Journal Linux et Rock'n Roll

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22
août
2003
D'après une article de Tech News, un chef d'entreprise américain a pris des mesures radicales pour supprimer tout logiciel Microsoft de son entreprise. Sterling Ball est le PDG de Ernie Ball, le premier fabricant mondial de cordes de guitare. Il fournit tous les grands guitaristes, d'Eric Clapton jusqu'à Metallica.

La société installée à San Luis Obispo, Californie, a subi il y a 3 ans un controle de BSA (Business Software Alliance), l'organisme de controle de logiciels propriétaires conduit par Microsoft. (…)

La BSA aide GNU/Linux

Posté par  . Modéré par Benoît Sibaud.
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8
avr.
2003
Presse
Suite à un raid de la BSA chez Ernie Ball, ils ont décidé de se mettre en règle de la meilleure façon : Windows à la porte (NdM : remplacé par GNU/Linux + StarOffice).

Un ex-employé responsable de la gestion des licenses les a dénoncés à la BSA.
Ils ont subi un raid de marshalls armés et ont dû fermer boutique pour une journée complète. Ils ont ensuite été obligés de jurer qu'ils n'utiliseraient leurs systèmes que pour le strict minimum nécessaire à leur activité.
La BSA a évalué à 8% leur non-conformité. "Il est pratiquement impossible d'être en règle à 100%." Ils ont payé un règlement à l'amiable de $90000 dont $35000 de frais de justice payés à MS. Considérant que ce n'était pas une façon de traiter ses clients, Ernie Ball a décidé que sa société deviendrait "Microsoft free." Ils ont mis un an à se libérer et sont satisfaits ; ils n'ont pas été obligés d'acheter ni XP, ni de nouveaux PC.

Note du modérateur : voir aussi l'article Libé sur BSA: Des calculs antipirates simplistes

Le Venezuela vient de faire le pas!

Posté par  (site web personnel) . Modéré par DAGAN Alexandre.
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30
août
2002
Communauté
Linux Today nous gratifie d'un article a propos d'une nouvelle politique du gouvernement vénézuelien qui demande exclusivement l'utilisation de programmes Open Source dans l'administration (licence GPL).

La raison majeure est que dans les fonds consacrés aux achats de licences, 75% partent à l'étranger, 20% dans des sociétés de support étrangères, et 5% seulement aux programmeurs du cru.