FDF a écrit 386 commentaires

  • # Le premier chapitre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Roman - Entre les mailles. Évalué à 3. Dernière modification le 04 décembre 2018 à 04:50.

    Sommaire

    Voici le premier chapitre, ce sera peut-être plus clair pour les discussions. Car en fait, ce qui est visible sur les sites, ce n'est que le prologue.

    Ici, il est difficile de respecter la mise en page originale. C'est donc un simple copier-coller du fichier brut.

    Chapitre 1

    Nathalie et Vincent étaient partis 5 jours plus tôt de Aït Keflavik. Leur équipe venait de terminer une mission de forage de six mois pour installer des usines thermiques sur la fracture atlantique. Le principe était simple. Il suffisait de canaliser les remontées d’eau chaude pour en exploiter l’énergie. Pour cela, le groupe avait percé une multitude de petits puits le long des effleurements magmatiques de la dorsale au sud de l’Islande. Construire des usines thermiques sur les failles était une méthode éprouvée pour obtenir de l’énergie facilement et économiquement. La dimension du chantier par contre était exceptionnelle. Il s’était étalé sur plus de cinquante kilomètres. À l’échelle sous-marine, cette distance était déjà importante. Même avec les scaphes rapides de liaison il fallait plusieurs heures pour relier toutes les stations du chantier. Ainsi, le travail avait souvent été solitaire ou par petit groupe. La plupart des échanges s’étant déroulés plus par les systèmes com qu’en face à face. Pourtant, chaque quart se réunissait en fin de semaine pour passer agréablement la période de détente.

    Un dimanche après midi, Vincent avait découvert sur une base de données historique l’origine des techniques employés. Un peu plus tard, il l’avait expliqué lors du repas, et ça n’avait pas amélioré ses relations avec l’équipe du chantier. L’un des premiers concepteurs des usines thermiques avait une femme biologiste. Elle avait en particulier étudié les termites et leur formidable capacité à faire circuler les calories d’un endroit à l’autre de leur immense réseau de galeries. Il s’était beaucoup inspiré des recherches de son épouse pour développer les systèmes forés permettant une transmission optimum des flux d’eau chaude. Vincent n’aurait vraiment pas du comparer l’équipe travaux aux thermites ouvrières, surtout quand il avait montré des photos de ces dites thermites. En définitive, la difficulté principale du chantier d’Aït Keflavik venait plus de son ampleur phénoménale que du principe qui était bien maîtrisé depuis l’installation des premiers Nautiques.

    En acceptant cette mission, Nathalie et Vincent avaient dû différer leur voyage de noces qui avait été offert par leurs amis, chacun ayant contribuer par un don personnel sur leur compte d'impact. Ils étaient restés toute la durée des travaux directement sur le chantier par plus de 3000 mètres de fonds. Impossible dans ces conditions de profiter de la semaine de vacances que leurs amis leur avaient offerte. Ils avaient donc décalé le voyage aux Antilles dans un hôtel mi-surface mi-immergé. Une interface comme tout le monde les appelaient. On y trouvait aussi bien des Nautiques que des atmosphériques. L’endroit idéal pour un lieu cosmopolite et les échanges culturels. Ils n’étaient pas pressés de retrouver l’air libre. Rester toute leur vie sous l’eau ne leur posait pas problème. Ils y étaient nés et y avaient grandi. Vincent se souvenait sans peine de sa première véritable incursion en surface, en dehors bien sûr de sa Présentation au Soleil faite alors qu’il n’avait pas un an. C’était quelque temps après ses dix-huit ans. Il venait de réussir ses examens avec brio et avait ainsi obtenu une bourse d’études à l’université des Açores. Ce jour-là, ses parents l’avaient accompagné au port de Corum pour prendre un billet pour la navette qui devait le conduire directement jusqu’aux Açores. Il devait s’y installer pour la rentrée universitaire. Le premier jour du voyage s’était déroulé confortablement. Les espaces communautaires et la cabine étaient suffisamment vastes selon ses critères de nautique. Mais les jours passants, une tension montait en lui. Son cœur se nouait, ses mains devenaient moites et de lancinants maux de tête lui vrillaient le crâne. Peu de temps avant son arrivée aux Açores il avait même fini par aller voir le médecin du bord pour s’assurer qu’il n’était pas victime d’une inadaptation à la surface. Il avait lu récemment que quelques natifs des profondeurs n’avaient jamais pu se réaccoutumer à la pression atmosphérique. Le praticien, un homme grand et sec l’avait tout d’abord écouté. Bien vite, il avait repéré l’origine du mal. L’inquiétude pour sa nouvelle vie suffisait amplement à expliquer tous ces symptômes. Il pratiqua alors l’une de ses pharmacopées préférées. Il prépara soigneusement deux tasses de café d’algue, sortit quelques biscuits et commanda à Vincent de s’installer dans le fauteuil de sa cabine. Pendant qu’ils buvaient leur café, il raconta à Vincent sa propre histoire lorsqu’il avait quitté la ferme de ses parents pour partir faire ses études de médecine. Avec force détails, il expliqua comment cette rupture l’avait marqué et l’avait nourri pour être au final un merveilleux souvenir. Tout cela était faux, mais la recette fit son effet et Vincent commença bientôt à voir l’expérience sous un jour nouveau et se détendit rapidement. Le stress des passagers était monnaie courante pour le médecin. Les Nautiques voyageaient peu alors le plus souvent, s’ils étaient dans la navette c’est que des raisons importantes les y obligeaient. Il s’inventait alors une expérience à même de réconforter ses patients.

    Les premiers Nautiques s’étaient installés en profondeur pour éviter la « GT », la « Grande Tornade ». Les bouleversements climatiques causés par le réchauffement planétaire avaient commencé progressivement. Les phénomènes météorologiques étaient devenus graduellement plus marqués et de plus en plus violents. Les bulletins météo signalaient le vent jusqu’à force 18 sur l’échelle de Beaufort. Mais bien souvent, au cœur de la saison des tempêtes, l’échelle était insuffisante. Les hommes s’étaient petit à petit terrés dans des abris plus solides. Des villes entières avaient été rayées de la carte. Les constructions millénaires s’étaient effondrées. La géographie des cotes avait été largement refondue. Les ancêtres de Nathalie et Vincent avaient décidé de vivre sous l’eau pour se protéger des éléments déchaînés lorsque les grandes pyramides avaient été entraînées dans les crues du Nil. Peu de monde les avait suivis, car les contraintes étaient fortes. L’espace vital était extrêmement limité et le confort très rudimentaire. Mais c’est surtout le sentiment d’exil qui avait rebuté la plupart des prétendants à cette nouvelle vie, à cette conquête des fonds. Vivant par 100 mètres ou par 1000 mètres de profondeur, la colonie était complètement isolée. Les quelques décamètres d’eau qui les protégeaient des tempêtes représentaient plusieurs semaines de transit pour revoir la surface. Par la suite, ils avaient nettement amélioré les procédures de décompressions. L’installation réelle des hommes sous la mer avait pu se faire lorsqu’on avait découvert les propriétés de certaines molécules organiques sur le corps humain à forte pression. Il ne leur restait plus qu’à gérer correctement les phases de compression et de décompression. Ils avaient largement optimisé le processus depuis, mais il fallait tout de même pas loin d’une semaine pour passer de –3000 à la surface. Les nouveaux mélanges utilisés à grande profondeur avaient compliqué la procédure de compression. Mais le temps perdu à la descente était amplement compensé par celui gagné à la remontée.

    À la fin de leur mission à Aït Keflavik, Nathalie et Vincent auraient normalement dû passer en décompression à la station de Reykjavík. Le poste hyperbare ressemblait à un empilement de tubes de grands diamètres reliés entre eux par des échelles de coupée et des écoutilles. Il pouvait accueillir jusqu’à cinquante personnes et une dizaine de pressions différentes. Les cylindres étaient alors hermétiquement séparés les uns des autres et chacun suivait sa procédure de changement virtuel de profondeur indépendamment. Nathalie se souvenait de sa première mission à Kerouet, en mer des Sargasses. La colonie d’aquaculteurs n’avait qu’une seule station de compression/décompression. Son contrat se terminant, elle avait dû patienter plus d’une semaine que le poste se libère. C’était la fin des vacances et un groupe d’enfants était en remontée pour partir à leur internat des Açores. Elle-même était arrivée une journée après le début de la « remontée » et avait dû ronger son frein en attendant son tour. La station de Reykjavik était dotée d’équipement de sport et était reliée aux réseaux. Mais même avec tout le luxe des nouveaux caissons, ce n’était pas l’idéal pour l’intimité. Alors, quand Thomas, le chef d’équipe, avait cherché un volontaire pour convoyer le foreuscaphe aux Açores, Nathalie s’était tout de suite présentée.

    Nathalie n’était pas pilote, mais responsable de maintenance, et la présence à bord de Vincent n’était pas très conforme à la procédure. Thomas n’avait pas le choix et puis de toute façon les pachas qui se doraient la pilule aux Açores n’avaient rien à dire. Faire convoyer un scaphe de travaux par un équipage n’était absolument pas réglementaire. Et en particulier une unité autonome de forage. Ce genre de scaphe n’était vraiment pas fait pour faire de grandes distances. Comme tous les engins de travaux, ils étaient fiables, robustes, mais aussi hydrodynamiques qu’un oursin. Alors, normalement on ne les déplaçait pas, et quand on devait tout de même le faire, ils étaient transportés en cargoscaphe. Ils avaient été obligés de rajouter des ballasts et des réserves rien que pour ce voyage. Les scaphes de travaux étaient tous plus ou moins conçus sur le même modèle. L’unité opérationnelle était surmontée d’une bulle de pilotage pressurisée et d’une seconde pour la conduite de la foreuse. Le foreuscaphe ressemblait à une chenille de 45 mètres de long et près de 20 mètres carrés de section. Seuls les deux bulles, les bras d’ancrage et les propulseurs dépassaient de ce grand tuyau. Le trépan sortait de l’avant de la chenille pendant qu’à l’autre extrémité les boues étaient évacuées. On insérait également par l’arrière les tubes nécessaires à l’avancement du percement. Ce foreuscaphe géant permettait d’obtenir des tunnels de plus d’un mètre de diamètre. Nathalie avait conservé la bulle de pilotage en l’état, mais avait aménagé celle de supervision du forage, en lieux de vie avec une vague couchette et une petite cuisine. Ils avaient entreposé leurs vivres dans le couloir de liaison des deux bulles, et une douche exiguë dans le sas principal. Le tout n’était ni pratique ni esthétique, mais ils étaient sûrs de pouvoir y profiter d’une grande tranquillité.

    Ce qui gênait le plus Vincent c’était d’être à ce point coupé du réseau. Assez grand et très pâle, surtout après six mois passés dans une station de travaux par 3000 mètres de fond, il portait son métier sur son visage. Ses yeux noirs profondément enfoncés dans ses orbites donnaient une impression maladive. Ses mains démesurément grandes et maigres ressemblaient à des araignées. Elles pouvaient très bien être parfaitement immobiles quand il était concentré comme, si véloce que ses doigts formaient une image floue sur le clavier. Vincent était normalement en liaison quasi permanente avec le réseau. Il souffrait de ne pas avoir accès à toutes les bases de données auxquelles il était abonné. Impossible d’avoir immédiatement une réponse à chaque question. Il avait l’impression d’être amnésique.

    — « Je n’ai jamais vu des émetteurs aussi faiblards ! » s’exclama-t-il. « Nous sommes à moins de cent miles des cotes et l’autopilote du port ne nous a toujours pas pris en charge. Rien à faire, je n’arrive pas à me connecter. Je reçois bien la porteuse de la balise du port, mais elle ne capte la mienne que par intermittence ».

    — « C’est bien un des facteurs qui m’a tant plu dans ce convoyage » répondit Nathalie. « Aucun moyen d’être joint ; pas de réseaux ; Vincent pour moi toute seule ».

    Elle s’avança langoureusement, réenclencha le pilot de bord en même temps qu’elle coupait les consoles. Contrairement à Vincent, Nathalie avait une peau un peu plus mate, mais cela restait très relatif. Si les Nautiques qui vivaient sous les eaux toute leur vie la considéraient ainsi, partout ailleurs sur la planète, elle serait néanmoins perçue comme pâle. De longs cheveux noirs encadraient son visage aux pommettes hautes et colorées. Ses yeux en amandes, légèrement étirés vers les tempes, renforçaient son sourire quasi perpétuel. Vincent se renversa sur son fauteuil pour lui faire une place où se blottir.

    — «  Il ne nous reste qu’une quinzaine d’heures de tranquillité… »

    Après un petit repas à base de plancton de culture Vincent questionna l’ordinateur de bord pour voir où en était la prise en charge par l’autopilote.

    — «  Toujours rien. À croire qu’ils nous ont oubliés et qu’ils vont nous laisser entrer en manuel. Tu vas pouvoir nous montrer tes autres talents, ma chérie ».

    Inquiet, il lança une routine de contrôle des antennes et consulta les messages entrants. La BAL du bord contenait un message provenant de Di Cohelo. La bonne nouvelle c’était donc que le module de communication ne semblait pas mort. Par-dessus son épaule Nathalie lui dit :

    — «  c’est probablement le support de l’antenne d’émission qui s’est déréglé. Ce scaphe n’est pas fait pour nager 1800 miles d’une traite. Qu’est-ce qu’il veut, Di Cohelo ? Tu sais que c’est le patron de la logistique ? »

    Le message s’afficha :

    « Bonjour, nous avons des problèmes d’encombrement du port. Comme vous n’êtes pas des pilotes, je vous propose un rendez-vous au large avec une navette. Vous n’aurez pas à faire surface avec ce bahut. Un pilot à bord prendra en charge le foreuscaphe, et vous pourrez atterrir avec la navette. Les coordonnées et la carte du point de rendez-vous sont jointes en annexe. Le pilote vous attendra entre 12 et 13 GMT.

    Merci pour le convoyage et bonnes vacances. »

    — « Nathalie, dépêche-toi de te mettre aux commandes. Il ne nous reste que deux heures pour arriver en position et ce n’est pas tout près ! Ils ne se sont pas améliorés depuis la fac ! Et dire qu’Erwan se plaignait tout le temps de la capitainerie. Il serait content de pouvoir médire une fois de plus. »

    — « C’est quand même étrange que Di Cohelo nous envoie lui-même un message. C’est le patron de la logistique. Pour un email de ce type, le chef de quart de la capitainerie, ça aurait été plus logique. Après le convoyage bizarre, l’arrivée discrète… »

    — « Comme l’autopilote ne nous a pas pris en charge, nous pourrions tout aussi bien être restés à forer sur la faille ou avoir disparu en mer. Personne ne ferait la différence, il n’y a aucune trace sur le réseau. Même notre départ n’a pas été correctement enregistré. Le convoyage ne faisant pas partie des options de mission on a juste basculé en indisponible ».

    Nathalie commença sa manœuvre d’approche. C’était une bonne chose ce rendez-vous au large. Il était facile d’amener le foreuscaphe jusqu’aux Açores. Un cap sur le pilot automatique… Par contre, rentrer manuellement les 900 tonnes et les 45 mètres d’envergure dans le port grouillant d’hydrobulles, et de scaphes rapides… elle préférait ne pas essayer. Cela aurait été comme d’entrer un scaphe en panne dans la piscine communautaire un samedi après-midi.

    La difficulté de la manœuvre accaparait toute son attention. Ses sourcils arqués par la concentration faisaient contraste avec sa peau lisse et pâle. Il faut normalement plusieurs années d’expérience pour piloter convenablement cet engin. Le plus dur venait de la petitesse ridicule des moteurs de correction latérale par rapport à l’inertie. Pendant ce temps-là Vincent préparait le sas secondaire adapté à la navette. Alors qu’il traînait leurs bagages dans les coursives sinueuses, il sentit le contact avec le sol. Avec un pincement au cœur, il attendit un autre choc. Pour un nautique comme lui qui ne quittait presque jamais les sphères de suspension, un heurt est toujours signe d’une catastrophe. Il n’y en eut pas de deuxième.

    — « Bravo, » s’écria-t-il. « Rappelle-moi de faire confiance à tes mains dans les années à venir ! »

    — « Dépêche-toi plutôt de passer à la console. J’ai déjà la navette en visuel. »

    — « Encore faudrait-il qu’on arrive à communiquer en émission. Pour la réception, pas de problème. Mais je te rappelle que le module de télécommunication semble en rade. Je vais mettre nos feux de position en mode attente ».

    Quelques minutes plus tard, ils se tenaient tous les deux à l’entrée du sas à attendre l’arrivée du pilote. Celui-ci entra. Il était très petit, trapu et musclé. C’était l’archétype du pilot de scaphe en tous genres, et en particulier les plus sportifs. Ses yeux et sa tête étaient toujours en mouvement comme pour appréhender tout le volume autour de lui. Ses mains et ses pieds semblaient eux aussi animés de leur volonté propre. Seul un large sourire montrait sa sensibilité profonde.

    — « Erwan ! Que fais-tu là ? On parlait de toi à l’instant. Comment vas-tu ? »

    — « Et toi Vincent ! Tu t’es enfin décidé à faire un vrai métier… Convoyer un scaphe je ne m’attendais pas à ça de toi ! »

    Après un café d’algue pris dans le cockpit, Nathalie et les deux amis se séparèrent en se promettant de rester en contact.

  • [^] # Re: Défaut de relecture avant publication

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Roman - Entre les mailles. Évalué à 1.

    Il y a en effet quelques règles et des tolérances sur la rédaction des dialogues, avec ou sans guillemets.
    La stratégie que j’avais utilisée pourrait être qualifiée de « ceinture et bretelles » et est donc lourde. Il aurait été plus naturel de se passer des guillemets, je suppose.

    Pour la justification, je suis d’accord sur l’aspect esthétique des pages justifiées, mais sur un fichier EPUB, la justification n’est pas maîtrisée et finalement nuit au confort et à la rapidité de lecture avec une variabilité importante de l’écart entre les lettres/mots.

  • [^] # Re: Défaut de relecture avant publication

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Roman - Entre les mailles. Évalué à 1. Dernière modification le 02 décembre 2018 à 12:01.

    J'utilise Druide depuis une dizaine d'années. Très utile.

    Je suis tout à fait conscient du biais des lecteurs/amis. Il faut parfois les pousser pour dire quelques choses. Heureusement, j'en ai deux qui écrivent aussi, dans un domaine différent (poésie, polard). Du coup c'est plus facile pour échanger.

  • [^] # Re: Griffon Bleu

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Roman - Entre les mailles. Évalué à 1.

    Je ne connaissais pas,
    Je regarde

    Merci.

  • [^] # Re: Défaut de relecture avant publication

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Roman - Entre les mailles. Évalué à 2.

    Merci d’avoir pris le temps…

    J’y ai bien sûr songé. Faire appel à un relecteur professionnel a un cout financier important que je n’ai pas voulu faire pour le moment. Peut-être pour le deuxième s’il apparaît que l’orthographe est un frein majeur.

    Pour le moment, je connaissais tous mes lecteurs, et aucun ne m’a dit avoir été gêné par ce point, ce qui ne m’a pas motivé pour cet investissement. Ce n’est donc pas par manque de respect de mes futurs lecteurs. Mais peut-être me suis-je trompé.

  • [^] # Re: Quel est le public cible ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Roman - Entre les mailles. Évalué à 2.

    Comme il n’a pas été écrit avec une idée de cible au démarrage, c’est délicat à dire, mais il a été lu par des adultes, dont plusieurs, sans aucun background technologique et ils ont apprécié. Ils ont juste eu un ou deux passages un peu ardus sur lesquels ils sont passés rapidement, ne cherchant pas à intégrer tous les détails.
    Ce n’est donc pas un livre à destination de techniciens, plutôt général.
    D’autres lecteurs étaient des lycéens (1ere) et ils ont apprécié aussi. Je maintiens donc que c’est en fait assez facile d’accès, sans être formaté pour une cible particulière.

  • [^] # Re: Pub

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Windows 10 fait la publicité de Edge pendant l'installation de Firefox et Chrome !. Évalué à 4.

    J'ai effectivement vu ça cette semaine sous forme de pub lorsqu'on fait une recherche pour Firefox… Puis à l’installation

    Je viens de relancer la recherche et maintenant ce qui sort en premier c'est des articles qui parle de cette tentative !!

  • # Ce n'est pas un smartphone

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le Zérophone arrive, un tel mobile libre à 50$. Évalué à 1.

    Ce n'est pas un smartphone,

    Pourquoi dis-tu que ce n'est pas un smartphone? Quel est ta définition? C'est un ordinateur, et il peut se connecter pour les datas.
    Ça me semble assez proche de la définition d'un smartphone?

  • # spams

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Mes journaux LinuxFr.org préférés. Évalué à 1.

    Je suis convaincu que je ne suis pas le seul à avoir voté « spams », car je ne voulais pas choisir. C’est le mix complet qui me plaît.

  • [^] # Re: Au sujet de l'adoption

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal navigateur P2P. Évalué à 3.

    Sur la philosophie, rien à redire, c'est le principe d'internet, décentralisé… Donc bien sur que c'est le bienvenu.
    Sur l'adoption, il y a les freins des utilisateurs, mais aussi ceux des centralisateurs (GAFA et autres). Eux veulent au contraire que Internet soit centralisé chez eux, et ils mettront en oeuvre des solutions pour qu'un outil potentiellement dangereux comme celui-ci ne puisse pas décoller en utilisant leur position dominante. C'est bien eux qui ont poussés pour les DRM dans les règles du W3… Il n'y a pas de raison qu'ils n'agissent pas si un tel outil commençait à faire vraiment parler de lui.

    Mais, la réussite du libre montre qu'avec le temps de bonnes idées rentre. Prenons 15 ans en arrière, le libre en entreprise c'était presque impossible, c'est une évidence aujourd'hui.

    Je ne me prononcerai donc pas à long terme.

  • # Maintient de la synchro audio

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Taliesin, serveur de streaming audio. Évalué à 3.

    Tu parles de jouer dans chaque pièce de la maison.
    As-tu regardé pour t’assurer que si tu joues le même morceau il est bien synchronisé entre les lecteurs (vu que tu parles uniquement d’un flux HTTP, je suppose que non, tu envoies, le client se débrouille) ?
    Du coup, dans du multi-pièces, tu n’as pas des effets de son bizarre à cause du manque de synchro (l’oreille y est très sensible) ?

  • [^] # Re: Équilibre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L’écriture neutre. Évalué à 2.

    Même la génétique est d'accord pour dire que la femme est pair et l'homme impair.

  • [^] # Re: Comment tu la contrôles ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal J'ai acheté une imprimante 3D (presque open source) à 150€. Évalué à 1. Dernière modification le 11 décembre 2017 à 03:12.

    Double envoi —Désolé

    Bonjour,
    Je fais tout avec Slic3r, je n'ai jamais utilisé Cura… C'est dire que ça marche juste, puisque je n'ai jamais rien cherché d'autre.

  • [^] # Re: Comment tu la contrôles ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal J'ai acheté une imprimante 3D (presque open source) à 150€. Évalué à 1.

    Bonjour,
    Je fais tout avec Slic3r, je n'ai jamais utilisé Cura… C'est dire que ça marche juste, puisque je n'ai jamais rien cherché d'autre.

  • # Cryptonomicon

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calculateur électronique et cordes de piano. Évalué à 6.

    C'est l'occasion de parler l'excellent bouquin Cryptonomicon de Neal Stephenson qui parle aussi d'onde acoustique pour stocker de l'information…

    Je ne peux aussi que chaudement le recommander tant il est enthousiasmant.

  • [^] # Re: Preneur !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Que faire avec ses clefs steam inutilisées ?. Évalué à 1.

    Bonjour,

    Si tu les as encore, mon fils serait preneur… de l'un ou l'autre.

    Resident Evil 5 Gold edition

    Abzu

    Merci

    un email pierig chez vezin point eu.

    Bonne semaine

  • [^] # Re: stupide

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal ils l'ont voulu, ils l'ont obtenu, et ils l'ont dans le baba.... Évalué à 10.

    Je suis adepte des indicateurs indirects.
    Si les grosses entreprises bénéficiaient si parfaitement de leur système de gestion, il ne devrait pas y avoir de concurrence par des petites sur des sujets similaires. Les économies d’échelles, la force de vente liée à la position de force, et les avantages du système de management devraient rendre les petites structures incapables d’être un tant soit peu économiquement compétitives.
    Pourtant, il y en a.
    Dans mon cas, les compétiteurs font 40 ou 50 000 employés alors qu’on est 10. Pourtant, on est au même prix. À moins que les couts de gestions ne soient faramineux et ne bouffent tous les avantages décrits plus haut ?

  • [^] # Re: Screenshots pour la partie optique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Mechamatic de la méca pour tous !. Évalué à 4.

    Ça complète vraiment la news.

    Ce serait vraiment dommage de lire uniquement la news d'origine. Ceux que ne lisent pas les commentaires vont manquer le plus intéressant
    car c'est ce qui permet de vraiment comprendre.

    Impressionnant comme boulot

  • [^] # Re: Kobo

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Que pensez-vous des liseuses ?. Évalué à 4.

    Il y a aussi une « fonctionnalité » beaucoup moins connue, mais pour moi beaucoup plus importante.

    Je me sers de ma tablette comme d’un instrument de vol (je fais du parapente). L’écran n’étant pas rétro éclairé, on n'est pas gêné par le fait d’être en plein soleil. Les liseuses Kobo sont équipées d’un port série. Donc avec un peu de bricolage, on peut y souder un GPS. Il y a un soft particulièrement adapté pour le vol libre Xcsoar

    Ça marche moins bien avec un arbre ;-)

  • # L'outil

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal WordPress Upgrade Script. Évalué à 4.

    Merci,

    C’est toujours pour le moins inquiétant de voir la politique actuelle de wordpress poussant à une mise à jour automatique sans même demander à l’administrateur s’il faut ou non déclencher l’update.
    Je comprends très bien la raison derrière ça. Les sites Wordpress étaient notoirement troués et sources de beaucoup de malware discrets, car de nombreux blogueurs ne faisaient pas du tout de maintenance. De ce point de vue pour beaucoup de gens c’est très positif et un moindre mal. Mais un outil qui permette la marche arrière c’est beaucoup mieux !

  • [^] # Re: Incitation

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Après WannaCry, un 2e ransomware utilisant une cyberarme volée à la NSA ?. Évalué à 3.

    Je vote pour.

    En voilà une idée qui n'est ni une douce utopie sur le comportement les utilisateurs, ni une dictature brutale.

    :)

  • [^] # Re: Du morse utile

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Des sonneries de téléphone en morse. Évalué à 5.

    Je suppose que c'est ce qui est prévu puisque l'auteur fait référence à "maman" et qu'il parle de la conversion de texte (le nom du contact) en morse.
    Ou peut-être souhaiterais tu qu'il retrouve les noms des numéros inconnu?

  • # Et en version 3D?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Lecteur et exploitation de traces GPS en navigation. Évalué à 3.

    J’ai une difficulté supplémentaire par rapport à vous. Je fais du parapente. Donc je cherche à voir les traces en 3D, avec la vitesse verticale en plus des vitesses horizontales…

    Quelqu’un a quelque chose d’intéressant ?

    Pour le moment j’utilise GPS prune, mais pour la partie carte, c’est de la 2D (openstreetmap) donc c’est difficile de comparer, car pour moi, la position des sommets, la forme des collines sont très importantes.

    Toute proposition sera la bien venue.

  • # Un article explicatif sur le jugement majoritaire

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Jugement majoritaire. Évalué à 3.

  • [^] # Re: Yep !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Boinc est-il encore actif ?. Évalué à 1.

    Merci,

    Ça devait en effet être le choix des projets. Rosetta marche sans problème.
    Si tu as des conseils pour des projets avec utilisable sur des petites machines, c'est avec plaisir.

    Bonne journée