lejocelyn a écrit 714 commentaires

  • [^] # Re: Villani et son domaine de compétence…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal "Intelligence artificielle", vraiment?. Évalué à 2.

    Mouais, ce peintre grec, il parlait latin ? Ça me parait louche comme citation.

  • [^] # Re: mauvais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal "Intelligence artificielle", vraiment?. Évalué à 3.

    À noter que la personne interrogée par l'Express, Luc de Brabandere, n'est, selon Wikipedia, ni philosophe de formation ni du domaine académique, il est ingénieur civil en Mathématiques Appliquées, formé à l’UCL.

  • [^] # Re: Genre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Khaganat, des stands et des avancées. Évalué à 6.

    C'est bien là toute l'erreur : tenter de tirer un lien entre un protocol de comunication partagé par tous et les relations humaines.

    La langue n'est pas un protocole neutre. D'ailleurs, même les protocoles informatiques ne sont pas neutres. Il y a une sorte de dogme très étrange qui circule comme quoi l'outil serait neutre, tout dépend de la manière dont on l'utilise… Ben non, un outil est le résultat de choix pour le fabriquer, d'un contexte de production, d'un contexte algorithmique : une façon de voir un problème pour le résoudre, de matériaux utilisés. Tout ceci a des causes et des conséquences sociales, écologiques, politiques, etc.

    La langue n'est pas un organisme indépendant de la volonté des personnes qui la pratique. Elle est aussi le résultat de nombreux facteurs sociaux : «le masculin l'emporte» est le résultat d'une politique linguistique catholique du XVIIe siècle. Proposer :
    "si le genre n'est pas défini ou multiple, on applique le masculin par défaut", tout le discours complotiste d'hommes blancs aisés d'un âge avancé dominateurs s'effondre.

    Non, ça revient au même, je ne vois pas ce qui s'effondre. Reformuler un dogme masculinisme différemment ne le rend pas plus acceptable. Appliquer le masculin par défaut est le problème. Les choix par défaut ne sont pas neutres mais ont un sens, souvent provenant de celui à qui il profite. On pourrait en revanche créer de nouveaux genres en français: neutre, multiple, etc.

    "La finalité d'une langue est de se comprendre" : bof. Comme disait plus ou moins A. Culioli: "la compréhension est une forme particulière de malentendu". Mon impression, c'est davantage qu'on se comprend très peu et que l'enjeu d'une communication est rarement de communiquer des informations factuelles/référentielles. Voir la langue comme un protocole de communication relève d'une idéologie bien limitante.

    Si les "patois" ont disparu, c'est qu'il y a eu des politiques pour : massacrer les mauvais révolutionnaires qui les pratiquaient, les interdire et les dévaloriser. Faut se renseigner un peu.

    Quant à l'inégalité salariale, il s'agit d'une des inégalités qui, parmi les féministes que je fréquente, d'opinions très diverses, a le moins d'importance.

    Bon, je m'arrête là

  • # Lapin compris

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Lister rapidement les liens d'une page web. Évalué à 4.

    Je n'ai pas compris ce journal :'( je me sens bête. Qu'est-ce une page web cul-de-sac ? Un exemple ?

    Et cette ligne de code javascript, en quoi simplifie-t-elle la vie ? Je veux dire, ok, je vois bien que ça permet d'afficher tous les liens de la page dans l'outil de dev de Firefox, et ensuite ? Quel rapport avec le marque page ? est-ce qu'il y'a moyen d'exécuter l'outil de dev et une ligne de javascript via un raccourci vers un marque page ? si oui, je n'ai pas trouvé comment…

    Sinon, effectivement, je trouve qu'une extension pour créer des raccourcis claviers de manière dynamique vers les liens, comme le propose Konqueror par exemple, serait un gros plus. Ça existe ?

  • # Peu claire cette info sur l'enregistrement des images

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de LibreOffice 6.0. Évalué à 7.

    «Les images dans les documents sont modifiables. Lorsque l'on sauvegarde une image issue d'un document, on peut sauvegarder la version originale ou la version modifiée.»

    Je ne suis pas certain de comprendre. «Quand on sauvegarde une image issue d'un document […]» : D'un document Libreoffice ? parce que sinon, j'ai du mal à comprendre comment une image peut ne pas provenir d'un document. «[…] la version modifiée.», la version modifiée dans Libreoffice j'imagine, mais donc qu'est-ce que ça donne pour les images liées au document .odt mais pas incluses dans le fichier ? est-ce le même fonctionnement ? Si j'ai bien compris, au sein du document Libreoffice, la version originale d'un fichier, avant sa modification avec les outils intégrés, est enregistrée ainsi que la version modifiée. Est-ce qu'il y a une gestion des versions des images intégrée dans Libreoffice ?

    Au niveau ergonomie, la question totale, en oui ou non, me semble stupide, ça serait plus clair de dire : «Quelle version souhaitez-vous enregistrer ? la version originale | la version modifiée».

  • # C'est quoi « ne pas travailler » ? :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Je travaille/passe du temps au travail, en moyenne et par semaine. Évalué à 2.

    Une option à rajouter au sondage :(

  • [^] # Re: alerte?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Apple change la licence de CUPS. Évalué à 7.

    Je pense que le commentaire de maclag faisait référence au texte d'Apple en lien dans le journal :
    «Apple is excited to announce that starting with CUPS 2.3 we will be providing CUPS under the terms of the Apache License, Version 2.0.»

    Apple présente le changement de licence comme une fonctionnalité «extraordinaire». Si j'étais médisant, je dirais que c'est simplement la tendance d'Apple à présenter tout changement de leur part comme révolutionnaire. Après réflexion, la licence d'un logiciel étant un point qui m'importe particulièrement, un changement de licence est en fait, effectivement, un changement révolutionnaire:

    https://www.gnu.org/licenses/license-list.fr.html#SoftwareLicenses:
    «Veuillez noter que cette licence n'est pas compatible avec la GPL version 2, car certaines de ses conditions ne figurent pas dans cette version de la GPL. Cela inclut des clauses de fin de brevet et d'indemnisation. La clause de fin de brevet est une bonne chose, c'est pourquoi nous recommandons la licence Apache 2.0 pour les programmes de taille importante, de préférence aux autre licences permissives (laxistes).»

    Hum, le texte en français n'est pas ultra clair (la référence du pronom «ses» n'est pas bien définie), en fait la licence Apache dispose de clauses concernant la fin de brevet de d'indemnisation. Je n'ai pas été voir les textes originaux mais si le projet GNU recommande l'Apache à la GPL 2, je leur fais confiance.

    Donc, pour conclure, le passage de la GPL 2 à la licence Apache 2 est bien d'une évolution positive d'un point de vue libriste. Eh beh, je ne pensais pas que, en fin de compte, j'approuverai un changement de licence de la part d'Apple sur un projet libre dont ils ont acquis les droits.

  • # Une information un peu orientée, mais pas forcément stupide...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Propriété intellectuelle dans la recherche public. Évalué à 5.

    Il me semble qu'en gros, ce document ne dit pas de fermer l'accès aux résultats de la recherche mais de faire attention. Après, c'est vrai que la plupart des personnes non sensibilisées à l'accès ouvert aux résultats de la recherche verront ça comme : comment se faire des sous avec ses études. Ceci dit, de ce que je connais, la recherche en anthropologie, en linguistique et en sciences humaines dans l'aire "Océanienne", la plupart des chercheurs sont très sensibles au fait d'avoir de pouvoir partager au plus grand nombre les résultats de leur recherche.

    On peut voir aussi le problème inverse : l'utilisation par des entreprises privées de résultats financés par du public. Si un chercheur ne fait pas attention et qu'il communique des résultats non publiés à une entreprise privée, celle-ci pourrait, suivant les accords négociés, ou au contraire, le vide de négociations, utiliser ces résultats à son compte, sans retour vis-à-vis de l'institution public qui a effectué la recherche.

    Si effectivement l'objet de ce document semble de rendre rentable les recherches, cette rentabilité peut être ouverte (bon, je ne vois pas du tout le rapport avec le développement durable ceci-dit). Par contre, il faut concevoir cette gestion des résultats scientifiques.

    PS : Je n'arrive pas à lire le texte en blanc dans le coin en bas à droite de l'image (AVANT TOUT TRANSFERT).

    PS bis : niveau vocabulaire, qu'est-ce qu'un MTA ? et un accord de secret ? des exemples de textes ?

  • [^] # Re: Du Sextoy au "Dark Web"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de livre : La face cachée d’Internet, de Rayna Stamboliyska. Évalué à 0.

    Si l'on remet dans le contexte de l'époque, c'était clairement machiste. Il ne faut pas oublier que ces personnes étaient chrétiennes, l'idée était que le sexe masculin était fondamentalement meilleur que le sexe féminin, sexe fautif devant l'éternel du fait du péché originel… Le propos de ces réformes de l'époque était justement de diriger la grammaire française de l'époque (on est en train de fixer et normer le français à cette époque) à l'idéologie patriarcale. Du point de vue de ces réformateurs, il ne fait d'ailleurs aucun doute qu'à travers la langue est véhiculée une idéologie. C'est un peu l'hypothèse de Sapir-Whorf, comment la langue engendre une perception du monde.

    Pour se convaincre de l'idéologie dominante, machiste, des promoteurs de ces réformes, il suffit de citer Vaugelas, un proche de Richelieu, qui a joué un rôle important à l'époque à l'académie française, selon Wikipedia :

    Dans ce même ouvrage, Vaugelas invoque la noblesse du masculin pour justifier qu'il l'emporte sur le féminin :
    « Trois substantifs, dont le premier est masculin, et les autres deux féminins, quel genre ils demandent. Parce que le genre masculin est le plus noble, il prévaut tout seul contre deux ou plusieurs féminins, quoiqu’ils soient plus proches de leur adjectif. »

    Il n'y a pas de confusion dans le livre car l'autrice ne fait pas référence à la dénotation, ce à quoi renvoie concrètement un mot, de l'expression «un ministre» mais à la représentation sociale que l'expression véhicule. Les noms de fonctions sociales sont majoritairement "genrable" d'un genre à l'autre (bon, je l'accorde, ça serait à mieux vérifier), pourquoi créer une exception pour la fonction de ministre ? Ce que le livre l'Académie contre la langue française montre, c'est que, de pratiques existantes dans la diversité des façons de parler et écrire le français à l'époque, les fondateurs de l'académie française ont choisi de supprimer des noms de fonctions sociales existant au féminin et de changer le genre de nombreux termes (du masculin vers le féminin ou du féminin vers le masculin) selon que les valeurs associaient aux termes. Ce qui est intéressant, c'est qu'aujourd'hui, de nombreuses personnes refusent des politiques linguistiques qui changeraient la langue française pour mieux refléter des valeurs égalitaires ou équitables, sous prétexte que c'est la langue qui est comme ça, alors que les Académiciens du 17e ne se sont pas gênés pour faire ces choix.

  • [^] # Re: Du Sextoy au "Dark Web"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de livre : La face cachée d’Internet, de Rayna Stamboliyska. Évalué à 1.

    Le mot "auteure" existe puisqu'il est employé par certains locuteurs français. C'est assez étrange de dire : «Cet objet n'existe pas.» alors que quelqu'un vient de l'utiliser Après, qu'un dictionnaire ou toi le juges inapproprié ou ne le (re)connaisse pas, c'est un autre sujet. De mon côté, je préfère "autrice".

    Après, si l'on apprécie la politique linguistique masculiniste favorisée par Richelieu à travers l'Académie Française, son ami Vaugelas et de l'abbé Bouhours, c'est un débat politique qui mérite d'être discuté. Une petite lecture sur le sujet :
    L'Académie contre la langue française.

  • [^] # Re: Sexe

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mozilla Common Voice : vers une reconnaissance vocale libre. Évalué à 2.

    Mouais, c'est bien différent du genre, mais ça ne rend pas le genre inopérant pour autant. Il me semble que pour être précis, distinguer les deux, genre et sexe, serait intéressant. J'ai en fait dû mal à imaginer comment la manière dont quelqu'un s'identifie socialement, par exemple pour le genre sexuellement, n'influerait pas sur sa voix (timbre, rythme, prosodie, etc). On pourrait aussi mettre sa catégorie socio-professionnelle, je suis presque certain que l'on verrait des distinctions régulières opérer.

  • [^] # Re: Il y a un mais !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Grammalecte, correcteur grammatical [2]. Évalué à 3.

    Des petites recherches ici et sur les classifications des verbes par des chercheurs en linguistique (je ne sais pas qui sont les grammairiens, les profs de français ? les puristes qui ont une vision normative de la langue ? les académiciens ?) qui travaillent à l'étude du français, montre la très grande diversité existante dans les regroupements des verbes à l'écrit (on pourrait discuter de l'oral aussi, mais ce n'est pas l'objet de Grammalecte).

    • On peut classer les verbes sur des critères sémantiques, j'imagine que ça permettrait de mieux gérer les prépositions qui suivent possiblement ou non un verbe, de même suggérer des erreurs, notamment aux apprenants du français.
    • On peut classer les verbes sur des critères morphologiques (la conjugaison), ce qu'on fait lorsqu'on parle des trois groupes de verbes. Bah, si on a recenser l'intégralité des 7000 et quelques verbes officiels du français, ça peut être utile. Après, y a toujours le problème de la créativité et des néologismes, mais un coup de dictionnaire dynamique et hop hop.
    • On peut classer les verbes sur des critères étymologiques (comme le classement en quatre groupes de verbe). D'un point de vue grammatical, je ne vois pas trop l'intérêt, mais pour l'analyse du discours, pourquoi pas. Antidote le fait d'ailleurs.
    • On peut classer les verbes sur des critères syntaxiques. Bo, j'aime pas les approches syntaxiques, les linguistiques ayant des approches grammatico-logiques ne font que ça. Cette approche peut sûrement aussi filtrer facilement un certain nombre d'erreurs, mais pour faire des trucs complexes, il faut un étiquetage complexe.
    • On peut faire du bourrinage en n-grams et liste blanche, ça c'est une approche qui serait marrante à tester en se basant sur les corpus massifs du français. Ca serait un peu normatif à priori, vu que les tournures qui ne seraient pas dans le corpus serait considérées comme erronées, mais combiné avec d'autres approches grammaticales, on pourrait éviter de nombreux positifs-faux et faux-positifs.

    Après, en faisant plusieurs passes, on doit pouvoir mélanger les résultats pour arriver à quelque chose de sympa.

  • [^] # Re: Résultats

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Résultats des elections, qui est le vrai vainqueur ?. Évalué à 1.

    A noter que ce n'est pas ce que disent les définitions données en lien…

    Les deux termes possèdent la même étymologie mais ont bifurqué au niveau du sens. Pour le terme "flegme", aucune référence à un trait de caractère qui serait typiquement britannique n'est donnée. D'ailleurs, quel serait l'intérêt de préciser "britannique" quand on dit : "flegme britannique" ?

  • [^] # Re: Genèse d’un journal

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Marre des cons. Évalué à 4.

    Merci pour ce journal qui participe à ce qu'il dénonce ! Faite ce que je dis, pas ce que je fais…

    En tout cas, content que ça n'était que du second degré concernant ta conduire, je te souhaite bonne route :=)

  • [^] # Re: Lenteur de LibreOffice

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de LibreOffice 5.3. Évalué à 10.

    Apparemment, ça serait un problème lié à GTK. Je viens de participer au rapport de bug sous Fedora :

    https://bugzilla.redhat.com/show_bug.cgi?id=1396729

    Si jamais tu as fait un rapport ailleurs, est-ce que tu pourrais (me) le signaler ? que l'information soit remontée dans le rapport de bug.

  • [^] # Re: flux RSS

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Govtracker - liste de décisions gouvernementales. Évalué à 1.

    Ce qui serait encore plus sympa, c'est d'avoir le contenu entier de l'info dans le flux RSS.

  • [^] # Re: Quelques idées de fonctionnalités intéressantes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche PAMPI — Présentations avec Markdown, Pandoc, Impress. Évalué à 3.

    Merci pour ces réponses. Je me doutais bien qu'on pouvait le faire en HTML mais je me demandais si c'était faisable via ton interface.

    Sinon, est-ce que tu veux qu'on t'envoie nos créations ? ou alors es-tu intéressé par des rapports de bug ?

  • [^] # Re: Quelques idées de fonctionnalités intéressantes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche PAMPI — Présentations avec Markdown, Pandoc, Impress. Évalué à 2.

    Je n'avais pas vu que Slides était basé sur la bibliothèque Reveal.

  • [^] # Re: Quelques idées de fonctionnalités intéressantes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche PAMPI — Présentations avec Markdown, Pandoc, Impress. Évalué à 2.

    Hum, il y a aussi Slides qui semble intéressant mais le côté : "vos données sur mon serveur" fait que je ne m'en servirai pas. Si ça peut te donner des idées :)

  • # Quelques idées de fonctionnalités intéressantes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche PAMPI — Présentations avec Markdown, Pandoc, Impress. Évalué à 3. Dernière modification le 09 février 2017 à 07:36.

    Ce logiciel de présentation me semble très bien, je pense que je ferai ma prochaine présentation avec.

    Parmi les fonctionnalités qui me semble manquer, je vois :

    • changer la couleur de fond.
    • mettre une image dans comme fond, pour tout la présentation ou pour une étape.
    • permettre les liens/menus si l'on souhaite réaliser une présentation non-linéaire.
    • permettre l'inclusion d'une page web (locale ou externe) à l'intérieur de la présentation.

    Par contre, un des défauts du markdown apparemment, c'est de ne pas pouvoir faire des mises en forme complexe. Un truc que je trouverais bien pour pallier cette contrainte, c'est de pouvoir faire des modèles complexes pour la présentation, qui pourrait inclure des éléments comme une première page bien travaillée, menu en bas ou à gauche de la page, nombre de diapo restantes ou fil d’Ariane.

    En fait, j'aimerais un mix entre ce qu'on peut faire avec LateX/Beamer et ce logiciel :)

  • [^] # Re: Financement annulé

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Création d'une revue scientifique libre et sceptique. Évalué à 4.

    Si tu es encore motivé par ton projet, je te conseille de lire la page du Public Knowledge Project. Il propose notamment des logiciels libres liés aux problématiques de la publication scientifique :
    - gestion de conférence,
    - gestion d'un journal scientifique,
    - aide à la publication d'une monographie,
    - moissonneurs.

    Peut-être pourrais-tu participer aux développement de ces logiciels si tu les trouves intéressant ou alors t'en inspirer.

    Bonne continuation en tout cas, j'espère que tu ne te décourageras pas car c'est clairement un secteur qui, s'il n'est pas à inventer, manque tout de même de mains.

  • [^] # Re: Utilisation de "sévir"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La fin des liens morts sur Wikipedia ?. Évalué à 3.

    Bah, cela ne me choque pas, l'auteur reprend simplement le terme employé précédemment, mais après avoir explicité son rôle. Le lecteur fait facilement le lien avec l'explication et réinterprète le deuxième terme avec un peu d'humour.

    Après, c'est sûr qu'il ne faut pas simplement associer à un terme une définition à la manière d'un dictionnaire mais comprendre et accepter que les mots peuvent être redéfinis au fur et à mesure de la progression du texte.

  • [^] # Re: Curieux adjectif

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Faille dans ImageMagick. Évalué à 0.

    Mouais, malin dans le sens affiché comme premier par l'atilf.fr, «Qui est enclin à faire du mal, du tort à autrui.», me semble vieilli et je lui attribuerais davantage le deuxième sens «Qui fait preuve d'ingéniosité, de ruse, de roublardise.». D'ailleurs l'exemple de l'expression «tumeur maligne» montre bien que ce sens est figé par une expression particulière et n'est pas révélatrice de son utilisation la plus régulière.

    Puis, quoi qu'il en soit, il est plus important de voir, dans le contexte, si réellement il y avait l'intention de faire du mal de la part du développeur responsable du code avec la faille.

  • [^] # Re: bruter-forcer...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal miniurl ki pu. Évalué à 1.

    Hum, je ne sais pas si il y a un rapport direct entre une attaque par recherche exhaustive ("brute-force") et la violence de l'attaque, mais suivant la manière dont l'attaque est menée, la recherche exhaustive peut entrainer un déni de service.

    'fin bon, comme toujours, pour bien traduire, il faut connaître le texte dans son ensemble, l'intention de l'auteur original et l'audience :) Faire des listes d'équivalence terminologique, c'est bien pratique, mais ça ne peut suffire car il n'y a que peu d'équivalence 1:1 entre les langues (même lorsqu'il s'agit d'objet normé terminologiquement) . C'est sûr que des langues comme le français et l'anglais, qui sont relativement proches pour de nombreuses raisons historiques et linguistiques, ça marchote pas trop mal, mais si vous procédez de la même manière avec le nisvai, vous risquez d'avoir des problèmes ;)

  • # bruter-forcer...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal miniurl ki pu. Évalué à 1.

    … hum, forcer comme une brute ;)

    Plus sérieusement, forcer me semble passer dans le contexte. Sinon, en regardant http://www.crisco.unicaen.fr/des/synonymes/forcer , ça donne quelques idées.
    Je trouve les suivantes pas trop mal, suivant la manière dont on tourne la phrase et l'dée qu'on veut amener :
    - abuser, altérer, détraquer, fracturer, pénétrer par force, s'introduire en forçant, surmener ou outrer (le serveur).