devait supprimer les dictionnaires mais les critiquer dans leur fonctionnement. La nuance est importante.
    Sinon, j'ai considéré dans mon journal le SMS comme une autre langue que le français, biensûr que son apprentissage ne permet pas d'apprendre le français.
    Cf : «Comme un certain nombre, j'ai beaucoup de mal à lire cette langue.»

    Pour les expressions «jeunes» de nos parents, je ne suis pas sûr de comprendre.

    À noter que les textes en français anciens sont traduis en français modernes et que les textes de l'époque des Lumières nécessitent beaucoup d'explication car nombres de termes ont changé de sens. Des explications qui ont aussi été nécessaires à nos grand-parents. C'est d'ailleurs ce qui fait que les textes anciens sont toujours utilisables malgré le temps, mais ce qui fait malheureusement croire à certains qu'ils sont utilisables tels quels.

    De plus, le SMS n'est pas une réforme, n'est pas enseigné, est bien entendu étudié. Ceci dit, il apporte un fait de langue que je trouve intéressant car certaines langues écrites ont des traits similaires avec lui.
  • [^] # Re: Pourquoi et quand s'offusquer de certaines pratiques :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 2.

    Le français possède techniquement beaucoup de souplesse, les affixes (suffixes, préfixes et autres) existent aussi en français, c'est simplement que beaucoup de Français rechignent à les employer.

    Pour revenir à aux exemples donnés.

    "upload" et "download" ne sont pas de simples préfixations, il y a aussi une augmentation du sens au domaine d'internet.
    Ceci dit, "upload" en anglais ne correspond pas à "mis à disposition", c'est déjà une surtraduction, possible dans certain contexte mais pas valable au niveau du sens. Le couple Envoyer/recevoir correspond pas trop mal, télécharger/déposer ou télédéposer, pourquoi pas :).

    Pour "to computer", un problème, c'est que computer possède déjà un sens en français, d'ailleurs, étymologiquement, on peut très bien lié le mot français et le mot anglais. Mais en réfléchissant, on doit bien pouvoir trouver un néologisme pour "utiliser un ordinateur".

    Le problème est à mon avis que lorsqu'on verbalise un nom en anglais, le sens de cette verbalisation n'est pas le même qu'en français. Verbaliser un nom en anglais correspond souvent à "effectuer l'action lié à ce nom". En français, l'action liée à la verbalisation d'un nom me semble moins définit, mais il ne tient qu'à nous de créer un tel lien :)

    Il est dommage que priver le français de cette souplesse de création de nouveaux mots

    Mais c'est la toute la question : «Qui te prive de cette souplesse ?»

    La réactivité de l'anglais est pour moi davantage liée à sa position internationale qu'à sa structure, mais il y a peut-être, structurellement des facilités proposées par l'anglais pour néologiser. Après, il faudrait aussi étudier les conséquences de ces facilités au niveau de la compréhension notamment.
  • [^] # Re: Pourquoi et quand s'offusquer de certaines pratiques :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 3.

    Du fait du nombre de termes d'origine latines, françaises et même grecques.

    Alors la grammaire est peut-être saxonne, mais la majorité des termes (à ma connaissance) ne sont pas saxons. Traditionnellement, dans le classement génétique des langues, on met l'anglais en langue saxon car on prend en considération la grammaire. Ceci dit, pour les emprunts, l'aspect qui nous intéresse est le lexique. Ce dernier en anglais est davantage latin que saxon.
  • [^] # Re: about sms

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 0.

    Ce qui permet sans se tromper d'affirmer que le langage "sms" est une langue d'abrutis vient tout simplement du fait qu'il ne s'agit que d'une "phonétisation" raccourcie des mots.

    Beaucoup de langues s'écrivent de manière phonétique, je ne considère pourtant pas ces locuteurs comme des abrutis. Simplifier l'écriture permettrait d'en faciliter l'accès. La "proposition" implicite du essèmesse ne me paraît pas pertinente, mais elles le semblent pour de nombreuses personnes et certaines sont mêmes, révélation, intelligentes.

    Ce qui présuppose qu'un mot français se prononce toujours de la même façon, et qu'à un son unique correspond un mot unique. Ce qui dans les deux cas est faux et réducteur. Disons-le : stupide.

    À l'oral, l'accentuation (non-marquée en français) est variable (non, elle ne tombe pas systématiquement à la fin des mots). Aux lettres correspondent diverses prononciations et à un même son ou même ensemble de sons (homophones) correspondent divers sens, exemple : sol, sole, sol; mer; maire; mère. Mais une même graphie, mère, possède généralement divers acceptation. D'ailleurs, pour une entrée, une graphie, dans un dictionnaire correspond rarement une seule définition.
    Ce fonctionnement, une graphie pour plusieurs significations, existe déjà en français. Son utilisation a était amplifiée.

    Petite exemple tiré de l'article : oignon. Terme que nous pouvons malheureusement, je vais expliquer pourquoi, écrire dorénavant : ognon. Pourquoi malheureusement ? Parce que dans certaines régions de France il est pronconcé "OIgnon", soit en dialecte SMS : oinion.

    Certains termes ont diverses graphies, est-ce que ça gêne la compréhension ?

    Pensons à également à une phrase comme celle-ci : "C grav il a perdu c choçur"

    Il a perdu quoi ? Ses chaussures, ou ces chaussures ? Qu'importe ces chères têtes blondes, même lorsqu'elle s'efforce d'écrire selon la norme ne savent plus faire la différence entre un démonstratif et un possessif.


    Remarquez cependant qu'à l'oral, on différencie sémantiquement très bien "ces" de "ses" alors qu'ils sont phonétiquement identiques. Ce n'est donc pas notre oreille qui les différencie mais notre cerveau. Peut-être est-ce l'écrit qui demande davantage de différentiation que l'oral, les processus cognitifs n'étant pas les mêmes.

    Et là nous touchons à la pensée, pas seulement à la graphie.

    Et c'est grave docteur ? :p
  • [^] # Re: Ognon

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 1.

    Cela fait un moment que la langue parlée en France n'est plus la langue enseignée. La langue parlée n'est pas pour autant moins bien que celle écrite, simplement, la norme n'a pas évoluée avec le parlé. C'est aussi pour cela qu'on se retrouve avec un mot comme "je vais" prononcé "jevé" (je vous fais grâce de l'alphabet phonétique international) et souvent réalisé, en parlant : "chvé".
  • [^] # Re: *LE* dictionnaire ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 1.

    Oui oui, les erreurs grammaticales n'existaient pas avant... Peut-être que la possibilité d'écrire n'était pas donnée à tant de personnes il y a quelques années et que les personnes qui écrivaient auparavant le faisaient moins et accordaient davantage d'attentions à leurs écrits. De là à dire que la qualité des textes à diminuer, je ne franchirai pas ce pas car la graphie, même si elle aide à lire et à comprendre le message, ne détermine pas son intelligence.
    Ceci dit, par paresse, je ne lis que peu les textes mal écrits (sauf ceux du Président).

    Mais, y a-t-il tant d'erreurs que ça dans mon journal ?
  • [^] # Re: Ognon

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 2.

    Parce que le mot français n'est pas reconnu uniquement de manière phonétique mais aussi de manière graphique, on reconnait un mot plutôt qu'on ne le lit, comme en chinois, ou presque.
  • [^] # Re: Pourquoi et quand s'offusquer de certaines pratiques :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 2.

    En fait, l'anglicisme est exactement le type de néologisme que j'écartais de ces questions. L'emprunt ne permet pas, à priori, de comprendre le sens d'un mot. Le cas des langues latines (je mettrais l'anglais dedans aussi) est particulié car ces langues partagent beaucoup de mots communs de par leurs relations et donc une compréhension à priori des emprunts est possible.
  • [^] # Re: *LE* dictionnaire ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 1.

    As-tu lu la suite de mon journal ?
    Pourquoi rester bloquer sur "le dictionnaire" ? Je sais très bien qu'il en existe plusieurs, quel rapport avec la choucroute ?

    Pour les erreurs, j'en suis désolé :) je ne me suis pas relu attentivement.
  • [^] # Re: Amusant...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les vierges effarouchées du langage. Évalué à 0.

    Non, le SMS peut très bien s'écrire en trois lettres, d'ailleurs, c'est de cette manière que l'on l'écrit généralement. Je suis persuadé que le essèmesse suit des règles, certaines de ces règles dépendant des individus et de la situation. J'aurais aussi pu écrire ècèmèce, je trouvais cela moins joli cependant.

    À noter que l'essèmesse est plus facilement compréhensible des signes tels que AMHA, RTFM, etc qui demandent d'aller rechercher leur signification.
    À noter également le glissement sémantique entre la signification technique de SMS et l'acceptation usuelle qui en est faite (langue phonético-abbrévié-machinchose).
  • [^] # Re: Un entretien ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Voyages-sncf veut devenir le Google du rail.. Évalué à 1.

    Il y a possibilité de les aider par le biais de cette adresse :
    http://www.voyages-sncf-et-vous.com/-Nous-contacter-


    /me ricane déjà à l'idée que certains y croient et aillent sur ce site perdre leur temps.
  • [^] # Re: les free-tarded on se réveille

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche iPod : sept ans de « progrès » dans l'emprisonnement numérique. Évalué à 10.

    S'il vous plaît, ne moinssez pas le commentaire précédent, il m'a tellement fait rire, laissez les autres en profiter !

    Résumé du message :
    Le propriétaire, c'est bien, ça permet d'avoir un ennemi, car la liberté se méritant, il faut forcément se battre pour l'obtenir. Ceux qui ne se battent pas pour elle ne sont que des faibles. Ce qui est important n'est pas la liberté mais le combat, combattre rend fort, combattez-vous, entretuez-vous.

    Bande d'abrutis tous identiques, vous me faîtes gerber.


    J'imagine le même raisonnement appliqué à un gouvernement...

    Ah, il existe ?
    Enfin même parmi ceux que je qualifierais d'extrémistes, très peu sont pour les dictatures.
  • [^] # Re: INX is not X

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la version 0.1.1 de Saevia. Évalué à 6.

    Autre question, est-ce qu'il existe un moyen de faire collaborer les divers outils entre eux, comme en version graphique ? Par exemple dans thunderbird, je peux inscrire dans mon agenda un rendez-vous, et envoyer directement des courriels aux participants, mais je doute que les outils en ligne de commande puissent faire cela aussi facilement, et offrir le même suivi de ce qui a été réalisé. Le top serait de pouvoir réutiliser la base de thunderbird par exemple, comme cela sur mon bureau courant, j'utilise thunderbird, et à distance par ssh je peux continuer à travailler en mode console.

    Je trouve l'exemple de Thunderbird apertinent, en quoi divers outils collaborent-ils ? ce n'est que Thunderbird (agenda) qui agit avec Thunderbird (courrielleur). A moins que la partie agenda soit un autre logiciel que le courrielleur, je ne connais pas Thunderbird...

    En tous cas, pour faire fonctionner les divers outils consoles entre eux, il y a beaucoup de possibilités : les pipes, xarg, l'écriture dans des fichiers, egrep, des langues de programmation genre perl, python, etc.

    En fait, je dois avouer que j'ai davantage de maux à imaginer comment des logiciels graphiques interagissent entre eux nativement...
  • # Tout le monde ne peut pas être traducteur

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Méthodo localisation / Actu Mandriva. Évalué à 4.

    À priori, il n'y a pas de traduction sans efforts... il faut tout de même un minimum d'investissement technique de la part des traducteurs.

    Je te conseille de regarder ce qui se fait au niveau des mémoires de traduction :OmegaT loKalize, Sun a mis à dispo des outils aussi mais je n'ai plus leurs noms.

    Dans un autre ordre d'idées, et par incompatible avec les précédents exemples, il existe Pootle ; une interface Web pour gérer la traduction de fichiers PO. On n'a mis ça en ligne avec le projet SpringLobby : http://translations.springlobby.info/projects/springlobby/

    Cela permet d'abstraire les traductions de leur format et de les réutiliser. Ça permet aussi de travailler en équipe. Enfin, c'est très pratique.

    /moi qui travaille sur la traduction de la doc SELinux avec un autre traducteur en utilisant OmegaT et SVN.
  • [^] # Re: Changement de licence de TeeWorlds

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Teestat ou la gestion des statistiques d'un serveur Teeworlds. Évalué à 2.

    Hum, pardon, changement de licence de TeeWorlds, peut-être est-ce pour cela que le jeu changea de nom ?
  • # Changement de licence de Teewar

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Teestat ou la gestion des statistiques d'un serveur Teeworlds. Évalué à 3.

    http://teeworlds.com/trac/teeworlds/browser/trunk/license.tx(...) :

    Permission is granted to anyone to use this software for any purpose,
    including commercial applications, and to alter it and redistribute it
    freely, subject to the following restrictions:

    1. The origin of this software must not be misrepresented; you must not
    claim that you wrote the original software. If you use this software
    in a product, an acknowledgment in the product documentation would be
    appreciated but is not required.
    2. Altered source versions must be plainly marked as such, and must not be
    misrepresented as being the original software.
    3. This notice may not be removed or altered from any source distribution.


    C'est libre, ça c'est un gros changement.
  • [^] # Re: Trois axes de réflexions que m'inspire ce journal...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le recule sur la reforme du lycée ou comment éviter un "mai 68". Évalué à 10.

    Surtout vu ce que les soixante-huitards ont fait après avoir pris un mois de vacances, à leur place je ne la ramènerai pas trop. La destruction du modèle social français, le chômage, les inégalités sociales, ce sont les jeunes de mai 68 qui l'ont fait. Les "vieux" fiers de leur Mai 68? Je leur mettrai bien quelques baffes pour ce qu'ils ont fait non pas pendant un mois qui a fait peu d'avancées sociales, mais les 40 années suivantes qui ont fait beaucoup de reculs sociaux (et surtout d'inégalités)

    Je ne vois pas en quoi le fait qu'une minorité de jeunes gens se rebella contre le gouvernement est à la base de la destruction du modèle sociale français, du chômage et des inégalités sociales. Le mouvement de Mai 68 fut principalement social et culturel, non économique. Le mouvement dans le fond n'a pas trop été suivi, normal ce n'était qu'une minorité, je ne vois pas du tout en quoi il est responsable de quarante années de régressions.

    Des arguments plutôt que des constatations discutables seraient les bienvenus.

    Le deuxième paragraphe montre bien un ressenti plutôt qu'une rationalisation, la discussion risque d'être dur. Ceci dit, je voudrais bien connaître ces conséquences désastreuses, sont-elles de plus vraiment dues au mouvement ?

    Il ne faut pas croire aveuglément ce que dit M. Sarkozy, Mai 68 n'est pas responsable de la faim dans le monde, de la pauvreté, de la pollution et de la mort du chien de Mme Durand...