Zenitram a écrit 29583 commentaires

  • # Wow, merci pour les principes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Rançongiciel : le paiement comme option ?. Évalué à 9. Dernière modification le 19 juin 2019 à 20:27.

    le maire de Baltimore a annoncé son refus de payer. C'était un manque de clairvoyance.

    Putain qu'est-ce qu'il ne faut pas lire… Son auteur ("Forrester") balance clairement que les principe on n'en a rien à foutre et que du court terme individuel vaut mieux que du long terme tout autant individuel (si tu payes une fois, ok on va tous t'attaquer tu es bankable) et collectif (motive à tenter aussi les autres, tout en laissant penser que payer te rendra forcément tes données (un tiers s'est introduit dans ton système bordel! tes données sont non crédibles c'est tout).

    Ce n'est vraiment pas le genre d'article à balancer en lien sans alertes sur les dangers.

  • [^] # Re: Comment assurer un mécénat de qualité ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Appel à projet libre pour la campagne de mécénat 2019 de Code Lutin. Évalué à 4. Dernière modification le 19 juin 2019 à 19:59.

    C'est d'abord dans le but d'inciter les clients considérer cette option.

    Perso je fais -33% si libre (en fait je fais le contraire : je propose un prix de 100 disant que je garde le copyright donc que ce sera libre car je libère tout quand j'ai le copyright, et un prix de 150 si ils disent que ça leur pose un problème et que je dois leur filer le copyright). Mes clients y réfléchissent à 2 fois avant de dire "ça me pose un problème", en regardant si vraiment ça leur pose un problème!
    Mais clair que quand l'appel d'offre est déjà verrouillé et sans discussion possible, bon ben on essaye de remplir les conditions, tant pis pour le libre…

    Il n'y a donc pas d'intérêt direct (si ce n'est qu'on peut, nous-même, reprendre le code produit pour un client pour un autre projet)

    Euh… C'est un sacré intérêt quand même…

    le code étant libre, le client peut aller voir ailleurs.

    Pas compris le lien. Le client peut aller voir ailleurs même si ce n'est pas libre (il lui suffit d'avoir le copyright, et tu dis ailleurs qu'il l'a et que c'est pourquoi ce n'est pas libre, ça semble se mordre la queue).

    LGPL pour les bibliothèques et les cadriciels parce que cela nous permet de les utiliser comme dépendances dans nos projets qui doivent rester propriétaires

    Je ne vois pas le lien, puisque comme vous avez le copyright vous pouvez faire du dual licensing GPL pour les autres et non libre quand dépendances dans nos projets qui doivent rester propriétaires. Vous avez des contributions externes et vous refusez de faire signer un CLA?

    Faudrait affiner les explications, il n'y a pas toujours un lien entre le choix fait et l'argument donné pour ce choix ;-).

  • [^] # Re: Comment assurer un mécénat de qualité ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Appel à projet libre pour la campagne de mécénat 2019 de Code Lutin. Évalué à 1.

    faut-il privilégier le versement d'une grosse somme en une seule fois ou privilégier une dilution sur le long terme ?

    Une seule fois, comme ça pas de surprises genre le versement s'arrête quand vous vous décidez.
    Ca permet à celui qui reçoit de décider comment il va faire (il peut diluer sur le long terme si il veut, l'inverse n'est pas possible, bref il est libre de choisir).
    Surtout vu le montant (si j'ai bien compris le tweet… qu'il faut sans doute diviser par x projets?).

    Nous prévoyons aussi de distribuer des fonds via Liberapay.

    C'est utiliser du libre en plus sans aucune valeur ajoutée. Vous discuterez, négocieraient un contrat de mécénat, donc vous demandez juste ses coordonnées bancaires et basta (Transferwise n'est pas libre mais performant pour toutes devises si pas dans votre devise).

    Vouloir absolument du libre même quand pas bon dans un scénario, c'est faire du mal au libre en montrant un intégrisme plus qu'un choix éclairé.

    comment s'assurer que les fonds versés financeront du Libre

    Vous négociez une livraison en libre.
    Cette livraison ne pourra jamais disparaître, ça restera libre.

    Libre qui le restera

    Si je comprend l'idée, tu parles qu'il ne soit pas possible de faire une fork non libre. Rien à voir avec le libre. La, il va falloir sérieusement vous poser la question de savoir si vous faites du mécénat pour du libre (ça englobe du copyfree et du copyleft pas obligé de rester copyleft et du copyleft obligé de rester copyleft, pas de filtre la dessus) ou si vous faites du mécénat pour du copyleft qui doit rester copyleft.

    Faut-il exiger un partage du copyright pour éviter un changement unilatéral de la part du mainteneur vers une licence propriétaire a posteriori ?

    Vous en avez surtout rien à faire, ce que vous aurait aidé sera toujours libre.
    Ou alors il faut clarifier que c'est du "libre pour toujours tout en interdisant le non libre" qui vous intéresse, soit une petite partie du libre (même RMS n'a pas osé faire une licence qui interdise l'upstream de faire un fork non libre, il faut ajouter des contraintes).

    comment inciter plus d'entreprises à reverser une partie de leur chiffre d'affaire ?

    En faisant comprendre aux libristes que vous croisez que le libre n'est pas contre le commercial, et qu'ils faut qu'ils "vendent" leur demande de mécénat, avec des trucs en échange (oui c'est faux-cul car c'est affiché "sans contrepartie", mais en pratique il y a quasi toujours des contreparties pour qui donne, à commencer par la pub de son nom), pas juste se focaliser sur la technique. Ce n'est pas toujours du côté des entreprises qu'il faut militer, et aider les libristes à arrêter de taper sur le commercial pourra mieux faire discuter les gens.

    PS : "mécénat" semble être pour les "arts et des lettres", il vaudrait peut-être mieux parler de "don"?

  • [^] # Re: Notion d'insulte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Appel à interviews. Évalué à 0.

    La victimisation, c'est de croire que les autres qui ne sont pas de critère bla bla (ici dans l'exemple : le critère est le sexe féminin) ne subissent pas la même chose.

    Parce que quand on suit la logique affichée, j'en conclus que je suis une femme par ma propre expérience (à moins que "femmelette" ça compte pas pareil car pas appliqué suivant des critères HS par rapport au sujet, certes, si on veut absolument continuer à chercher une excuse).

    Bordel, on ne pourrait pas arrêter ces victimisations "c'est parce que" (mettre ensuite femme, homo, noir etc…) hors sujet? Ça aiderait peut-être à tous mieux vivre ensemble plutôt que d'opposer en permanence (oui, ça me gonfle les personnes qui imaginent que les autres pas comme eux souffrent forcément moins, et qui sortent des "100% des femmes ont" alors qu'il me suffit de poser la question à quelques femmes autour de soit pour qu'on entende "ouais, n'importe quoi comme d'hab, toujours des gens pour parler à notre place et nous faire passer pour des victimes qu'on n'est pas").

    Le pire dans tout ça c'est que cette victimisation ridicule fournit un bruit qui empêche d'entendre les cas factuellement liés aux critères indiqués dans l'argumentation, ou comment agir pour que ça continue en pratique tout en se faisant du bien égoïstement sur des trucs HS.

    PS : je sais que ça changera rien car cette victimisation est un classique et ça n'est pas prêt de changer, mais la l'exemple fourni est tellement gros par rapport à mon expérience personnelle vu que je ne suis pas taillé comme un rugbyman, que je ne pouvais pas laisser passer ça tranquillou (et ça me change de mes coups de gueule contre les femmes qui estiment que les hommes n'ont pas leur place dans les crèches car ce sont tous des pédophiles potentiels contrairement aux saintes femmes même si les stats montrent des femmes pédophiles, si on veux jouer aux exemples à la con de mettre tout dans un même sac). Je tente de retourner dans mon silence face à tant de ridicule pour s'auto-excuser des insultes sexistes plutôt que de réellement regretter d'avoir fait un truc qu'on reproche à d'autres.

  • [^] # Re: C'est hors sujet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Militantisme : parler d'un sujet pour convaincre. Évalué à 0. Dernière modification le 19 juin 2019 à 10:08.

    Firefox a des arguments de liberté,

    On l'a vu dernièrement quand Mozilla a oublié le certificat pour les extensions : ils décident, rien n'est fait pour se passer de Mozilla facilement si on n'est pas d'accord avec eux (sur une extension qui serait refusée par exemple).

    Et les gens se jettent sur chrome.

    Le soucis est que Firefox ressemble trop à Chrome (du libre utilisé pour bâtir, et un contrôle ensuite; plus léger dans le cas de Mozilla, mais quand même la pour le principe brisé de liberté), et donc tant qu'à faire les gens se disent que vu que le principe est brisé autant prendre le meilleur techniquement. Le pire est qu'il parait que Chromium s'embarque plus facilement que le moteur de Firefox, donc liberté du code mais techniquement limité, pour les développeur le choix est rapide.

    En fait, le libre par liberté non utilisée ou non utilisable, ça ne marche effectivement pas. Par contre dès qu'on trouve une utilité au libre (liberté de modifier et diffuser sa modif) ça marche :) (c'est le soucis de certaines personnes qui parlent de libre comme un truc utile à tous sans le démontrer, en disant le libre c'est bien alors qu'ils montrent aux gens du gratuit, les gens ne sont pas assez idiots pour penser que le gratuit non libre ne fait pas la même chose que le libre qu'on leur présente).

    Sinon il ny n'aurait plus de fumeurs

    Bah, à une époque on avait quand même réussi à associer cigarette à liberté, donc pas facile de déconstruire ça, mais je suis moins agressé par les fumeurs de nos jours, ça évolue.

  • [^] # Re: il faut gueuler

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Militantisme : parler d'un sujet pour convaincre. Évalué à 5.

    la violence, verbale ou autre […] il y a relativement peu de militants qui sont prêts à en arriver à ce genre de méthodes,

    Quelques milliers chaque samedi depuis 6 mois en France quand même, je trouve pas ça peu.
    « sale Français » par exemple hier mais en fait ça arrive assez souvent (et encore la c'est gentil, parfois il y a des morts).

    et franchement pour le logiciel libre ça semblerait complètement incongru

    Oui, je vois parfois des insultes (que j'assimile à de la violence verbale) dans le logiciel libre mais "pas plus" (pour le moment je n'ai ressenti aucune violence et aucun danger lorsque je me présente physiquement à des événement libristes et croisant des gens de LinuxFr), surtout des batailles d'idées.

    Mais il faut se souvenir que la violence est considéré par pas mal de militants comme légitime, des militants sont bien prêts à en arriver à des méthodes de violences physique (assassinat allemand ce mois, agression française cette semaine pour un tout petit échantillon et sans aller trop dans le passé avec des groupuscules type ETA) pour certains et verbales pour beaucoup.

    je ne dis pas que ça permet une conversion, mais je tique sur ton "relativement peu de militants", mon point de vue est archi-subjectif mais perso je trouve qu'il y a relativement bien trop de militants (est-ce acceptable de casser la vitrine d'une banque ou d'une boucherie par militantisme? des agressions homophobes n'est-il pas du militantisme?) aimant la violence (physique ou verbale) pour montrer leur point de vue.

  • [^] # Re: il faut gueuler

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Militantisme : parler d'un sujet pour convaincre. Évalué à -5. Dernière modification le 18 juin 2019 à 11:37.

    Attention, à force tu vas finir très grand critique des Gilets Jaunes et te mettre pas mal de monde ici à dos.

    PS : je ne savais pas que la mafia ne faisait que gueuler et de la pression sociale, n'y aurait-il pas un manque de hiérarchisation des "gueulantes"?

  • # Troll

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Militantisme : parler d'un sujet pour convaincre. Évalué à 0.

    ne serait-il pas plus efficace de […]

    Pfff, tu as oublié la question la plus trollesque et qui pourrait finir par des insultes (toute ressemblance avec des événements récents serait fortuit, évidement):
    - devrait-on, pour ne pas froisser une personne qui se sentirait agressée si on le faisait, se retenir de dire qu'une personne se disant militante végan qu'elle n'est pas végane dans les faits qu'elle "oublie" de mentionner?

    PS : oui, j'essaye le multi-combo-troll question à la con + événement récent sur ce site + attention pour la santé, on va voir si ça prend.

    Sinon HS :

    Journal sous licence CC-0

    C'est clair que ça manque de choix dans la "sélection" de licence, mais c'est voulu à la Gnome ;-) donc faut vivre avec une note pour une autre licence pour compenser le refus (oui, un ajout aux trolls).

  • [^] # Re: Notion d'insulte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Appel à interviews. Évalué à 1.

    Ca à un nom, ce phénomène ?

    En tous cas ça a une mise en image que j'apprécie, montrant qu'être victime à certains moment n’empêche pas les gens d'être des agresseurs à d'autres moments en se posant en victime quand on ne l'est pas :
    Bref: "- C'est parce que je suis gay, c'est ça? - Non […] - Ha, désolé, parfois je conduis vraiment comme un noir"

  • [^] # Re: Bande Annonce

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 2.

    mais pas le logiciel libre qui n’a pas été cité en temps que tel.

    Effectivement, ça fait bizarre l'absence de lien entre le titre du documentaire et le contenu de la bande annonce (qui ne parle jamais de logiciel libre, se battre contre tous les "dangers", selon un point de vue, cités dans la bande annonce ne nécessite aucunement des logiciels libres, voire les logiciels libres sont en fait utilisés pour faire ces "dangers" car les logiciels libres sont incompatibles avec rien de ce qui est cité).

    Par exemple le logiciel libre est neutre (on va à tous les coups me balancer encore que c'est mon "idéologie"… Pour refuser de voir en face juste un fait, par la définition de logiciel libre dont on a pas voulu limiter la portée dans sa définition mais que certains s'amusent à y mettre leur idéologie, justement) sur les drones tueurs : il ne les refuse pas, il ne les souhaite pas, il autorise juste à être utilisé (en plus précis : il interdit juste d'interdire à être utilisé) par les drones tueurs sans jugement de valeur dessus, et laisse d'autres éthiques en débattre.
    Bref, le logiciel libre est clair : il est interdit d'interdire les drones tueurs et les GAFA par son biais, quiconque fait du libre ne peut pas interdire que son code soit utilisé par des drones tueurs et par les GAFA.

    Je ne suis pas à Paris donc ne pourrait pas voir le contenu entier, mais j'ai bien peur d'un hors sujet par rapport au titre et que ça parle en fait d'autre chose (le libre n'est pas que des gens contre les drones tueurs et contre les GAFA etc), en ayant interviewé une partie des acteurs du libre, ceux dans une même idée sur un autre sujet… Pas un mal, le contenu entier peut être intéressant, juste que le titre semble hors sujet quand on regarde la bande annonce (des libristes pourraient être en désaccord complet avec le point de vue annoncé, et des non libristes pourraient être en accord complet avec le point de vue annoncé, bref c'est orthogonal).

    Si le contenu du documentaire est sur le logiciel libre, il faudrait refaire une bande annonce pour introduire ou suggérer qu'on parlera vraiment de logiciel libre (les 4 libertés etc).

    […] par le public moins averti à ces dangers que nous.

    Remarque :
    - Tout le monde ici n'est pas forcément averti à ces "dangers", vu que ça n'a pas grand chose à voir avec le libre
    - Toute personne "avertie" ne considère pas forcément les sujets mis dans la bande annonce comme des dangers, vu que ça n'a pas grand chose à voir avec le libre

  • [^] # Re: Droit de réponse

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 9.

    Mais reconnait que créer un documentaire sur le libre avec des outils qui ne le sont pas peut poser questions à une communauté de libriste

    Ben… Non. Pour moi un réalisateur ou initiateur de documentaire n'a pas besoin d'être dans ce qu'il documente, il peut même être contre une chose.
    Pour tenter un exemple : un réalisateur de documentaire sur le FN doit-il être pour (ou contre) le FN, ou juste intéresse par la politique? Ou je m’intéresse à l'écologie et peut en débattre (si j'étais doué en la matière, je pourrai même en faire un doc) sans me considérer écologiste.
    Il ne faut pas tomber dans le piège qu'un réalisateur, ou qu'un journaliste, est militant pour une cause juste parce qu'il fait un doc sur cette cause, c'est un piège car il oblige les gens de manière binaire à être pour ou contre. On peut aussi être neutre tout en s'y intéressant par curiosité (ou parce qu'on nous paye pour faire un doc).

    Pour moi, ce qui a dérangé dans la dépêche initiale est qu'une personne se disant militant logiciel libriste ne fasse pas de pression ou trouve un réalisateur qui utilisera des outils libres (et mieux : adaptera ou fera adapter pour ce qui manque, pour montrer comment le libre fonctionne ne pratique), et/ou qu'un militant libriste (plus global, quand on estime qu'il y a un tout) ne fasse pas pression pour que le livrable soit libre. A mon avis, le commentaire ayant déclenché les foudres était plus sur cette incohérence que sur le fait que ce ne soit pas libre. Et tant que la source du point de tension ne sera pas compris, on ne risque pas de se comprendre sur comment y remédier.

  • # Le droit de réponse

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 4.

    Tout d'abord, merci pour l'ajout (je n’appellerai pas ça droit de réponse car ici il est possible de mettre un commentaire sans être filtré, pas la peine d'utiliser une expression connoté légaliste).

    Mais l'ajout me semble passer à côté de la critique qui a été faite en commentaires : ce n'est pas le film lui-même (on ne connaît pas), ni sa licence (quand pas indiqué, on se doute que ce ne sera pas libre et il n'y a pas de mal à ça, le non libre ne pue pas à part pour les libristes extrémistes), mais le saupoudrage "je suis trop à la page, j'ai compris le libre et je suis dans le mouvement" mis dans l'interview. Perso je l'ai pris comme du libre-washing (parler d'un tout incluant du logiciel libre mais dont l'idée doit être globale tout en étant bénévole dans une structure qui fait son site en non libre sans qu'il en parle du problème, ça m'a juste fait sourire), chose qui arrive très souvent depuis que le libre est à la mode, alors que la nouvelle partie est tout le contraire. Sacré contraste, qui montre qu'il est important d'être carré dans une communication.

    Gigowatt Film n’est pas libriste, ne revendique rien

    voila, c'est honnête, pas présomptueux, pas trompeur sur la marchandise.

    Le film n’est pas disponible sur le net parce que cela hypothèquerait probablement la possibilité de diffuser le film en télévision, et nous empêcherait de faire le tour des festivals de documentaires, qui, souvent, demandent l’exclusivité. C’est mon assomption de penser que c’est la meilleure stratégie pour que le doc soit vu par le plus de monde possible…

    Ce qui est "amusant", c'est qu'avec cette phrase on a plus d’information, d'argument, que l'interview et le commentaire de l'interviewé. Ca serait presque libriste en fait! Être libriste n'est pas de tout faire en libre, mais entre autre de savoir expliquer et argumenter sur pourquoi on ne fait pas de libre dans ce cas. Et l'explication est logique, se défend.
    Un "militant libriste" qui n'est pas capable d'expliquer pourquoi ce dont il parle et qu'il a co-produit n'est pas libre, n'est-ce pas bizarre? François a été impacté par ricochet, et en tant que non militant libriste revendiqué peut mieux défendre le choix non libre.

    Note : par rapport à votre argument pour ne pas faire de libre, je pense que rien ne vous empêcherait de fournir les interview brutes en libre (CC-BY ou CC-BY-SA, mais j'opterai en CC-BY pour que vous n’utilisiez pas vous un droit que vous refusez aux autres pour faire du non libre), le film serait alors la valeur ajoutée en non libre. Vous pourriez aussi vous engager à ce que le film deviendra libre dans 1 ou 2 ans (en indiquant la licence précise, il arrive trop souvent que les gens disent qu'ils vont libérer plus tard pour diffuser ensuite en CC-NC = non commercial ou ND = non modifiable, aucun des deux n'est du libre).

    Vous pourriez penser que c’est une folie de traiter de ce sujet sans en avoir une connaissance approfondie et de risquer de désinformer.

    De l'ajout, je dirai que non : un réalisateur de documentaire n'a pas besoin de tout connaître sur le sujet traité, heureusement car ce n'est pas son domaine!

    Je connais peu les alternatives libres. J’en ai lu quelques exemples dans quelques commentaires. Impossible de dire si nous aurions pu faire le même doc avec.

    Clairement, il ne faut pas changer ses habitude juste pour faire ce doc, le résultat serait pire. Le libre, ça peut se faire petit à petit, quand on constate qu'on a un besoin non répondu ou que ça coûtera moins cher de payer une évolution en libre d'un logiciel libre que le logiciel non libre (l’intérêt principal du libre, c'est de pouvoir l'adapter à ces besoins!). Travaillant dans la vidéo, je sais qu'il y a beaucoup qui manque en libre (je tique sur le niveau de qualité requis pour un doc, mais c'est complètement subjectif).

    ferait forcément un produit militant.

    Le hic, c'est que la première interview montrait l’interviewé en militant libriste. Et face à la réalité trouvée (qui peut être non complète, mais faute de contre-argument on ne peut voir le complet si il existe), c'est la que ça a été mal ressenti, et les réaction de l'interviewé et de l'intervieweuse aux critiques n'ont pas aidé à calmer les esprits (ça a donné l'impression que la critique était justifiée et que mode opératoire pour contrer la chose sans modifier ses idées a été de se poser en victime).

    Je fais un aparté, mais au-delà des logiciels de post prod, il n’existe à ma connaissance aucune caméra « pro » avec du logiciel libre dedans

    https://www.apertus.org/axiom-beta
    Bon, assez nouveau…

    Y’en a-t-il parmi vous qui font le choix de ne pas aller au cinéma dans ces conditions ? Ou de ne pas utiliser une voiture fabriquée après 1980 ?

    Mauvaise compréhension de nouveau : la critique n'est pas que vous ne fassiez pas de libre, mais une présentation "je suis un libriste à fond, cohérence" tout ça.
    Perso je me considère comme assez libriste sans être extrémiste à la Stallman (j'essaye d'utiliser un max de libre mais pas que, j'essaye de tout fournir en libre, y compris des vidéos d'interview ;-), mais pas que…), mais je n'arrive pas à quitter Windows comme d'autres libristes sont sous Mac, car je préfère largement cet OS aux offres libres. Mais quand on m'attaque sur mon usage de Windows, je ne m'offusque pas et explique mes priorités.

    Nous avions fait une bande-annonce l’année dernière que j’ai retirée il y a quelques semaines.

    Mauvais timing de l'interview, elle aurait due être mise en ligne une fois la BA dispo.

    J’espère avoir amené un éclairage à vos questions.

    C'est largement plus qu'un éclairage!

    que j’espère un peu plus bienveillants

    Perso, je pense que l'honnêteté intellectuelle, tout comme des arguments à la place de phrases bateau pour se croire "bien", amène plus de bienveillance, il faut parfois regarder en arrière et se demander pourquoi les gens ont "agressé" (peut-être se sont-ils sentis agressé en premier lieu, et réagissent en fonction? Peut-être ont-ils senti qu'on se foutait d'eux et du libre qu'ils aiment?)


    Pour résumer, je me permet quelques conseils :
    - Ne vous présentez pas comme "éthique global incluant du logiciel libre" ou tout autre mot à la mode quand vous ne l'êtes pas. L'éthique, c'est subjectif, certains inclut du non commercial obligatoire quand d'autre du non commercial acceptable et encore d'autres pensent qu'interdire le non commercial est tout sauf éthique, d'autres incluent de l'agriculture bio quand d'autres disent que le vin bio à base de bonnes doses de cuivre est quand même bien pourri pour la planète. Ici, la première partie de la dépêche faisait que l'interviewé se lançait des fleurs (non, parler de "semaine des liberté" n'est pas forcément suffisant, j'ai personnellement trop vu de personne disant aimer les libertés du logiciel libre dire que le non commercial est dans l'esprit du libre, il faut un peu plus de concret genre les supports de présentation pour voir si c'est vrai et les liens sur le "programme détaillé" sont en page non trouvée), sans montrer la moindre preuve de ce qu'il avance, et s'est fait critiquer pour ça (de mauvaise forme, mais le fond reste), vous vous ferez critiquer pas que ici mais par toute personne critique qui ira creuser pour voir si l'affichage correspond à la réalité (pour donner une équivalence, ça serait pareil pour les gens se présentant comme écolo mais étant dans une grande maison individuelle avec 2 voitures personnelles qui est tout sauf écolo, les gens réfléchissant un peu aux impacts de tels choix individuels sur la planète vont tiquer)
    - Expliquez! Contre-argumentez à la place de vous poser en victime! Même si la forme ne vous plaît pas. La deuxième partie est posée, avec des explications, des arguments sur le pourquoi du comment.
    - La personne qui interview ne devrait pas être complaisante juste par que connaît ou aime; il aurait fallu parler de libre concrètement, ou mettre autant d'info plus tôt, ou poser des questions pour préciser certains points, car c'était évident qu'un site libriste aurait réagi sur le manque de libre d'une personne se disant libriste qu'il faudrait croire sur parole juste parce que le titre d'un documentaire a l'air sympa.

    bon, voila, j'ai passé un peu de temps à analyser et écrire mon sentiment sur cette deuxième partie, j'espère que ça compensera les critiques sur la première partie.

  • [^] # Re: Notion d'insulte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Appel à interviews. Évalué à 8. Dernière modification le 16 juin 2019 à 17:31.

    Pour le reste, désolée d'avoir froissée les petites susceptibilités masculines.

    J'imagine les réactions si "masculines" était remplacé par "féminines".
    2 poids, 2 mesures.

    Note : aucun froissement, j'ai connu largement pire, c'est juste largement plus agressif/moqueur sur les personnes et pour moi pire que ce qui est critiqué par ailleurs. C'est un choix, mais ça ne risque pas de me convaincre qu'il faudrait être plus "gentil", vu les méchancetés défendues par ailleurs.

    Il n'y a pas à s'arrêter à un seul mot

    Il n'y a pas qu'un seul mot, il y a par exemple le commentaire auquel je répond à l'instant qui est tout aussi peu respectueux.

    Bon, abandon, les "méchants" resteront les "méchants" de toutes façons, et il ne semble pas prévu de contre-argumenter pour défendre des idées.

  • [^] # Notion d'insulte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Appel à interviews. Évalué à 0. Dernière modification le 16 juin 2019 à 17:19.

    La notion d'insulte est quelque chose d'assez personnel.

    Peut-être n'as-tu pas lu l'insulte la plus violente, elle a été (gentiment) modérée (et aucune excuse émise de son auteur).
    Mais sérieusement, même sans parler d'une insulte qui aurait fait bondir les féministes qui auraient fait un "raid" si mis dans le genre opposé, je te défie d'argumenter comment tu considères "abruti" (qui reste, lui, dans les commentaires, c'est un choix de l'équipe de modération) comme pas une insulte.

    Donc oui, ça peut arriver de déraper un poil.

    Ha si les gens disant l'insulte modérée mis dans le genre opposé étaient aussi gentiment défendus…


    J'ai l'impression que les débats (par "débat", il faut vite le dire, il y a surtout une première critique très mal mise en forme certes mais ensuite aucune contre-argumentation sur le fond) d'idées sans une forme "gentille" sont jugées pire "agression" que les insultes, c'est un choix de la communauté (certains ont même moinssé la demande de modération de l'insulte la plus violente, ça donne l'impression qu'ils cautionnent l'insulte) mais perso ça fait bizarre (nous n'avons pas les mêmes priorités, les même limites, la même balance).

  • [^] # Re: Mouais, ça peut faire fuir aussi

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Appel à interviews. Évalué à 5. Dernière modification le 16 juin 2019 à 13:36.

    pinaillage sur les licences

    Pour information, un fait : les licences, c'est exactement ce qui permet de faire la différence entre libre et non libre.

  • [^] # Re: Le libre n'est pas que du code, justement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 2.

    Si les notes étaient une notion de pertinence, on le saurait ;-).
    Mais je corrige : "une remarque pertinente de mon point de vue, et en tous cas pas agressive ou traitant l'auteure d'abrutie", pour être plus explicite.

  • [^] # Re: Le libre n'est pas que du code, justement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 3.

    Et que ses différentes composantes, humaines pour le coup, ont toutes leur susceptibilité, qu’il convient de préserver si on veut garder une communauté fonctionnelle qui puisse collaborer.

    Mais jusqu'où aller?
    Ysabeau semble (c'est revenu dans un de ses commentaires dans cette dépêche, "délit de sale licence") avoir mal pris une remarque pertinente sur l'incompatibilité supposée entre son affichage (possibilité de vendre) et sa licence (non libre) choisie alors que la phrase me semble tout sauf agressive et ne dit pas du tout que c'est sale, juste que c'est incompatible, à moins que ce soit ce commentaire tout aussi pas aggressif), c'est une "sensibilité" un peu extrème? Faut-il, sous couvert de refuser un extrême, en accepter un autre? Comment dire à une personne qui se braque dès qu'on dit qu'il y a une incohérence, même de manière pas du tout vue comme agressive par d'autres (je ne parle pas de moi la, je sais), qu'il y a une incohérence entre ses propos et ses actes, ou qu'on fasse remarquer que NC n'a pas de rapport avec le libre par définition et que c'est dommage de son point de vue de ne pas faire de libre?

    Faut-il mettre sur le même niveau un conflit sur les idées qu'un "merci" à une personne qui traite les autres d'abruti comme si de rien n'était? Faut-il accepter les insultes sexuelles comme normales et pas bien méchant comparé à des débats chauds sur les idées?

    Je n'ai pas non l'impression qu'il y ai eu plus de réponse argumentée ou acceptant la critique à un commentaire unanimement jugé pertinent que sur un commentaire jugé plus agressif, c'est aussi assez frustrant je pense pour ceux qui font l'effort d'être plus didactiques d'être jugé aussi emmerdant que les gens plus "bruts", et ça doit décourager les gens essayant d'être plus didactiques de se faire ignorer.

    Beaucoup de questions, pas de réponses simples…

  • [^] # Re: Le libre n'est pas que du code, justement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à -2.

    A ma connaissance personne n'a insulté ce soldat, ni demandé de l'abattre, il y a eu juste une critique de dépêche et de commentaires, ainsi qu'une demande de modération d'une insulte.

    Peux-tu être plus précis sur comment sauver ce soldat? Dire du bien d'une dépêche même si on pense le contraire? S'interdire de critiquer le travail de ce soldat? Dire que le NC est dans l'esprit du libre même si c'est faux?

    PS : je pousse un peu certes… j'ai retenu l'exemple de commentaire jugé plus constructif, mais j'ai aussi tiqué sur le soutien à la victimisation de ton commentaire, tout comme l'idée qu'être modératrice devrait changer quelque chose dans un débat d'idées (c'est indépendant, les non modérateur méritent autant de respect).

  • [^] # Re: [PAS CONTENT] Sérieux... Plus ça va plus DLFP me semble un repaire d'abrutis.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 4. Dernière modification le 15 juin 2019 à 12:40.

    Je ne rentrerai pas dans le reste, mais :

    Tu rejettes la license NC d'un bloc

    Je ne la rejette pas.
    Tu parle de qui définit, ben voila : le NC n'est pas libre, je n'ai pas défini ça, c'est la définition du libre. Pourquoi dans ta réaction tu veux m'associer à ce choix? Je n'ai pas défini la notion de libre, je n'ai pas choisi de rejeter le NC dans la définition de libre (je revendique toutefois que le libre ne m’intéresserai pas du tout si c'était le cas, je m’intéresse à la liberté d'usage non politisée).

    C'est chiant de devoir toujours rappeler que le NC n'est pas compatible avec le libre par définition du libre. Vous aimez la libre diffusion? mais assumez bordel de ne pas être fan du libre mais plutôt libre diffusion! Pourquoi avez-vous besoin de "prendre" la réputation du libre si vous ne l'aimez pas?

    Je n'ai rien contre le NC, j'en ai contre les gens qui fantasment sur l'idée que le NC a un moindre lien avec le libre (non, ça n'a aucun lien, du NC est 0% libre, par définition).

    Pourquoi les gens aimant le NC ont besoin de s'imaginer aimer le libre qu'ils rejettent à cet instant? Pourquoi ne peuvent-ils simplement pas dire qu'ils regardent le libre de loin et ne sont pas encore convaincus? Pourquoi ont-ils besoin de se mentir sur leur sentiment vis à vis du libre?

    Ça ne te vient pas à l'esprit que les auteurs des Creative Commons sont intelligents et l'ont créée à dessein, comme une première étape ?

    tout à fait.
    Et le site est clair : ce n'est pas libre, c'est bien un pont vers le libre.
    Je suis entièrement en phase avec eux, et je ne le serai pas si ils disaient "c'est un peu libre", note que le site CC ne marque aucune ment le logo "libre" sur les pages de NC (comme ND). Différence donc entre "libre diffusion" et "libre".
    CQFD.

  • [^] # ratio critiques / remerciements

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 1.

    Au final avoir un ratio critiques / remerciements en défaveur des remerciements, nuisant aussi aux questionnements dans la discussion.

    Question peut-être idiote, mais le "Ce commentaire est-il pertinent ou inutile ?" n'est-il pas justement fait pour éviter les "super", "+1" etc?

    Perso j'utilise les notes pour les remerciements ou montrer que je n'aime pas, et les commentaires textuels pour débattre (donc par définition ça va être un sujet contradictoire), et citer est justement fait pour se concentrer sur un sujet précis, tout comme avoir des threads que j’apprécie (pas dispo ailleurs, pour moi c'est une super fonctionnalité) est utile au débat sur un sujet précis.
    D'ailleurs, les notes sont la aussi pour montrer son point de vue sur des commentaires, remerciement ou son opposé.

    Et la dépêche est à +19 au moment où j'écris, Le ratio (pas vraiment un ration, une balance plutôt) critiques / remerciements et donc largement positif / en faveur des remerciements, donc les gens ont montré des remerciements, je trouve dommage de mettre en place des outils pour ensuite les dénigrer dans leur rôle.

    nuisant aussi aux questionnements dans la discussion.

    Perso, ce que je trouve nuisant à une discussion, c'est de ne pas répondre sur le fond et se poser en victime des méchants dès que quiconque a le malheur de ne pas gober tel quel ce qui leur est servi, bref de ne pas argumenter les phrases qui ont été écrites quand certains analysent comme non cohérent, de ne pas défendre ses idées qu'on affiche.
    L'espace prévu pour du débat semble parfois ne pas être souhaité, juste qu'on applaudisse, c'est dommage en premier pour les gens qui se bloquent sur une idée à "vendre" (perso, c'est ce que j'ai ressenti, un certain "publi-reportage" pour des places de ciné à vendre, sans un petit quelque chose pour montrer une compréhension du libre ni un réel engagement dedans car il y a juste des paroles qui ne coûtent rien et sans rien du tout de factuel, à la première lecture de la dépêche) sans être prêts à convaincre de leur bien fondé, comme si eux-mêmes n'y croyaient finalement pas.
    Chacun son point de vue sur le sujet sans doute ;-).

  • [^] # Le libre n'est pas que du code, justement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à -1. Dernière modification le 14 juin 2019 à 20:32.

    C'est vrai, beaucoup ici trouvent que les libristes "les plus importants" sont principalement les contributeurs (développeurs mais aussi les autres techniciens). Moi y compris d'ailleurs.

    Pas moi :)
    J'ai ai même fait un journal, pour résumer on a de nos jours pas mal de code libre et ce qui manque c'est le reste en libre.

    Par exemple, ça aurait été super si une personne faisait une interview d'un co-auteur qui annonce faire un documentaire sur le logiciel libre tout en disant qu’il n’est pas très pertinent de s’engager dans un domaine et pas dans un autre, mais vu qu'il manque une information importante la personne faisant l'interview dirait alors un truc du genre "mais je tique la, vous n'avez pas parlé de la licence, c'est important car c'est ce qui fait la différence entre libre et non libre, et comme vous parlez de pertinence d'engagement dans des domaines… Je pose la question car généralement quand des auteurs se disant convaincus par le libre oublient ce détails on voit qu'en réalité il n'y a rien chez de libre, je préfère confirmer", et la personne interviewée dirait un truc du genre "ho oui, excusez-moi, évidement que la licence est importante dans le libre, je le sais de mon parcours dans la découverte du libre, ce que nous on produit et donc dont on contrôle les droits sera sous CC-BY-SA, comme le site web de notre bar, question de cohérence, nous somme convaincus que le libre est bien, rentre dans une démarche de cohérence par rapport à nos autres idées, et ce n'est pas que de l'affichage de notre part"; ou à défaut un truc du genre "on fait un film sur le logiciel libre mais pour être honnête pour le moment le libre ne nous a pas convaincu, je sais bien que ce n'est pas bien cohérent avec nos idées mais on y travaille, peut-être plus tard quand on aura accepté de laisser des libertés à d'autres sur ce qu'on ait faire, donc non le documentaire ne sera pas libre pour le moment"; bon, pas de chance cette dépêche n'existe pas car il est très difficile pour des auteurs pas de code de lâcher des droits et faire du libre (cf le journal en lien juste avant), ou difficile d'assumer ne pas être convaincu par le libre quand on affiche vouloir avoir une démarche cohérente sur le sujet.

    Bref, un documentaire sous licence libre serait pas mal et serait tout aussi utile que du code libre, chacun dans son domaine (par exemple dans les documentaires) peut apporter un peu de libre aux communs, pas besoin de savoir coder.

    Petit à petit, tu peux nous faire mettre de l'eau dans nos vins.

    Je t'invite à lire le journal que j'ai mis en lien sur l'importance de l'art libre, pour comprendre son importance.
    Le non code libre est utile, vivement qu'un co-auteur fasse un documentaire en libre à la place de se la jouer victime "une chasse gardée inaccessible à ceux qui sont incapables de développer un logiciel " ;-).

  • [^] # Modération

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 2. Dernière modification le 15 juin 2019 à 12:12.

    [Ndm : retiré suite à modération du commentaire cité]

    Question pour les modérateurs et modératrices : est-ce que cette expression (ainsi que "merci" à "abrutis"), ces attaques contre les personnes plutôt que contre les idées, est compatible avec les règles de modération de ce site?

  • [^] # Re: [PAS CONTENT] Sérieux... Plus ça va plus DLFP me semble un repaire d'abrutis.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 4. Dernière modification le 14 juin 2019 à 16:47.

    que tout n'est pas encore défini

    Plutôt que de balancer des excuses pour ne pas répondre aux interrogations, ne serait-il pas plus simple de répondre aux critiques?
    Pad la peine d'être long, juste :
    - zut nos excuses on a merdé sur la licence on corrige ça rapidement
    - on n'a pas encore décidé de la licence mais le film sera évidement libre (soyons clair : pas de NC evidement).

    Et j'attends de pied ferme que vous (collectif) me démontriez ce que vous faites en faveur du libre, à part démonter les gens dans les commentaires de ce site.

    La majorité de ce que je crée (code, doc, film…) est libre.

    J'avoue avoir du mal à comprendre ce qui est difficile à comprendre dans la critique, et surtout le refus d'accepter la critique, et c'est vraiment pas à ton honneur de jouer la carte banale de la victimisation face aux critiques qui montrent l'incohérence de l'affichage.

  • [^] # Re: [PAS CONTENT] Sérieux... Plus ça va plus DLFP me semble un repaire d'abrutis.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 0. Dernière modification le 14 juin 2019 à 16:18.

    Vous n'avez rien de plus constructif à proposer ?

    Proposition constructive pour les gens disant que le libre c'est bien et voulant une cohérence : rendre libres ses sites et ses films, il le peut! Et ça montrerai une cohérence entre affichage et actes.

    Autre proposition constructive pour les gens n'aimant pas la contradiction : contre argumenter est plus utile que insulter gratuitement (attaque des personnes et non des idées) pour convaincre.

  • [^] # Re: [PAS CONTENT] Sérieux... Plus ça va plus DLFP me semble un repaire d'abrutis.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview de Thierry Bayoud, co‐auteur du film « Lol — Logiciel libre une affaire sérieuse ». Évalué à 0.

    abrutis

    Ta vision d'un espace de débat est super : si on critique on est des méchant (dit de manière insultante), seul les gens disant du bien peuvent être bien à tes yeux. Bientôt tout contradicteur en prison si tu en avais le pouvoir?

    Perso, je suis ici car je me confronte à des idées, grâce à un espace de commentaires.
    Il existe plein d'autres endroits à sens unique (Pas de commentaires) pour qui veut diffuser un message sans avoir de contradicteurs.

    Le gars, il s'engage dans la vie asso, il prend 4 ans, 4 putains d'années de sa vie, pour réaliser un projet atour du libre, parlant du libre, défendant le libre

    Désolé mais pour le moment j'ai surtout vu l'équivalent de Macron vis à vis de l'écologie (Des paroles pour se faire bien voir mais pas d'actes, fait ce que je dis mais pas ce que je fais etc).
    Mais ici on peut contre argumenter, pourquoi donc préfères tu traiter les gens d'abrutis plutôt que de contre argumenter, convaincre que ce travail est utile au libre?
    Note que perso je ne considère pas Pour les communs un site sous NC (excluant) ni un bar qui oblige à augmenter artificiellement le nombre de ses adhérents pour boire un verre (cf les règles du bar, oui j'ai été curieux, et vois un affichage ensemble sauf si tu n'es pas adhérent, bref pas ensemble), ce n'est pas parce que quelqu'un ou un groupe s'affiche pour le bien de tous qu'il l'est en réalité.

    Mon "Pas content" à moi est quand des gens ne veulent que qu'on dise que du bien de ce qu'ils aiment et ne sont pas prêt à recevoir des critiques ni contre argumenter, et insultent dès que des gens osent analyser pour voir les incohérences entre affichage et actes.