Ysabeau 🧶 🧦 a écrit 6557 commentaires

Mise à jour continue ? Mise à jour permanente ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

En fait les questions concernant Da Scritch c'était cette semaine, non que ça ait une réelle importance en fait.

Je ne dirais rien sur les deux matières à soupir. Peut-être d'ici la fin de l'année 2019 ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

J'espère que ma correction est correcte (on ne sait jamais).

J'ai laissé cyclimse.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

CPU est une émission hebdomadaire de la radio FMR.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

De toute façon oui, je dirais :-)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Moi je ne comprends pas pourquoi ça me tombe dessus alors que je ne suis ni la seule ni la première dans ce fil à avoir parlé d'extension. Je pense, de toute façon que c'est oiseux et suggère qu'on s'arrête là sur ce point.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Désolée, façon de parler.

Et désolée pour ce que tu as subi étant môme. C'est pas drôle. Que cela arrive à qui que ce soit, ce n'est pas admissible. Dans l'histoire, c'est une question à la fois de caractère, de moment, d'éducation et de culture j'imagine. En outre, je doute qu'une photo non désirée de bite fasse le même effet à un homme qui en est équipé qu'à une femme pour laquelle cela peut plus facilement (tous les mots sont importants) être relié à des situations de viols ou, en tout cas d'agressions sexuelles. Les femmes subissent toutes des agressions sexuelles dans leur vie, les hommes moins, et elles sont plus nombreuses à avoir subi des viols. C'est un fait. Bref c’est tout un ensemble de facteurs.

Je comprends que cela soit difficile à comprendre et ça ne me pose pas de problème, mais je ne comprends pas pourquoi chez certains, cette incompréhension engendre une manifestation de rejet du sentiment exposé. "Je ne comprends pas, alors c'est faux".

Pas grave si ça reste un mystère, l'essentiel étant de ne pas nier le phénomène :-)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

(tousse et hors sujet, je suis parisienne maintenant).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Qu'est-ce qui importe le plus ? De pinailler sur une dénomination que beaucoup de gens comprennent et utilisent (pour en utiliser une qui ne leur est pas familière) ou de se poser la question des conséquences réelles d'un changement de lettres après le point dans un nom de domaine ?

Qu'est-ce qui importe qu'on communique réellement sur un problème ou qu'on ratiocine sur l'emploi d'une expression (parfaitement comprise d'une majorité de gens) ?

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Non c'est bon, merci.

J'ai grosso modo (mais pas pour tout) le même constat sur la mienne. Donc il faut que je vois comment améliorer le processus (pour ce document et les autres).

Le problème avec les notes de bas de page c'est que, pour l'epub je les transforme en note de fin de document, plus adapté pour ce mode et apparemment ça ne passe pas. Et là c'est récent, d'autres epub plus anciens n'ont pas ce problème.

Y'a du boulot pour revoir ça. Et je crains que le seule solution soit d'intervenir directement dans le xml. Soupirs.

Mais c'est vraiment très sympa de t'être prêté à ce jeu ennuyeux. Encore un grand merci.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Voilà, terme couramment employé comme on peut parler d'acheter un nom de domaine alors qu'on ne fait que le louer en fait.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je pense que c'est pertinent, en effet, parce que c'est aussi de l'informatique et qu'on voit bien que l'informatique doit être en phase avec la société et n'en est pas déconnectée.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Difficile de donner un exemple, mais quand ça arrive, selon les circonstances, on se sent sale à l'intérieur. Je crains qu'il ne faille vivre ça pour comprendre. Un peu comme l'expression "la douleur rendait sa vue trouble", on ne trouve la formule un peu idiote jusqu'à ça arrive un jour et là on comprend.

Désolée.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Honnêtement, c'est vraiment une expression que je ne peux pas supporter, pas plus que voir nazi à tout bout de champ, et quand il s'agit d'une correction c'est encore pire. Désolée.

(sinon ayant des origines lorraines, les Alsaciens, querelles ancestrales, toussa quoi).

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

En fait, après avoir rédigé la réponse, je me suis souvenue d'avoir eu affaire à ce genre de cas effectivement.

Le pire c'est que j'avais dans l'idée d'en rédiger un tutoriel, complètement oublié depuis. Bonne idée.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

J'ai corrigé mon commentaire en ce sens, sachant que, dans les dépêches, la correction ne se limite pas aux graphies et qu'il est de notre rôle de faire en sorte que la dépêche soit mise en valeur.

Donc cela concerne aussi l'ajout ou la modification d'intertitres, la correction des formulations malheureuses par exemple, ou encore l'ajout de liens ou d'informations pour rendre la dépêche plus accessible notamment des personnes ayant de forts déficits visuels (explications d'un schéma par exemple). Et, bien sûr la correction du texte : orthographe, grammaire, typographie.

Effectivement, pour le reste du site on ne fait rien sans demande expresse.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

On peut, je ferais ce que je veux dans le lot.

Maintenant, l'idée du financement ulule ou autre m'en donne une autre (j'ai effectivement un loyer à payer et des trucs dans ce genre). Après ce que j'appellerai ce galop d'essai de la série calendrier de l'Aventesque, si le résultat vous semble correct, je pourrai lancer un financement pour une collection plus ample et plus fouillée.

Sinon, de toute façon, je peux facturer ce genre de services :-)

Un des soucis quand on intègre des CV, c'est que leurs styles entrent parfois en collision avec les styles d'un autre document (on préfère qu'ils conservent leur style)

Là, il me faut des précisions sur les soucis et sur comment les documents sont fichus.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Non pour français, langue parlée (et écrite) un peu partout dans le monde et pas uniquement en France.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

C'est surtout désagréable, voire dérangeant surtout quand cela vient à l'improviste ou d'un inconnu. Je précise aussi qu'avoir affaire à des exhibitionnistes peut être très désagréable voire, laisser l'impression qu'on est souillée selon les circonstances.

C'est une forme d'agression. Pas compliqué à comprendre.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Astuce confidentielle, dans ce cas, on n'utilise pas le sarcasme. Enfin si, pour le travail du cuir, on le réserve à la finition.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

On peut aussi l'utiliser pour tanner le cuir.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je viens de réaliser que, chez Tolkien, on ne dit pas semi-femmes, et qu'on parle très peu des femmes hobbites. Rien à voir je sais.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Certes.

C'est plus une position généraliste, on l'aura compris. :-)

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

Je ne pensais que pas ce phénomène avait autant d'ampleur. On relèvera ce passage :

Même si je suis super heureuse d’être impliquée dans ce projet, je suis déçue qu’une victime de cyberflashing doive elle-même contribuer à trouver une solution. Ce problème existe depuis des années et je ne peux qu’imaginer les raisons pour lesquelles si peu de choses ont été faites pour le résoudre. C’est frustrant, et cela donne l’impression que nos préoccupations ne sont pas prises en considération. Peut-être que s’il y avait davantage de femmes aux commandes dans le domaine des nouvelles technologies, ce travail aurait déjà été fait.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.

En fait je ne supporte pas ce terme de grammar nazi, pour tout dire c'est extrêmement violent et ça me rend vraiment malade car cette manie de mettre du nazi dans n'importe quoi tend à minimiser une réalité épouvantable.

Et, du coup, les suggestions passent mal.

« Tak ne veut pas quʼon pense à lui, il veut quʼon pense », Terry Pratchett, Déraillé.