Tout ça pour sauver des banques un peu trop vénales.
Vous faites vraiment le max dans le populisme pour me faire répondre en me foutant de la gueule des arguments? Wow… Tu crois sérieusement la phrase écrite? J'espère pour toi que non (à moins que tu aimes te complaire dans les mensonges).
On me demande des arguments, allez :
- 30% du PIB en dette pour sauver les banques (rappel : l'état est en déficit de 3% en 2017 sans avoir à gérer les banques, mais bizarrement les banques créent le déficit on ne sait comment… Ne surtout pas regarder le déficit chronique de l'Etat) pour parler de 100 Milliards de prêts, c'est juste du n'importe quoi.
- "socialisation des pertes" pour parler d'un prêt (= à rembourser) avec intérêts (pas légers, ça s'appelle la gestion du risque si jamais une banque ne rembourse pas), c'est juste du n'importe quoi.
- Les banques ont remboursé depuis, intérêts compris, aucune n'a fait faillite, l’État français ayant prêté à plus cher que ce qui lui coûte d'emprunter a en fait fait diminuer la dette par ces prêts, parler de pertes en savant les banques, c'est juste du n'importe quoi.
- Je te défie de me montrer que la dette de la France est due aux "banques vénales" (bon courage pour ta démo vu que tout a été remboursé)
Sérieusement, comment voulu une débat serein quand ce genre de bêtises est propagée par des gens qui ne cherchent pas à comprendre ce qu'on essaye de leur "vendre" par des gens qui sont "compatibles" avec leurs idées ce qui fait que l'analyse critique est débranchée? "méchantes banques vénales", ça marche toujours aussi bien.
Maintenant que tu sais que tu as écris une grosse bêtise, j'espère que tu va douter de tes sources politiques (tu as de mauvais amis qui soient sont assez idiots pour être trompés soient assez intelligents pour te manipuler avec des bêtises énormes) et remettre en cause les idées qui en découlent, et si le sujet t’intéresse plus loin que le populisme facile (désolé d'utiliser le mot qui vous déplaît, mais je ne fais que nommer correctement) : Les banques françaises s'acquittent de leur dette envers l'État par exemple (oui, il y a 6 ans déjà… il y a d'autres sources pour qui cherche un peu) avec juste un exemple d'une banque ayant remboursé ses milliards empruntés et payé 1+ milliard d’intérêts (qui ont réduit la dette, mais chut).
La réalité est bien plus compliquée que le populisme veut faire croire… Mais forcément, le populisme est plus simple (surtout quand il rentre dans ses préjugés qu'on ne veut pas casser).
Tu as des arguments pour démontrer la justesse de ton message? Je veux bien les lire, mais je crains que ça n'aille pas plus loin (vu la réalité qui est que les banques ont remboursé).
qu'il ne fait que relayer des propos populistes sans argumenter
C'est rigolo ce que tu dis, en répondant à un commentaire qui dit "populiste" puis juste après a une phrase pour argumenter sur le pourquoi du mot utilisé, en démontant l'argument préjugé populiste (après, c'est une phrase certes, mais qui est intéressé sur le sujet peut réfléchir et approfondir, c'est assez facile à voir pour qui veut voir).
Bizarrement, les argument sont ignorés plutôt que de contre-argumenter, en faisant semblant qu'ils n'existent pas. L'analyse classique de ce genre de comportement est que l'argument avancé ne plaît pas car on ne peut y répondre objectivement avec un vrai contre-argument.
Bref, un grand classique de ne pas contre argumenter et dire que l'autre n'a pas argumenté alors qu'il l'a fait, pour ne pas affronter les arguments qui vont à l'encontre des ses préjugés basés sur rien de réel, merci pour la démonstration.
Est-ce qu'il est possible d'avoir un avis différent du tiens sans être caricaturé de populiste ?
Oui : avoir des arguments non populistes démontable en 10 secondes de réflexion.
Passons… Rien de nouveau ici, toujours les mêmes à réagir à l' "horreur capitaliste" sans aucun argument ni contre-proposition viable, et les réactions sont toujours les mêmes sans arguments et n'appréciant pas d'avoir ses préjugés démonté et donc en ignorant les arguments qui ne plaisent pas.
C'est dommage mais on ne se refait pas comme on dit.
Pour une fois je suis d'accord sur une phrase. Mais la on est dans le comique de répétition (et toujours aussi peu de contre-arguments, comme par hasard…).
(et zut, un autre commentaire, j'essaye toujours de passer en mode silencieux mais des fois ça loupe…)
Si tu dois dissiper plus alors que ça consomme déjà beaucoup quand le CPU se protège, ça ne va pas aider au gain financier (coût de l’électricité).
Et tout le monde n'a pas envie de mettre son serveur en Antarctique pour pouvoir l'utiliser.
Non, le problème n'est pas la, le problème est qu'Intel ne sait pas faire mieux en ne perdant pas tant d’énergie en chaleur inutile, c'est tout (on parle par exemple d'AVX-512 qui est trop bien à paralléliser mais qui réduit sa vitesse automatiquement de 25% si tu l'utilises, le gain est alors plus faible que dans la pub "x2 par rapport à AVX2" car Intel sait que ça chauffe à mort mais "oublie" de le dire publiquement, quelque soit le dissipateur thermique que tu mets)
Je rappelle juste que l'entreprise privatise les gains et socialise les pertes
Désolé, mais… phrase populiste et qui montre un manque d'argument sur ton mal à l'aise qui devrait peut-être changer du coup.
Tout simplement parce que une entreprise qui a des gains paye des impôts, le truc qui sert à gérer les pertes entre autres, en plus de payer la police, les écoles, les hôpitaux…
Pas la peine de me rabâcher le discours populiste des politiques qui veulent faire gober tout et n'importe quoi sans s’intéresser à l'économie et comme marche le monde (genre en oubliant que les gains sont taxés).
(après, que l'entreprise ne paye pas assez est un autre débat, il faut voir ça avec le peuple, comme j'ai dit dans le premier commentaire le problème est le peuple qui ne laisse pas vraiment le choix si on veut pas flinguer le pays en votant pour les autres propositions).
( fraude, optimisation fiscale ).
Hors sujet populiste : la fraude est illégale est peut être combattue car pas l'idée de l'entreprise intrinsèquement, ou alors on peut parler de toutes les lois que l'être humain viole comme étant la normalité humaine, et l'optimisation fiscale qu'on permet est un choix du peuple et donc ce n'est pas l'entreprise qu'il faut critiquer (elle ne fait qu'utiliser des droits mis à disposition, où est le mal? Ca me rappelle des libristes qui hurlent qu'on est le mal car on utilise une liberté qu'ils filent) mais le peuple.
ton avis est un peu tranché :D et mériterai plus de nuances et moins d'idéologie.
Je veux bien, mais dans ce cas je te suggère d'argumenter avec des arguments et non des phrases classiquement populistes, bref débattons sérieusement avec de vrais arguments sur le sujet débattu. Pour le moment le contre-arguments sont vides une fois étudiés, ce qui ne fait que confirmer ce que j'avance.
Bon j'essaye de m'arrêter la, l'expérience m'a appris le débat politique impossible sur LinuxFr.
Non il ne créera pas plus d'emploi à long terme; (…)
Tiens, on entendait déjà ça le siècle dernier quand on a remplacé les bougies par les ampoules électriques, les maréchaux ferrant par les voitures, les composteurs humains de billet par une machine… L'être humain reste stable :).
Par contre on pourrait réduire généralement le temps de travail, mais vu qu'on ne le fait déjà pas…
Doucement, mais ça vient… Par exemple en Allemagne ça cause de 28 heures. Perso je note que le blocage n'est pas forcément politique, par exemple les suisses ont dit merde à plus de congés, et les français avec qui je discute disent préférer gagner plus en travaillant plus plutôt que d'avoir plus de temps (j'espère que tu ne parlais pas de l'idée populiste de travailler moins en gagnant autant, qui n'a pas de sens car sinon les gens seraient juste payés plus en travaillant plus, le taux horaires est un autre débat indépendant du temps de travail), quelque soit le niveau de rémunération qu'ils ont (c'est fou comme les gens se sentent toujours pauvres même si objectivement, en comparant avec les chiffres de l'INSEE, ils sont parfois en classe supérieure haute, mais bon ils voient les voitures des joueurs de foot alors forcément…).
Bref, le problème n'est pas politique, mais le peuple (comme souvent), et c'est long à convaincre un peuple :(.
Le ton général est celui d'un manager pas d'un chef d'état.
Et justement ça fait du bien de voir quelqu'un qui ne fait pas de différence arbitraire, un état ayant quelques particularités mais pas tant que ça, surtout en matière économique (état ou entreprise, les deux ont une vie illimité et une dette qui "roule").
Le problème de certains politiques est qu'ils imaginent qu'un état n'a de comptes à rendre à personne et surtout pas à la réalité (sociale, économique… comme dans une entreprise à manager), ce qui conduit à des désastres humains pire que ce qui est mis en publicité "on vous protégera des méchants capitalistes" (oui, je pense à toi Venezuela riche en pétrole mais pauvre en pratique par exemple, ou la RDA avant vu que ce n'est qu'un éternel recommencement que de croire que des politiques populistes qui disent penser au "petit peuple" y pensent réellement… Bon, dans l'actu on a aussi le "petit peuple" US qui croit que Trump pense à eux, la bonne blague), et surtout que pas mal d'électeurs gobent l'artifice.
Perso, ce que je trouve dommage est qu'on n'ai pas d'alternative crédible à Macron dans le même style "ça fait chef d'entreprise et pas président de la république" pour avoir une politique plus sociale et protectrice sans tomber dans le populisme et les idées en pratique destructrices pour tout le monde, ce qui ne donne pas de choix si on ne veut pas voter pour pire que la mauvaise situation actuelle à certains endroits.
AMD reste prisé pour son rapport perf/prix et son absence de gammes artificielles
Sur du Threadripper ça serait difficile avec 3 modèles de CPU.
Sur du AM4 on a 5 chipsets alors qu'on a à pein eles premiers CPU, pareil déjà du Ryzen 5 ou 7 (perso je comprend rien à la différence, les 2 on du 2 thread par core, du X par ci et pas par la, du pro par ci et pas par la) avec des trucs artificiels (SLI, overclocking autorisé ou pas…), et une critique sur Ryzen a bien été qu'AMD essaye de copier Inel sur des gammes artificielles! (et à mon avis ça leur est préjudiciable, et ça a été du moins un critère pour moi qui m'a fait garder Intel lors de mon choix : Intel fait pareil oui, mais AMD n'offre pas mieux donc égalité sur ce critère et au final ça a joué sur la "note" pour ma sélection).
Ou alors, ils n'ont pas réellement envie de le faire et ils font opportunément fuiter ça pour qu'intel baisse ses marges.
Apple a déjà fait 1 passage incompatible (obligé de recompiler) d'archi à une autre (PPC à x86), je ne vois aucune raison qu'ils ne refassent pas surtout qu'ils sont depuis encore plus en position de force (macOS a plus de parts de marché desktop qu'à l'époque du premier passage, et l'App Store est en place avec des règles si tu veux être accepté).
Les environnements deviennent hétérogènes, les développeurs doivent de toutes façons de plus en plus gérer des plate-formes différentes, les outils pour passer à une autre plate forme sont moins rares (même Microsoft s'y met), ça devient de moins en moins difficile de demander aux développeurs un changement de plateforme, et Intel risque de prendre vraiment mal à s'être reposé sur ses lauriers et profité du monopole de facto de x86 dans la dernière décennie (chaque "génération" de CPU des dernières années n'étant qu'une mini-évolution avec peu de gain) pendant qu'ARM se pointait en passant pas une "petite" porte (la mobilité, mais qui a fait qu'il s'est focalisé plus tôt sur la perf par watt dont on a besoin maintenant aussi sur le desktop maintenant que les développeurs se sont enfin mis au multi-threading et que donc il faut pour les fondeurs entasser le plus de cores possibles dans un CPU sans demander au client d'investir dans une centrale nucléaire).
Je prédis un réveil difficile pour Intel dans les années 2020 (pas par AMD dont je ne suis pas encore complètement convaincu par la nouvelle archi qui fait certes souvent mieux mais pas partout et donc faut voir leur "v2", mais par ARM et ses copies) si ils ne se donnent pas un gros coup de pied dans le derrière niveau R&D.
Déni plausible : ben quoi, je t'ai remis les clés, pas ma faute si tu ne trouves pas ce que tu cherches.
Plus sérieusement, je me demande comment prouver la connaissance d'une clé (pour les trucs importants, perso je ne connais vraiment pas la clé, celle-ci étant stockée ailleurs et protégée par un autre mot de passe, je me demande si l'obligation s'applique en cascade…)
ho mais je suis bien conscient que certains ont du mal avec l'objectivité et des arguments, c'est si facile de vouloir caser les gens en "gentils" ou "méchants", plus simple le binaire que de regarder les critiques en face… Surtout ca doit bien faire râler de voir avec le temps que mes analyses sont souvent correctes (surtout sur VP8, bon exemple) :-D.
Voila, rassuré?
Pour AV1, mes premières impressions sont que le format est déjà bien en retard contre H.265 stable depuis un moment, on sent à travers la spec que c'est fait sans vision sur le long terme (déjà les headers sont un peu tarabiscotés pour un version 1) et pour des usages bien précis (ceux des sponsors et rien d'autre), on sent que les sponsors sont arrivés bien tardivement et comme par hasard juste après les prix délirants de brevets H.265, pas par vision à long terme, et d'un coup fallait aller vite donc pas tout ce qui était dans la liste des choses à faire n'a pas été fait. Après, ca a l'air d'être plus sérieux en perfs (taux de compression à qualité égale) et équivalent à H.265 (gros doute sur "on fait mieux") donc moins la plaisanterie sur les coûts en bande passante supérieurs aux coûts des brevets et comme ca a l'air vraiment différent de MPEG (VP8 étant une blague et Google a payé pour les brevets) ce sera peut-être mieux côté brevets.
Bref, à mon avis c'est techniquement limite mais avec potentiel, et tout va se jouer sur de la politique : soit MPEG-LA lâche du leste sur les prix des brevets comme pour H.264 et le libre l'aura dans le baba (les sponsors vont se barrer car ils auront eu ce qu'ils voulaient, plus de sous, retour à la mode Theora), soit MPEG-LA essaye de garder le max de thune et les sponsors vont continuer à financer pour rattraper le retard. Perso je trouve dommage que le libre soit utilisé comme menace à court terme et non comme quelque chose de voulu à long terme, mais si c'est la seule façon de tenter, on va voir ce que le format va donner…
Euh… A la volonté d'être viable et que personne n'a trouvé une viabilité de forge en pure libre?
Et puis, ça te prive de quoi? (oui, c'est lourd d'avoir à toujours préciser que le non libre ne te prive de rien alors il faudrait remplacer dans ta communication "privatrive" par "non libre").
A noter que c'est une des rares entreprises à ne pas utiliser le modèle "open core" comme publicité avec la version libre et sinon on interdit aux autres de faire pareil pour la partie thune, comme c'est en licence MIT tout le monde est libre de proposer exactement la même chose que GitLab EE (avec la même licence, le même business model), donc la compétition est juste.
"Code des Marchés Publics" est un truc franco-français, dans le cas cité on s'en fout.
Ce n'était pas un marché public non plus, même si "public" est proche.
Si vous cherchez bien, le "tender" est toujours sur le site du projet.
(ne pas mettre le nom du projet est ici volontaire, LinuxFr ayant un haut score sur Google et même si je n'ai pas honte les désaccords n'ont pas forcément besoin d'être en premier sur Google, mais c'est rapide à trouver en suivant les liens)
Je ne comprend pas la différence que tu fais entre licence et CLA : les deux sont un accord entre 2 parties. Tu dis que dans le CLA on peut permettre, mais ne dit pas pourquoi dans un autre document on ne pourrait pas permettre.
Par exemple il y a débat sur le "sublicence" de MIT.
transfert explicite
Un "faites ce que vous voulez" (par exemple) est un transfert explicite, non?
(3 des 4 libertés du libres)
Je ne comprend pas ce que ça vient faire la, on parle de licences et non de libre.
Reste qu'en fait, perso je m'en fou un peu de cette partie, je n'ai pas l'intention de relicencier.
Après relecture "il faut relicencier ce qui est possible", il semble que je me sois trompé dans l'exemple (trop de licences…), et l'exemple devrait plutôt être SQLite (domaine public).
Je ne parlais pas de virer le nom de l'auteur (impossible même si l'auteur le souhaite).
Je ne vois rien dans la partie "droits patrimoniaux" qui interdirait de changer la licence, et c'est aussi ce que je comprend des lectures diverses (zlib permet même de cacher le fait qu'on l'utilise, contrairement à BSD par exemple). Je suis preneur de la partie des droits patrimoniaux qui te font penser que changer la licence n'est pas possible légalement sans accord explicite de l'auteur. Surtout que pour moi, je peux le faire avec mon code donc je ne vois pas pourquoi d'autres ne pourraient pas le faire (pour le nom par exemple, eux et moi ne pouvons le faire).
C'est un peu ça, en effet. Et c'est parfois violent, en effet. J'ai choisi un "camp" (en fait je suis passé de l'un à l'autre), mais sans insulter l'autre pour son choix (les deux vues sont libristes, que le meilleur gagne), mais en face on a parfois des quasi-insultes "vous permettez de fermer, vous être pas libriste du coup" (pour la version gentille). C'est chiant, surtout quand on permet à l'autre camp d'utiliser son code dans la licence souhaitée (l'inverse n'étant pas possible).
Est-ce que c'est vraiment aussi simple pour ne plus avoir à se poser des questions "administratives/juridiques" et pour se concentrer sur le code ?
Perso j'avais déjà éliminé le copyleft pour justement ne pas me prendre la tête avec les cas spéciaux "bon explique moi, j'ai le droit ou pas?", je me permet de mettre un lien vers un journal dessus (que j'ai écrit) : Mon évolution vis à vis du copyleft. Mais le cas cité dans le journal a montré que choisir du copyfree n'est pas suffisant, alors j'adapte en fonction de ce que je rencontre : j'ai viré le copyleft quand j'ai rencontré trop de problèmes avec, et maintenant suite à un problème sur "pas la bonne licence" je multi-licencie pour régler cet autre problème.
Rendez-vous à la prochaine problématique.
A noter que si je faisais du CC0 ça serait sans doute encore plus simple, mais je n'en suis pas encore là (j'essaye d'utiliser le nom dans les autres logiciels qui embarquent mes libs comme moyen de vendre mes prestations futures, marchera ou pas, l'avenir nous le dira)
c'est 100% compatible GPLv3 sans avoir a demander de CLA
Tout à fait.
Et c'est bien le problème : elle n'est que compatible.
Je t'invite à relire le journal, car être compatible n'est pas suffisant, c'est toute la difficulté et le sujet du journal.
Pour moi le CLA est obligatoire justement pour les logiciels avec une licence restrictive comme la GPL car il devient impossible de faire le moindre changement sans l'accord de tous.
Je t'invite à relire le journal, il parle d'une bibliothèque sous licence BSD qui a eu un gros problème (en fait : qui aurait eu un gros problème sans CLA).
quelqu'un qui aurait pensé que parce que c'est Copyfree il n'y a pas besoin de CLA n'aurait pas pu réutiliser sa bibliothèque pour ce projet (compatible mais pas relicenciable donc refusé).
Bon, du coup je me demande ce que j'ai loupé dans l'explication pour que le fait d'être BSD sans CLA aurait été un problème n'a pas été vu du premier coup. Gloups.
il me semble que tu établis une forte opposition entre deux attitudes pour soi vs. pour les autres.
en effet (au détail près "les autres" sont ceux qui reçoivent, encore une fois ce n'est pas "les autres" du tout, il peut s'agir des fois que d'une personne).
Mais en fait ce n'est pas moi qui fait cette opposition, c'est le libre/copyleft ;-).
En effet, le libre est la pour protéger celui qui reçoit, et personne d'autre (aucunement l'auteur, aucunement "les autres", juste celui qui reçoit), et le protéger… De l'auteur (de son envie de limiter).
Et une personne qui fait du libre (copyleft ou copyfree) offre ce que celui qui reçoit demande, une liberté d’indépendance vis à vis de celui qui donne.
C'est pas facile à accepter, mais l'idée est bien une indépendance par rapport à l'auteur initial.
Par contre, il me semble qu'en pratique pour la littérature(j'insiste sur ces points), la situation est bien différente d'avec l'informatique.
Désolé, mais il va falloir argumenter la. Je ne vois pas la différence, et à chaque fois qu'on a essayé de me montrer une différence "l'art c'est différent" (exemple perso, voir les commentaire sous ce journal), c'était pour ne pas respecter le libre et se croire "artiste" plus classe que "développeur", mais on fait tous des oeuvres et il n'y a pas de gens mieux que les autres.
Bref : quelle différence vois-tu? Perso je vois une suite d'octets de deux côtés, les deux peuvent "en être parlé" (à noter que pour ton exemple, "en entendre parler" n'est pas forcément facilement défendable devant un juge si il est chargé de trancher et voir si tu fais de la contrefaçon en récupérant une version dérivée de cette manière).
Je serais hypocrite de ne pas dire que c'est une conséquence du copyleft qui me plaît,
tout à fait. Je te signale juste que cette conséquence n'est pas automatique comme tu le croyais au début. Beaucoup de monde fait du libre/copyleft sans en comprendre le sens (par exemple en pensant que l'auteur va pouvoir automatiquement récupérer toutes les versions modifiées ;-) ), et après hurlent quand des gens utilisent les droits que l'auteur a conféré (un classique de voir de gens ne pas du tout être content que quelqu'un ai utilisé un droit offert, c'est "amusant" sauf pour la personne qui a utilisé le droit et se fait insulter alors qu'on lui a autorisé explicitement de le faire à la base).
Perso, j'ai déjà subi des attaques de personnes n'aimant pas l'utilisation de droits qu'ils ont donné, et c'est chiant (encore plus chiant que les gens pensant être dans l'idée du libre quand ils font du non commercial ;-) ). Donc si je peux expliquer à des gens ce qu'est le libre pour pas qu'ils attaquent en ayant bien faux, je préfère anticiper (car j'ai l'impression qu'avant tu aurais pu accuser une personne de ne pas vouloir te transmettre sa version modifiée alors que tu lui a donné le droit de ne pas le faire).
la création comme un commun,
Attention de nouveau : le libre/copyleft n'a absolument rien à faire du commun. encore une fois le libre/copyleft s’intéresse à celui qui reçoit, et personne d'autre (donc pas le commun). Que certains essayent d'utiliser le copyleft pour le commun ne fait pas du libre une chose pour le commun, c'est juste un effet plus ou moins collatéral mais pas toujours le cas, que certains tentent d'utiliser pour leur but perso. C'est justement chiant de voir des attaques d'une horde d'intégristes libristes pensant que la GPL est pour le bien commun quand tu utilises un logiciel (ou œuvre littéraire) pas pour le bien commun (je précise bien : quand la GPL est respectée hein, on ne parle pas de violation de licence). Pas de soucis d'utiliser le copyleft pour le commun, mais le fair play obligerait à accepter quand le copyleft n'est pas utilisé pour le commun et qu'on a fourni ce droit, ou alors il faut changer de licence (et ne pas prendre le "hype" du libre… Ca ferait moins classe pour se faire mousser ;-) ). Bref j'espère du coup que tu n'attaqueras jamais (verbalement, légalement c'est mort mais déjà verbalement est chiant) une personne qui racontera ton histoire modifiée à des gens et que personne (ni la personne qui a modifié, ni ceux qui ont entendue l'histoire modifiée) ne voudrait te donne l'histoire modifiée, car tu as donné ce droit de te la cacher.
A noter que c'est difficile parce que même l' "inventeur" du copyleft n'est pas clair sur ce sujet (alors qu'il pourrait clarifier dans la licence qu'il file, mais il se garde bien d'être clair, ça ne serait pas marrant d'être clair dans les idées qu'on défend, on aurait moins de sympathisants :) ), parmi plein d'autres (petite pensée pour la GFDL parfois non libre créée par l' "inventeur" du libre…).
Il me semble que le copyleft est une des rares notions juridiques dans les licences pour la littérature qui puisse en soutenir l'émergence, même si ce n'est pas son but en principe.
C'est un point de vue, qui se défend.
Perso je m’intéresse à celui qui reçoit donc on n'a pas le même but ni un avis sur ton but, mais si tu souhaites utiliser le copyleft pour ton but, je n'ai pas le droit de te dire de ne pas le faire, si ça marche pour atteindre ton but tant mieux.
J'ai initialement réagi à ton commentaire car tu avais l'air de penser (tu as dit faire du copyleft pour récupérer les versions modifiées, sous entendant toutes, enfin c'est ce que j'ai compris; bon après ce qui m'a fait le plus réagir c'est de dire aimer le domaine public à condition qu'il devient copyleft, et comme j'aime plus le domaine public que le copyleft ça m'a fait tilt ;-) ) que tu ne donnais pas le droit à des gens de te cacher une histoire modifiée alors qu'ils la présentent à des millions de personnes, alors que tu donnes explicitement ce droit de te cacher.
Au final je t'informe juste que tu donnes explicitement le droit à des gens de te cacher leurs modifs (dans certaines limites). Pas que je veuille le faire perso, mais au pire je suis parfois joueur et serait susceptible de le faire pour tester ta compréhension des droits que tu donnes ;-).
Mais encore une fois, je suis heureux de trouver des écrivains qui font du libre, c'est rare (et petite pensée pour pepper & carrot, dont l'auteur s'est fait insulter pour oser faire du libre "ça tue notre business" de la part d'auteurs dans le même domaine).
PS: Merci d'avoir dérogé à ton choix de ne plus répondre
C'était gentillement dit, du coup j'ai de nouveau dérogé :).
Bon, je me fait une entorse à ne pas répondre, pour clarifier car tu sembles ne pas comprendre na différence entre "auteur" et "celui qui reçoit". Ce sont des personnes différentes. Y compris pour Affero qui ne change rien à la discussion (c'est un autre sujet, celui du service, mais Affero se fout toujours complètement de l'auteur).
Donc accessible, de façon pratique, sans que pour autant ce soit théoriquement induit par la licence copyleft.
Accessible à celui qui reçoit, pas à toi.
Le copyleft (et le libre en général) ne s’intéresse pas à l'auteur, il s’intéresse à celui qui reçoit. Même pour un livre. Même "hors cadre privé".
Imaginons que quelqu'un modifie ton oeuvre copyleft et la rediffuse à 1 Million de personnes sans que tu sois inclus.
Tu penses que tu pourrais récupérer cette oeuvre modifiée. Il n'y a rien de plus faux. Seuls les 1 Million de personnes (dont tu ne fais pas partie) récupère l'oeuvre.
La seule exception qui te permette de récupérer l'oeuvre est que si par hasard celui qui reçoit est l'auteur, mais il n'y a absolument rien d'automatique. On peut très bien faire le nécessaire pour que l'auteur ne soit jamais un qui reçoit (petit exemple sur comment faire, sans parler de libre payant que tu ne voudrais pas acheter).
Bref, il faut bien comprendre que le libre protège celui qui reçoit, pas l'auteur. Tant que tu n'auras pas compris que le copyleft ne s’intéresse pas à toi auteur mais à celui à qui tu fournis ton oeuvre, tu ne comprendras pas le copyleft surtout par rapport à ton but (incompatible avec le copyleft, déjà il y a eu du débat sur la licence NASA qui disait qu'il fallait envoyer un mail quand tu reçois l'oeuvre, Debian n'a pas aimé car ça pose un gros problème si tu es sur une ile déserte sans accès à l'auteur, alors si il faut envoyer l'oeuvre complète ben non)
Bref, il te faut choisir : son ton but est de t’intéresser à celui qui reçoit et le libre/copyleft est pour toi, soit le but est de t’intéresser à toi et le libre/copyleft n'est pas fait pour toi. Perso je préférerai avoir un auteur d’œuvres libres/copyleft qui sont très rares, donc je t'incite à ce que tu te mettes à penser à ceux qui reçoivent à la place de toi-même ;-).
Si tu ne me crois pas, lit les licenses (GPL, CC-BY-SA…), tu arriveras vite à voir que l'auteur n'est pas mentionné, seul celui qui reçoit a de droits (et devoirs).
Tu n'as pas compris le "problème" avec ta vision (fausse) du copyleft : rien n’empêche une personne de faire un dérivé de ton univers et de le présenter à des millions de personne sauf toi. a partir de là, comme tu n'as rien reçu tu ne peux pas rebondir.
tu penses que le copyleft s’intéresse à celui qui donne, que ce dernier est obligatoirement receveur de tout, c'est faux.
"à des travaux dérivés du mien, auquel cas je serai en ce cas celui qui reçoit." ta phrase est fausse. Tu n'est celui qui reçoit que si on veut bien de le donner (ce n'est pas obligatoire avec le copyleft).
j'ai l'impression de n'avoir pas été clair
Le problème n'est pas d'être clair envers moi, mais que le copyleft soit clair pour toi. Tant que tu penseras que le copyleft est pour l'auteur, tu ne comprendras pas le copyleft (le copyleft s’intéresse uniquement à donner des règles à celui qui reçoit, sans obliger à reverser à l'auteur qui n'est pas forcément une personne qui recevra les travaux dérivés).
Je comprend que tu ais cette idée que le copyleft permet d’être "tout le temps" avec toutes les versions à ta disposition car pas mal de pro-copyleft pensent que c'est le cas et "vendent" le copyleft avec ça, mais qu'il y ai plein de monde qui (se) mente n'en fait pas une vérité.
Si tu veux un exemple concret, les serveurs Google sont sous une version Linux modifiée, Linux est GPL, mais personne à part Google n'a cette version modifiée, bien que Linux soit sous GPL. Tout simplement parce que Google n'a jamais distribué cette version de Linux publiquement (donc il n'a aucune obligation par le copyleft). C'est pour ça que je te dis que si ce qui t’intéresse est d'avoir toutes les versions d'une histoire, le copyleft n'est pas adapté (au contraire).
Bien comprendre que le libre et le copyleft ne s’intéressent qu'à ceux qui reçoivent, et aucunement à l'auteur ni au "bien commun" (aucune obligation sur le sujet, seul celui qui reçoit est le sujet).
À te lire, j'ai l'impression de n'avoir pas été clair, je ne prétends pas que le domaine public n'est pas sympa, mais que je privilégie le commun au domaine public vu que ce dernier peut donner lieu, pratiquement, à une enclosure que je ne souhaite pas permettre.
Mais tu as dit "bien volontiers" avec condition que le domaine public soit copyleft, et ça fait croire que tu aimes bien le domaine public, alors qu'il te dérange beaucoup. Ton discours n'est effectivement pas clair. Je n'ai pas dit que tu penses que le domaine public n'est pas sympa, j'ai dit que tu laisse croire que le domaine public te plaît alors qu'il ne te plaît pas du tout (tu refuses l'idée de non libre possible, complètement incompatible). Ce n'est pas mal de ne pas aimer soit-même le domaine public, mais pas la peine alors de dire "j'abandonnerais bien volontiers ce genre de licence pour élever directement dans le domaine public" alors que tu ne penses pas du tout à le faire (la condition que tu mets étant impossible à avoir, car complètement incompatible avec l'idée de base du domaine public).
bref, maintenant tu sais et tu peux te renseigner plus si la problématique t'interesse, et je sais que ça ne plaît pas à beaucoup de monde (qui aime bien croire que des choses font ce qu'elles ne font pas, et pas question de regarder les faits) donc je ne continuerai pas à me faire moinsser pour expliquer plus les problématiques.
Merci pour le lien, je comprend mieux d'où vient la notion de "censorship" de la personne critiquée dans le journal.
En fait, des gens aimant le copyleft ont juste donné de belles armes à leurs adversaire en racontant n'importe quoi, et en utilisant un mot ("censorship" machine) complètement hors sujet, ce qui permet aux adversaire du copyleft de le reprendre pour eux en racontant tout autant n'importe quoi sans qu'une personne intellectuellement honnête ne puisse départager les deux intellectuellement malhonnêtes, donc il n'aidera personne.
Je resterai à jamais impressionné par la capacité des gens à se tirer une balle dans le pied, et surtout à ne pas s'en rendre compte quand l'adversaire en profite pour réutiliser (perso ça me fait sourir de voir des gens s'offusquer de l'utilisation de "censorship" quand l'adversaire l'utilise tout en défendant le mot quand son "camps" l'utilise, bravo pour la capacité à la mauvaise foi)
En ce qui me concerne, j'ai choisi le copyleft car cela me permettrait de pouvoir intégrer à mon propre travail tout ce qui en serait dérivé par d'autres. Je trouverais très frustrant de ne pas pouvoir bâtir sur ces nouvelles briques qui ne seraient pas de moi
Euh… Si c'est la raison, le copyleft n'est absolument pas fait pour toi.
Le copyleft (et le libre en général) s’intéresse à celui qui reçoit, et absolument pas à celui qui donne.
Si tu ne reçois pas de nouvelles briques, tu ne peux les utiliser même si elle existent ailleurs (à un endroit qui ne t'es pas accessible). Et toute licence qui oblige à fournir quelque chose à celui qui donne (ce que tu dis vouloir) est considérée non libre (et non copyleft).
Dans un monde idéal où jamais les enclosures n'adviendraient, j'abandonnerais bien volontiers ce genre de licence pour élever directement dans le domaine public.
Euh… tu dis que si le domaine public devient le copyleft, tu aimeras le domaine public. Forcément. Mais dans ce cas la le domaine public s’appellera copyleft. Ca me fait penser aux gens contre la peine de mort à part pour les méchants.
Si on aime le domaine public, par définition du domaine public on peut mettre zéro limitation, et toi tu veux mettre une limitation.
Pourquoi ne simplement pas assumer et dire que tu n'aimes pas le domaine public (au contraire, il est complètement contraire à tes idées telles que tu les présentes dans ton commentaire)?
Bref, il y a incohérence entre ce que tu dis vouloir (copyleft et domaine public pas sympas car tu ne peux pas bâtir sur ces nouvelles briques qui ne seraient pas de moi, sauf exception genre que tu arrives à récupérer ce qui a été fait en copyleft, et alors pour le domaine public c'est carrément bien incompatible) et ce que tu dis aimer, tu devrais clarifier et choisir entre les modèles cités car ils sont incompatibles entre eux.
Ne préférerais-tu pas avoir une cohérence entre tes choix pratiques et ton discours d'un côté et tes idées de l'autre? Car pour le moment, le premier à qui tu mens est toi-même.
Si le sujet t’intéresse, tu peux commencer puis suivre les liens par exemple avec Wikipedia : Le troisième sexe.
Extrait : "La biologiste et professeur d'études de genre Anne Fausto-Sterling a argumenté dans un article de 1993 qu'une classification en cinq genres serait plus appropriée pour décrire le corps humain que les deux habituellement admis"
[^] # Re: ça fait chef d'entreprise et pas président de la république.
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Bookmark : Interview d'Emmanuel Macron sur l'IA dans Wired. Évalué à -4. Dernière modification le 05 avril 2018 à 15:24.
Vous faites vraiment le max dans le populisme pour me faire répondre en me foutant de la gueule des arguments? Wow… Tu crois sérieusement la phrase écrite? J'espère pour toi que non (à moins que tu aimes te complaire dans les mensonges).
On me demande des arguments, allez :
- 30% du PIB en dette pour sauver les banques (rappel : l'état est en déficit de 3% en 2017 sans avoir à gérer les banques, mais bizarrement les banques créent le déficit on ne sait comment… Ne surtout pas regarder le déficit chronique de l'Etat) pour parler de 100 Milliards de prêts, c'est juste du n'importe quoi.
- "socialisation des pertes" pour parler d'un prêt (= à rembourser) avec intérêts (pas légers, ça s'appelle la gestion du risque si jamais une banque ne rembourse pas), c'est juste du n'importe quoi.
- Les banques ont remboursé depuis, intérêts compris, aucune n'a fait faillite, l’État français ayant prêté à plus cher que ce qui lui coûte d'emprunter a en fait fait diminuer la dette par ces prêts, parler de pertes en savant les banques, c'est juste du n'importe quoi.
- Je te défie de me montrer que la dette de la France est due aux "banques vénales" (bon courage pour ta démo vu que tout a été remboursé)
Sérieusement, comment voulu une débat serein quand ce genre de bêtises est propagée par des gens qui ne cherchent pas à comprendre ce qu'on essaye de leur "vendre" par des gens qui sont "compatibles" avec leurs idées ce qui fait que l'analyse critique est débranchée? "méchantes banques vénales", ça marche toujours aussi bien.
Maintenant que tu sais que tu as écris une grosse bêtise, j'espère que tu va douter de tes sources politiques (tu as de mauvais amis qui soient sont assez idiots pour être trompés soient assez intelligents pour te manipuler avec des bêtises énormes) et remettre en cause les idées qui en découlent, et si le sujet t’intéresse plus loin que le populisme facile (désolé d'utiliser le mot qui vous déplaît, mais je ne fais que nommer correctement) : Les banques françaises s'acquittent de leur dette envers l'État par exemple (oui, il y a 6 ans déjà… il y a d'autres sources pour qui cherche un peu) avec juste un exemple d'une banque ayant remboursé ses milliards empruntés et payé 1+ milliard d’intérêts (qui ont réduit la dette, mais chut).
La réalité est bien plus compliquée que le populisme veut faire croire… Mais forcément, le populisme est plus simple (surtout quand il rentre dans ses préjugés qu'on ne veut pas casser).
Tu as des arguments pour démontrer la justesse de ton message? Je veux bien les lire, mais je crains que ça n'aille pas plus loin (vu la réalité qui est que les banques ont remboursé).
[^] # Re: ça fait chef d'entreprise et pas président de la république.
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Bookmark : Interview d'Emmanuel Macron sur l'IA dans Wired. Évalué à -10. Dernière modification le 05 avril 2018 à 13:09.
C'est rigolo ce que tu dis, en répondant à un commentaire qui dit "populiste" puis juste après a une phrase pour argumenter sur le pourquoi du mot utilisé, en démontant l'argument préjugé populiste (après, c'est une phrase certes, mais qui est intéressé sur le sujet peut réfléchir et approfondir, c'est assez facile à voir pour qui veut voir).
Bizarrement, les argument sont ignorés plutôt que de contre-argumenter, en faisant semblant qu'ils n'existent pas. L'analyse classique de ce genre de comportement est que l'argument avancé ne plaît pas car on ne peut y répondre objectivement avec un vrai contre-argument.
Bref, un grand classique de ne pas contre argumenter et dire que l'autre n'a pas argumenté alors qu'il l'a fait, pour ne pas affronter les arguments qui vont à l'encontre des ses préjugés basés sur rien de réel, merci pour la démonstration.
Oui : avoir des arguments non populistes démontable en 10 secondes de réflexion.
Passons… Rien de nouveau ici, toujours les mêmes à réagir à l' "horreur capitaliste" sans aucun argument ni contre-proposition viable, et les réactions sont toujours les mêmes sans arguments et n'appréciant pas d'avoir ses préjugés démonté et donc en ignorant les arguments qui ne plaisent pas.
Pour une fois je suis d'accord sur une phrase. Mais la on est dans le comique de répétition (et toujours aussi peu de contre-arguments, comme par hasard…).
(et zut, un autre commentaire, j'essaye toujours de passer en mode silencieux mais des fois ça loupe…)
[^] # Re: Xeon vous trouvez ça précis ?
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal ARM vs Intel. Évalué à 4.
Si tu dois dissiper plus alors que ça consomme déjà beaucoup quand le CPU se protège, ça ne va pas aider au gain financier (coût de l’électricité).
Et tout le monde n'a pas envie de mettre son serveur en Antarctique pour pouvoir l'utiliser.
Non, le problème n'est pas la, le problème est qu'Intel ne sait pas faire mieux en ne perdant pas tant d’énergie en chaleur inutile, c'est tout (on parle par exemple d'AVX-512 qui est trop bien à paralléliser mais qui réduit sa vitesse automatiquement de 25% si tu l'utilises, le gain est alors plus faible que dans la pub "x2 par rapport à AVX2" car Intel sait que ça chauffe à mort mais "oublie" de le dire publiquement, quelque soit le dissipateur thermique que tu mets)
[^] # Re: ça fait chef d'entreprise et pas président de la république.
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Bookmark : Interview d'Emmanuel Macron sur l'IA dans Wired. Évalué à -6. Dernière modification le 05 avril 2018 à 11:12.
Désolé, mais… phrase populiste et qui montre un manque d'argument sur ton mal à l'aise qui devrait peut-être changer du coup.
Tout simplement parce que une entreprise qui a des gains paye des impôts, le truc qui sert à gérer les pertes entre autres, en plus de payer la police, les écoles, les hôpitaux…
Pas la peine de me rabâcher le discours populiste des politiques qui veulent faire gober tout et n'importe quoi sans s’intéresser à l'économie et comme marche le monde (genre en oubliant que les gains sont taxés).
(après, que l'entreprise ne paye pas assez est un autre débat, il faut voir ça avec le peuple, comme j'ai dit dans le premier commentaire le problème est le peuple qui ne laisse pas vraiment le choix si on veut pas flinguer le pays en votant pour les autres propositions).
Hors sujet populiste : la fraude est illégale est peut être combattue car pas l'idée de l'entreprise intrinsèquement, ou alors on peut parler de toutes les lois que l'être humain viole comme étant la normalité humaine, et l'optimisation fiscale qu'on permet est un choix du peuple et donc ce n'est pas l'entreprise qu'il faut critiquer (elle ne fait qu'utiliser des droits mis à disposition, où est le mal? Ca me rappelle des libristes qui hurlent qu'on est le mal car on utilise une liberté qu'ils filent) mais le peuple.
Je veux bien, mais dans ce cas je te suggère d'argumenter avec des arguments et non des phrases classiquement populistes, bref débattons sérieusement avec de vrais arguments sur le sujet débattu. Pour le moment le contre-arguments sont vides une fois étudiés, ce qui ne fait que confirmer ce que j'avance.
Bon j'essaye de m'arrêter la, l'expérience m'a appris le débat politique impossible sur LinuxFr.
[^] # Re: moi j'adore
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Bookmark : Interview d'Emmanuel Macron sur l'IA dans Wired. Évalué à 1. Dernière modification le 05 avril 2018 à 10:34.
Tiens, on entendait déjà ça le siècle dernier quand on a remplacé les bougies par les ampoules électriques, les maréchaux ferrant par les voitures, les composteurs humains de billet par une machine… L'être humain reste stable :).
Doucement, mais ça vient… Par exemple en Allemagne ça cause de 28 heures. Perso je note que le blocage n'est pas forcément politique, par exemple les suisses ont dit merde à plus de congés, et les français avec qui je discute disent préférer gagner plus en travaillant plus plutôt que d'avoir plus de temps (j'espère que tu ne parlais pas de l'idée populiste de travailler moins en gagnant autant, qui n'a pas de sens car sinon les gens seraient juste payés plus en travaillant plus, le taux horaires est un autre débat indépendant du temps de travail), quelque soit le niveau de rémunération qu'ils ont (c'est fou comme les gens se sentent toujours pauvres même si objectivement, en comparant avec les chiffres de l'INSEE, ils sont parfois en classe supérieure haute, mais bon ils voient les voitures des joueurs de foot alors forcément…).
Bref, le problème n'est pas politique, mais le peuple (comme souvent), et c'est long à convaincre un peuple :(.
[^] # Re: ça fait chef d'entreprise et pas président de la république.
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Bookmark : Interview d'Emmanuel Macron sur l'IA dans Wired. Évalué à -1. Dernière modification le 05 avril 2018 à 10:23.
Et justement ça fait du bien de voir quelqu'un qui ne fait pas de différence arbitraire, un état ayant quelques particularités mais pas tant que ça, surtout en matière économique (état ou entreprise, les deux ont une vie illimité et une dette qui "roule").
Le problème de certains politiques est qu'ils imaginent qu'un état n'a de comptes à rendre à personne et surtout pas à la réalité (sociale, économique… comme dans une entreprise à manager), ce qui conduit à des désastres humains pire que ce qui est mis en publicité "on vous protégera des méchants capitalistes" (oui, je pense à toi Venezuela riche en pétrole mais pauvre en pratique par exemple, ou la RDA avant vu que ce n'est qu'un éternel recommencement que de croire que des politiques populistes qui disent penser au "petit peuple" y pensent réellement… Bon, dans l'actu on a aussi le "petit peuple" US qui croit que Trump pense à eux, la bonne blague), et surtout que pas mal d'électeurs gobent l'artifice.
Perso, ce que je trouve dommage est qu'on n'ai pas d'alternative crédible à Macron dans le même style "ça fait chef d'entreprise et pas président de la république" pour avoir une politique plus sociale et protectrice sans tomber dans le populisme et les idées en pratique destructrices pour tout le monde, ce qui ne donne pas de choix si on ne veut pas voter pour pire que la mauvaise situation actuelle à certains endroits.
[^] # Re: Effet de mode?
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal ARM vs Intel. Évalué à 2. Dernière modification le 04 avril 2018 à 20:26.
Sur du Threadripper ça serait difficile avec 3 modèles de CPU.
Sur du AM4 on a 5 chipsets alors qu'on a à pein eles premiers CPU, pareil déjà du Ryzen 5 ou 7 (perso je comprend rien à la différence, les 2 on du 2 thread par core, du X par ci et pas par la, du pro par ci et pas par la) avec des trucs artificiels (SLI, overclocking autorisé ou pas…), et une critique sur Ryzen a bien été qu'AMD essaye de copier Inel sur des gammes artificielles! (et à mon avis ça leur est préjudiciable, et ça a été du moins un critère pour moi qui m'a fait garder Intel lors de mon choix : Intel fait pareil oui, mais AMD n'offre pas mieux donc égalité sur ce critère et au final ça a joué sur la "note" pour ma sélection).
[^] # Re: Pour les ordinateurs personnels, c'est pas ça…
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal ARM vs Intel. Évalué à 7. Dernière modification le 04 avril 2018 à 12:44.
Apple a déjà fait 1 passage incompatible (obligé de recompiler) d'archi à une autre (PPC à x86), je ne vois aucune raison qu'ils ne refassent pas surtout qu'ils sont depuis encore plus en position de force (macOS a plus de parts de marché desktop qu'à l'époque du premier passage, et l'App Store est en place avec des règles si tu veux être accepté).
Les environnements deviennent hétérogènes, les développeurs doivent de toutes façons de plus en plus gérer des plate-formes différentes, les outils pour passer à une autre plate forme sont moins rares (même Microsoft s'y met), ça devient de moins en moins difficile de demander aux développeurs un changement de plateforme, et Intel risque de prendre vraiment mal à s'être reposé sur ses lauriers et profité du monopole de facto de x86 dans la dernière décennie (chaque "génération" de CPU des dernières années n'étant qu'une mini-évolution avec peu de gain) pendant qu'ARM se pointait en passant pas une "petite" porte (la mobilité, mais qui a fait qu'il s'est focalisé plus tôt sur la perf par watt dont on a besoin maintenant aussi sur le desktop maintenant que les développeurs se sont enfin mis au multi-threading et que donc il faut pour les fondeurs entasser le plus de cores possibles dans un CPU sans demander au client d'investir dans une centrale nucléaire).
Je prédis un réveil difficile pour Intel dans les années 2020 (pas par AMD dont je ne suis pas encore complètement convaincu par la nouvelle archi qui fait certes souvent mieux mais pas partout et donc faut voir leur "v2", mais par ARM et ses copies) si ils ne se donnent pas un gros coup de pied dans le derrière niveau R&D.
# Pas inquiété
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Le Conseil constitutionnel autorise les juges à vous demander vos clés de chiffrement. Évalué à 5.
Déni plausible : ben quoi, je t'ai remis les clés, pas ma faute si tu ne trouves pas ce que tu cherches.
Plus sérieusement, je me demande comment prouver la connaissance d'une clé (pour les trucs importants, perso je ne connais vraiment pas la clé, celle-ci étant stockée ailleurs et protégée par un autre mot de passe, je me demande si l'obligation s'applique en cascade…)
[^] # Re: MediaInfo
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal AV1 : le codec du futur ?. Évalué à 8.
Pour en rajouter un peu sur la précipitation de l'annonce par rapport au ressenti de retard…
[^] # Re: MediaInfo
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal AV1 : le codec du futur ?. Évalué à 10.
ho mais je suis bien conscient que certains ont du mal avec l'objectivité et des arguments, c'est si facile de vouloir caser les gens en "gentils" ou "méchants", plus simple le binaire que de regarder les critiques en face… Surtout ca doit bien faire râler de voir avec le temps que mes analyses sont souvent correctes (surtout sur VP8, bon exemple) :-D.
Voila, rassuré?
Pour AV1, mes premières impressions sont que le format est déjà bien en retard contre H.265 stable depuis un moment, on sent à travers la spec que c'est fait sans vision sur le long terme (déjà les headers sont un peu tarabiscotés pour un version 1) et pour des usages bien précis (ceux des sponsors et rien d'autre), on sent que les sponsors sont arrivés bien tardivement et comme par hasard juste après les prix délirants de brevets H.265, pas par vision à long terme, et d'un coup fallait aller vite donc pas tout ce qui était dans la liste des choses à faire n'a pas été fait. Après, ca a l'air d'être plus sérieux en perfs (taux de compression à qualité égale) et équivalent à H.265 (gros doute sur "on fait mieux") donc moins la plaisanterie sur les coûts en bande passante supérieurs aux coûts des brevets et comme ca a l'air vraiment différent de MPEG (VP8 étant une blague et Google a payé pour les brevets) ce sera peut-être mieux côté brevets.
Bref, à mon avis c'est techniquement limite mais avec potentiel, et tout va se jouer sur de la politique : soit MPEG-LA lâche du leste sur les prix des brevets comme pour H.264 et le libre l'aura dans le baba (les sponsors vont se barrer car ils auront eu ce qu'ils voulaient, plus de sous, retour à la mode Theora), soit MPEG-LA essaye de garder le max de thune et les sponsors vont continuer à financer pour rattraper le retard. Perso je trouve dommage que le libre soit utilisé comme menace à court terme et non comme quelque chose de voulu à long terme, mais si c'est la seule façon de tenter, on va voir ce que le format va donner…
# MediaInfo
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal AV1 : le codec du futur ?. Évalué à 10. Dernière modification le 28 mars 2018 à 17:15.
Pour information la dernière version de MediaInfo (et MediaInfoOnline) supporte déjà AV1 (brut ou dans MKV).
On va voir ce que le format va donner…
[^] # Re: Chercher/remplacer « Gitlab » version libre par « Gitlab CE »
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse à la dépêche GNOME 3.28. Évalué à 7.
Euh… A la volonté d'être viable et que personne n'a trouvé une viabilité de forge en pure libre?
Et puis, ça te prive de quoi? (oui, c'est lourd d'avoir à toujours préciser que le non libre ne te prive de rien alors il faudrait remplacer dans ta communication "privatrive" par "non libre").
A noter que c'est une des rares entreprises à ne pas utiliser le modèle "open core" comme publicité avec la version libre et sinon on interdit aux autres de faire pareil pour la partie thune, comme c'est en licence MIT tout le monde est libre de proposer exactement la même chose que GitLab EE (avec la même licence, le même business model), donc la compétition est juste.
[^] # Re: waouh
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Utilité des CLA quand on fait du libre et que du libre. Évalué à 3. Dernière modification le 21 mars 2018 à 15:27.
"Code des Marchés Publics" est un truc franco-français, dans le cas cité on s'en fout.
Ce n'était pas un marché public non plus, même si "public" est proche.
Si vous cherchez bien, le "tender" est toujours sur le site du projet.
(ne pas mettre le nom du projet est ici volontaire, LinuxFr ayant un haut score sur Google et même si je n'ai pas honte les désaccords n'ont pas forcément besoin d'être en premier sur Google, mais c'est rapide à trouver en suivant les liens)
[^] # Re: Relicencier zlib
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Utilité des CLA quand on fait du libre et que du libre. Évalué à 2.
Je ne comprend pas la différence que tu fais entre licence et CLA : les deux sont un accord entre 2 parties. Tu dis que dans le CLA on peut permettre, mais ne dit pas pourquoi dans un autre document on ne pourrait pas permettre.
Par exemple il y a débat sur le "sublicence" de MIT.
Un "faites ce que vous voulez" (par exemple) est un transfert explicite, non?
Je ne comprend pas ce que ça vient faire la, on parle de licences et non de libre.
Reste qu'en fait, perso je m'en fou un peu de cette partie, je n'ai pas l'intention de relicencier.
[^] # Re: Relicencier zlib
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Utilité des CLA quand on fait du libre et que du libre. Évalué à 2.
Après relecture "il faut relicencier ce qui est possible", il semble que je me sois trompé dans l'exemple (trop de licences…), et l'exemple devrait plutôt être SQLite (domaine public).
[^] # Re: Relicencier zlib
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Utilité des CLA quand on fait du libre et que du libre. Évalué à 4.
Je ne parlais pas de virer le nom de l'auteur (impossible même si l'auteur le souhaite).
Je ne vois rien dans la partie "droits patrimoniaux" qui interdirait de changer la licence, et c'est aussi ce que je comprend des lectures diverses (zlib permet même de cacher le fait qu'on l'utilise, contrairement à BSD par exemple). Je suis preneur de la partie des droits patrimoniaux qui te font penser que changer la licence n'est pas possible légalement sans accord explicite de l'auteur. Surtout que pour moi, je peux le faire avec mon code donc je ne vois pas pourquoi d'autres ne pourraient pas le faire (pour le nom par exemple, eux et moi ne pouvons le faire).
[^] # Re: Multi-licences pour plaire à tout le monde, c'est possible ?
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Utilité des CLA quand on fait du libre et que du libre. Évalué à 10. Dernière modification le 20 mars 2018 à 20:44.
C'est un peu ça, en effet. Et c'est parfois violent, en effet. J'ai choisi un "camp" (en fait je suis passé de l'un à l'autre), mais sans insulter l'autre pour son choix (les deux vues sont libristes, que le meilleur gagne), mais en face on a parfois des quasi-insultes "vous permettez de fermer, vous être pas libriste du coup" (pour la version gentille). C'est chiant, surtout quand on permet à l'autre camp d'utiliser son code dans la licence souhaitée (l'inverse n'étant pas possible).
Perso j'avais déjà éliminé le copyleft pour justement ne pas me prendre la tête avec les cas spéciaux "bon explique moi, j'ai le droit ou pas?", je me permet de mettre un lien vers un journal dessus (que j'ai écrit) : Mon évolution vis à vis du copyleft. Mais le cas cité dans le journal a montré que choisir du copyfree n'est pas suffisant, alors j'adapte en fonction de ce que je rencontre : j'ai viré le copyleft quand j'ai rencontré trop de problèmes avec, et maintenant suite à un problème sur "pas la bonne licence" je multi-licencie pour régler cet autre problème.
Rendez-vous à la prochaine problématique.
A noter que si je faisais du CC0 ça serait sans doute encore plus simple, mais je n'en suis pas encore là (j'essaye d'utiliser le nom dans les autres logiciels qui embarquent mes libs comme moyen de vendre mes prestations futures, marchera ou pas, l'avenir nous le dira)
[^] # Re: C'est pas moi qui le dit !
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Utilité des CLA quand on fait du libre et que du libre. Évalué à 5.
Tout à fait.
Et c'est bien le problème : elle n'est que compatible.
Je t'invite à relire le journal, car être compatible n'est pas suffisant, c'est toute la difficulté et le sujet du journal.
Je t'invite à relire le journal, il parle d'une bibliothèque sous licence BSD qui a eu un gros problème (en fait : qui aurait eu un gros problème sans CLA).
quelqu'un qui aurait pensé que parce que c'est Copyfree il n'y a pas besoin de CLA n'aurait pas pu réutiliser sa bibliothèque pour ce projet (compatible mais pas relicenciable donc refusé).
Bon, du coup je me demande ce que j'ai loupé dans l'explication pour que le fait d'être BSD sans CLA aurait été un problème n'a pas été vu du premier coup. Gloups.
[^] # Re: Expérience littéraire
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Copyleft is censorship. Évalué à 3.
en effet (au détail près "les autres" sont ceux qui reçoivent, encore une fois ce n'est pas "les autres" du tout, il peut s'agir des fois que d'une personne).
Mais en fait ce n'est pas moi qui fait cette opposition, c'est le libre/copyleft ;-).
En effet, le libre est la pour protéger celui qui reçoit, et personne d'autre (aucunement l'auteur, aucunement "les autres", juste celui qui reçoit), et le protéger… De l'auteur (de son envie de limiter).
Et une personne qui fait du libre (copyleft ou copyfree) offre ce que celui qui reçoit demande, une liberté d’indépendance vis à vis de celui qui donne.
C'est pas facile à accepter, mais l'idée est bien une indépendance par rapport à l'auteur initial.
Désolé, mais il va falloir argumenter la. Je ne vois pas la différence, et à chaque fois qu'on a essayé de me montrer une différence "l'art c'est différent" (exemple perso, voir les commentaire sous ce journal), c'était pour ne pas respecter le libre et se croire "artiste" plus classe que "développeur", mais on fait tous des oeuvres et il n'y a pas de gens mieux que les autres.
Bref : quelle différence vois-tu? Perso je vois une suite d'octets de deux côtés, les deux peuvent "en être parlé" (à noter que pour ton exemple, "en entendre parler" n'est pas forcément facilement défendable devant un juge si il est chargé de trancher et voir si tu fais de la contrefaçon en récupérant une version dérivée de cette manière).
tout à fait. Je te signale juste que cette conséquence n'est pas automatique comme tu le croyais au début. Beaucoup de monde fait du libre/copyleft sans en comprendre le sens (par exemple en pensant que l'auteur va pouvoir automatiquement récupérer toutes les versions modifiées ;-) ), et après hurlent quand des gens utilisent les droits que l'auteur a conféré (un classique de voir de gens ne pas du tout être content que quelqu'un ai utilisé un droit offert, c'est "amusant" sauf pour la personne qui a utilisé le droit et se fait insulter alors qu'on lui a autorisé explicitement de le faire à la base).
Perso, j'ai déjà subi des attaques de personnes n'aimant pas l'utilisation de droits qu'ils ont donné, et c'est chiant (encore plus chiant que les gens pensant être dans l'idée du libre quand ils font du non commercial ;-) ). Donc si je peux expliquer à des gens ce qu'est le libre pour pas qu'ils attaquent en ayant bien faux, je préfère anticiper (car j'ai l'impression qu'avant tu aurais pu accuser une personne de ne pas vouloir te transmettre sa version modifiée alors que tu lui a donné le droit de ne pas le faire).
Attention de nouveau : le libre/copyleft n'a absolument rien à faire du commun. encore une fois le libre/copyleft s’intéresse à celui qui reçoit, et personne d'autre (donc pas le commun). Que certains essayent d'utiliser le copyleft pour le commun ne fait pas du libre une chose pour le commun, c'est juste un effet plus ou moins collatéral mais pas toujours le cas, que certains tentent d'utiliser pour leur but perso. C'est justement chiant de voir des attaques d'une horde d'intégristes libristes pensant que la GPL est pour le bien commun quand tu utilises un logiciel (ou œuvre littéraire) pas pour le bien commun (je précise bien : quand la GPL est respectée hein, on ne parle pas de violation de licence). Pas de soucis d'utiliser le copyleft pour le commun, mais le fair play obligerait à accepter quand le copyleft n'est pas utilisé pour le commun et qu'on a fourni ce droit, ou alors il faut changer de licence (et ne pas prendre le "hype" du libre… Ca ferait moins classe pour se faire mousser ;-) ). Bref j'espère du coup que tu n'attaqueras jamais (verbalement, légalement c'est mort mais déjà verbalement est chiant) une personne qui racontera ton histoire modifiée à des gens et que personne (ni la personne qui a modifié, ni ceux qui ont entendue l'histoire modifiée) ne voudrait te donne l'histoire modifiée, car tu as donné ce droit de te la cacher.
A noter que c'est difficile parce que même l' "inventeur" du copyleft n'est pas clair sur ce sujet (alors qu'il pourrait clarifier dans la licence qu'il file, mais il se garde bien d'être clair, ça ne serait pas marrant d'être clair dans les idées qu'on défend, on aurait moins de sympathisants :) ), parmi plein d'autres (petite pensée pour la GFDL parfois non libre créée par l' "inventeur" du libre…).
C'est un point de vue, qui se défend.
Perso je m’intéresse à celui qui reçoit donc on n'a pas le même but ni un avis sur ton but, mais si tu souhaites utiliser le copyleft pour ton but, je n'ai pas le droit de te dire de ne pas le faire, si ça marche pour atteindre ton but tant mieux.
J'ai initialement réagi à ton commentaire car tu avais l'air de penser (tu as dit faire du copyleft pour récupérer les versions modifiées, sous entendant toutes, enfin c'est ce que j'ai compris; bon après ce qui m'a fait le plus réagir c'est de dire aimer le domaine public à condition qu'il devient copyleft, et comme j'aime plus le domaine public que le copyleft ça m'a fait tilt ;-) ) que tu ne donnais pas le droit à des gens de te cacher une histoire modifiée alors qu'ils la présentent à des millions de personnes, alors que tu donnes explicitement ce droit de te cacher.
Au final je t'informe juste que tu donnes explicitement le droit à des gens de te cacher leurs modifs (dans certaines limites). Pas que je veuille le faire perso, mais au pire je suis parfois joueur et serait susceptible de le faire pour tester ta compréhension des droits que tu donnes ;-).
Mais encore une fois, je suis heureux de trouver des écrivains qui font du libre, c'est rare (et petite pensée pour pepper & carrot, dont l'auteur s'est fait insulter pour oser faire du libre "ça tue notre business" de la part d'auteurs dans le même domaine).
C'était gentillement dit, du coup j'ai de nouveau dérogé :).
[^] # Re: Expérience littéraire
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Copyleft is censorship. Évalué à 4.
Bon, je me fait une entorse à ne pas répondre, pour clarifier car tu sembles ne pas comprendre na différence entre "auteur" et "celui qui reçoit". Ce sont des personnes différentes. Y compris pour Affero qui ne change rien à la discussion (c'est un autre sujet, celui du service, mais Affero se fout toujours complètement de l'auteur).
Accessible à celui qui reçoit, pas à toi.
Le copyleft (et le libre en général) ne s’intéresse pas à l'auteur, il s’intéresse à celui qui reçoit. Même pour un livre. Même "hors cadre privé".
Imaginons que quelqu'un modifie ton oeuvre copyleft et la rediffuse à 1 Million de personnes sans que tu sois inclus.
Tu penses que tu pourrais récupérer cette oeuvre modifiée. Il n'y a rien de plus faux. Seuls les 1 Million de personnes (dont tu ne fais pas partie) récupère l'oeuvre.
La seule exception qui te permette de récupérer l'oeuvre est que si par hasard celui qui reçoit est l'auteur, mais il n'y a absolument rien d'automatique. On peut très bien faire le nécessaire pour que l'auteur ne soit jamais un qui reçoit (petit exemple sur comment faire, sans parler de libre payant que tu ne voudrais pas acheter).
Bref, il faut bien comprendre que le libre protège celui qui reçoit, pas l'auteur. Tant que tu n'auras pas compris que le copyleft ne s’intéresse pas à toi auteur mais à celui à qui tu fournis ton oeuvre, tu ne comprendras pas le copyleft surtout par rapport à ton but (incompatible avec le copyleft, déjà il y a eu du débat sur la licence NASA qui disait qu'il fallait envoyer un mail quand tu reçois l'oeuvre, Debian n'a pas aimé car ça pose un gros problème si tu es sur une ile déserte sans accès à l'auteur, alors si il faut envoyer l'oeuvre complète ben non)
Bref, il te faut choisir : son ton but est de t’intéresser à celui qui reçoit et le libre/copyleft est pour toi, soit le but est de t’intéresser à toi et le libre/copyleft n'est pas fait pour toi. Perso je préférerai avoir un auteur d’œuvres libres/copyleft qui sont très rares, donc je t'incite à ce que tu te mettes à penser à ceux qui reçoivent à la place de toi-même ;-).
Si tu ne me crois pas, lit les licenses (GPL, CC-BY-SA…), tu arriveras vite à voir que l'auteur n'est pas mentionné, seul celui qui reçoit a de droits (et devoirs).
[^] # Re: Expérience littéraire
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Copyleft is censorship. Évalué à 4. Dernière modification le 19 mars 2018 à 10:42.
Tu n'as pas compris le "problème" avec ta vision (fausse) du copyleft : rien n’empêche une personne de faire un dérivé de ton univers et de le présenter à des millions de personne sauf toi. a partir de là, comme tu n'as rien reçu tu ne peux pas rebondir.
tu penses que le copyleft s’intéresse à celui qui donne, que ce dernier est obligatoirement receveur de tout, c'est faux.
"à des travaux dérivés du mien, auquel cas je serai en ce cas celui qui reçoit." ta phrase est fausse. Tu n'est celui qui reçoit que si on veut bien de le donner (ce n'est pas obligatoire avec le copyleft).
Le problème n'est pas d'être clair envers moi, mais que le copyleft soit clair pour toi. Tant que tu penseras que le copyleft est pour l'auteur, tu ne comprendras pas le copyleft (le copyleft s’intéresse uniquement à donner des règles à celui qui reçoit, sans obliger à reverser à l'auteur qui n'est pas forcément une personne qui recevra les travaux dérivés).
Je comprend que tu ais cette idée que le copyleft permet d’être "tout le temps" avec toutes les versions à ta disposition car pas mal de pro-copyleft pensent que c'est le cas et "vendent" le copyleft avec ça, mais qu'il y ai plein de monde qui (se) mente n'en fait pas une vérité.
Si tu veux un exemple concret, les serveurs Google sont sous une version Linux modifiée, Linux est GPL, mais personne à part Google n'a cette version modifiée, bien que Linux soit sous GPL. Tout simplement parce que Google n'a jamais distribué cette version de Linux publiquement (donc il n'a aucune obligation par le copyleft). C'est pour ça que je te dis que si ce qui t’intéresse est d'avoir toutes les versions d'une histoire, le copyleft n'est pas adapté (au contraire).
Bien comprendre que le libre et le copyleft ne s’intéressent qu'à ceux qui reçoivent, et aucunement à l'auteur ni au "bien commun" (aucune obligation sur le sujet, seul celui qui reçoit est le sujet).
Mais tu as dit "bien volontiers" avec condition que le domaine public soit copyleft, et ça fait croire que tu aimes bien le domaine public, alors qu'il te dérange beaucoup. Ton discours n'est effectivement pas clair. Je n'ai pas dit que tu penses que le domaine public n'est pas sympa, j'ai dit que tu laisse croire que le domaine public te plaît alors qu'il ne te plaît pas du tout (tu refuses l'idée de non libre possible, complètement incompatible). Ce n'est pas mal de ne pas aimer soit-même le domaine public, mais pas la peine alors de dire "j'abandonnerais bien volontiers ce genre de licence pour élever directement dans le domaine public" alors que tu ne penses pas du tout à le faire (la condition que tu mets étant impossible à avoir, car complètement incompatible avec l'idée de base du domaine public).
bref, maintenant tu sais et tu peux te renseigner plus si la problématique t'interesse, et je sais que ça ne plaît pas à beaucoup de monde (qui aime bien croire que des choses font ce qu'elles ne font pas, et pas question de regarder les faits) donc je ne continuerai pas à me faire moinsser pour expliquer plus les problématiques.
[^] # Re: Le pire
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Copyleft is censorship. Évalué à -3.
Merci pour le lien, je comprend mieux d'où vient la notion de "censorship" de la personne critiquée dans le journal.
En fait, des gens aimant le copyleft ont juste donné de belles armes à leurs adversaire en racontant n'importe quoi, et en utilisant un mot ("censorship" machine) complètement hors sujet, ce qui permet aux adversaire du copyleft de le reprendre pour eux en racontant tout autant n'importe quoi sans qu'une personne intellectuellement honnête ne puisse départager les deux intellectuellement malhonnêtes, donc il n'aidera personne.
Je resterai à jamais impressionné par la capacité des gens à se tirer une balle dans le pied, et surtout à ne pas s'en rendre compte quand l'adversaire en profite pour réutiliser (perso ça me fait sourir de voir des gens s'offusquer de l'utilisation de "censorship" quand l'adversaire l'utilise tout en défendant le mot quand son "camps" l'utilise, bravo pour la capacité à la mauvaise foi)
[^] # Re: Expérience littéraire
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse au journal Copyleft is censorship. Évalué à -5.
Euh… Si c'est la raison, le copyleft n'est absolument pas fait pour toi.
Le copyleft (et le libre en général) s’intéresse à celui qui reçoit, et absolument pas à celui qui donne.
Si tu ne reçois pas de nouvelles briques, tu ne peux les utiliser même si elle existent ailleurs (à un endroit qui ne t'es pas accessible). Et toute licence qui oblige à fournir quelque chose à celui qui donne (ce que tu dis vouloir) est considérée non libre (et non copyleft).
Euh… tu dis que si le domaine public devient le copyleft, tu aimeras le domaine public. Forcément. Mais dans ce cas la le domaine public s’appellera copyleft. Ca me fait penser aux gens contre la peine de mort à part pour les méchants.
Si on aime le domaine public, par définition du domaine public on peut mettre zéro limitation, et toi tu veux mettre une limitation.
Pourquoi ne simplement pas assumer et dire que tu n'aimes pas le domaine public (au contraire, il est complètement contraire à tes idées telles que tu les présentes dans ton commentaire)?
Bref, il y a incohérence entre ce que tu dis vouloir (copyleft et domaine public pas sympas car tu ne peux pas bâtir sur ces nouvelles briques qui ne seraient pas de moi, sauf exception genre que tu arrives à récupérer ce qui a été fait en copyleft, et alors pour le domaine public c'est carrément bien incompatible) et ce que tu dis aimer, tu devrais clarifier et choisir entre les modèles cités car ils sont incompatibles entre eux.
Ne préférerais-tu pas avoir une cohérence entre tes choix pratiques et ton discours d'un côté et tes idées de l'autre? Car pour le moment, le premier à qui tu mens est toi-même.
[^] # Re: Genre...
Posté par Zenitram (site web personnel) . En réponse à la dépêche Khaganat, des stands et des avancées. Évalué à 2.
Si le sujet t’intéresse, tu peux commencer puis suivre les liens par exemple avec Wikipedia : Le troisième sexe.
Extrait : "La biologiste et professeur d'études de genre Anne Fausto-Sterling a argumenté dans un article de 1993 qu'une classification en cinq genres serait plus appropriée pour décrire le corps humain que les deux habituellement admis"