BBClone est un script PHP populaire permettant d'effectuer des statistiques simples d'un site web mais avec un rendu très agréable. Après plusieurs mois d'inactivité, l'équipe de développement jette l'éponge. Il s'agit plutôt d'une mauvaise nouvelle car en plus d'avoir un look agréable, le script est plutôt performant, simple à utiliser, traduit en 30 langues et propre (XHTML 1.0 et CSS).
BBClone est utilisé par de nombreux sites et il est probable qu'il soit repris. Si vous voulez aider, il suffit de contacter l'équipe BBClone à partir du formulaire disponible sur le site.
Sortie de la version 2.0 de Gallery
Après plus de trois ans de conception et de développement Gallery 2.0 (G2) est enfin disponible. Le site web vient de subir une mise à jour pour l’occasion. G2 conserve presque toutes les caractéristiques de son prédécesseur Gallery, maintenant appelé G1.
Gallery est un projet open source (sous GPL) en PHP qui permet de gérer sa collection de photos numériques et de les publier grâce à Apache ou IIS. Les points forts de Gallery sont : l’administration et l’envoi des photos par l’interface web, le support multilingue, multi utilisateur, l’intégration possible avec WordPress, phpBB2, Mambo (Joomla), PHPNuke, Invision Board, Drupal, PostNuke ou vBulletin, possibilité de mettre un filigrane sur toutes les photos, possibilité de commentaires, votes, service d’impression, vue miniature ou plein écran, et plein d’autre encore.
Côté nouveautés on notera:
- plus de sécurité
- l’utilisation d’une base de données (MySQL, PostgreSQL ou Oracle)
- plus de formats supportés surtout pour l’affichage de miniatures vidéos (merci ffmpeg)
- apparition de groupes d’utilisateurs
- possibilité de mettre des quotas disque
- possibilité de mettre des textes multilingues
- meilleure gestion des albums
Plus de détails sur le site de G1-G2 comparaison.
Gallery est un projet open source (sous GPL) en PHP qui permet de gérer sa collection de photos numériques et de les publier grâce à Apache ou IIS. Les points forts de Gallery sont : l’administration et l’envoi des photos par l’interface web, le support multilingue, multi utilisateur, l’intégration possible avec WordPress, phpBB2, Mambo (Joomla), PHPNuke, Invision Board, Drupal, PostNuke ou vBulletin, possibilité de mettre un filigrane sur toutes les photos, possibilité de commentaires, votes, service d’impression, vue miniature ou plein écran, et plein d’autre encore.
Côté nouveautés on notera:
- plus de sécurité
- l’utilisation d’une base de données (MySQL, PostgreSQL ou Oracle)
- plus de formats supportés surtout pour l’affichage de miniatures vidéos (merci ffmpeg)
- apparition de groupes d’utilisateurs
- possibilité de mettre des quotas disque
- possibilité de mettre des textes multilingues
- meilleure gestion des albums
Plus de détails sur le site de G1-G2 comparaison.
Revealicious : un outil de visualisation pour Delicious
Tout le monde connaît sans doute l'application web de gestion de signets Delicious (sinon, je vous invite à découvrir cet outil simple et terriblement efficace). Delicious propose, entre autre, de "tagger" chaque marque page et, étant donné que l'on marque la plupart du temps des pages relatant le même genre d'informations, on se retrouvait avec un nombre finalement limité de tags. Il nous manquait un outil permettant d'en tirer un peu plus d'informations.
C'est pourquoi Sébastien Pierre, dans le cadre de sa Licence Professionnelle de Design, vient d'annoncer la version 1.0 de Revealicious. C'est un outil flash de visualisation interactif permettant de découvrir ou redécouvrir par nous-même nos habitudes et nos centres d'intérêts.
Revealicious a été réalisé uniquement à l'aide de logiciels Libres (le compilateur ActionScript MTASC, et le processeur XMLSWF swfmill) et est publié sous licence BSD révisée.
C'est pourquoi Sébastien Pierre, dans le cadre de sa Licence Professionnelle de Design, vient d'annoncer la version 1.0 de Revealicious. C'est un outil flash de visualisation interactif permettant de découvrir ou redécouvrir par nous-même nos habitudes et nos centres d'intérêts.
Revealicious a été réalisé uniquement à l'aide de logiciels Libres (le compilateur ActionScript MTASC, et le processeur XMLSWF swfmill) et est publié sous licence BSD révisée.
Lighttpd : un concurrent pour Apache
Il y a quelques jours est sortie la version 1.4.3 du serveur HTTP lighttpd. Cette version apporte notamment un support partiel du protocole WebDAV et les configurations conditionnelles emboîtées.
Comme son nom l'indique, lighttpd vise la légèreté. Le but de projet est de fournir un serveur aussi rapide qu'Apache, mais avec une empreinte mémoire beaucoup plus faible.
Si le coeur du serveur est assez complexe, on peut l'étendre assez facilement avec un système de plugins. Ce qui explique que comparé à d'autres serveurs de même taille, lighttpd se révèle assez riche en fonctionnalités, sans toutefois être aussi "touffu" que son grand frère. Les hôtes virtuels, l'authentification, HTTPS, CGI, la compression à la volée des fichiers servis, les redirections et réécritures d'URL, et dans une certaine mesure les Server Side Includes sont supportés.
Du côté de la programmation Web, lighttpd fait clairement le choix de FastCGI, en cohérence avec son objectif de légèreté : au contraire des mod_php, mod_perl... d'Apache, l'interpréteur n'est pas inclus dans le serveur lui-même, mais en lancé une bonne fois pour toutes "à côté" du serveur. Ce qui donne des performances comparables à Apache en prefork/mod_php pour l'exécution de scripts PHP. Pour Python, on dispose en outre d'un module de connexion à une application web plus spécifique à ce langage : SCGI. Mais c'est encore avec le framework Ruby On Rails que lighttpd est le plus utilisé (pour mémoire il s'agit d'un framework MVC pour le langage Ruby).
Signalons enfin la configuration du serveur, à la fois classique (des directives dans un fichier de configuration), plus flexible et plus simple que celle d'Apache : il est possible de découper le fichier de configuration selon des conditions relatives à l'adresse IP du client, l'URL demandée, le User Agent du client... Ces conditions peuvent s'emboîter (à partir de lighttpd 1.4).
Dans la vraie vie (?) lighttpd semble être utilisé par des professionnels en tant que proxy, frontal pour application Web et surtout comme serveur d'images de publicité, en raison de ses performances impressionnantes avec les fichiers statiques. La liste de diffusion est ouverte à tous et franchement réactive.
Comme son nom l'indique, lighttpd vise la légèreté. Le but de projet est de fournir un serveur aussi rapide qu'Apache, mais avec une empreinte mémoire beaucoup plus faible.
Si le coeur du serveur est assez complexe, on peut l'étendre assez facilement avec un système de plugins. Ce qui explique que comparé à d'autres serveurs de même taille, lighttpd se révèle assez riche en fonctionnalités, sans toutefois être aussi "touffu" que son grand frère. Les hôtes virtuels, l'authentification, HTTPS, CGI, la compression à la volée des fichiers servis, les redirections et réécritures d'URL, et dans une certaine mesure les Server Side Includes sont supportés.
Du côté de la programmation Web, lighttpd fait clairement le choix de FastCGI, en cohérence avec son objectif de légèreté : au contraire des mod_php, mod_perl... d'Apache, l'interpréteur n'est pas inclus dans le serveur lui-même, mais en lancé une bonne fois pour toutes "à côté" du serveur. Ce qui donne des performances comparables à Apache en prefork/mod_php pour l'exécution de scripts PHP. Pour Python, on dispose en outre d'un module de connexion à une application web plus spécifique à ce langage : SCGI. Mais c'est encore avec le framework Ruby On Rails que lighttpd est le plus utilisé (pour mémoire il s'agit d'un framework MVC pour le langage Ruby).
Signalons enfin la configuration du serveur, à la fois classique (des directives dans un fichier de configuration), plus flexible et plus simple que celle d'Apache : il est possible de découper le fichier de configuration selon des conditions relatives à l'adresse IP du client, l'URL demandée, le User Agent du client... Ces conditions peuvent s'emboîter (à partir de lighttpd 1.4).
Dans la vraie vie (?) lighttpd semble être utilisé par des professionnels en tant que proxy, frontal pour application Web et surtout comme serveur d'images de publicité, en raison de ses performances impressionnantes avec les fichiers statiques. La liste de diffusion est ouverte à tous et franchement réactive.
Enfin un FAI ADSL associatif !
Les vieux routiers d'Internet connaissent FDN depuis longtemps. Depuis plus de 10 ans. Mais si, souvenez-vous, cette association qui en 1992 déjà proposait de recevoir son courriel et ses forums en UUCP, qui était l'un des seuls FAI à fournir des adresses IP fixes en RTC. On avait aussi un peu entendu parler de FDN lors de la création de Gitoyen (opérateur de réseau alternatif) : FDN en est membre fondateur.
FDN se lance aujourd'hui dans la fourniture d'accès ADSL. La vraie différence avec un fournisseur d'accès classique tient au mode de fonctionnement de la structure. D'une part, elle fonctionne entièrement sur du Libre, mais surtout, FDN est une association. On n'y est donc pas client, mais adhérent. C'est-à-dire qu'on n'achète pas un produit, mais qu'on partage des frais entre adhérents. Et quand il y a du travail à faire, ce sont également des adhérents qui s'y collent, sur leur temps libre.
FDN se lance aujourd'hui dans la fourniture d'accès ADSL. La vraie différence avec un fournisseur d'accès classique tient au mode de fonctionnement de la structure. D'une part, elle fonctionne entièrement sur du Libre, mais surtout, FDN est une association. On n'y est donc pas client, mais adhérent. C'est-à-dire qu'on n'achète pas un produit, mais qu'on partage des frais entre adhérents. Et quand il y a du travail à faire, ce sont également des adhérents qui s'y collent, sur leur temps libre.
Google Talk : messagerie instantanée et voix sur IP basée sur Jabber
La firme du célèbre moteur de recherche lance aujourd'hui son service de messagerie instantanée. Baptisé Google Talk, il utilise le fameux protocole libre XMPP (Extensible Messaging and Presence Protocol), un standard basé sur XML, créé et utilisé par Jabber.
Google Talk est associé au service Gmail (compte Gmail requis) et permet également les communications vocales par VoIP.
Au niveau des codecs, Google travaille pour intégrer Speex, le codec libre et "patent-free" (sans brevet) du projet GNU ("We are also evaluating the Speex codec") et supporte déjà huit codecs (quatre codecs standards : PCMA, PCMU, G.723, iLBC et quatre codecs de la sociéte "Global IP Sound" : ISAC, IPCMWB, EG711U, EG711A)
Seules les authentifications SASL et PLAIN sont supportées pour la connexion et les communications ne sont pas encore chiffrées. Ceci sera disponible avant la sortie de la version officielle.
Google Talk va certainement aider à populariser Jabber et les standards libres sous Windows... Espérons que Jabber ait enfin le succès qu'il mérite auprès du grand public !
NdM : Google Talk se base sur des standards ouverts et du logiciel libre et planifie d'en faire encore plus, c'est donc un bon début.
Google Talk est associé au service Gmail (compte Gmail requis) et permet également les communications vocales par VoIP.
Au niveau des codecs, Google travaille pour intégrer Speex, le codec libre et "patent-free" (sans brevet) du projet GNU ("We are also evaluating the Speex codec") et supporte déjà huit codecs (quatre codecs standards : PCMA, PCMU, G.723, iLBC et quatre codecs de la sociéte "Global IP Sound" : ISAC, IPCMWB, EG711U, EG711A)
Seules les authentifications SASL et PLAIN sont supportées pour la connexion et les communications ne sont pas encore chiffrées. Ceci sera disponible avant la sortie de la version officielle.
Google Talk va certainement aider à populariser Jabber et les standards libres sous Windows... Espérons que Jabber ait enfin le succès qu'il mérite auprès du grand public !
NdM : Google Talk se base sur des standards ouverts et du logiciel libre et planifie d'en faire encore plus, c'est donc un bon début.
Départ de l'équipe des développeurs Mambo
Le 17 août 2005, la quasi totalité de l'actuelle équipe de développement du CMS Open Source Mambo a annoncé, dans une lettre ouverte à la communauté, qu'elle préfère abandonner Mambo suite à la création de la fondation du même nom.
En effet, les développeurs pensent que l'orientation de Mambo doit être dictée par les demandes de ses utilisateurs et les capacités des développeurs, or il semblerait que la Fondation Mambo soit conçue pour accorder le contrôle à la société Miro, une conception qui rend la coopération entre la Fondation et la communauté impossible.
Dans les faits l'équipe quitte donc la table de la fondation Mambo pour continuer de développer le produit sous GPL, ce qui ressemble donc fort à un fork.
En effet, les développeurs pensent que l'orientation de Mambo doit être dictée par les demandes de ses utilisateurs et les capacités des développeurs, or il semblerait que la Fondation Mambo soit conçue pour accorder le contrôle à la société Miro, une conception qui rend la coopération entre la Fondation et la communauté impossible.
Dans les faits l'équipe quitte donc la table de la fondation Mambo pour continuer de développer le produit sous GPL, ce qui ressemble donc fort à un fork.
Logiciels libres et contenus web interactifs
Le langage propriétaire Flash est décrit par son éditeur comme un « environnement d'édition pour la création de sites web, d'expériences numériques et de contenu animé interactifs ». SecuritySpace lui donne 12.26% d'utilisation sur les sites web.
Le site « Open Source Flash » osflash.org liste les nombreux projets libres visant à supporter ce langage (compilateurs, plug-ins, applications, etc.).
Le trio SVG / SMIL / ECMAScript est aussi évoqué comme solution basée sur des standards pour remplacer Flash (on notera d'ailleurs que la manifestation SVG 2005 est en cours aux Pays-bas).
Dans le débat pour/contre flash, il y a le classique et maintenant ancien « Sites Flash : vingt-cinq raisons de dire non », document lui-même critiqué.
Quels sont selon vous les meilleurs outils pour réaliser des contenus web interactifs ? Que pensez-vous du support de Flash par les projets libres ? Quelles sont les alternatives possibles ?
Le site « Open Source Flash » osflash.org liste les nombreux projets libres visant à supporter ce langage (compilateurs, plug-ins, applications, etc.).
Le trio SVG / SMIL / ECMAScript est aussi évoqué comme solution basée sur des standards pour remplacer Flash (on notera d'ailleurs que la manifestation SVG 2005 est en cours aux Pays-bas).
Dans le débat pour/contre flash, il y a le classique et maintenant ancien « Sites Flash : vingt-cinq raisons de dire non », document lui-même critiqué.
Quels sont selon vous les meilleurs outils pour réaliser des contenus web interactifs ? Que pensez-vous du support de Flash par les projets libres ? Quelles sont les alternatives possibles ?
Wikipédia envisagerait de renforcer le contrôle éditorial
NdM : L'information serait inexacte. Voir en fin de dépêche.
Dans une interview accordée au journal allemand Sueddeutsche Zeitung, Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, a déclaré qu'il fallait trouver un équilibre entre la protection de l'information contre les abus et l'ouverture nécessaire pour l'amélioration du contenu. Ces mesures sont semblent-ils devenues nécessaires en raison du vandalisme ayant lieu dans l'encyclopédie libre.
Wales a annoncé « qu'il pourrait bientôt y avoir des contenus stables. Dans ce cas, nous bloquerions les pages dont la qualité est indisputée. » Le fondateur de Wikipédia a donné l'exemple de la page consacrée au nouveau pape, qui a été vandalisée par une personne ayant remplacé la photo par une photo de l'empereur du mal de Star Wars. Bien qu'elle ne soit restée qu'une minute, Wales estime que cela peut ennuyer le lecteur qui arrive à ce moment là, et peut diminuer la crédibilité de Wikipédia. Il s'agit en effet d'un des principaux arguments des détracteurs de l'encyclopédie libre.
Dans le reste de l'actualité de l'encyclopédie, il y a bien entendu Wikimania 2005, la première conférence internationale Wikipédia. Cette conférence a lieu en ce moment et jusqu'au 8 août à Frankfurt am Main en Allemagne. Ceux qui ne peuvent pas s'y rendre pourront toutefois bénéficier du streaming en direct des conférences ou des enregistrements.
Mise à jour : Selon le "Lessig Blog" et Ars Technica ceci se révélerait inexact. L'information a été déformée de traduction en citations. Jimbo Wales n'envisagerait pas de modifier la manière actuelle de travailler sur Wikipédia. Il recherche les façons d'améliorer Wikipédia. Lire les liens ci-dessus (en anglais) pour tous les détails. Merci à A.Kauffmann et Hank Lords pour ces précisions.
Dans une interview accordée au journal allemand Sueddeutsche Zeitung, Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, a déclaré qu'il fallait trouver un équilibre entre la protection de l'information contre les abus et l'ouverture nécessaire pour l'amélioration du contenu. Ces mesures sont semblent-ils devenues nécessaires en raison du vandalisme ayant lieu dans l'encyclopédie libre.
Wales a annoncé « qu'il pourrait bientôt y avoir des contenus stables. Dans ce cas, nous bloquerions les pages dont la qualité est indisputée. » Le fondateur de Wikipédia a donné l'exemple de la page consacrée au nouveau pape, qui a été vandalisée par une personne ayant remplacé la photo par une photo de l'empereur du mal de Star Wars. Bien qu'elle ne soit restée qu'une minute, Wales estime que cela peut ennuyer le lecteur qui arrive à ce moment là, et peut diminuer la crédibilité de Wikipédia. Il s'agit en effet d'un des principaux arguments des détracteurs de l'encyclopédie libre.
Dans le reste de l'actualité de l'encyclopédie, il y a bien entendu Wikimania 2005, la première conférence internationale Wikipédia. Cette conférence a lieu en ce moment et jusqu'au 8 août à Frankfurt am Main en Allemagne. Ceux qui ne peuvent pas s'y rendre pourront toutefois bénéficier du streaming en direct des conférences ou des enregistrements.
Mise à jour : Selon le "Lessig Blog" et Ars Technica ceci se révélerait inexact. L'information a été déformée de traduction en citations. Jimbo Wales n'envisagerait pas de modifier la manière actuelle de travailler sur Wikipédia. Il recherche les façons d'améliorer Wikipédia. Lire les liens ci-dessus (en anglais) pour tous les détails. Merci à A.Kauffmann et Hank Lords pour ces précisions.
Sylpheed 2.0 est disponible
La version 2.0 de Sylpheed, logiciel de courrier électronique, est sortie le 29 Juillet.
Le plus gros changement depuis les précédentes version concerne le passage de la bibliothèque GTK 1.2 vers GTK 2 ; Sylpheed est donc plus agréable à l'oeil (polices anti-aliasées en particulier).
De nombreuses fonctions ont été ajoutées ou améliorées (traitement du courrier indésirable, meilleure gestion de GPG et des fichiers attachés, glisser-déposer des éléments d'interface, ...).
Et les points forts de Sylpheed (support multilingue, rapidité) sont toujours au rendez-vous.
Le plus gros changement depuis les précédentes version concerne le passage de la bibliothèque GTK 1.2 vers GTK 2 ; Sylpheed est donc plus agréable à l'oeil (polices anti-aliasées en particulier).
De nombreuses fonctions ont été ajoutées ou améliorées (traitement du courrier indésirable, meilleure gestion de GPG et des fichiers attachés, glisser-déposer des éléments d'interface, ...).
Et les points forts de Sylpheed (support multilingue, rapidité) sont toujours au rendez-vous.
Le moteur de Gecko en version serveur ?
Mozillazine-Fr nous annonce qu'une société (Dynalivery) développerait une version du moteur de rendu Gecko en mode serveur.
L'objectif de la société est "d'étendre le champ d'application du XHTML" et c'est ainsi qu'il nous présente un première version de leur produit.
Cette version du moteur est vouée à être intégrée dans un serveur d'impression capable de transformer n'importe quelle ressource Web (au format XHTML) vers une sortie papier classique et/ou dans un autre format tels le PDF, le SVG pour n'en citer que deux.
Le produit est déjà parfaitement utilisable et preuve en est faite sur le site de démonstration de la société Dynalivery.
À tester d'urgence !
L'objectif de la société est "d'étendre le champ d'application du XHTML" et c'est ainsi qu'il nous présente un première version de leur produit.
Cette version du moteur est vouée à être intégrée dans un serveur d'impression capable de transformer n'importe quelle ressource Web (au format XHTML) vers une sortie papier classique et/ou dans un autre format tels le PDF, le SVG pour n'en citer que deux.
Le produit est déjà parfaitement utilisable et preuve en est faite sur le site de démonstration de la société Dynalivery.
À tester d'urgence !
JSAN : un « CPAN » pour JavaScript
Ceux qui lisent les listes de la communauté Perl auront peut-être remarqué la mention d'un site venant d'ouvrir dans le style de CPAN : JSAN, JavaScript Archive Network. Ce site a pour objectif de rendre le même service à la communauté des développeurs Web que CPAN à celles des développeurs Perl.
CPAN est le Comprehensive Perl Archive Network, une grande collection de code source et de documentation dédiée au langage Perl.
JSAN est encore un peu dépeuplé, mais CPAN ne s'est pas construit en un jour. Gageons que le nombre de développeurs Javascript publiant leurs scripts ailleurs voudront ajouter à leur crédibilité en s'appuyant sur l'infrastructure de qualité mise en oeuvre pour JSAN.
Ça ajoutera aussi un peu plus de considération à ce langage mal aimé du Web (sauf depuis la sortie médiatique d'AJAX) qui a des choses à nous montrer.
CPAN est le Comprehensive Perl Archive Network, une grande collection de code source et de documentation dédiée au langage Perl.
JSAN est encore un peu dépeuplé, mais CPAN ne s'est pas construit en un jour. Gageons que le nombre de développeurs Javascript publiant leurs scripts ailleurs voudront ajouter à leur crédibilité en s'appuyant sur l'infrastructure de qualité mise en oeuvre pour JSAN.
Ça ajoutera aussi un peu plus de considération à ce langage mal aimé du Web (sauf depuis la sortie médiatique d'AJAX) qui a des choses à nous montrer.
Sortie d'Amaya 8.8 et 9.2
L'équipe d'Amaya vient d'annoncer la sortie des versions 8.8 et 9.2 de son navigateur-éditeur de pages Web.
Les branches 8.x et 9.x correspondent respectivement à la version GTK/Win32 et à la version wxWidget pour laquelle l'interface a été entièrement réécrite.
Parmi les changements, on trouve :
Les branches 8.x et 9.x correspondent respectivement à la version GTK/Win32 et à la version wxWidget pour laquelle l'interface a été entièrement réécrite.
Parmi les changements, on trouve :
- Amélioration de l'interface WX (version 9.2 seulement) :
- Découpage vertical et horizontal des fenêtres
- Indicateur de validité du document
- icône associé au type de document ouvert (XML, HTML, CSS, SVG, MathML)
- Possibilité d'effacer l'historique des URL visitées
- Ajout d'un menu "Aller à" pour la navigation dans la structure du document
- Amélioration de la robustesse, des performances et nombreuses corrections de bugs
- Amélioration du support des feuilles de style et du positionnement.
Sortie de Lemonldap NG
La communauté Lemonldap vient de décider de publier une deuxième branche de son Web-SSO.
Déjà testé avec succès sous une charge de 1800 requêtes par secondes, la version classique de Lemonldap est d'ores et déjà le logiciel de protection web le plus utilisé des administrations (défense, justice, finances,...).
Cette nouvelle branche de développement est entièrement programmé en Perl orienté objet et exploite les mécanismes d'héritage pour permettre une plus grande souplesse d'adaptation. La version 0.02 intègre en particulier les patches issus de la mise en production par la gendarmerie nationale.
Prochain objectif, la compatibilité Liberty Alliance (peut-être disponible en septembre).
Déjà testé avec succès sous une charge de 1800 requêtes par secondes, la version classique de Lemonldap est d'ores et déjà le logiciel de protection web le plus utilisé des administrations (défense, justice, finances,...).
Cette nouvelle branche de développement est entièrement programmé en Perl orienté objet et exploite les mécanismes d'héritage pour permettre une plus grande souplesse d'adaptation. La version 0.02 intègre en particulier les patches issus de la mise en production par la gendarmerie nationale.
Prochain objectif, la compatibilité Liberty Alliance (peut-être disponible en septembre).
DRM, le retour de la rareté
Lors de la conférence "Le libre: la porte ouverte au téléchargement" du 19 mai dernier, à Nanterre, Ludovic Pénet, vice président de l'APRIL (Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre), rappelait que les Mesures Techniques de Protection ne visent en fait qu'un seul objectif: rétablir la rareté. C'est qu'il s'agit là d'un des principes servant de socle au commerce tel que nous le connaissons.
En effet, on envisage qu'un bien ne peut avoir un coût que s'il est rare, autrement dit, difficile à se procurer, autrement que moyennant finance. C'est un point de vue, partagé, défendu et mis en pratique pendant des siècles de commerce et d'échanges monétaires. Mais le logiciel libre a fait son apparition, bousculant quelque peu ces conceptions, montrant qu'une autre approche est possible. Une approche collaborative, souvent passionnée, générant une "amélioration continue" que tout bon qualiticien qui se respecte a bien du mal à obtenir dans un cadre plus "classique".
La musique a emboîté le pas au logiciel, et d'innombrables projets ont vu le jour, les uns transposant à l'identique les licences "logicielles", comme la Licence Art Libre, les autres apportant des nuances configurables aux utilisations pouvant être faites des oeuvres ainsi diffusées, comme Creative Commons. Pour autant, la guerre des DRM est loin d'être terminée.
En effet, on envisage qu'un bien ne peut avoir un coût que s'il est rare, autrement dit, difficile à se procurer, autrement que moyennant finance. C'est un point de vue, partagé, défendu et mis en pratique pendant des siècles de commerce et d'échanges monétaires. Mais le logiciel libre a fait son apparition, bousculant quelque peu ces conceptions, montrant qu'une autre approche est possible. Une approche collaborative, souvent passionnée, générant une "amélioration continue" que tout bon qualiticien qui se respecte a bien du mal à obtenir dans un cadre plus "classique".
La musique a emboîté le pas au logiciel, et d'innombrables projets ont vu le jour, les uns transposant à l'identique les licences "logicielles", comme la Licence Art Libre, les autres apportant des nuances configurables aux utilisations pouvant être faites des oeuvres ainsi diffusées, comme Creative Commons. Pour autant, la guerre des DRM est loin d'être terminée.
Sender ID, passage en force de Microsoft
Microsoft compte, à partir de novembre, rejeter tous les messages à destination de ses services MSN et Hotmail ne comportant pas d'identifiant Sender ID. Cet identifiant est une technique développée par Microsoft afin de lutter contre la falsification des entêtes de courriel, en s'assurant que le serveur d'émission du message est certifié.
Cette technique fait l'objet de nombreuses critiques dans ses principes et dans sa forme. Elle a en effet été rejetée par tous les organismes de normalisation de la communauté internet (IETF et OSI en particulier). De plus, elle est inefficace face aux spams (près de 50% de courriels émanant des serveurs utilisant le Sender ID étant du spam), et une solution peu pratique face au phishing.
Cette décision de rejeter tous les messages ne se conformant pas à cette technologie est perçue par l'ensemble de la communauté et de l'industrie internet comme un coup de force de la part de Microsoft. Ce coup de force a pourtant peu de chance d'aboutir : Microsoft n'étant pas un gros acteur des serveurs mails, tout en étant le seul à supporter le Sender ID, les principaux perdants seraient les usagers des services de courriel de MSN et de Hotmail.
Cette technique fait l'objet de nombreuses critiques dans ses principes et dans sa forme. Elle a en effet été rejetée par tous les organismes de normalisation de la communauté internet (IETF et OSI en particulier). De plus, elle est inefficace face aux spams (près de 50% de courriels émanant des serveurs utilisant le Sender ID étant du spam), et une solution peu pratique face au phishing.
Cette décision de rejeter tous les messages ne se conformant pas à cette technologie est perçue par l'ensemble de la communauté et de l'industrie internet comme un coup de force de la part de Microsoft. Ce coup de force a pourtant peu de chance d'aboutir : Microsoft n'étant pas un gros acteur des serveurs mails, tout en étant le seul à supporter le Sender ID, les principaux perdants seraient les usagers des services de courriel de MSN et de Hotmail.
Opquast et ses licences (suite et fin)
Opquast, le référentiel des bonnes pratiques pour la qualité des sites internet, est né de discussions entre des experts et des internautes. S'il a su rapidement trouver un consensus sur ce point, sa licence a été plus problématique. L'équipe dirigeante du projet souhaite adopter une licence libre appropriée et vous demande une fois encore votre avis.
Un aperçu du prochain Mozilla Firefox
La fondation Mozilla vient de publier une version alpha du prochain Mozilla Firefox 1.1 (nommé « Deer Park »). Cette version de test public permet surtout à tout un chacun de se faire une idée de ce que apportera cette prochaine version.
La liste et l'importance des nouveautés mérite en effet une petite actu malgré le fait que ce soit encore en développement et en test. On y trouve, en vrac :
- Un support XForms : XForms est l'avenir que nous a préparé le W3C pour l'édition et la diffusion de formulaires via le Web. Ce format est intégré à XML et propose une logique et des contrôles complexes qui faisaient défaut aux formulaires HTML.
- Des évolutions CSS, et en particulier un premier support pour la gestion des colonnes, la gestion des guillemets imbriqués ou les compteurs et la numérotation. On notera aussi une nouvelle règle pour sélectionner des objets selon l'URL du document (très pratique pour personnaliser des sites depuis le userContent.css).
- Un support de SVG natif (images vectorielles avec une syntaxe XML) : sans plugin, et avec possibilité de mélanger du SVG avec d'autres dialogues XML dans une même page. Le support est loin d'être complet mais il permet déjà l'intégration d'images complexes et l'utilisation d'animations ou du scripting via DOM.
- E4X : une API simplifiée (et normalisée par l'ECMA) pour remplacer DOM quand on n'a pas besoin de toute l'artillerie lourde.
- Implémentation de XTF (eXtensible Tag Framework), qui permet l'ajout de nouveaux espaces de noms et dialectes XML sans toucher au c½ur de Mozilla. C'est sur cette base qu'a été faite l'implémentation XForms.
- La gestion des extensions a été retravaillée. On peut supprimer une extension simplement en supprimant le répertoire associé, plus aucune donnée ne se trouve dans des fichiers partagés. L'installation se passe aussi simplement en copiant le XPI dans le répertoire d'extensions. On voit aussi arriver la possibilité d'avoir des extensions en dehors du répertoire de l'application ou du profile.
- L'amélioration du navigateur sur Mac OS X
La liste et l'importance des nouveautés mérite en effet une petite actu malgré le fait que ce soit encore en développement et en test. On y trouve, en vrac :
- Un support XForms : XForms est l'avenir que nous a préparé le W3C pour l'édition et la diffusion de formulaires via le Web. Ce format est intégré à XML et propose une logique et des contrôles complexes qui faisaient défaut aux formulaires HTML.
- Des évolutions CSS, et en particulier un premier support pour la gestion des colonnes, la gestion des guillemets imbriqués ou les compteurs et la numérotation. On notera aussi une nouvelle règle pour sélectionner des objets selon l'URL du document (très pratique pour personnaliser des sites depuis le userContent.css).
- Un support de SVG natif (images vectorielles avec une syntaxe XML) : sans plugin, et avec possibilité de mélanger du SVG avec d'autres dialogues XML dans une même page. Le support est loin d'être complet mais il permet déjà l'intégration d'images complexes et l'utilisation d'animations ou du scripting via DOM.
- E4X : une API simplifiée (et normalisée par l'ECMA) pour remplacer DOM quand on n'a pas besoin de toute l'artillerie lourde.
- Implémentation de XTF (eXtensible Tag Framework), qui permet l'ajout de nouveaux espaces de noms et dialectes XML sans toucher au c½ur de Mozilla. C'est sur cette base qu'a été faite l'implémentation XForms.
- La gestion des extensions a été retravaillée. On peut supprimer une extension simplement en supprimant le répertoire associé, plus aucune donnée ne se trouve dans des fichiers partagés. L'installation se passe aussi simplement en copiant le XPI dans le répertoire d'extensions. On voit aussi arriver la possibilité d'avoir des extensions en dehors du répertoire de l'application ou du profile.
- L'amélioration du navigateur sur Mac OS X
aMule version 2.0 disponible
Un an après la première Release Candidate, la version 2.0 du client P2P aMule vient de sortir.
aMule est un client du réseau eDonkey. Les développeurs essayent de respecter les grandes lignes de l'interface du client eMule sous Windows.
aMule est écrit en wxWidgets et est compatible avec de nombreux systèmes d'exploitation dont GNU/Linux, FreeBSD, MacOS X, et même Windows.
aMule est un client du réseau eDonkey. Les développeurs essayent de respecter les grandes lignes de l'interface du client eMule sous Windows.
aMule est écrit en wxWidgets et est compatible avec de nombreux systèmes d'exploitation dont GNU/Linux, FreeBSD, MacOS X, et même Windows.
SPIP 1.8 est sorti
C'est ce 1er avril 2005 qu'est sortie la version 1.8 du célèbre moteur de gestion de contenu libre, plus d'un an après la version 1.7 (janvier 2004).
L'objectif de SPIP reste toujours le même : proposer un moyen simple de créer un site web, tout en restant souple et très fonctionnel.
Parmi les principales nouveautés, on retrouve :
- un espace d'administration complètement refondu, sur le plan graphique et ergonomique,
- la prévisualisation d'un article avec les squelettes publics
- la gestion de l'historique des modifications dans un article
- un nouveau gestionnaire de documents attachés à un article ou une rubrique
- l'ajout de fonctionnalités intéressantes en mode client-serveur, par exemple un correcteur orthographique et un générateur LaTeX. Des serveurs d'analyse orthographique et de rendu LaTeX sont fournis par la communauté.
Mais aussi beaucoup de modifications qui seront moins évidentes pour l'utilisateur, comme par exemple le nouveau compilateur de squelettes qui gagne beaucoup en souplesse, des traductions mises à jour, et une meilleure conformité W3C.
La procédure de mise à jour est très simple, et fonctionne bien manifestement.
Un énorme bravo à toute l'équipe de développement de SPIP, qui nous apporte un outil très puissant, très souple mais aussi très simple d'utilisation.
L'objectif de SPIP reste toujours le même : proposer un moyen simple de créer un site web, tout en restant souple et très fonctionnel.
Parmi les principales nouveautés, on retrouve :
- un espace d'administration complètement refondu, sur le plan graphique et ergonomique,
- la prévisualisation d'un article avec les squelettes publics
- la gestion de l'historique des modifications dans un article
- un nouveau gestionnaire de documents attachés à un article ou une rubrique
- l'ajout de fonctionnalités intéressantes en mode client-serveur, par exemple un correcteur orthographique et un générateur LaTeX. Des serveurs d'analyse orthographique et de rendu LaTeX sont fournis par la communauté.
Mais aussi beaucoup de modifications qui seront moins évidentes pour l'utilisateur, comme par exemple le nouveau compilateur de squelettes qui gagne beaucoup en souplesse, des traductions mises à jour, et une meilleure conformité W3C.
La procédure de mise à jour est très simple, et fonctionne bien manifestement.
Un énorme bravo à toute l'équipe de développement de SPIP, qui nous apporte un outil très puissant, très souple mais aussi très simple d'utilisation.
talweg, solution de portail captif
Si vous souhaitez partager un accès internet, la principale difficulté réside dans l'authentification. C'est d'autant plus vrai dans le cadre des réseaux sans-fils support ouvert à toutes les indiscrétions. Il existe des solutions liées à la technologie WiFi. Ces solutions, bien que fiables pour les plus récentes, peuvent être délicates à mettre en place. En effet, l'hétérogénéité du matériel dont disposent les clients ne permet pas toujours le déploiement des dernières technologies. De plus le nombre potentiel d'utilisateurs peut être très élevé, ce qui interdit les manipulations sur les clients faute de quoi le besoin en support pourrait devenir considérable.
Pour remédier à ce problème sont apparus les portails captifs. Avec ce type de système un utilisateur qui se connecte au réseau pour la première fois est dirigé (capté) vers une page d'authentification. Une fois authentifié le système autorise l'accès au réseau. Parmi ces logiciels on peut citer NoCat, chiliSpot et monoWall.
L'inconvénient de ces solutions est qu'elles autorisent l'accès en fonction de critères (adresse IP, adresse MAC) qui sont facilement imitables. Alors on peut imaginer qu'une personne mal intentionnée puisse usurper l'identité d'un utilisateur du réseau. Fort de ce constat, une nouvelle solution de portail captif a été développé à l'université de Metz : talweg.
Cette solution est basée sur des mécanismes de sécurité éprouvés, notamment le protocole SSL employé sur internet pour les paiements bancaires. Les transmissions entre le client et la passerelle sont chiffrées. L'identité d'un utilisateur ne peut être usurpée.
Ce logiciel en licence GPL est disponible dans sa première version et tout retour sera apprécié.
bon test !
Pour remédier à ce problème sont apparus les portails captifs. Avec ce type de système un utilisateur qui se connecte au réseau pour la première fois est dirigé (capté) vers une page d'authentification. Une fois authentifié le système autorise l'accès au réseau. Parmi ces logiciels on peut citer NoCat, chiliSpot et monoWall.
L'inconvénient de ces solutions est qu'elles autorisent l'accès en fonction de critères (adresse IP, adresse MAC) qui sont facilement imitables. Alors on peut imaginer qu'une personne mal intentionnée puisse usurper l'identité d'un utilisateur du réseau. Fort de ce constat, une nouvelle solution de portail captif a été développé à l'université de Metz : talweg.
Cette solution est basée sur des mécanismes de sécurité éprouvés, notamment le protocole SSL employé sur internet pour les paiements bancaires. Les transmissions entre le client et la passerelle sont chiffrées. L'identité d'un utilisateur ne peut être usurpée.
Ce logiciel en licence GPL est disponible dans sa première version et tout retour sera apprécié.
bon test !
Article sur Firefox dans la presse australienne
Le journal australien The Age publie aujourd'hui un long article intitulé «Firefox explorers». En partant de l'expérience d'un chef d'entreprise dans le domaine du vin qui a migré ses 100 ordinateurs sous Firefox, l'article expose les différents avantages du navigateur libre.
L'avantage du coût n'est pas l'argument principal développé dans l'article, celui-ci met plutôt l'accent sur le respect des standards et l'indépendance vis-à-vis d'un fournisseur. Les problèmes d'Internet Explorer dans ce domaine et dans le domaine de la sécurité sont évoqués.
L'article met également en avant le système Bugzilla, utilisé dans le processus de développement de Firefox, comme gage de qualité du logiciel. La fin de l'article est de nouveau consacrée aux standards, avec une définition plus générale et des exemples de standards ouverts : Every software program, computer and peripheral device (such as a printer, MP3 player or digital camera) relies on standards to work, guaranteeing they "speak the same language".
Pour finir, on retiendra de cet excellent article les éloges du chef d'entreprise au sujet de Firefox : "Firefox has the best pedigree, with an active engineering community, wide community support and long history".
NdM: Le premier lien demande une inscription pour la lecture de l'article.
L'avantage du coût n'est pas l'argument principal développé dans l'article, celui-ci met plutôt l'accent sur le respect des standards et l'indépendance vis-à-vis d'un fournisseur. Les problèmes d'Internet Explorer dans ce domaine et dans le domaine de la sécurité sont évoqués.
L'article met également en avant le système Bugzilla, utilisé dans le processus de développement de Firefox, comme gage de qualité du logiciel. La fin de l'article est de nouveau consacrée aux standards, avec une définition plus générale et des exemples de standards ouverts : Every software program, computer and peripheral device (such as a printer, MP3 player or digital camera) relies on standards to work, guaranteeing they "speak the same language".
Pour finir, on retiendra de cet excellent article les éloges du chef d'entreprise au sujet de Firefox : "Firefox has the best pedigree, with an active engineering community, wide community support and long history".
NdM: Le premier lien demande une inscription pour la lecture de l'article.
De l'intérêt de respecter les standards du web... en video
Dans la série « un bon schéma vaut mieux qu'un long discours... » voici en video, un des intérêts de respecter les standards du web: l'accessibilité.
Ces trois vidéos permettent une prise de conscience des situations réelles (à ne pas manquer: l'effet tunnel). Elles proposent aussi au webdesigner quelques conseils pour améliorer l'accessibilité.
Que ceux qui ne sont pas encore convaincus de l'utilité, voire de la nécessité, de veiller à l'accessibilité des sites Internet aillent jeter un oeil sur les vidéos rassemblées sur cette page (quant à ceux qui sont déjà convaincus... qu'ils y aillent aussi ;-) )
Ces trois vidéos permettent une prise de conscience des situations réelles (à ne pas manquer: l'effet tunnel). Elles proposent aussi au webdesigner quelques conseils pour améliorer l'accessibilité.
Que ceux qui ne sont pas encore convaincus de l'utilité, voire de la nécessité, de veiller à l'accessibilité des sites Internet aillent jeter un oeil sur les vidéos rassemblées sur cette page (quant à ceux qui sont déjà convaincus... qu'ils y aillent aussi ;-) )
Install-party à Rouen le 26 mars...
Le 26 mars prochain aura lieu une install party dans la région rouennaise.
Cet évènement se fera en partenariat avec Rotomalug, Wifi76 et l'INSA de Rouen. Il se déroulera à l'INSA de Rouen, au Madrillet, à Saint-Étienne-du-Rouvray, métro Technopôle, de 10h à 18h.
L'entrée et installation est gratuite.
- Possibilité de repartir avec des CD d'installation moyennant un somme modique de quelques euros ou de graver sur place si vous apportez des CD vierges (sous réserve de l'affluence).
Au programme :
- Installation de Linux sur votre matériel ;
- Installation de Linux sur notre matériel (merci l'INSA) ;
- Découverte de Linux et des logiciels qui fonctionnent sous ce système, par la démonstration ou par des manipulations, sur place (des machines sont à votre disposition) ;
- Réponses à vos questions sur GNU/Linux et les logiciels libres ;
- Présentation des réseaux sans-fil WIFI par WIFI76 ;
- Découverte de FreeBSD.
Les conférences:
- Présentation de l'association et des logiciels libres, Cyrille Mortreux (RotomaLUG), 11h00
- Mandrakelinux, Grégory Letoquart (Mandrakesoft)
- OpenOffice.org
Venez nombreux, aussi bien pour vous faire installer Linux, que pour aider à l'installation, écouter les conférences ou simplement en apprendre un peu plus sur Linux !
Cet évènement se fera en partenariat avec Rotomalug, Wifi76 et l'INSA de Rouen. Il se déroulera à l'INSA de Rouen, au Madrillet, à Saint-Étienne-du-Rouvray, métro Technopôle, de 10h à 18h.
L'entrée et installation est gratuite.
- Possibilité de repartir avec des CD d'installation moyennant un somme modique de quelques euros ou de graver sur place si vous apportez des CD vierges (sous réserve de l'affluence).
Au programme :
- Installation de Linux sur votre matériel ;
- Installation de Linux sur notre matériel (merci l'INSA) ;
- Découverte de Linux et des logiciels qui fonctionnent sous ce système, par la démonstration ou par des manipulations, sur place (des machines sont à votre disposition) ;
- Réponses à vos questions sur GNU/Linux et les logiciels libres ;
- Présentation des réseaux sans-fil WIFI par WIFI76 ;
- Découverte de FreeBSD.
Les conférences:
- Présentation de l'association et des logiciels libres, Cyrille Mortreux (RotomaLUG), 11h00
- Mandrakelinux, Grégory Letoquart (Mandrakesoft)
- OpenOffice.org
Venez nombreux, aussi bien pour vous faire installer Linux, que pour aider à l'installation, écouter les conférences ou simplement en apprendre un peu plus sur Linux !
La SPEDIDAM veut vos sous...
Après son lobbying pour instaurer une taxe sur les CD vierges, la Spedidam essaye de peser pour taxer l'usage d'internet.
Adhérent de la Spedidam (Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes-Interprètes de la Musique et de la Danse), j'ai eu la surprise de recevoir ce matin un appel à signer une pétition pour " l'instauration d'une rémunération perçue auprès des fournisseurs d'accès, au bénéfice des artistes interprètes, en contrepartie de laquelle les échanges de fichiers entre internautes pourront être librement réalisés " (sic)
Préparez vous à payer 10 euros de plus par mois pour votre connexion haut débit!
Adhérent de la Spedidam (Société de Perception et de Distribution des Droits des Artistes-Interprètes de la Musique et de la Danse), j'ai eu la surprise de recevoir ce matin un appel à signer une pétition pour " l'instauration d'une rémunération perçue auprès des fournisseurs d'accès, au bénéfice des artistes interprètes, en contrepartie de laquelle les échanges de fichiers entre internautes pourront être librement réalisés " (sic)
Préparez vous à payer 10 euros de plus par mois pour votre connexion haut débit!