Ysabeau 🧶 a écrit 7695 commentaires

Ysabeau installe toutes ses polices à la mano, principalement parce qu'elles ne figurent pas dans la logithèque de Mageia (Ysabeau n'y figure pas par exemple) 🙂

Mais effectivement d'abord la logithèque, ensuite la solution manuelle.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Soit la police est dans la logithèque de Linux Mint et elle s'installe comme n'importe quel logiciel de la logithèque. Soit elle ne l'est pas. Dans ce cas la récupérer sur un site qui la propose en téléchargeant, par exemple MyFonts. Dans ce cas, la dézipper et glisser les fichiers dans le dossier .fonts.

Pour voir ce fichier, il faudra afficher les fichiers cachées (menu Affichage de l'explorateur de fichier généralement).

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Plutôt plus que moins concernant l'état d'OpenOffice.

Concernant LibreOffice, si on veut avoir la dernière version (pas celle livrée avec Linux Mint), ce tutoriel est complet. Personnellement pour ma Mageia j'utilise la méthode 3 (avec les paquets pour Mageia, qui ne sont pas les mêmes que pour Linux Mint) que je trouve très facile. Sachant que si on utilise cette méthode, il y a un ordre à respecter : l'installation de l'application, puis du pack de langue puis de l'aide en local.

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Oui de toute façon créer des styles de cadre.

Un style qui aurait la largeur en pourcentage du paragraphe par exemple et une taille automatique en hauteur. Et insérer les images dedans. Mais attention à la taille des images…

Quand on va sur Insérer > Cadre, si on veut que le cadre s'adapte cocher la case Taille automatique.

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En discutant avec "les vrais gens",

C'est qui?

Quelque chose qui ressemble à du mépris de classe justement :-)

C'est une question de culture, d'information, cela concerne tout le monde, toutes classes sociales confondues.

Absolument.

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Pour ajouter les données de cette base (qu'elle peut continuer à maintenir dans Calc, c'est ça le génie du truc), elle va dans Affichage > Source données, elle sélectionne un ou plusieurs (CTRL + Clic) enregistrements et elle clique sur l'icône Données dans le texte, choisir Champs.

Choisir plutôt Texte à la réflexion, ça fonctionne mieux si on veut, par exemple, avoir une ligne avec le plat et le prix détaché par une tabulation et une ligne avec la composition. Ensuite, si on veut que le texte de la composition soit par exemple plus petit et en italiques, pour affecter le style ad hoc ce sera plus facile.

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Tu peux les écrire en Python, je sais pas si ça peut aider.

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Si tu peux faire une macro qui s'utilise avec Draw, ce serait le pied :-)

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De quand date ton expérience ?

Là je travaille sur un document qui a un peu moins de 200 pages. J'ai des tableaux, au moins une formule de math, pour l'instant 40 images de tailles diverses, des tables et index sans problèmes et mon ordinateur est âgé (et en train de rendre l'âme j'en ai peur) avec 8 Go de RAM et un disque dur mécanique, pas un foudre de guerre donc.

Pour les images, ce qui pose problème c'est leur taille (grandes dimensions donc grand poids) : si elle ajoute les images sorties de son téléphone, ça va générer des fichiers énormes. Je suggérerais bien de faire ce que je fais actuellement :

• insérer toutes les images sur Draw, avec éventuellement une page par catégorie de produit,
• clic droit sur l'image : Position et taille > Position et taille, ajuster la taille en veillant à ce que le cadenas est coché,
• exporter l'image au format PNG : Fichier > Exporter et indiquer le nom de fichier avec l'extension plat.png (ça évite d'avoir à cherche le format dans la liste déroulante en bas à droite). Le truc un peu pénible parce que ce n'est pas un paramètre qu'on peut avoir par défaut et à ne pas oublier c'est de cocher la case Sélection en bas à gauche, sinon Draw exporte toute la page. Cela dit un nouvel exporter corrige le tir.

Là où c'est génial : c'est que Draw garde la taille originale de l'image donc on peut l'utiliser pour autre chose, genre un site.

Pour une carte de restaurant compte tenu de la taille des vignettes : 96 ppx de résolution suffisent (c'est la résolution par défaut).

Sinon, ça fait un bout de temps que ça me trotte dans la tête cette idée de faire des modèles de menus de restaurant. Si elle a deux-trois idées et si je peux avoir un vrai contenu de menu, histoire de jouer avec, je peux m'amuser à faire quelque chose, avec en prime un tutoriel.

Là, j'ai amélioré la feuille Calc en ajoutant une colonne de composition pour les plats (genre : salade, tomate, ognon), des plages et une condition de validité ce qui permet en prime de calculer combien il y a de différents types plats ou boissons.

A priori, elle devrait avoir besoin de, disons, deux heures (moins ? plus ?), pour intégrer ces procédures. Mais après une fois intégré, et avec le tutoriel pour lui rappeler comment faire, elle devrait gagner énormément de temps pour la confection matérielle de sa carte. Et en plus elle n'est pas obligée de sortir du logiciel pour ajouter un QRCode.

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Draw est un logiciel de dessin. Quand on sait l'utiliser, on peut faire pas mal de choses avec, ça m'épate toujours parce que je n'en suis pas fan.

Impress n'est pas non plus un logiciel de PAO : pas de notion fine d'approche, pas de cadres chainés, pas de trucs du genre.

Writer par contre oui : il y a des styles de cadres (pas dans Collabora Online), on peut les chaîner. Les styles sont utilisés quasiment partout. L'une des limites c'est qu'on ne peut avoir des cadres plus ou moins "tordus". Mais c'est là où Draw peut être utilisé : on peut prévoir des éléments avec le bon angle, éventuellement la bonne déco, les copier-coller dans Writer et pouvoir quand même modifier le texte. Et, bien sur, en bloquer la position.

Bref on peut avoir une mise en page complexe dans Writer et même facile à utiliser en prime et ça reste du texte.

Exemples :

• un modèle avec différents styles de cadres, tu insère ton cadre, tu ouvres ton volet latéral (qui devrait toujours être ouvert) et tu cliques sur celui que tu veux ; le cadre se mettra en forme et en place automatiquement,
• un panneau avec six éléments, même logique,
• ce modèle de CV, dont la version V2 n'utilise qu'un seul cadre ce qui le rend encore plus facile à utiliser, j'ai pris le modèle le plus "spectaculaire",
• le panneau en travaux pour montrer qu'on peut faire des affichettes avec Writer,
• une invitation.

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Merci, ça va mieux là ? Sinon je le mettrai ailleurs.

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C'est relié à une feuille Calc.

L'exemple, je n'ai pas beaucoup fouillé l'allure et la feuille Calc.

Grosso modo, pour utiliser la feuille Calc comme base de données, elle doit l'ajouter en tant que tel. La première fois elle devra Insérer un champ > Autre champ, puis, dans la boite de dialogue : Ajouter un fichier de base de données (bouton Parcourir). Elle n'aura plus à le faire. Elle peut virer le champ ensuite, elle n'en aura plus besoin.

Pour ajouter les données de cette base (qu'elle peut continuer à maintenir dans Calc, c'est ça le génie du truc), elle va dans Affichage > Source données, elle sélectionne un ou plusieurs (CTRL + Clic) enregistrements et elle clique sur l'icône Données dans le texte, choisir Champs. Dans l'exemple j'ai configuré le style corps de texte avec une tabulation pour les prix : champ Produit tabulation champ Prix (on peut faire des filtres, un filtre standard par exemple avec comme champ "Catégorie" et comme condition "Boisson" par exemple). En cliquant sur l'icône Données dans le texte, ça se met en place tout seul.

Pour les images, elles sont ancrées à la page. Un clic-droit dessus et Remplacer. La taille et la position sont protégées.

Et, évidemment, l'arrière-plan est dans le style de la page et dans la configuration de la section en deux colonnes.

Pour le Qr-Code : j'ai copié-collé le texte dans un autre document Writer, l'ai sélectionné et `Insertion > Objet OLE > QrCode. Ne restait plus qu'à copier ainsi l'image générée dans le "menu".

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J'ajouterais que ça sera plus facile pour elle de passer d'Office 365 à Writer qu'à Scribus.

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Si tu utilises les styles de cadres, peu de risques. Bien connaître l'outil c'est la clé. Writer ce n'est pas que pour du texte.

Mais tu peux utiliser les fonctions de "publipostage" pour ton menu. Pour les photos je sais pas trop (je ne l'ai jamais fait). Faudrait essayer. Et, évidemment si l'emplacement et la taille de l'image sont verrouillées, du peux les remplacer sans problème avec clic-droit > Remplacer.

Writer est un outil de PAO en fait. Avec un bon modèle ça devrait le faire.

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Pas bien configuré de surcroît, d'où les sauts de ligne qui rendent le texte moins lisible.

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En fait, en plus, avec les boutons tels qu'ils sont, tu peux voir d'un coup d'œil si tout est comme il faut. Je ne sais pas comment résoudre ça sur un ou des écrans de façon ergonomique, et, évidemment, pas besoin de fixer le bouton pour l'utiliser.

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Si, j'ai pu le constater personnellement, l'histoire de l'informatique ainsi que celle des sciences ça intéresse le lectorat de LinuxFr. Mais pas un lien vers Youtube sans autre contexte.

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On parle des structures qui organisent des manifestations sur le logiciel libre et des associations censées le défendre.

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N'hésite pas à proposer des noms, j'ai pas l'impression que LGM était hyper inspiré sur le coup, vu que l'aspect graphisme c'est pas du tout central chez RMS.

j'imagine que c'est un petit milieu et que t'as probablement vite fait le tour, d'autant que tout le monde n'est pas disponible pour faire des conférences.

Peut-être aussi que ce petit milieu n'est pas si accueillant que ça aux nouvelles têtes, peut-être qu'il reste planté sur sa vision sans vouloir peut-être aller au-delà et peut-être aussi qu'il y en a qui vouent un genre de culte à RMS.

Le fond du problème il est plus là que sur les personnes. Le petit milieu tourne en rond.

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Si on parle bien d'un fichier ODT, c'est normal qu'Excel n'arrive pas çà l'ouvrir ! C'est du traitement de texte. Si c'est un fichier ODS, il est possible qu'il pose effectivement des problèmes. Mais le support de l'ODF par MsOffice, loin d'être parfait, est correct.

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Depuis avant. MsOffice ouvre, travaille et enregistre les fichiers au format ODF depuis 2007 pour la version Windows, 2017 pour la version MacOS. C'est lié aux versions de MsOffice basées sur le XML avec leur version OOXML.

Ça ne veut pas dire que la compatibilité est parfaite.

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Tu peux même avoir une mémoire tactile qui te dira si c'est le bon bouton si tu fais ton réglage correctement. Avec un écran c'est impossible tout bonnement.

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Il y a une page du wiki avec des adresses de sites d'ordinateurs d'occasion.

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Ce que je te dis c'est que tout est caractère Unicode (ou pas) et qu'il n'existe pas une catégorie à part qui serait des caractères Unicode avec, à côté des caractères qui ne le seraient pas (au hasard l'alphabet latin réduit à sa plus simple expression). Bref qu'il est impropre de parler de caractères Unicode, ça n'existe pas en soi, c'est un codage (ou un encodage).

Après on peut imaginer ce qu'on veut, quelqu'un qui utiliserait des émoji dans un mot de passe si la zone de saisie du mot de passe permet ce type de saisie.

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Si un truc est codé en Unicode, les mots de passe sont forcément des caractères Unicode. Quand on saisit un truc sur LinuxFr par exemple, c'est de l'Unicode, même si on se limite aux seuls caractères reconnus par ASCII.

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