Pour renouer avec la vénérable tradition des critiques de cinéma sur LinuxFR je vous propose d'évoquer trois films très différents en une seule dépêche. Vous trouverez donc dans la suite de l'article une chronique sur :
- 300
Ce péplum narre le célèbre combat des Thermopyles entre les 300 spartiates du roi Léonidas et les hordes perses de Xerxès.
Le film est tiré d'une bande dessinée de Frank Miller et le procédé utilisé est largement comparable à celui ayant conduit à la réalisation de Sin City : Respect des cases de la BD (moins poussé que dans Sin City toutefois) et décors entièrement digitaux.
- La vie des autres
Attention chef-d'oeuvre ! Ce film bouleversant se déroule en Allemagne de l'Est, quelques années avant la chute du mur, et raconte la surveillance par la police politique (Stasi) de la vie quotidienne d'un écrivain et de sa femme. L'homme chargé de cette surveillance est un communiste pur et dur. Il enseigne les techniques d'interrogatoire à l'école de la Stasi et il décide de se charger personnellement du cas de cet auteur soupçonné de déviationnisme politique.
- Sunshine
L'histoire est tout de même assez affligeante (En 2057, pour "réveiller" notre soleil qui se meurt, un équipage est envoyé dans un vaisseau pour déposer une gigantesque bombe afin de sauver la Terre)
Organisation d'une soirée le lundi 27 novembre 2006 à l'Utopia Tournefeuille, articulée autour de deux évènements :
- projection du film "Revolution OS" en V.O anglophone sous-titrée en français, suivie d'un débat
- inauguration d'une borne "internet" GNU/linux - Ubuntu (edgy)
Le site Rebellyon.info annonce l'avant première du long métrage Le Bal des Innocents, premier film français sous licence libre. Il est produit à Lyon par Ralamax Prod. Avant-première les 29 et 30 juin à la MJC Monplaisir.
A l'heure où DADVSI et le téléchargement illégal occupent les débats publics, Ralamax Prod présente le premier long métrage français sous licence by-nc-nd 2.0 fr : le téléchargement et la redistribution sont légaux, gratuits et encouragés.
Ce film se base sur un fait historique, l'assassinat du président Sadi Carnot à Lyon en 1894 par un anarchiste du nom de Casério. Point de départ : et si l'anarchiste italien revenait sur les lieux, 112 ans après ?
On part du constat que l'acte violent était vain et qu'après en avoir vu les conséquences, l'assassin revient pour tenter une autre forme d'action.
Après des mois de travail en petite équipe dans un studio d'Amsterdam, Ton Roosendale (le créateur de Blender) et son équipe ont publié sur leur site le plus important court-métrage d'animation libre : Elephants Dream.
Libre à plusieurs titres : il est entièrement diffusé sous licence
Creative Commons Paternité et a surtout été réalisé grâce à Blender, Gimp et d'autres logiciels libres...!
Le film est téléchargeable dans divers formats vidéo en définition standard et en haute définition. Il est possible d'acheter le DVD du film contenant les archives, scènes et fichiers qui ont permis de le créer.
"Tabac, la conspiration" est l'aboutissement de trois années d'enquête sur l'industrie du tabac en Amérique du Nord, en Europe et en Afrique. Ce documentaire est articulé autour de trois thèmes : la manipulation scientifique, la subversion commerciale et la stratégie économique.
L'industrie du tabac parvient malgré tout à conserver, voire à accroître sa toute puissance au détriment de la santé publique. Comment ? Réponse dans certaines salles de cinéma en France (villes, salles et dates disponibles dans un fichiers PDF téléchargeable sur le blog du film).
Ce film a été récompensé par le prix du meilleur scénario documentaire Sunny Side of the Doc. Il a également été diffusé en janvier dernier sur Arte (vers 23 h) dans une version plus courte.
Le Projet Orange, ou premier film d'animation open source, touche à sa fin. Les artistes sont à la phase finale de rendu, et viennent d'annoncer la date et le lieu de la première mondiale de leur film intitulé "Elephants Dream".
Celle-ci se fera donc le 24 Mars au Cinema Ketelhuis, Amsterdam. La séance est gratuite et sera suivie par une inévitable et inoubliable fiesta dans un restaurant nommé blender...
Un évènement à ne pas manquer !
Vous avez aimé Shrek ?
Vous aimez les polars déjantés ?
Vous aimez les histoires où les apparences sont trompeuses ?
Alors « La véritable histoire du petit chaperon rouge » est pour vous.
Chaque personnage du célèbre conte donne sa version des faits et le méchant n'est peut être pas celui que l'on croit.
Le film est parsemé de références cinématographiques et, comme pour Shrek, il sera bon de connaître quelques « classiques » pour apprécier toutes les subtilités (en vrac, je vous conseille d'avoir vu au moins Matrix, XXX et les James Bond).
Le film peut être vu par les enfants, mais pour l'apprécier pleinement il faut être un adulte.
J'ai eu l'occasion de voir le film en avant première et je viens vous livrer mes première impressions sur cette sortie cinéma événement en ce début d'année 2006. L'équipe du Splendid était attendue au tournant, et moi même me suis rendue à la projection persuadée d'en sortir très déçue. Finalement, la surprise a été plutôt agréable : évidemment ce ne sont pas les fous rires suscités par Les Bronzés font du ski, mais on rit dans ce troisième opus et l'on sourit souvent.
La commission Logiciels Libres d’ATTAC Toulouse vous invite à la projection du film « Nom de code : LINUX » le lundi 28 novembre 2005 à 20h00 au cinéma Utopia de Tournefeuille, en banlieue Toulousaine.
Cette rencontre sera l'occasion de poursuivre par un débat sur les enjeux politiques, économiques, sociaux voire sociétaux de l’irruption du logiciel libre dans la sphère publique. Nous parlerons aussi de brevet logiciel et d'art libre.
Venez nombreux !
Tarif unique : 3,50 ¤ (pour payer les droits de diffusion à Arte et les frais du cinéma ;-)
Sorti en salles le 14 Septembre dernier, "Collision" le 1er film écrit et réalisé par Paul Haggis a obtenu le grand prix du festival de Deauville présidé cette année par Alain Corneau.
Après une longue carrière télévisuelle, Paul Haggis s'est fait connaître au cinéma en écrivant le scénario de "Million Dollar Baby" tourné sous la direction de Clint Eastwood.
En passant derrière la caméra, il nous révèle l'étendue de son immense talent en réalisant là un véritable petit chef d'oeuvre.
Accompagné d'une pléiade de très bons acteurs (Matt Dillon, Don Cheadle, Sandra Bullock, Jennifer Esposito) Paul Haggis nous livre un film magnifique, tourné à Los Angeles, sur le thème du racisme et de l'intolérance. Mais que l'on ne s'y trompe pas, ce film nous révèle que nous ne sommes pas toujours ceux que nous croyons être...
Star Wreck est une parodie de Star Trek faite par des amateurs et issue de l'imagination fertile et de l'esprit tordu d'un finlandais (encore un !), Samuli Torssonen. Le sixième épisode vient de sortir après 5 ans d'attente, d'annonces sur l'imminence de la sortie, de multiples réécritures du scénario, de re-tournage de la moitié des scènes. Le résultat est largement au delà de ce qui était prévu au début, à tel point qu'une édition en DVD a été organisée.
Le DVD est disponible sur le site, ainsi que les épisodes précédents en libre téléchargement. Le dernier épisode sera disponible au téléchargement à partir du 1er octobre (le temps de rentabiliser la vente des DVD). Et, ce qui ne gâche rien, le DVD n'est pas zoné (zone 0) et sous licence Creative Commons (by-sa-nc). Anglophobes et finnophobes s'abstenir, cependant : le film est en finnois, et sous-titré en anglais (et en suédois).
NdM : la licence CC-by-sa-nc est non libre au sens de la
FSF et - malgré tout - souvent retenue pour les oeuvres artistiques afin d'obliger à contacter l'auteur pour toute utilisation commerciale.
Vous en avez rêvé, vous l'avez réclamée... Elle est là :
LA dépêche cinéma sur le tout premier film de Garth Jennings : H2G2 Hitch Hicker's Guide to the Galaxy, en français : H2G2 Le Guide du Voyageur Galactique.
Ce film est - comme tout bon geek qui se respecte le sait - l'adaptation au cinéma d'une émission radiophonique créée par Douglas Adams. Entre temps, on a eu le droit à cinq romans (constituant une trilogie...), une série TV, un jeu vidéo.
Mais je m'égare : pour résumer le film (mais encore une fois est-ce bien là peine ?), on suit donc les pérégrinations intergalactiques du terrien Arthur Dent, après que la terre a été rayée du système solaire. Celui-ci est accompagné du président de la galaxie, de Ford Prefect, un ami extraterrestre en provenance d'une petite planète près de Bételgeuse, de sa petite amie qui l'a lâché quelques heures après l'avoir rencontré, et de Marvin, un robot dépressif.
Et tout ça, pour quoi me demanderez-vous ? Mais voyons, trouver la question ultime de la vie, l'univers et tout le reste.
Le 17 août 2005 est sorti sur vos grands écrans le dernier film de Michael Bay : The Island. (ndla : L'île).
Disons le tout de suite, vous ne verrez pas vraiment une île paradisiaque avec plage de sable fin et cocotiers à perte de vue.
Non, car l'heure est grave : un cataclysme a ravagé la planète, qui se trouve maintenant contaminée.
Heureusement, certaines personnes survivent et sont ramenées dans une colonie fermée où vivent nos deux héros, incarnés respectivement par Ewan McGregor et Scarlett Johansson.
Pour illuminer une vie qui serait trop désespérante, chaque personne participe à une loterie, qui permet à son heureux gagnant de quitter la colonie pour une fabuleuse île (non contaminée), où la vie est plus douce.
Mais bientôt, notre cher Ewan commence à se poser des questions et va découvrir la réalité terrifiante de The Island ....
Sorti le 29 juin 2005 dans le monde entier, « La Guerre des Mondes » est l'adaptation par Steven Spielberg du roman de H. G. Wells publié en 1898.
Grosse production américaine, avec Tom Cruise à l'affiche, le film évite malgré tout avec brio les écueils de bon nombre de ses prédécesseurs à grand spectacle, en ne donnant ni dans la toute-puissante Amérique en sauveur du monde, ni dans la débauche d'effet spéciaux appliqués sans imagination à un scénario poussif.
Spielberg nous livre ainsi un film où l'humanité est reléguée au rang de spectateur de son propre désastre, avec un Tom Cruise incarnant le loser américain moyen, qui n'a comme berceuse à offrir à sa fille qu'une chanson vantant les mérites de son beau coupé noir, apparemment son unique centre d'intérêt dans la vie.
Non, ceci n'a rien à voir avec Mac OS X. Je vais vous parler cinéma :)
"Le Cauchemar de Darwin" est un documentaire franco-austro-belge de Hubert Sauper. Il a reçu de nombreux prix : Grand Prix du Meilleur film au Festival de Copenhague, Prix du Meilleur documentaire au Festival de Montréal, Prix Europa Cinémas à la Mostra de Venise et Grand Prix Documentaire au Festival du film de l'environnement de Paris.
Il a pour décor les alentours du lac Victoria en Tanzanie. Si vous connaissez la théorie de l'évolution de Darwin, vous savez qu'on peut plus ou moins la qualifier de "Loi du plus fort". C'est ce que ce documentaire nous montre en présentant l'histoire d'un poisson, la perche du Nil, qui a été introduite "par mégarde" dans le lac Victoria il y a quelques dizaines d'années. Avant les années 60, ce lac regorgeait de diverses espèces faisant de ce lac un lieu d'une richesse incroyable. Mais la perche du Nil, terrible prédateur, a totalement dévoré les autres espèces et actuellement elle est une des seules espèces de poisson vivant encore dans ce lac (sinon la seule).
Mais cette histoire n'est qu'un prétexte pour montrer les ravages de la mondialisation. Suite à cette abondance de perche du Nil, un commerce énorme a pris place et ce sont des tonnes de filets de ce poisson qui partent chaque jour en avions cargos pour l'Occident (principalement l'Europe). En arrière plan de ce commerce, les tanzaniens meurent de la famine. Pour survivre ils se prostituent entraînant ainsi une progression exponentielle du SIDA. Et ces avions-cargos qui partent plein de nourriture pour l'Occident, qu'amènent-ils en Afrique ? Je vous laisse le découvrir.
Ce documentaire est à voir et à inciter à voir. Il nous montre ce contraste énorme entre cette Afrique exploitée et instrumentalisée, et l'Occident qui en bon prince envoie de l'aide humanitaire et est pourtant totalement responsable de la situation désastreuse dans ce continent qui se meurt. Est-ce cela la théorie de l'évolution à l'échelle mondiale ? En effet c'est un cauchemar, mais il est malheureusement bien réel.
5ème film de Michael Moore, Fahrenheit 9/11 nous entraîne dans les méandres du système américain mais plus précisément dans celui de Bush.
Ce film, Palme d'Or au festival de Cannes, est un véritable condensé de ses deux derniers livres (dont notamment « Tous aux abris » (ed. La découverte) ).
Le film retrace l'ascension d'un texan fils à papa qui n'a jamais réussi à percer par lui même sans aides extérieures jusqu'à son arrivée au pouvoir dans les conditions que l'on sait.
Ce film est à la fois drôle, percutant et aussi très émouvant.
Le passage du « 11 septembre » a été filmé de tel sorte qu'un frisson vous parvient même en ayant vu 10 000 fois les séquences des crashs.
Un film (documentaire ?) que je vous conseille de voir absolument.
Il est de ces films ou l'on ressort avec un sentiment nous envahissant, nous submergeant d'une sensation rare, approchant le bonheur suprême. Cette sensation se produit bien souvent, lors d'événements importants, de sensations fortes.
Il est de ces films où le budget si faible soit il permet de faire des choses grandioses. Ces films sont des chefs d'oeuvres. ces films marquent une vie. je voudrais en parler d'un que je viens de voir : le jour d'après
Voici un petit (1h15) film d'animation bien sympatique qui nous vient d'Argentine. Le graphisme est un mélange entre Happy Tree Friends et Southpark, avec certains passages en images de synthèse.
L'histoire, pleine d'humour, débute par la mort de l'animal de compagnie de notre héros, écrasé par la sonde Voyager. Mercano se rend alors sur terre, où il se retrouve comme un clochard, dans les égouts de Buenos Aires, suite à une panne de sa soucoupe.
Mais le récit commence à partir en vrille quand il récupère un ordinateur portable, et qu'il crée son monde virtuel inspiré par la nostalgie de sa planète. Cela intéresse alors une multinationale en quête de domination mondiale, contrée par le fils du patron et des alter-mondalistes anti-technologie qui commandent leurs bières par Internet...
Ça saigne, ça gicle, ça fait rire, mais c'est aussi une réflexion sur le pouvoir grandissant des monopoles de "l'entertainment" et de la communication, l'aliénation à la technologie, et le rôle de l'informatique dans tout cela.
Un film qui devrait plaire aux geeks, même si il manque un déclic pour parler de chef d'oeuvre, ça reste un très agréable divertissement, et quand on sait que le film n'a été réalisé qu'avec 250 000 $, on ne peut que dire bravo.
Après les invasions barbares, voici le nouvel opus du cinéma québécois : La Grande séduction : une fable sociale teintée d'humour. L'action se passe à Sainte-Marie-La-Mauderne, un petit village de 125 habitants. Par le passé, les gens vivaient de la pêche, mais depuis quelques années ce type de vie n'est plus en phase avec le système. Ainsi les habitants se retrouvent tous au RMI local. La solution pour que le village continue à vivre est l'implantation d'une usine, mais pour qu'une usine décide de s'implanter dans le village, il lui faut un docteur. Or Saint-Marie n'en dispose pas. Le village, conduit par Germain, va tout faire pour en avoir un : c'est là que débute la grande séduction.
Après Les Invasions Barbares, voici un autre chef d'oeuvre du cinéma québécois !
Kiki a 13 ans, elle est apprentie sorcière. Pour parfaire sa formation elle doit quitter sa famille pendant un an et s'installer dans une grande ville, afin de mettre ses pouvoirs magiques au service des gens.
Mais Kiki n'est pas très douée en magie, elle se passionne surtout pour le vol à cheval sur son balai. Qu'à cela ne tienne, elle va monter un service de livraison de colis à travers la ville.
Kiki est accompagnée de Jiji, son chat noir qui parle (seule Kiki peut le comprendre) et dont les mimiques en font un personnage incontournable. Kiki est loin d'être l'héroïne parfaite ; en fait elle ressemble à n'importe quelle fille de son âge, hormis le fait qu'elle vole sur un balais. Surtout, elle n'a pas la prétention de dominer son entourage d'une quelconque supériorité. Ici, pas de concours où il le seul but serait de gagner plus de points que le concurrent, pas de jeu débile où il faut poursuivre des boules en balais volant.
Une histoire simple, la magie banalisée se fond dans le décor (les gens ne semblent pas surpris de voir Kiki voler) rendent ce film incroyablement crédible. Le réalisateur n'est autre que le grand Hayao Miyazaki connu également pour « Princesse Mononoke », « le Voyage de Chihiro » et « Laputa, le Château dans le Ciel ». Le film est sorti au Japon en 1989 et est apparu dans nos salles obscures seulement le 31 mars dernier.
Ce film rafraîchissant ravira petits et grands.
C'est l'histoire des relations entre un père et un fils
à la sauce burtonienne !
Big fish qui est sorti mercredi dernier est le nouveau film de Tim Burton (le réalisateur de "Edward aux mains d'argent", de "Ed wood", de "Mars attacks" et de plein d'autres bijoux du cinéma).
Le film raconte les relations complexes entre un père affabulateur et son fils. Ce dernier a eu son enfance baignée par les histoires à dormir debout que lui racontait son père au coin du lit
des histoires de géants et de sorcières ; maintenant qu'il est adulte et que son père meurt d'un cancer, il prend conscience qu'il ne le connaît pas réellement.
Il va donc essayer de lui soutirer la vérité avant qu'il ne meurt.
Le casting est prestigieux : Ewan McGregor, Helena Bonham Carter, Danny DeVito, Steve Buscemi, Albert Finney, Jessica Lange, et Marion Cotillard, la frenchie décidément aussi talentueuse que jolie.
Deux films français pour le prix d'un !
D'un côté, "Blueberry, l'expérience secrète" est l'histoire d'un marshall qui voit sa vie basculer le jour où sa ville se transforme en brasier (avec sa dulcinée de l'époque). BlueBerry va aller à sa poursuite, sans se douter qu'il va affronter ses pires démons.
De l'autre, voici la suite du film de Mathieu Kassowitz (mais pas réalisé par ce dernier), où Pierre Niémans se retrouve avec une affaire d'homme emmuré dans un monastère ; de son côté, Reda, un jeune capitaine de police, sauve un illuminé qui se prend pour le christ.
Deux affaires qui ne vont pas tarder à se rejoindre...
L'histoire : deux personnages apparemment très différents se rencontrent dans un grand hôtel à Tokyo : il a la cinquantaine, il est déprimé, c'est un acteur sur le déclin, elle a une vingtaine d'année, jeune diplômée, son jeune mari la laisse plantée à l'hôtel pendant son travail. Leur point commun : ils sont perdus dans un univers qui leur est totalement étranger. Leur rencontre de quelques jours va bouleverser leur vie.
Voici (enfin) le troisième épisode de cette trilogie. Certains d'entre vous auront peut-être pu voir la trilogie avec les deux premiers épisodes en version longue.
Au menu, c'est tout simplement la bataille qui clôt le troisième âge de la Terre du Milieu (rien que ça), Sauron attaque Minas Tirith, la cité des hommes, que ces derniers défendront avec souffrance, tandis que Frodon, Sam et Gollum tentent d'arriver à la Montagne du destin pour détruire l'Anneau unique.
On retrouve donc nos héros (Gandalf, Sam, Aragorn, Legolas, Gimli, etc...) qui vont essayer de donner une chance à Frodon d'accomplir sa quête.
Le dernier Tarantino est sorti ce mercredi.
L'histoire en deux mots :
Un commando fait irruption pendant un mariage et tire sur les convives. La Mariée est laissée pour morte, retrouve ses esprits après un coma de quatre ans.
Elle n'a alors plus qu'une seule idée en tête : venger la mort de ses proches en éliminant tous les membres de l'organisation criminelle, dont leur chef Bill qu'elle se réserve pour la fin.
Côté film (avis perso), je reste mitigé , mais ce film est du Tarantino pur jus.
Quant à savoir si ça vaut tout le foin (génial, etc...) qu'on en entend selon certains, je ne suis pas d'accord, ce n'est pas mauvais, mais ce n'est vraiment pas exceptionnel non plus.