« Rien qu'en Belgique […] aller au distributeur régulièrement […] c'est plutôt chiant.»
Surtout que quand j'y vivais, les distributeurs y étaient plutôt rare (est ce que ça a changé ?) car les gens retiraient plutôt leur argent auprès des commerçants avec leur maestro…
L'effet n'est-il pas précisément le contraire ? Grâce à la demande en co-processeurs pour des besoins primordiaux (jeux vidéos, crypto-monnaies…), des recherches quasiment inutiles sur le réel (biologie, chimie, physique) disposent de matériel peu cher développé à grand frais.
Avant il fallait la menace (ou la réalité) de guerres pour trouver des sources de financement pour ces distractions de l'esprit :-) qui produisent les avancées de la connaissance. À cet égard, le bitcoin et consorts ne paraissent-ils pas une avancée phénoménale (sans ironie cette fois) ?
Tous les disque durs embarquent un système standardisé de surveillance appelé SMART. Le logiciel smartmontools (et le paquets homonyme) permettent d'interroger les disques durs quant à leur état de santé avec la commande :
sudo smartctl -a /dev/sdX
Où sdX doit être remplacé par le périphérique approprié (sda souvent si on n'a qu'un disque dur). Reste ensuite à lire la sortie…
Chose qui peux être facilitée en procédant au préalable à un test du disque dur avec la commande :
sudo smartctl -t short /dev/sdX
short pour faire un test rapide, et long pour procéder à un test plus extensif.
C'est certainement le plus intéressant dans l'affaire. Apple fait de la publicité pour une fonctionnalité avancée de leur OS. Depuis le temps que je me tue à convaincre mes étudiants qu'un langage avec des mots — shell et autres langages de programmation — est nécessairement plus polyvalent que la langue des signes qu'ils pratiquent à la souris. Maintenant j'aurais une source vraiment sérieuse à citer :-). Dommage qu'il ai fallu près de 30 ans pour s'en rendre compte. Avant tous les OS s'utilisaient avec cet outil de pointe !
« […] pourquoi les professeurs des écoles devraient maîtriser parfaitement le changement de base [?] »
Ce n'est qu'un exemple. Maîtriser le changement de base permet de comprendre les algorithmes derrière les techniques opératoires. Celui qui n'a pas compris le système des bases ne comprend pas notre système de numération ; partant il est condamné à ânonner des règles qu'il ne peut expliquer.
Au contraire en l'ayant compris il sait répondre à des questions du genre :
* Pourquoi additionne-t-on les dizaines avec les dizaines et le unités avec les unités.
* Pourquoi fait-on des retenues dans les opérations ?
* Pourquoi n'apprendre les tables de multiplications et d'addition que jusqu'à 9x9 et 9+9 respectivement ?
* …
C'est un peu une illustration de ce que signifie « un peu de recul » (au moins dans la tête des responsables académiques puisque c'est précisément un élément du programme du concours CRPE).
« Je ne comprends pas pourquoi il ne serait plus question de pédagogie … »
Comme vous le soulignez très justement il y a la question des coûts qui n'est précisément pas ontologique.
Selon moi la raison serait-à rechercher dans les finalités. Dans les classes secondaires on a des élèves. L'objectif de l’enseignant est de les élever. Il recherche à ce que tous les enfants acquièrent les fondamentaux. D'où la pédagogie.
Dans le supérieur, ce sont des étudiants. Étudier est leur métier. Leur présenter les savoirs et compétences de leur branche est l'objectif de leurs enseignants. Cela n’exclut pas une certaine recherche didactique. D'autant que les objectifs chiffrés à l'université sont en terme de pourcentage de réussite.
Nonobstant regardons les objectifs : celui primordiale de la prépa est de sélectionner les meilleurs éléments (la finalité est un concours), le classement de la prépa en terme de qualité et donc de taux de réussite n'est qu'un objectif secondaire. De même l'objectif des études supérieures en général n'est-t-il pas plus de reconnaître un certain niveau de compétences aux futurs professionnels plutôt que de bichonner des élèves ?
Voilà qui se discute. Et peut-être que le terme ontologique est un peu fort en théorie. C'est du moins ainsi que je comprends votre raisonnement.
Je m'inscris en faux par rapport à ce point de vue. Les étudiants sont (et doivent être) responsables de leur propre réussite. Ils doivent donc devenir indépendant, passer du stade de l'élève à celui de citoyen à part entière. Le statut d'étudiant, c'est un peu la chrysalide du papillon. Un état transitoire au cours duquel la pédagogie disparaît rapidement pour laisser la place à l'appropriation responsable des connaissances. Trop chercher à complaire et à emmener tous les apprenants d'un groupe devient rapidement contre-productif.
« Après il faut toujours s'assurer que l'enseignant possède un savoir supérieur d'une année ou deux à ce qu'il peut enseigner. Par exemple au collège il faut que le professeur maîtrise parfaitement le programme de Lycée. »
Vos deux premières phrases tiennent de l'oxymore. Inutile en effet d'avoir beaucoup de savoir en plus. Utile effectivement d'avoir une parfaite maîtrise du programme enseigné. Ores, comment s'acquiert-elle ? En mettant en pratique les notions au fil des années sur des problèmes de plus en plus complexe. Ce qui donne, selon moi, dans la figure de style, ce sont les « une ou deux années ». Il me semble qu'en si peu de temps, seuls quelques génies pourraient peut-être acquérir le recul nécessaire. Pour participer à la formation de futurs professeurs des écoles, je ne peux que constater que, par exemple, le niveau nécessaire pour enseigner les bases de la numération avec un peu de recul est sensiblement supérieur à ce qui est demandé en fin de lycée. Donc plutôt dix ans d'écart qu'un ou deux. Pour continuer sur le même exemple, combien de bacheliers sont bien à l'aise avec les changements de base (de numération) ? C'est pourtant ça le recul indispensable à enseigner les techniques opératoires élémentaires au CP. En effet, ne devrait-on pas attendre d'un enseignant, non seulement qu'il connaisse la règle (par exemple faire des retenus quand on pose une opération, additionner les dizaines avec les dizaines, les unités avec les unités…) mais aussi qu'il comprenne, au moins un peu, d'où vient cette règle ? Ceci étant vrai pour tous les savoirs fondamentaux, il paraît dès lors utile d'avoir un écart en nombre d'années d'études assez important entre enseignant et élève.
Tout ceci dit, tout en approuvant parfaitement la position réclamant que les enseignants reçoivent une véritable formation à la pédagogie en sus de leur formation disciplinaire.
Dernière remarque sur :
« Pour les instituteurs en primaire c'est peut-être moins visible, mais dès le lycée/prépa il faut avoir une connaissance bien supérieure au programme « réel » »
Ce n'est justement pas le cas et d'ailleurs pas vraiment possible ; pour des raisons ontologiques, les savoirs en plus ne sont guère que des détails pour spécialistes de domaines particuliers ; et pour des raisons pratiques la masse de connaissance à ingurgiter ne permet plus le rythme dolent de la pédagogie des primaire et secondaire. En prépa (comme à l'université), il n'est plus tellement question de pédagogie. Les cours s'adressent plus à des étudiants qu'à des élèves. Il devient donc plus ou moins raisonnable (souvent moins que plus à cause de la tendance à vouloir que tout le monde fasse des études) de simplement énoncer les connaissances à acquérir. L'étudiant se chargeant/étant chargé pour lui-même du travail d'assimilation.
Quand on ne peut plus faire son travail, le mieux reste encore de spéculer sur le dos de ceux qui le feront demain… Ou pas. Naguère — en France depuis François 1er, et jusqu'en 1885 — c'était interdit. Mais désormais on arrête plus le progrès. Bientôt le retour des féodalismes, des chasses aux accapareurs, et toutes joyeusetés des sociétés aux morales débridés.
Partiellement oui. Dans la mesure où on aimerait mieux savoir quels sont les critères pour mentir ?
Le même service indiquant clairement quand il ment me paraitrait sensiblement plus attractif. À moins que ce ne soit déjà le cas ?
Merci. Le progrès est à peine crédible. Il y a quelques années, outre les verbes à la troisième personne du pluriel conjugués avec un s et les participes passés à l'infinitif, je ne pouvais pas aligner quatre mots — enfin trois car un restait bloqué dans l'interface chaise clavier — sans pratiquer le jumelage entre homophones. LinuxFr a du bon… Merci encore à tous ceux qui m'ont repris au fil des années ; et pardon aux victimes ; notons néanmoins que les remerciements des ophtalmologistes sont toujours attendus.
Effectivement le doublet épicène (j'en ignorais le nom) paraît une solution efficace à ce qui naguère n'était pas un problème. Mais… à partir du moment où des gens à courtes vues font l'effort de l'employer à tort et à travers, ils distordent la notion de genre grammatical. Et ça c'est pour le coup un véritable problème. Parce que chaque phrase où un malheureux quidam (ou une malheureuse quidam ; ah non pardon quaedam peut-être, ou quaedamae ?) oubliera de dédoubler ses expressions elles ne concerneront plus qu'une minorité de l'humanité. L'idée à son paroxysme aboutirait à ce qu'au lieu « d'un des plus brillant scientifique français » il faille par exemple formuler « un des plus brillant parmi les scientifique français, hommes et femmes compris » ; après être passé « d'un des plus remarquable auteur parmi les romanciers » à « un des plus remarquable auteur parmi les romanciers et romancières » (exemple emprunté à B. Pivot si je ne me trompe). Comme quoi le ridicule peut tuer ; les langues au moins [].
Quant à moi j'ai choisi : je ne lis plus les textes employant de manière trop marquée la novlangue. Les « sociétales » pour dire « sociale » et autres césure sexistes [*] arbitraires du genre grammatical me semblent marquer le niveau zéro de la réflexion de l'auteur — celui de la personne n'ayant même pas remarqué qu'elle ne parle pas l'anglais, mais une langue avec des genre grammaticaux nettement marqués et découplés de toute espèce de lien avec le sexe ou la sexualité, une langue avec un dictionnaire propre non publié par Harrap — et sa tendance à n'être qu'un fétu balloté par les modes d'outre atlantique ou de la perfide Albion :-).
Précisément il s'agit des propriétés de dispersion du milieu. Ce terme désignant le fait que l'indice optique soit dépendant de la longueur d'onde. Et dans l'exemple cité, le phénomène permettant d'observer que le milieu est dispersif est effectivement la réfraction qui se fait donc dans différentes directions en fonction de la ~couleur (~= longueur d'onde) de la lumière ; d'où les franges colorés observées.
félicitations. Tout le monde le sait « nul ne peut servir deux maîtres ». Alors avoir du logiciel privateur propriétaire tournant dans une machine…
Un peu ignorant dans le domaine où vous œuvrez, la phrase suivante m'intrigue :
« Depuis nous avons rebooté avec succès un serveur Open Compute plus de 10 000 fois sans aucun plantage ni ralentissement (ce qui n'a jamais été possible avec un BIOS UEFI) […] »
Est-ce à dire que les logiciels UEFI soient tous de tels bloatware qu'il soit délicat pour eux de produire de nombreuses fois la même séquence d'opérations ? Ou autre chose ? Qu'est ce qui cause ces plantages au démarrage ? Ces ralentissement ? Ensuite ? Et comment se fait-il que NERF/Linux les résolve ? Est-ce bien lui ? Eux ? Sans doute la magie de l'open-source ;-) ?
Voyez, les questions se pressent sans bien pouvoir cerner le sujet. Merci d'avance pour les lumières que vous saurez apporter.
L'avocat du plaignant l'a fait. C'est pour ça que les deux versions apparaissent totalement séparées. Diff ne trouve aucune correspondance entre les deux texte.
« […] l'homme de paille que j'ai fabriqué reste réaliste […] »
Merci d'en faire état ouvertement. Mais la logique d'un tel comportement m'échappe. De mon point de vue, le sujet — la nature des droits sur l’immatériel — est d'une importance primordiale. S'y comporter en troll, paraissait discourtois et inapproprié. Qu'est qui cause ce revirement ?
Étymologiquement on comprend bien pourquoi aliénation pourrait convenir (moins bien qu'asservissement de toute évidence) pour désigner l'appropriation d'une personne humaine par une autre. Toutefois les dictionnaires et l'usage ne plaident pas dans ce sens.
Si je comprends bien c'est une critique de pure forme que vous faites de ce propos. Et de fait « esclavagiser » pique à double titre. D'une part une périphrase comme « réduire en esclavage » ou le mot juste « asservir » auraient été plus appropriés. D'autre part le terme paraît un peu fort d'où peut-être cette critique amplifiant l'hyperbole initiale.
Nonobstant, ce commentaire me paraît approprié et une forme plus explicite de ce qu'avait énoncé précédemment le même auteur. En effet, il rappel — à sa manière certes — que le droit d'auteur est fondamentalement une entorse aux droits fondamentaux. Entorse justifié par ses fins. Mais que le pouvoir doit savoir garder proportionnée à sa finalité. Chose que d'aucuns ont largement perdu de vue, conduisant aux aberrations que l'on sait.
Ô emoticon et autres points d'ironies, marqueurs de l'hyperbole, ponctuations soulignant la caricature ou accentuant le sifflement des persifflage, à quel point ne nous faites vous point défaut ? Ou pas.
Voilà qui montre que les Français courent depuis belle lurette après la réforme de leur langage afin de faire coïncider deux choses fort disjointes. Remarquons que nos amis anglo-saxons qui, eux, n'ont jamais songé qu'il puisse exister un lien, fusse-t-il ténu, entre orthographe et prononciations n'ont pas besoin de se casser la tête à essayer d'inventer des réformes orthographiques euphoniques. Alors, chiche pour les imiter ? Supprimons tout lien entre écriture et langue orale ;-).
On peut la voir sous deux aspects (l'anthropisation, c'est-à-dire les modifications de la planète et en particulier ici du paysage sous l'action humaine — désolé pour les femmes).
D'une part celui très bien décrit dans le journal. C'était mieux avant, en résumé. Et d'autre part celui de la nécessité humaine. Comme nous sommes dans un pays relativement peu corrompu — du moins le crois-je — si modifications du paysage il y a, n'est-ce pas probablement que derrière se trouve la nécessité d'un de nos voisins ? Une meilleur route pour faire moins de bouchons, d'accidents, réduire les temps de trajets, c'est-à-dire dire respectivement réduire la pollution, la morbidité, et améliorer la qualité de vie d'autrui. Les fermes bucoliques et leurs vents coulis cèdent la place à un habitat moderne, et pourquoi pas — soyons fous — intégrant de l'isolation ; n'est-ce pas aussi une meilleur qualité de vie à coût environnemental plus faible pour nos prochains ?
Alors certes tout n'est pas blanc ou noir. Corruption, erreurs, mauvais calculs à longs termes, voies plus optimales de changement… tout cela existe certainement. Mais derrière les modifications anthropiques dans un pays paisible, il me semble important de souligner qu'il y a souvent des nécessités. Ce n'est pas juste de la destruction gratuite des images riantes de nos enfances. MUTATIS MUTANDIS, comme on dit.
[^] # Re: western
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal La Banque Postale bloque l'achat d'un VPN. Évalué à 2.
Surtout que quand j'y vivais, les distributeurs y étaient plutôt rare (est ce que ça a changé ?) car les gens retiraient plutôt leur argent auprès des commerçants avec leur maestro…
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[^] # Re: Le minage de Bitcoins entrave la recherche
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Conséquences sociales des cryptomonnaies - 2. Évalué à 7.
L'effet n'est-il pas précisément le contraire ? Grâce à la demande en co-processeurs pour des besoins primordiaux (jeux vidéos, crypto-monnaies…), des recherches quasiment inutiles sur le réel (biologie, chimie, physique) disposent de matériel peu cher développé à grand frais.
Avant il fallait la menace (ou la réalité) de guerres pour trouver des sources de financement pour ces distractions de l'esprit :-) qui produisent les avancées de la connaissance. À cet égard, le bitcoin et consorts ne paraissent-ils pas une avancée phénoménale (sans ironie cette fois) ?
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[^] # Re: Vocabulaire swiss made.
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal LinuxFr.org : seconde quinzaine de novembre 2017. Évalué à 3.
En Suisse — le pays de la prévarication :-) — oui ; mais pas nécessairement ailleurs.
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[^] # Re: smartmontools
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message santé de mes disques durs. Évalué à 5. Dernière modification le 01 décembre 2017 à 13:06.
Il faut bien entendu commencer par installer le logiciel que l'on souhaite utiliser. Par exemple :
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# smartmontools
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au message santé de mes disques durs. Évalué à 3.
Tous les disque durs embarquent un système standardisé de surveillance appelé SMART. Le logiciel smartmontools (et le paquets homonyme) permettent d'interroger les disques durs quant à leur état de santé avec la commande :
Où sdX doit être remplacé par le périphérique approprié (sda souvent si on n'a qu'un disque dur). Reste ensuite à lire la sortie…
Chose qui peux être facilitée en procédant au préalable à un test du disque dur avec la commande :
short pour faire un test rapide, et long pour procéder à un test plus extensif.
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# « An advanced feature of the operating system called the Terminal »
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Et ca continue encore et encore ... avec la pomme ... la grande rigolade. Évalué à 10.
C'est certainement le plus intéressant dans l'affaire. Apple fait de la publicité pour une fonctionnalité avancée de leur OS. Depuis le temps que je me tue à convaincre mes étudiants qu'un langage avec des mots — shell et autres langages de programmation — est nécessairement plus polyvalent que la langue des signes qu'ils pratiquent à la souris. Maintenant j'aurais une source vraiment sérieuse à citer :-). Dommage qu'il ai fallu près de 30 ans pour s'en rendre compte. Avant tous les OS s'utilisaient avec cet outil de pointe !
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[^] # Re: Aigreur, quand tu nous tiens
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 2.
Ce n'est qu'un exemple. Maîtriser le changement de base permet de comprendre les algorithmes derrière les techniques opératoires. Celui qui n'a pas compris le système des bases ne comprend pas notre système de numération ; partant il est condamné à ânonner des règles qu'il ne peut expliquer.
Au contraire en l'ayant compris il sait répondre à des questions du genre :
* Pourquoi additionne-t-on les dizaines avec les dizaines et le unités avec les unités.
* Pourquoi fait-on des retenues dans les opérations ?
* Pourquoi n'apprendre les tables de multiplications et d'addition que jusqu'à 9x9 et 9+9 respectivement ?
* …
C'est un peu une illustration de ce que signifie « un peu de recul » (au moins dans la tête des responsables académiques puisque c'est précisément un élément du programme du concours CRPE).
Comme vous le soulignez très justement il y a la question des coûts qui n'est précisément pas ontologique.
Selon moi la raison serait-à rechercher dans les finalités. Dans les classes secondaires on a des élèves. L'objectif de l’enseignant est de les élever. Il recherche à ce que tous les enfants acquièrent les fondamentaux. D'où la pédagogie.
Dans le supérieur, ce sont des étudiants. Étudier est leur métier. Leur présenter les savoirs et compétences de leur branche est l'objectif de leurs enseignants. Cela n’exclut pas une certaine recherche didactique. D'autant que les objectifs chiffrés à l'université sont en terme de pourcentage de réussite.
Nonobstant regardons les objectifs : celui primordiale de la prépa est de sélectionner les meilleurs éléments (la finalité est un concours), le classement de la prépa en terme de qualité et donc de taux de réussite n'est qu'un objectif secondaire. De même l'objectif des études supérieures en général n'est-t-il pas plus de reconnaître un certain niveau de compétences aux futurs professionnels plutôt que de bichonner des élèves ?
Voilà qui se discute. Et peut-être que le terme ontologique est un peu fort en théorie. C'est du moins ainsi que je comprends votre raisonnement.
Je m'inscris en faux par rapport à ce point de vue. Les étudiants sont (et doivent être) responsables de leur propre réussite. Ils doivent donc devenir indépendant, passer du stade de l'élève à celui de citoyen à part entière. Le statut d'étudiant, c'est un peu la chrysalide du papillon. Un état transitoire au cours duquel la pédagogie disparaît rapidement pour laisser la place à l'appropriation responsable des connaissances. Trop chercher à complaire et à emmener tous les apprenants d'un groupe devient rapidement contre-productif.
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[^] # Re: Pourquoi ed ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Pourquoi Vim? (Première partie). Évalué à 10.
Parce que Ed y sonne…
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[^] # Re: Aigreur, quand tu nous tiens
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 6.
Vos deux premières phrases tiennent de l'oxymore. Inutile en effet d'avoir beaucoup de savoir en plus. Utile effectivement d'avoir une parfaite maîtrise du programme enseigné. Ores, comment s'acquiert-elle ? En mettant en pratique les notions au fil des années sur des problèmes de plus en plus complexe. Ce qui donne, selon moi, dans la figure de style, ce sont les « une ou deux années ». Il me semble qu'en si peu de temps, seuls quelques génies pourraient peut-être acquérir le recul nécessaire. Pour participer à la formation de futurs professeurs des écoles, je ne peux que constater que, par exemple, le niveau nécessaire pour enseigner les bases de la numération avec un peu de recul est sensiblement supérieur à ce qui est demandé en fin de lycée. Donc plutôt dix ans d'écart qu'un ou deux. Pour continuer sur le même exemple, combien de bacheliers sont bien à l'aise avec les changements de base (de numération) ? C'est pourtant ça le recul indispensable à enseigner les techniques opératoires élémentaires au CP. En effet, ne devrait-on pas attendre d'un enseignant, non seulement qu'il connaisse la règle (par exemple faire des retenus quand on pose une opération, additionner les dizaines avec les dizaines, les unités avec les unités…) mais aussi qu'il comprenne, au moins un peu, d'où vient cette règle ? Ceci étant vrai pour tous les savoirs fondamentaux, il paraît dès lors utile d'avoir un écart en nombre d'années d'études assez important entre enseignant et élève.
Tout ceci dit, tout en approuvant parfaitement la position réclamant que les enseignants reçoivent une véritable formation à la pédagogie en sus de leur formation disciplinaire.
Dernière remarque sur :
Ce n'est justement pas le cas et d'ailleurs pas vraiment possible ; pour des raisons ontologiques, les savoirs en plus ne sont guère que des détails pour spécialistes de domaines particuliers ; et pour des raisons pratiques la masse de connaissance à ingurgiter ne permet plus le rythme dolent de la pédagogie des primaire et secondaire. En prépa (comme à l'université), il n'est plus tellement question de pédagogie. Les cours s'adressent plus à des étudiants qu'à des élèves. Il devient donc plus ou moins raisonnable (souvent moins que plus à cause de la tendance à vouloir que tout le monde fasse des études) de simplement énoncer les connaissances à acquérir. L'étudiant se chargeant/étant chargé pour lui-même du travail d'assimilation.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: stupide
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 5.
Quand on ne peut plus faire son travail, le mieux reste encore de spéculer sur le dos de ceux qui le feront demain… Ou pas. Naguère — en France depuis François 1er, et jusqu'en 1885 — c'était interdit. Mais désormais on arrête plus le progrès. Bientôt le retour des féodalismes, des chasses aux accapareurs, et toutes joyeusetés des sociétés aux morales débridés.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Écriture
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Quad9, résolveur DNS public, et sécurisé par TLS. Évalué à 2.
réécriterécrite. Quand le vin est tiré… Autant persévérer dans les finasseries académiques jusqu'à la lie.« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Résolveur DNS menteur
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Quad9, résolveur DNS public, et sécurisé par TLS. Évalué à 2.
Partiellement oui. Dans la mesure où on aimerait mieux savoir quels sont les critères pour mentir ?
Le même service indiquant clairement quand il ment me paraitrait sensiblement plus attractif. À moins que ce ne soit déjà le cas ?
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: [HS] C'est lisible pour quelqu'un?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Quad9, résolveur DNS public, et sécurisé par TLS. Évalué à 4.
Merci. Le progrès est à peine crédible. Il y a quelques années, outre les verbes à la troisième personne du pluriel conjugués avec un s et les participes passés à l'infinitif, je ne pouvais pas aligner quatre mots — enfin trois car un restait bloqué dans l'interface chaise clavier — sans pratiquer le jumelage entre homophones. LinuxFr a du bon… Merci encore à tous ceux qui m'ont repris au fil des années ; et pardon aux victimes ; notons néanmoins que les remerciements des ophtalmologistes sont toujours attendus.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: [HS] C'est lisible pour quelqu'un?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Quad9, résolveur DNS public, et sécurisé par TLS. Évalué à 10.
Effectivement le doublet épicène (j'en ignorais le nom) paraît une solution efficace à ce qui naguère n'était pas un problème. Mais… à partir du moment où des gens à courtes vues font l'effort de l'employer à tort et à travers, ils distordent la notion de genre grammatical. Et ça c'est pour le coup un véritable problème. Parce que chaque phrase où un malheureux quidam (ou une malheureuse quidam ; ah non pardon quaedam peut-être, ou quaedamae ?) oubliera de dédoubler ses expressions elles ne concerneront plus qu'une minorité de l'humanité. L'idée à son paroxysme aboutirait à ce qu'au lieu « d'un des plus brillant scientifique français » il faille par exemple formuler « un des plus brillant parmi les scientifique français, hommes et femmes compris » ; après être passé « d'un des plus remarquable auteur parmi les romanciers » à « un des plus remarquable auteur parmi les romanciers et romancières » (exemple emprunté à B. Pivot si je ne me trompe). Comme quoi le ridicule peut tuer ; les langues au moins [].
Quant à moi j'ai choisi : je ne lis plus les textes employant de manière trop marquée la novlangue. Les « sociétales » pour dire « sociale » et autres césure sexistes [*] arbitraires du genre grammatical me semblent marquer le niveau zéro de la réflexion de l'auteur — celui de la personne n'ayant même pas remarqué qu'elle ne parle pas l'anglais, mais une langue avec des genre grammaticaux nettement marqués et découplés de toute espèce de lien avec le sexe ou la sexualité, une langue avec un dictionnaire propre non publié par Harrap — et sa tendance à n'être qu'un fétu balloté par les modes d'outre atlantique ou de la perfide Albion :-).
[] Conférer http://www.academie-francaise.fr/actualites/declaration-de-lacademie-francaise-sur-lecriture-dite-inclusive.
[*] remarquables que les deux mots désignent en fait l'un l'état et l'autre l'action de séparation (CAESURA = coupure, SECARE = couper).
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[^] # Re: diffraction ?
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Je suis hypermétrope. Évalué à 2.
Précisément il s'agit des propriétés de dispersion du milieu. Ce terme désignant le fait que l'indice optique soit dépendant de la longueur d'onde. Et dans l'exemple cité, le phénomène permettant d'observer que le milieu est dispersif est effectivement la réfraction qui se fait donc dans différentes directions en fonction de la ~couleur (~= longueur d'onde) de la lumière ; d'où les franges colorés observées.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
# 10⁴
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Vers des serveurs libres, ouverts et sécurisés : NERF (2). Évalué à 7.
félicitations. Tout le monde le sait « nul ne peut servir deux maîtres ». Alors avoir du logiciel
privateurpropriétaire tournant dans une machine…Un peu ignorant dans le domaine où vous œuvrez, la phrase suivante m'intrigue :
Est-ce à dire que les logiciels UEFI soient tous de tels bloatware qu'il soit délicat pour eux de produire de nombreuses fois la même séquence d'opérations ? Ou autre chose ? Qu'est ce qui cause ces plantages au démarrage ? Ces ralentissement ? Ensuite ? Et comment se fait-il que NERF/Linux les résolve ? Est-ce bien lui ? Eux ? Sans doute la magie de l'open-source ;-) ?
Voyez, les questions se pressent sans bien pouvoir cerner le sujet. Merci d'avance pour les lumières que vous saurez apporter.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Plagiat caractérisé
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Seconde mise en demeure pour l'association LinuxFr. Évalué à 3.
L'avocat du plaignant l'a fait. C'est pour ça que les deux versions apparaissent totalement séparées. Diff ne trouve aucune correspondance entre les deux texte.
« IRAFURORBREVISESTANIMUMREGEQUINISIPARETIMPERAT » — Odes — Horace
[^] # Re: Licence
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Minix plus utilisé que Linux!. Évalué à 2.
Merci d'en faire état ouvertement. Mais la logique d'un tel comportement m'échappe. De mon point de vue, le sujet — la nature des droits sur l’immatériel — est d'une importance primordiale. S'y comporter en troll, paraissait discourtois et inapproprié. Qu'est qui cause ce revirement ?
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[^] # Re: Licence
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Minix plus utilisé que Linux!. Évalué à 2.
Y en a-t-il vraiment qui le fassent ? En tout cas pas dans ce fil assurément, à moins d'une grave mésinterprétation des propos précédents.
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[^] # Re: Licence
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Minix plus utilisé que Linux!. Évalué à 2.
Étymologiquement on comprend bien pourquoi aliénation pourrait convenir (moins bien qu'asservissement de toute évidence) pour désigner l'appropriation d'une personne humaine par une autre. Toutefois les dictionnaires et l'usage ne plaident pas dans ce sens.
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[^] # Re: Licence
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Minix plus utilisé que Linux!. Évalué à 2. Dernière modification le 08 novembre 2017 à 12:53.
Si je comprends bien c'est une critique de pure forme que vous faites de ce propos. Et de fait « esclavagiser » pique à double titre. D'une part une périphrase comme « réduire en esclavage » ou le mot juste « asservir » auraient été plus appropriés. D'autre part le terme paraît un peu fort d'où peut-être cette critique amplifiant l'hyperbole initiale.
Nonobstant, ce commentaire me paraît approprié et une forme plus explicite de ce qu'avait énoncé précédemment le même auteur. En effet, il rappel — à sa manière certes — que le droit d'auteur est fondamentalement une entorse aux droits fondamentaux. Entorse justifié par ses fins. Mais que le pouvoir doit savoir garder proportionnée à sa finalité. Chose que d'aucuns ont largement perdu de vue, conduisant aux aberrations que l'on sait.
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[^] # Re: Le contraire
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Une Demande d’Emploi en 2017. Évalué à 5.
Non ?! Vraiment ?
Ô emoticon et autres points d'ironies, marqueurs de l'hyperbole, ponctuations soulignant la caricature ou accentuant le sifflement des persifflage, à quel point ne nous faites vous point défaut ? Ou pas.
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# Le contraire
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Une Demande d’Emploi en 2017. Évalué à 2.
Voilà qui montre que les Français courent depuis belle lurette après la réforme de leur langage afin de faire coïncider deux choses fort disjointes. Remarquons que nos amis anglo-saxons qui, eux, n'ont jamais songé qu'il puisse exister un lien, fusse-t-il ténu, entre orthographe et prononciations n'ont pas besoin de se casser la tête à essayer d'inventer des réformes orthographiques euphoniques. Alors, chiche pour les imiter ? Supprimons tout lien entre écriture et langue orale ;-).
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# Anthropisation
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Taxe béton Nicolas Hulot. Évalué à 4.
On peut la voir sous deux aspects (l'anthropisation, c'est-à-dire les modifications de la planète et en particulier ici du paysage sous l'action humaine — désolé pour les femmes).
D'une part celui très bien décrit dans le journal. C'était mieux avant, en résumé. Et d'autre part celui de la nécessité humaine. Comme nous sommes dans un pays relativement peu corrompu — du moins le crois-je — si modifications du paysage il y a, n'est-ce pas probablement que derrière se trouve la nécessité d'un de nos voisins ? Une meilleur route pour faire moins de bouchons, d'accidents, réduire les temps de trajets, c'est-à-dire dire respectivement réduire la pollution, la morbidité, et améliorer la qualité de vie d'autrui. Les fermes bucoliques et leurs vents coulis cèdent la place à un habitat moderne, et pourquoi pas — soyons fous — intégrant de l'isolation ; n'est-ce pas aussi une meilleur qualité de vie à coût environnemental plus faible pour nos prochains ?
Alors certes tout n'est pas blanc ou noir. Corruption, erreurs, mauvais calculs à longs termes, voies plus optimales de changement… tout cela existe certainement. Mais derrière les modifications anthropiques dans un pays paisible, il me semble important de souligner qu'il y a souvent des nécessités. Ce n'est pas juste de la destruction gratuite des images riantes de nos enfances. MUTATIS MUTANDIS, comme on dit.
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[^] # Re: Dans le genre lisible ....
Posté par ǝpɐןƃu∀ nǝıɥʇʇɐW-ǝɹɹǝıԀ (site web personnel) . En réponse au journal Écriture inclusive, comment la France a encore perdu une belle occasion de devenir leade(r|use).. Évalué à 2.
Me tromperais-je, il me semble que cela se fasse pour l'accord du verbe conjugué, mais pas pour celui d'un adjectif ou d'un participe.
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