Les méandres de l'espace de rédaction sont parfois mystérieux. La rédaction de certaines dépêches s'étalent parfois sur de long mois, parfois sans même comprendre pourquoi la dépêche ne part pas vers le stade de la publication. C'est ce qui est arrivé à cette dépêche qui ne suit donc pas autant qu'elle aurait pu l'actualité de la sortie de la nouvelle mouture de la microcarte de la Fondation Raspberry Pi, qui porte le nom très original de Raspberry Pi 5. Cette dépêche - qui nous offre une comparaison de cette nouvelle édition avec son illustre ancêtre ainsi qu'une investigation de ses nouveautés - reste substantielle et il nous a semblé qu'il valait mieux la publier même tardivement plutôt que de la plonger dans l'oubli éternel.
gNewSense 1.0 : nouvelle distribution entièrement libre
Deux développeurs irlandais, Brian Brazil et Paul O'Malley viennent de sortir la version 1.0 de gNewSense, une nouvelle distribution GNU/Linux basée sur Ubuntu et Debian. Elle a pour objectif d'offrir aux utilisateurs une distribution aussi stable qu'Ubuntu, avec la liberté en plus. En effet, cette distribution ne contient aucun blob binaire dans le noyau et aucun logiciel non libre.
Dans un communiqué de presse publié aujourd'hui, la Fondation pour le Logiciel Libre apporte son soutien à cette nouvelle distribution. Ted Teah, le mainteneur du répertoire de Logiciels Libres de la FSF a ainsi déclaré: « Avec le retrait des firmwares du noyau et des dépôts de logiciels non-libres, ainsi que la non-utilisation de l'outil propriétaire Launchpad utilisé par Ubuntu pour gérer sa distribution, cette distribution GNU/Linux est la distribution la plus avancée qui a un engagement d'être libre à 100% ». La FSF met à disposition du projet une machine puissante tournant avec un BIOS libre, de la bande passante et aide pour la réalisation des graphismes. Elle lance également un appel à des développeurs, mainteneurs de sites Web, graphistes, "vérificateurs de liberté" et des rédacteurs de documentation pour participer à ce projet;
La version 1.0 de cette distribution est d'ores et déjà téléchargeable sous la forme d'un LiveCD contenant une version de l'installateur graphique Ubiquity. D'autre part, l'équipe de gNewSense a créé un outil appelé Builder permettant de construire des versions personnalisées de cette distribution. Quelques captures d'écran sont disponibles: l'écran de connexion, le splash screen et le bureau.
Dans un communiqué de presse publié aujourd'hui, la Fondation pour le Logiciel Libre apporte son soutien à cette nouvelle distribution. Ted Teah, le mainteneur du répertoire de Logiciels Libres de la FSF a ainsi déclaré: « Avec le retrait des firmwares du noyau et des dépôts de logiciels non-libres, ainsi que la non-utilisation de l'outil propriétaire Launchpad utilisé par Ubuntu pour gérer sa distribution, cette distribution GNU/Linux est la distribution la plus avancée qui a un engagement d'être libre à 100% ». La FSF met à disposition du projet une machine puissante tournant avec un BIOS libre, de la bande passante et aide pour la réalisation des graphismes. Elle lance également un appel à des développeurs, mainteneurs de sites Web, graphistes, "vérificateurs de liberté" et des rédacteurs de documentation pour participer à ce projet;
La version 1.0 de cette distribution est d'ores et déjà téléchargeable sous la forme d'un LiveCD contenant une version de l'installateur graphique Ubiquity. D'autre part, l'équipe de gNewSense a créé un outil appelé Builder permettant de construire des versions personnalisées de cette distribution. Quelques captures d'écran sont disponibles: l'écran de connexion, le splash screen et le bureau.
OSGeo : regroupement de projets SIG libres
Le FOSS4G2006 (Free And Open Source Software for Geoinformatics) a été marqué par la montée en puissance d'une initiative des grands acteurs du monde des logiciels libres en géomatique, l'OSGeo.
Les grands acteurs du domaine des SIG libre (GDAL/OGR, MapServer, GeoTools, Grass, Mapbender, MapBuilder...) sentaient depuis quelques temps déjà le besoin d'une structure de coordination de leurs efforts. L'arrivée inattendue d'AutoDesk en novembre 2005 dans le monde du libre a sans doute servi de catalyseur de ce projet, et après quelques remous (dont l'appellation des produits MapGuide et Mapserver), la fondation OSGeo est née.
L'article "8 projets pour OSGeo" résume bien cette naissance. Pour plus de détail sur l'OSGeo voyez les liens en bas de page ou le contenu de l'article.
Aujourd'hui, l'heure est à la création d'initiatives locales dans les différents mondes linguistiques. Ainsi un "local chapter" francophone se monte, notamment sous l'impulsion conjuguée de Claude Philipona (CampToCamp) et de Gwenael Bachelot (Autodesk). Elle vise à encourager les initiatives et événements des acteurs de SIG libres francophones. Elle devrait se traduire par la création d'un portail francophone de l'OSGeo, proposant actualités, wiki, forums, liste de diffusion ou tout autre outil qui sera jugé utile.
Il existe à l'heure actuelle plusieurs portes d'entrée pour tous les logiciels libres en géomatique, pour n'en citer que quelques-uns :
Ne pourrait-on voir dans le local chapter francophone une occasion de regrouper ces différentes énergie aux objectifs communs ? Qu'en pensent les acteurs de ces différents projets, mais aussi tous ceux pour qui le SIG libre est encore quelque chose de flou et qui recherchent peut-être une telle initiative afin d'avoir une porte d'entrée globale. Donnez votre avis !
Les grands acteurs du domaine des SIG libre (GDAL/OGR, MapServer, GeoTools, Grass, Mapbender, MapBuilder...) sentaient depuis quelques temps déjà le besoin d'une structure de coordination de leurs efforts. L'arrivée inattendue d'AutoDesk en novembre 2005 dans le monde du libre a sans doute servi de catalyseur de ce projet, et après quelques remous (dont l'appellation des produits MapGuide et Mapserver), la fondation OSGeo est née.
L'article "8 projets pour OSGeo" résume bien cette naissance. Pour plus de détail sur l'OSGeo voyez les liens en bas de page ou le contenu de l'article.
Aujourd'hui, l'heure est à la création d'initiatives locales dans les différents mondes linguistiques. Ainsi un "local chapter" francophone se monte, notamment sous l'impulsion conjuguée de Claude Philipona (CampToCamp) et de Gwenael Bachelot (Autodesk). Elle vise à encourager les initiatives et événements des acteurs de SIG libres francophones. Elle devrait se traduire par la création d'un portail francophone de l'OSGeo, proposant actualités, wiki, forums, liste de diffusion ou tout autre outil qui sera jugé utile.
Il existe à l'heure actuelle plusieurs portes d'entrée pour tous les logiciels libres en géomatique, pour n'en citer que quelques-uns :
- la liste grass-fr (grass-fr (at) texte-a-enlever.tux.linux-nantes.fr.eu.org, archives de grass-fr)
- le wiki de sig-libre
- le projet sigle
- CartoWeb sur alolise.org
- le forum SIG Libre / Open Source
- le forum Cartographie et SIG sur le Web
- le portail francophone de la géomatique sur georezo
- ...
Ne pourrait-on voir dans le local chapter francophone une occasion de regrouper ces différentes énergie aux objectifs communs ? Qu'en pensent les acteurs de ces différents projets, mais aussi tous ceux pour qui le SIG libre est encore quelque chose de flou et qui recherchent peut-être une telle initiative afin d'avoir une porte d'entrée globale. Donnez votre avis !
Sortie d'OpenBSD 4.0
La sortie de la nouvelle version du système d'exploitation libre et sécurisée OpenBSD a été annoncée ce mercredi premier novembre par Theo de Raadt, le leader du projet. Comme d'habitude les progrès sont incrémentaux plutôt que radicaux. C'est une politique mûrement réfléchie afin de ne pas risquer de déstabiliser le code source en introduisant des bugs.
Parmi les points notables de cette version 4.0 on peut relever la prise en charge de l'architecture UltraSparc III ou de plusieurs gadgets basés sur le processeur ARM. Le travail d''amélioration des pilotes pour les cartes wifi ou pour les cartes Gigabit ethernet continue ainsi que le combat du projet OpenBSD pour obtenir de la documentation de la part des firmes qui construisent ces matériels.
Parmi les points notables de cette version 4.0 on peut relever la prise en charge de l'architecture UltraSparc III ou de plusieurs gadgets basés sur le processeur ARM. Le travail d''amélioration des pilotes pour les cartes wifi ou pour les cartes Gigabit ethernet continue ainsi que le combat du projet OpenBSD pour obtenir de la documentation de la part des firmes qui construisent ces matériels.
Lancement du projet GlobalGCC
Un consortium d'entreprise européennes vient de se former afin d'améliorer radicalement le compilateur libre GCC.
Dans le cadre de l'initiative ITEA (Information Technology for European Advancement), qui est soutenue par l'Union Européenne par l'intermédiaire de son programme de recherche Eureka, il a été décidé d'améliorer les performances du code produit par GCC.
Le projet, nommé GlobalGCC durera 30 mois.
Il sera financé pour environ un tiers par les gouvernements français, espagnol et suédois et le solde sera financé par des entreprises et des universités. Parmi ces dernières on peut noter Airbus, le CEA, l'INRIA, Telefonica ou MySQL.
Le projet sera dirigé par l'entreprise Mandriva.
Dans le cadre de l'initiative ITEA (Information Technology for European Advancement), qui est soutenue par l'Union Européenne par l'intermédiaire de son programme de recherche Eureka, il a été décidé d'améliorer les performances du code produit par GCC.
Le projet, nommé GlobalGCC durera 30 mois.
Il sera financé pour environ un tiers par les gouvernements français, espagnol et suédois et le solde sera financé par des entreprises et des universités. Parmi ces dernières on peut noter Airbus, le CEA, l'INRIA, Telefonica ou MySQL.
Le projet sera dirigé par l'entreprise Mandriva.
Bookmarks : Yahoo! choisit d'utiliser Symfony
Au cas où vous seriez passé à côté, Yahoo! a récemment rendu publique la prochaine version de son outil de gestion des marques-pages. C'est bien entendu plein d'AJAX et en version bêta.
Mais ce qui est vraiment intéressant, c'est que Yahoo! ait choisi d'utiliser le framework d'application web PHP5 Symfony pour développer cette application qui supporte quelques 20 millions d'utilisateurs dans 12 langages...
D'après Michael Salisbury (qui travaille sur le projet chez Yahoo!), Symfony a été choisi pour les raisons suivantes :
La communauté attend avec impatience le reversement de code promis par Yahoo! Voilà une excellente nouvelle pour ce projet d'origine francophone qui souffle tout juste sa première bougie.
Symfony est un framework d'application web PHP5 de dernière génération (au même titre que Django, Ruby on Rails ou Catalyst). Publié sous une licence libre (MIT) par la société Sensio il y a tout juste un an, le projet est aujourd'hui très actif et devrait aboutir à une version 1.0 dans les mois qui viennent.
Mais ce qui est vraiment intéressant, c'est que Yahoo! ait choisi d'utiliser le framework d'application web PHP5 Symfony pour développer cette application qui supporte quelques 20 millions d'utilisateurs dans 12 langages...
D'après Michael Salisbury (qui travaille sur le projet chez Yahoo!), Symfony a été choisi pour les raisons suivantes :
- Excellente documentation ;
- Configuration explicite et extensible ;
- Développement actif ;
- Utilisation de briques logicielles libres de qualité (plutôt que de réinventer la roue).
La communauté attend avec impatience le reversement de code promis par Yahoo! Voilà une excellente nouvelle pour ce projet d'origine francophone qui souffle tout juste sa première bougie.
Symfony est un framework d'application web PHP5 de dernière génération (au même titre que Django, Ruby on Rails ou Catalyst). Publié sous une licence libre (MIT) par la société Sensio il y a tout juste un an, le projet est aujourd'hui très actif et devrait aboutir à une version 1.0 dans les mois qui viennent.
Publication d'une nouvelle version de GRASS
GRASS 6.2.0 vient de sortir ce mardi 31 octobre 2006. GRASS (Geographic Resources Analysis Support System) est un Système d'Information Géographique pour l'analyse et la gestion des données spatiales. Il permet également l'analyse d'image, la production de carte et de graphique, la modélisation spatiale et, bien sûr, la visualisation. Grass est utilisé principalement dans les universités à travers le monde, mais également par des sociétés commerciales.
Les nouveautés (autres que les corrections de bug), cette liste est loin d'être exhaustive :
Les nouveautés (autres que les corrections de bug), cette liste est loin d'être exhaustive :
- GRASS est porté sous windows [wingrass] ;
- Prototype d'interface GRASS-SWIG ajouté (bibliothèque qui permet de lier un logiciel avec des langages de scripts, pour Perl et Python seulement) ;
- Ajout du pilote SQlite
- Ré-écriture du pilote MysQL ;
- Support pour les noms longs de mapset ;
- Support des gros fichiers en options (> 2Go) ;
- Intégration dans QGIS ;
- Ré-écriture de l'interface d.m est remplacé par gis.m ;
- De nombreux scripts et commandes (77) ajoutés ou améliorés.
Teardrop 1.1 : méta-moteur de recherche
Voici la version 1.1 de Teardrop, un méta-moteur de recherche personnalisable. Au programme, l'amélioration de la liste des résultats, qui supporte maintenant les images sous formes de vignettes. On peut de ce fait utiliser Teardrop afin de rechercher des images ou des vidéos.
Il est possible d'exporter les résultats d'une recherche au format CSV, ce qui permet leur importation dans un tableur. On peut dorénavant mettre à jour l'ensemble des moteurs automatiquement. Il est également possible de vérifier la validité des liens de chaque résultat.
Enfin, le support de MacOS X a été ajouté. Les personnes motivées pour créer ou maintenir des moteurs ou contribuer de quelque manière que ce soit sont les bienvenues.
Il est possible d'exporter les résultats d'une recherche au format CSV, ce qui permet leur importation dans un tableur. On peut dorénavant mettre à jour l'ensemble des moteurs automatiquement. Il est également possible de vérifier la validité des liens de chaque résultat.
Enfin, le support de MacOS X a été ajouté. Les personnes motivées pour créer ou maintenir des moteurs ou contribuer de quelque manière que ce soit sont les bienvenues.
Tim Berners-Lee évoque l'avenir d'(X)HTML
Tim Berners-Lee est à l'origine du Web : en 1980, en tant que consultant pour le CERN, il développe la notion de lien hypertexte ; dix ans plus tard, il réalise la jonction avec Internet, pour donner naissance au World Wide Web. En 1994, face à l'apparition de plusieurs versions propriétaires d'HTML, incompatibles entre elles, il fonde au MIT le World Wide Web Consortium (W3C) afin de définir les standards du Web.
Au début 2000, après quatre versions du langage HTML, le W3C tente d'imposer plus de rigueur avec la mise au point du standard XHTML, fondé sur le langage XML. L'objectif est aussi de faciliter la délivrance d'un même contenu sur des plateforme variées (ordinateurs, téléphones portables, ...) et d'offrir la possibilité d'étendre le langage (par exemple avec MathML pour les formules mathématiques ou SVG pour le dessin vectoriel).
Mais le XHTML n'est pas adopté par la majorité des développeurs web. Pire : faute de support par le principal navigateur du marché (Internet Explorer), le XHTML déployé n'a souvent d'XHTML que le nom, étant en fait interprété par le navigateur comme une variante d'HTML, et non comme du XML. Les discussions sur XHTML 2 s'enlisent et une partie des acteurs du marché (dont la fondation Mozilla, Opera et Apple) fondent un groupe de travail séparé, le WHAT WG, pour réfléchir à une alternative, parfois appelée (X)HTML 5.
Le 27 octobre dernier, Tim Berners-Lee, toujours membre du W3C annonce un changement de cap radical : création de trois groupes de travail, dont deux qui travailleront en synergie sur (x)HTML et les améliorations à y apporter, le dernier continuant à développer séparément XHTML 2. Les réactions sont variées, mais toutes saluent une remise en question qu'il était plus que temps d'effectuer (voir la suite de l'article).
Au début 2000, après quatre versions du langage HTML, le W3C tente d'imposer plus de rigueur avec la mise au point du standard XHTML, fondé sur le langage XML. L'objectif est aussi de faciliter la délivrance d'un même contenu sur des plateforme variées (ordinateurs, téléphones portables, ...) et d'offrir la possibilité d'étendre le langage (par exemple avec MathML pour les formules mathématiques ou SVG pour le dessin vectoriel).
Mais le XHTML n'est pas adopté par la majorité des développeurs web. Pire : faute de support par le principal navigateur du marché (Internet Explorer), le XHTML déployé n'a souvent d'XHTML que le nom, étant en fait interprété par le navigateur comme une variante d'HTML, et non comme du XML. Les discussions sur XHTML 2 s'enlisent et une partie des acteurs du marché (dont la fondation Mozilla, Opera et Apple) fondent un groupe de travail séparé, le WHAT WG, pour réfléchir à une alternative, parfois appelée (X)HTML 5.
Le 27 octobre dernier, Tim Berners-Lee, toujours membre du W3C annonce un changement de cap radical : création de trois groupes de travail, dont deux qui travailleront en synergie sur (x)HTML et les améliorations à y apporter, le dernier continuant à développer séparément XHTML 2. Les réactions sont variées, mais toutes saluent une remise en question qu'il était plus que temps d'effectuer (voir la suite de l'article).
Sortie de subtitleeditor 0.11
Subtitleeditor est un logiciel d'édition de sous-titre sous licence GNU GPL basé sur GTK+2 qui vise à être rapide, simple et stable.
Il permet aussi la synchronisation de sous-titre avec représentations des ondes sonores directement à partir de la vidéo ou de n'importe quel média (GStreamer).
Il permet aussi la synchronisation de sous-titre avec représentations des ondes sonores directement à partir de la vidéo ou de n'importe quel média (GStreamer).
SSTIC 2007 : Appel à proposition
Le Symposium sur la Sécurité des Technologies de l'Information et des Communications est une conférence francophone traitant de la sécurité de l'information. Ce thème comprend à la fois les vecteurs d'information (comme les systèmes informatiques ou les réseaux) et l'information elle-même (cryptographie ou guerre de l'information).
La cinquième édition se déroulera à Rennes du 30 mai au 1er Juin 2007.
Nous avons publié l'appel à contribution et comme les années précédentes, toutes les soumissions seront examinées avec intérêt, qu'elles soient techniques, académiques, juridiques, organisationnelles, etc.
La cinquième édition se déroulera à Rennes du 30 mai au 1er Juin 2007.
Nous avons publié l'appel à contribution et comme les années précédentes, toutes les soumissions seront examinées avec intérêt, qu'elles soient techniques, académiques, juridiques, organisationnelles, etc.
OpenOffice.org au Ministère de l'Agriculture et de la Pêche (MAP)
Lors de leur réunion nationale, les 120 responsables du conseil des systèmes d'information (CSI) du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche ont eu à se prononcer sur la stratégie à adopter en matière de logiciel de bureautique.
Confrontés à l'obsolescence de la suite MS-Office 2000, ils ont eu à choisir entre une migration vers la suite MS-Office 2007 et OpenOffice.org. Ils ont choisi OpenOffice.org. Ce choix stratégique :
Cette migration des services du Ministère de l'Agriculture et de la pêche et de ses services (DDEA, DDSV, DDAF et DRAF) fait suite à bien d'autres dans presque tous les ministères. Il ne manque maintenant plus que la signature du secrétaire général qui ne saurait tarder car on ne voit pas ce qui pourrait l'en empêcher.
NdM Par ailleurs, OpenOffice.org 2.0.4 est sorti le 13 octobre (nouveautés : amélioration de l'export PDF, export direct au format LaTeX, requêtes imbriquées dans Base, nouvelles fonctionnalités dans Calc et Impress ...)
Confrontés à l'obsolescence de la suite MS-Office 2000, ils ont eu à choisir entre une migration vers la suite MS-Office 2007 et OpenOffice.org. Ils ont choisi OpenOffice.org. Ce choix stratégique :
- respecte les préconisations du RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité) qui impose des formats ouverts et correctement spécifiés. Ceci permet de faciliter les échanges entre services de l'état ainsi que l'archivage sur de longues durées.
- permet de réaliser une substantielle économie sur les licences avec un coût de migration équivalent. On sait en effet d'après d'autres migrations que le coût du changement vers l'une ou l'autre des solutions est sensiblement le même comme le montre la très sérieuse étude danoise. Dans les faits, avec budget inférieur, on en profite pour faire une vraie formation du personnel officiellement à OpenOffice.org et réellement au bon usage d'une suite bureautique.
Cette migration des services du Ministère de l'Agriculture et de la pêche et de ses services (DDEA, DDSV, DDAF et DRAF) fait suite à bien d'autres dans presque tous les ministères. Il ne manque maintenant plus que la signature du secrétaire général qui ne saurait tarder car on ne voit pas ce qui pourrait l'en empêcher.
NdM Par ailleurs, OpenOffice.org 2.0.4 est sorti le 13 octobre (nouveautés : amélioration de l'export PDF, export direct au format LaTeX, requêtes imbriquées dans Base, nouvelles fonctionnalités dans Calc et Impress ...)
Du nouveau chez Alfresco : Parution de la version 1.4 et du module WCM
Après la parution de la version 1.0 il y a un an, puis la libération complète des sources en mai 2006, Alfresco continue sa rapide évolution et annonce la parution de deux produits :
Alfresco ECM version 1.4 "community", orienté Gestion De Contenu d'Entreprise qui apporte les nouveautés suivantes :
Alfresco WCM version preview, afin de montrer les concepts de sa solution de gestion de contenu Web
Rappelons qu'Alfresco est multiplateforme (Java EE) publié sous une licence dérivée de la MPL, que le modèle économique de la société éditrice est basé entièrement sur la souscription de contrats de support, et que la version "community" est totalement iso-fonctionnelle par rapport à la version dite "Entreprise", certifiée, supportée et garantie par l'éditeur.
Alfresco ECM version 1.4 "community", orienté Gestion De Contenu d'Entreprise qui apporte les nouveautés suivantes :
- Gestion des processus métiers , par intégration de jBPM (projet JBoss)
- Gestion des archives et plans de classements (Record Management)
- Une traçabilité orientée services (Audit Trail)
- Un tableau de bord "MonAlfresco"
- Des performances améliorées sur les très gros volumes
- Des exécutables virtuels permettant le lancement d'actions à travers CIFS
- Des actions adressables par URL (architecture REST)
- Ajout d'un framework AJAX
Alfresco WCM version preview, afin de montrer les concepts de sa solution de gestion de contenu Web
- Formulaires entièrement basés sur XForms
- Serveur de virtualisation
Rappelons qu'Alfresco est multiplateforme (Java EE) publié sous une licence dérivée de la MPL, que le modèle économique de la société éditrice est basé entièrement sur la souscription de contrats de support, et que la version "community" est totalement iso-fonctionnelle par rapport à la version dite "Entreprise", certifiée, supportée et garantie par l'éditeur.
Blocs notes BasKet 0.6.0 est sorti
Blocs notes BasKet est un logiciel de prise de notes au concept original et très efficace. Contrairement aux autres logiciels du genre, il permet de prendre toute sorte de notes : textuelles, bien sûr, mais aussi des liens, des images, des fichiers, des lanceurs d'application...
Très simple à utiliser, il est aussi très puissant : en regroupant toutes vos informations par sujet ou projet dans des paniers virtuels, il vous offre la possibilité d'être plus organisé.
Et même si vous n'êtes pas organisé, il vous offre des fonctions de recherche très efficaces : tapez un mot et il filtrera votre panier pour ne plus afficher que les notes qui correspondent, et ce en direct, en même temps que vous tapez. Vous ne savez plus où vous avez rangé une note ? En un clic vous étendez votre recherche à tous vos blocs notes, et en un coup d'½il vous retrouvez ce que vous cherchiez...
Un petit détail : vos notes sont sauvegardées automatiquement dès que vous les modifiez. Fini les Ctrl+S compulsifs, vous ne pourrez plus perdre de données.
Très simple à utiliser, il est aussi très puissant : en regroupant toutes vos informations par sujet ou projet dans des paniers virtuels, il vous offre la possibilité d'être plus organisé.
Et même si vous n'êtes pas organisé, il vous offre des fonctions de recherche très efficaces : tapez un mot et il filtrera votre panier pour ne plus afficher que les notes qui correspondent, et ce en direct, en même temps que vous tapez. Vous ne savez plus où vous avez rangé une note ? En un clic vous étendez votre recherche à tous vos blocs notes, et en un coup d'½il vous retrouvez ce que vous cherchiez...
Un petit détail : vos notes sont sauvegardées automatiquement dès que vous les modifiez. Fini les Ctrl+S compulsifs, vous ne pourrez plus perdre de données.
Hachoir version 0.6
Un an après la naissance du projet, Hachoir sort dans sa version 0.6. C'est une suite d'outils développés dans le langage Python ayant pour but de manipuler facilement un fichier binaire tel qu'un arbre de champs typés. Le projet a été éclaté en plusieurs composants dont les principaux sont : hachoir (c½ur du système), hachoir-parser (quarantaine de parseur des formats les plus courants), hachoir-metadata (extraction de méta-données) et hachoir-urwid (visualisation de fichier binaire).
Hachoir supporte maintenant l'édition de fichier : il est possible de modifier la valeur d'un champ, de supprimer un champ ou encore d'en insérer. hachoir-strip est un programme d'exemple exploitant cette possibilité : il va supprimer tous les champs qu'il juge inutile, c'est-à-dire les méta-données, les octets de bourrage, index pour les vidéos, etc. Il peut être utilisé pour rendre un fichier anonyme ou en réduire légèrement sa taille.
Autre amélioration notable : la possibilité d'ouvrir des fichiers corrompus et/ou tronqués. Dans la mesure du possible, le parseur va tenter de corriger l'erreur puis de continuer son travail. Cette version apporte également la possibilité d'utiliser Hachoir sur un pipe, ce qui permet de parser un flux de données au fur et à mesure (par ex. : un flux réseau).
Pour stocker le texte, Hachoir utilise maintenant uniquement Unicode, ce qui évite d'avoir à se soucier du jeu de caractères. Cette version fonctionne également sur toutes les implémentations de Python (CPython, Stackless, pypy, IronPython, Jython), même si des retouches mineures sont parfois nécessaires. Pour finir, une interface graphique basée sur wxPython est en cours de développement.
Hachoir supporte maintenant l'édition de fichier : il est possible de modifier la valeur d'un champ, de supprimer un champ ou encore d'en insérer. hachoir-strip est un programme d'exemple exploitant cette possibilité : il va supprimer tous les champs qu'il juge inutile, c'est-à-dire les méta-données, les octets de bourrage, index pour les vidéos, etc. Il peut être utilisé pour rendre un fichier anonyme ou en réduire légèrement sa taille.
Autre amélioration notable : la possibilité d'ouvrir des fichiers corrompus et/ou tronqués. Dans la mesure du possible, le parseur va tenter de corriger l'erreur puis de continuer son travail. Cette version apporte également la possibilité d'utiliser Hachoir sur un pipe, ce qui permet de parser un flux de données au fur et à mesure (par ex. : un flux réseau).
Pour stocker le texte, Hachoir utilise maintenant uniquement Unicode, ce qui évite d'avoir à se soucier du jeu de caractères. Cette version fonctionne également sur toutes les implémentations de Python (CPython, Stackless, pypy, IronPython, Jython), même si des retouches mineures sont parfois nécessaires. Pour finir, une interface graphique basée sur wxPython est en cours de développement.
Sortie de Frozen-Bubble 2
Après de longs mois de tergiversations, de développement, puis de tests et améliorations diverses, l'équipe de Frozen-Bubble est heureuse et fière de vous présenter, enfin, la version 2.0.0 du jeu, en ce vendredi 27 octobre 2006.
Cette nouvelle version apporte des améliorations que beaucoup attendaient fébrilement depuis presque un lustre, y compris bien sûr le jeu en réseau. Espérons que cette nouvelle version satisfera toujours les adeptes du pingouin et que Frozen-Bubble continuera à être autant apprécié.
Nous donnons rendez-vous à ceux qui souhaitent discuter de cette nouvelle sortie sur le canal #fb2-fr de freenode.
Cette nouvelle version apporte des améliorations que beaucoup attendaient fébrilement depuis presque un lustre, y compris bien sûr le jeu en réseau. Espérons que cette nouvelle version satisfera toujours les adeptes du pingouin et que Frozen-Bubble continuera à être autant apprécié.
Nous donnons rendez-vous à ceux qui souhaitent discuter de cette nouvelle sortie sur le canal #fb2-fr de freenode.