Le géant américain Oracle bien connu pour son système propriétaire de gestion de base de données vient de s'offrir Sun Microsystems pour la somme de 9,5 dollars par action, soit une transaction estimée à 7,4 milliards de dollars.
Pour rappel, Sun a racheté la société MySQL AB (MySQL) en janvier 2008 pour un milliard de dollars, et Innotek (VirtualBox) en février 2008 pour étendre la famille Sun xVM.
Oracle de son côté édite quelques logiciels libres, tels que Berkeley DB, OCFS, btrfs (ajouté dans Linux 2.6.29), et est le 4e plus gros contributeur du noyau Linux (2.6.29) (devant Red Hat, Intel, IBM, ... si on considère le nombre de lignes modifiées). Oracle a racheté la société finlandaise Innobase (moteur InnoDB pour MySQL) en octobre 2005. Ce rachat est à l'origine du nouveau moteur Falcon prévu pour MySQL 6. Oracle a racheté la société BEA en janvier 2008 pour 8,5 milliards de dollars. BEA est une référence dans le monde des serveurs d'applications propriétaires et commerciaux basés sur Java.
L'accord cite principalement « les deux principaux actifs logiciels de Sun : Java et Solaris ». On peut se demander ce qu'il adviendra des produits libres de Sun (Java, MySQL, OpenOffice.org, VirtualBox, OpenSolaris, GlassFish, OpenSPARC, NetBeans, etc.) et surtout de leur politique globale vers le libre.
IBM désirait racheter Sun pour 9,40 dollar par action au maximum, offre déclinée il y a deux semaines (6 avril) par Sun.
Mondes virtuels : Second Life et Opensim
Après le buzz "Second Life" (Linden Lab) de 2007, et la régulation des activités de banque virtuelle et des jeux d'argent en 2008, l'activité de nombreuses "communautés" sur Second Life commence à s'organiser et trouve des applications intéressantes dans les domaines de la vente en ligne, de la formation, de la science, de la création et des arts.
Dans le même temps, la libération du code du client de Second Life a provoqué l'émergence de plusieurs clients libres compatibles avec SL et la mise à disposition d'un serveur multiplateforme Opensimulator, qui permet à tout un chacun d'héberger, contrairement à SL dont les serveurs sont centralisés chez Linden Lab.
Ainsi, la NASA présente au grand public de nombreuses régions dans Second Life, et anime grâce à son antenne du Colab des ateliers de vulgarisation scientifique dans le domaine spatial. Des réunions ont lieu tous les mardis soir ("Weekly meeting spot") dans une des régions appartenant à un groupe de région à thème scientifique (Scilands).
Dans le même temps, la libération du code du client de Second Life a provoqué l'émergence de plusieurs clients libres compatibles avec SL et la mise à disposition d'un serveur multiplateforme Opensimulator, qui permet à tout un chacun d'héberger, contrairement à SL dont les serveurs sont centralisés chez Linden Lab.
Ainsi, la NASA présente au grand public de nombreuses régions dans Second Life, et anime grâce à son antenne du Colab des ateliers de vulgarisation scientifique dans le domaine spatial. Des réunions ont lieu tous les mardis soir ("Weekly meeting spot") dans une des régions appartenant à un groupe de région à thème scientifique (Scilands).
Première publication de la plate-forme libre de HaaS (Hardware as a service) NiftyName
L'équipe de IELO/Lost-Oasis est fière d'annoncer la première version d'un ensemble de composants sous licence GPLv3, permettant la mise en place de plate-formes de virtualisation. Face à la prolifération des plate-formes non libres telles que Amazon EC2, Microsoft Azure et consorts, il nous paraissait nécessaire de proposer un équivalent libre. Notre NiftyName en est à sa première mouture, il permet actuellement de créer et gérer dynamiquement des parcs de machines virtuelles et tous les composants nécessaires (stockage, réseaux privés et publics, etc.).
Ceci est une première version qui ne gère pas encore de redondance active multi-site, bien que l'ensemble des composants y soit préparé.
L'architecture se base sur un ensemble de webservices XML-RPC (SSL) documentés permettant de développer ses propres outils de gestion. En outre, deux clients (console et GTK) s'appuyant sur l'API permettent déjà de manipuler l'ensemble des services.
Cette version 1.0.0 a les fonctionnalités suivantes :
Une plate-forme de test est proposée par IELO/Lost-Oasis, elle vous permet dès aujourd'hui de créer des utilisateurs de tests ainsi que des services en conditions réelles.
Nous comptons sur vos remarques, propositions et contributions afin de nous permettre d'améliorer le projet et de le porter au plus haut niveau.
Ceci est une première version qui ne gère pas encore de redondance active multi-site, bien que l'ensemble des composants y soit préparé.
L'architecture se base sur un ensemble de webservices XML-RPC (SSL) documentés permettant de développer ses propres outils de gestion. En outre, deux clients (console et GTK) s'appuyant sur l'API permettent déjà de manipuler l'ensemble des services.
Cette version 1.0.0 a les fonctionnalités suivantes :
- Machines virtuelles (sur base KVM, multi processeurs, x86-64, VNC, etc.)
- Stockage (privés, publics, clonage, partage entre instances)
- Réseau (adressage public, support IPv6, réseaux virtuels privés, interfaces multiples)
- Gestion des utilisateurs/clients, permissions, rôles, etc.
Une plate-forme de test est proposée par IELO/Lost-Oasis, elle vous permet dès aujourd'hui de créer des utilisateurs de tests ainsi que des services en conditions réelles.
Nous comptons sur vos remarques, propositions et contributions afin de nous permettre d'améliorer le projet et de le porter au plus haut niveau.
SOGo 1.0, un collecticiel libre intégré et inspiré par Mozilla Thunderbird / Lightning
Inverse, société spécialisée en développement et déploiement de logiciels libres, annonce la sortie de la version 1.0 de Scalable OpenGroupware.org (SOGo).
Créé en 2004, SOGo est un serveur collecticiel (partage d'agendas, carnets d'adresses et courriels) dont l'architecture est axée sur l'extensibilité de façon à permettre son utilisation simultanée par des milliers d'utilisateurs. SOGo fournit une riche interface Web basée sur la technologie AJAX, offrant des fonctionnalités, une apparence et une expérience utilisateur proches de celles de Thunderbird / Lightning, tout en supportant également plusieurs clients lourds par l'utilisation de protocoles ouverts tels CalDAV, CardDAV et GroupDAV. De plus, SOGo conserve les données des utilisateurs dans des formats standards tels que vCard et iCalendar.
Par ailleurs, SOGo réutilise les composantes existantes d'une infrastructure telles qu'un serveur IMAP, SMTP, un annuaire LDAP et une base de données SQL (les solutions MySQL, Oracle et PostgreSQL sont prises en charge). SOGo repose donc sur ces composantes afin d'offrir un environnement riche en fonctionnalités et cohérent.
Finalement, SOGo offre une excellente intégration avec Mozilla Thunderbird et Lightning et permet la synchronisation avec une multitude d'appareils mobiles grâce à l'intergiciel Funambol.
Créé en 2004, SOGo est un serveur collecticiel (partage d'agendas, carnets d'adresses et courriels) dont l'architecture est axée sur l'extensibilité de façon à permettre son utilisation simultanée par des milliers d'utilisateurs. SOGo fournit une riche interface Web basée sur la technologie AJAX, offrant des fonctionnalités, une apparence et une expérience utilisateur proches de celles de Thunderbird / Lightning, tout en supportant également plusieurs clients lourds par l'utilisation de protocoles ouverts tels CalDAV, CardDAV et GroupDAV. De plus, SOGo conserve les données des utilisateurs dans des formats standards tels que vCard et iCalendar.
Par ailleurs, SOGo réutilise les composantes existantes d'une infrastructure telles qu'un serveur IMAP, SMTP, un annuaire LDAP et une base de données SQL (les solutions MySQL, Oracle et PostgreSQL sont prises en charge). SOGo repose donc sur ces composantes afin d'offrir un environnement riche en fonctionnalités et cohérent.
Finalement, SOGo offre une excellente intégration avec Mozilla Thunderbird et Lightning et permet la synchronisation avec une multitude d'appareils mobiles grâce à l'intergiciel Funambol.
TouchCamp "Le printemps du multi-touch" du 20 au 22 mars
Silicon Sentier, designers interactifs et le NUI Group organisent trois jours de conférence sur le thème du multi-touch, du 20 au 22 mars à La Cantine. Après une première journée de conférences plus formelles vendredi 20, l'événement prendra la tournure d'un BarCamp pendant le week-end.
Appelé pour l'occasion TouchCamp, les thèmes abordés comprendront les notions d'ergonomie, de design, et les retours des utilisateurs. Des fabricants de tables multi-touch seront également présents, professionnels comme amateurs. Comme à l'accoutumée, le TouchCamp sera l'occasion de rencontrer les acteurs les plus passionnés, ainsi que de proposer et participer à des ateliers spontanés.
Appelé pour l'occasion TouchCamp, les thèmes abordés comprendront les notions d'ergonomie, de design, et les retours des utilisateurs. Des fabricants de tables multi-touch seront également présents, professionnels comme amateurs. Comme à l'accoutumée, le TouchCamp sera l'occasion de rencontrer les acteurs les plus passionnés, ainsi que de proposer et participer à des ateliers spontanés.
Le plan d'action anglais « Open Source, Open Standards and Re-Use »
Le 24 février, le gouvernement britannique mettait en ligne le plan d'action « Open Source, Open Standards and Re-Use » dont l'objectif clairement affiché est de passer à la vitesse supérieure pour ce qui concerne l'usage des logiciels libres dans l'ensemble des institutions publiques.
Les arguments avancés exposent les avantages du logiciel libre sur le logiciel propriétaire. Il est question d'économie (ne pas payer deux fois le même logiciel, assurer les conditions de sa réutilisation, etc.) mais également de formats ouverts, d'interopérabilité, ainsi que de faciliter voire favoriser le logiciel libre dans les procédures d'appels d'offre.
Il a été traduit par le Framablog, qui a également traduit deux articles connexes (l'un de la BBC et l'autre d'un site éducatif engagé dans le logiciel libre), et qui se demande au passage si on trouve la même volonté et ambition en France.
Rencontre communautaire avec Howard Chu, OpenLDAP Chief Architect, à Paris
Linagora est fier d'accueillir Howard Chu, OpenLDAP Chief Architect, à l'occasion d'une conférence sur la nouvelle version 2.4 d'OpenLDAP, lundi 23 mars, 18h à Paris. Dans une ambiance conviviale d'after work, venez découvrir les nouveautés de la dernière version du serveur d'annuaire libre et rencontrer d'autres membres de la communauté française d'OpenLDAP.
Attention : cette conférence sera donnée en anglais.
Inscription : gratuite sur simple demande à mailto:ldap+event2009@linagora.com
Où : 27 rue de Berri, 75008 Paris (voir lien plan d'accès)
Un usage professionnel ? Venez participer à un séminaire sur l'industrialisation d'OpenLDAP avec Symas et Linagora le mardi 24 mars au matin (voir invitation au séminaire professionnel)
Attention : cette conférence sera donnée en anglais.
Inscription : gratuite sur simple demande à mailto:ldap+event2009@linagora.com
Où : 27 rue de Berri, 75008 Paris (voir lien plan d'accès)
Un usage professionnel ? Venez participer à un séminaire sur l'industrialisation d'OpenLDAP avec Symas et Linagora le mardi 24 mars au matin (voir invitation au séminaire professionnel)
La version 2.5 du compilateur LLVM est disponible
Le compilateur LLVM (pour Low Level Virtual Machine) est disponible dans sa version 2.5 depuis le 2 mars dernier.
Ce projet de compilateur sous licence BSD est très modulaire et a choisi le langage C++ pour son implémentation. Il utilise actuellement le compilateur GCC du projet GNU pour analyser le code source (LLVM-GCC) mais un nouveau frontal, Clang, est prévu pour remplacer GCC à terme.
Ce projet de compilateur sous licence BSD est très modulaire et a choisi le langage C++ pour son implémentation. Il utilise actuellement le compilateur GCC du projet GNU pour analyser le code source (LLVM-GCC) mais un nouveau frontal, Clang, est prévu pour remplacer GCC à terme.
Parinux : conférence Dotclear
Anne Kozlika et Noé Lomalarch, tous deux contributeurs au projet Dotclear vous présenteront ce blog libre, devenu maintenant plate-forme de blogs et d'outils de publication, lors d'une conférence organisée par Parinux le mardi 10 mars 2009 à l'Espace Loisirs et Multimedia, 105 avenue de La Bourdonnais, 75007 - Paris.
Soirée ZFS/OpenStorage à Paris le 18 Mars
À l'occasion de la venue sur Paris d'un des analystes des performances de ZFS (Roch Bourbonnais), Sun organise une soirée autour du sujet du stockage (OpenStorage et ZFS pour les intimes) et de ses performances. Ces présentations seront axées autour du cas pratique des performances pour MySQL. Au programme :
- Les nouveautés dans le milieu du stockage
- Gestion des performances et cas d'utilisations : les meilleures pratiques avec ZFS et OpenStorage autour des systèmes de fichiers, des bases de données et de MySQL en particulier
- Retour d'expérience par un membre de l'association GUSES
« Ordinateurs : attention au trou de mémoire »
« Que deviendront vos textes, vos photos, vos vidéos de famille dans cinquante ans » est le titre d'un article paru dans le quotidien La Dépêche du Midi (qui couvre le Sud-Ouest), publié le 05/02/2009 09:00 par Gérald Camier dans la rubrique High tech / Sciences.
Il pose le problème du stockage des données numériques, toujours plus nombreuses et sollicitées, dans la durée.
NdM : Merci à patrick32 pour son journal à l'origine de cette dépêche.
Il pose le problème du stockage des données numériques, toujours plus nombreuses et sollicitées, dans la durée.
NdM : Merci à patrick32 pour son journal à l'origine de cette dépêche.
RPM va enfin de l'avant avec la version 4.6
Logiciel libre sous licence GPL, le gestionnaire de paquets RPM est au coeur de nombreuses distributions et il est le format de distribution de logiciels requis par la norme Linux Standard Base.
Le 6 février dernier le site rpm.org a annoncé que la très attendue version 4.6 du gestionnaire de paquets RPM était disponible au téléchargement.
Le 6 février dernier le site rpm.org a annoncé que la très attendue version 4.6 du gestionnaire de paquets RPM était disponible au téléchargement.
Sortie de la GeeXboX 1.2
Après une longue série de versions bêta, le projet GeeXboX (LiveCD Linux à vocation de lecteur multimédia et basé sur MPlayer) est fier d'annoncer la disponibilité de la nouvelle édition 1.2 en version stable.
Le projet annonce également avec cette version la fin de la série 1.x, pour se consacrer complètement à la série 2.x, qui proposera une interface utilisateur complètement refondue et basée sur Enlightenment E17 et dont la première version alpha devrait sortir dans les semaines à venir.
Le site officiel met d'ailleurs à disposition les premières images de la future version 2.0 et le moins que l'on puisse dire, c'est que cela apporte un certain changement visuel :-)
Le projet annonce également avec cette version la fin de la série 1.x, pour se consacrer complètement à la série 2.x, qui proposera une interface utilisateur complètement refondue et basée sur Enlightenment E17 et dont la première version alpha devrait sortir dans les semaines à venir.
Le site officiel met d'ailleurs à disposition les premières images de la future version 2.0 et le moins que l'on puisse dire, c'est que cela apporte un certain changement visuel :-)
Alfresco lance la version 3 finale
Après de longs mois d'attente (et de développement !), Alfresco propose une nouvelle version majeure de sa solution de Gestion de contenu d'entreprise (ECM), la version 3.0.
Au chapitre des nouveautés (détaillées plus bas), une longue liste de nouvelles fonctionnalités et correctifs :
Au chapitre des nouveautés (détaillées plus bas), une longue liste de nouvelles fonctionnalités et correctifs :
- Une interface collaborative (Share) proposant wiki, blog, gestion de documents, forums, calendrier et gestion de liens
- Une organisation par projets, centres d'intérêts, groupes de travail
- Un nouveau framework applicatif pour développer des applications orientées gestion de contenu
- Une interface pour la mise en forme visuelle des sites
- Le support du protocole Sharepoint
- L'implémentation du protocole CMIS
- L'ensemble des correctifs disponibles en version Entreprise
Conférence sur le smartphone "OpenMoko"
L'association informatique "La Guilde" organisera la conférence :
"Openmoko, le smartphone libre"
Mardi 20 janvier 2009 à 19:30, ENSIMAG, campus de Saint-Martin d'Hères.
Openmoko est un projet qui se divise en deux parties : la première est la conception d'une distribution Linux spécialisée pour être embarquée dans des téléphones mobiles, la seconde portant sur la conception d'un matériel libre pouvant servir de support à la première.
Actuellement, il existe un téléphone disponible dans le commerce issu du projet Openmoko : le "Neo FreeRunner".
Présentation par Lucas Bonnet de Bearstech, importateur du Neo FreeRunner en France, et Johann Suhm, animateur du site francophone openmoko-fr.
"Openmoko, le smartphone libre"
Mardi 20 janvier 2009 à 19:30, ENSIMAG, campus de Saint-Martin d'Hères.
Openmoko est un projet qui se divise en deux parties : la première est la conception d'une distribution Linux spécialisée pour être embarquée dans des téléphones mobiles, la seconde portant sur la conception d'un matériel libre pouvant servir de support à la première.
Actuellement, il existe un téléphone disponible dans le commerce issu du projet Openmoko : le "Neo FreeRunner".
Présentation par Lucas Bonnet de Bearstech, importateur du Neo FreeRunner en France, et Johann Suhm, animateur du site francophone openmoko-fr.
nspluginwrapper 1.2.0
nspluginwrapper est maintenant disponible en version 1.2.0. nspluginwrapper est une solution qui permet d'exécuter des greffons NPAPI en dehors d'un navigateur Internet, tout en maintenant un lien avec celui-ci. Ainsi, il permet par exemple d'exécuter les greffons propriétaires Flash Player, initialement prévus pour i386, dans un navigateur web compilé pour x86_64. Nous allons voir d'autres usages par la suite.
Waf - un système de construction de logiciels
Après trois ans de développement, le projet Waf vient de présenter une version stable numérotée 1.5.2. Il s'agit d'un système de construction de logiciel généraliste et minimaliste (license BSD), basé sur Python, utilisé par de nombreux projets libres (xmms2, midori...) ou propriétaires, sur plateformes de type Linux.
Né du constat d'un manque de flexibilité d'un grand nombre de systèmes, Waf présente un système d'extensions basé sur les aspects qui lui permet d'être extrêmement adaptable tout en mettant en avant d'excellentes performances par comparaison avec d'autres outils basés sur la génération de Makefiles (comme les Autotools) ou sur l'utilisation directe d'un langage (Scons).
Les principaux éléments de cette version sont l'intégration d'exemples similaires à Make, l'ajout d'exemples pour la compilation par lots, l'utilisation de GCC en complément du préprocesseur interne à Waf, la documentation des API par le biais du Waf Book, et diverses améliorations pour le support de plateformes autres que Linux.
Waf reprend plusieurs idées principales d'autres systèmes de construction de logiciels tels que les Autotools, Scons ou Jam :
Né du constat d'un manque de flexibilité d'un grand nombre de systèmes, Waf présente un système d'extensions basé sur les aspects qui lui permet d'être extrêmement adaptable tout en mettant en avant d'excellentes performances par comparaison avec d'autres outils basés sur la génération de Makefiles (comme les Autotools) ou sur l'utilisation directe d'un langage (Scons).
Les principaux éléments de cette version sont l'intégration d'exemples similaires à Make, l'ajout d'exemples pour la compilation par lots, l'utilisation de GCC en complément du préprocesseur interne à Waf, la documentation des API par le biais du Waf Book, et diverses améliorations pour le support de plateformes autres que Linux.
Waf reprend plusieurs idées principales d'autres systèmes de construction de logiciels tels que les Autotools, Scons ou Jam :
- Configuration, compilation, installation et distribution d'un projet ;
- Compilation en parallèle ;
- Support pour divers langages tels que Ocaml, C, C++ ou Java ;
- Abstraction pour la compilation sur d'autres systèmes d'exploitation ;
- Utilisations de scripts en langage Python.
Centreon 2.0 est sortie en version finale
La nouvelle version majeure de Centreon vient de sortir, nous sommes à la version 2.0. Cette nouvelle mouture apporte bien sûr son lot de nouveautés, mais je dirais que la plus importante est sa compatibilité avec Nagios 3.
Pour rappel, Centreon est la suite du projet Oreon qui est une interface d'administration de Nagios qui permet une administration simplifiée de Nagios initié par la société Metheris (société Française).
Centreon fournit de nombreux services très complémentaires à Nagios,. Il permet de faire du reporting (notamment au travers de la conception de tableaux de bord), de la gestion de performances, une gestion fine des utilisateurs, des notifications hiérarchisées, l'hypervision du SI .. Par ailleurs il est modulaire, ce qui facilite le travail de contribution de la part de la communauté.
Je vous invite à aller voir sur leur site pour découvrir toutes les nouvelles fonctionnalités. Enfin bref, c'est un beau cadeau pour Noël ;)
PS : À noter qu'à l'occasion de la nouvelle mouture Centreon, le site internet a été refait avec Joomla.
Pour rappel, Centreon est la suite du projet Oreon qui est une interface d'administration de Nagios qui permet une administration simplifiée de Nagios initié par la société Metheris (société Française).
Centreon fournit de nombreux services très complémentaires à Nagios,. Il permet de faire du reporting (notamment au travers de la conception de tableaux de bord), de la gestion de performances, une gestion fine des utilisateurs, des notifications hiérarchisées, l'hypervision du SI .. Par ailleurs il est modulaire, ce qui facilite le travail de contribution de la part de la communauté.
Je vous invite à aller voir sur leur site pour découvrir toutes les nouvelles fonctionnalités. Enfin bref, c'est un beau cadeau pour Noël ;)
PS : À noter qu'à l'occasion de la nouvelle mouture Centreon, le site internet a été refait avec Joomla.
PepperSpot, Portail Captif nouvelle génération
PepperSpot est un portail captif sous licence GNU GPLv2 qui a été développé dans le cadre d'un projet du laboratoire de recherche de l'université Louis Pasteur à Strasbourg. Il est basé sur le portail captif bien connu ChilliSpot, et intègre maintenant un support pour l'IP nouvelle génération (IPv6). De nombreuses corrections ont été apportées et le code a été nettoyé.
Voici ses principaux attraits :
Voici ses principaux attraits :
OpenCL, en version 1.0
OpenCL (Open Computing Langage) est un projet ambitieux, initialement lancé par Apple. Les spécifications ont été proposées et acceptées par le consortium Khronos, qui par ailleurs s'occupe aussi d'OpenGL, en juin 2008. La version 1.0 est sortie aujourd'hui (09/12/2008) et est disponible sur http://www.khronos.org/registry/cl/ (spécification et headers).
Le but de ce projet est de permettre aux développeurs de tirer parti des énormes capacités de calcul des processeurs graphiques (GPUs) d'aujourd'hui. En effet, sauf quand une application graphique est lancée (un jeu par exemple), cette puissance de calcul reste inutilisée pour la plupart du temps. On appelle ce genre de technique, qui consiste finalement à détourner l'utilisation principale d'un processeur graphique, « General Purpose Computing on Graphics processing Units » ou tout simplement, GPGPU.
OpenCL permet donc de consolider la puissance de calcul absolue des machines en utilisant le GPU comme un simple CPU, et donc d'utiliser ce CPU « virtuel » pour les besoins de n'importe quel type d'application. Cette technologie sera incluse dans Mac OS X v10.6 (Snow Leopard) et normalement strictement transparente pour les applications. Le package OpenCL + transparence pour les programmes répond au doux nom marketing « Grand central », et ce regroupement ne sera évidemment pas libre. Cependant, rien n'empêchera au monde du libre de l'adapter dans un « Grand Central » complètement libre.
La spécification est définie comme ouverte et libre de droit. Malheureusement, il m'a été impossible de trouver une quelconque licence ou de quelconques démos. Confidentialité sur Snow Leopard oblige...
Cependant, un grand nombre d'acteurs se sont joints au projet et aujourd'hui on trouve, entre autres : Apple, AMD, NVIDIA, Intel, Broadcom, Blizzard, EA, Ericsson, IBM, Movidia, Nokia, Sony, Symbian, Texas Instruments. Bref, on ne trouve que du beau monde.
Cette technologie, définie comme indépendante du matériel, pourra potentiellement donner un grand coup de fouet aux capacités de calcul de nos machines actuelles. Il ne reste plus qu'à espérer qu'elle soit réellement « open and royalty-free ».
NdM : Afin d'éviter que CUDA (la technologie propriétaire qui est soutenue par NVidia) ne s'empare totalement de ce nouveau marché, les autres acteurs se sont regroupés derrière la bannière d'OpenCL. Cette technologie va donc bien au delà de MacOS X et elle va sans doute devenir "la" technologie de GPGPU sur les systèmes libres.
Le but de ce projet est de permettre aux développeurs de tirer parti des énormes capacités de calcul des processeurs graphiques (GPUs) d'aujourd'hui. En effet, sauf quand une application graphique est lancée (un jeu par exemple), cette puissance de calcul reste inutilisée pour la plupart du temps. On appelle ce genre de technique, qui consiste finalement à détourner l'utilisation principale d'un processeur graphique, « General Purpose Computing on Graphics processing Units » ou tout simplement, GPGPU.
OpenCL permet donc de consolider la puissance de calcul absolue des machines en utilisant le GPU comme un simple CPU, et donc d'utiliser ce CPU « virtuel » pour les besoins de n'importe quel type d'application. Cette technologie sera incluse dans Mac OS X v10.6 (Snow Leopard) et normalement strictement transparente pour les applications. Le package OpenCL + transparence pour les programmes répond au doux nom marketing « Grand central », et ce regroupement ne sera évidemment pas libre. Cependant, rien n'empêchera au monde du libre de l'adapter dans un « Grand Central » complètement libre.
La spécification est définie comme ouverte et libre de droit. Malheureusement, il m'a été impossible de trouver une quelconque licence ou de quelconques démos. Confidentialité sur Snow Leopard oblige...
Cependant, un grand nombre d'acteurs se sont joints au projet et aujourd'hui on trouve, entre autres : Apple, AMD, NVIDIA, Intel, Broadcom, Blizzard, EA, Ericsson, IBM, Movidia, Nokia, Sony, Symbian, Texas Instruments. Bref, on ne trouve que du beau monde.
Cette technologie, définie comme indépendante du matériel, pourra potentiellement donner un grand coup de fouet aux capacités de calcul de nos machines actuelles. Il ne reste plus qu'à espérer qu'elle soit réellement « open and royalty-free ».
NdM : Afin d'éviter que CUDA (la technologie propriétaire qui est soutenue par NVidia) ne s'empare totalement de ce nouveau marché, les autres acteurs se sont regroupés derrière la bannière d'OpenCL. Cette technologie va donc bien au delà de MacOS X et elle va sans doute devenir "la" technologie de GPGPU sur les systèmes libres.
Sortie d'Opensolaris 2008.11
La version 2008.11 du système d'exploitation libre de Sun Microsystem vient de sortir. Cette deuxième mouture officielle est encore une fois fournie sous la forme d'un live CD installable.
Cette version reçoit bien sûr un grand nombre d'améliorations concernant le support matériel, ses technologies phares (Dtrace, ZFS) ainsi que des corrections de bugs.
Le bureau reçoit un grand nombre d'améliorations avec la mise à jour de ses applications les plus populaires, ainsi que l'ajout de Time Slider, le pendant libre à Time Machine reposant sur la technologie ZFS.
L'autre grand champ d'amélioration est la personnalisation de OpenSolaris, grâce à des outils facilitant la création de distributions et de miroirs tiers comme le Distribution Constructor.
On voit ainsi fleurir de plus en plus de dérivées, preuve de la bonne santé du projet.
Cette version reçoit bien sûr un grand nombre d'améliorations concernant le support matériel, ses technologies phares (Dtrace, ZFS) ainsi que des corrections de bugs.
Le bureau reçoit un grand nombre d'améliorations avec la mise à jour de ses applications les plus populaires, ainsi que l'ajout de Time Slider, le pendant libre à Time Machine reposant sur la technologie ZFS.
L'autre grand champ d'amélioration est la personnalisation de OpenSolaris, grâce à des outils facilitant la création de distributions et de miroirs tiers comme le Distribution Constructor.
On voit ainsi fleurir de plus en plus de dérivées, preuve de la bonne santé du projet.
Oxyradio passe son studio sous 100 % de Logiciels Libres
Vous connaissez peut-être Oxyradio ? Si ce n'est pas le cas, Oxyradio est une webradio basée à Cergy (Val d'Oise) qui diffuse du contenu musical sous licences libres (CC, Art Libre, ...). Elle propose aussi des émissions dont une libre antenne et une émission sur la culture libre animée par Mathieu Pasquini, membre reconnu dans la communauté du libre.
Oxyradio a décidé de se lancer un défi le 29 novembre 2008 qui consiste à passer toute son infrastructure sous 100 % de Logiciels libres. En effet, actuellement, seul le serveur de diffusion utilise des logiciels libres ainsi que quelques logiciels fonctionnant sur un système propriétaire dans le studio pour diffuser le live et la playlist.
La solution technique choisie est basée sur Ubuntu Studio ainsi que le logiciel libre : Rivendell.
Vous pourrez assister en direct à la migration de l'infrastructure sur notre site pendant l'émission "Oxynight" qui commencera dès 21h le samedi 29 novembre 2008. Vous pourrez nous appeler pour commenter cette migration ou bien pourquoi pas, nous donner quelques idées / conseils.
Je vous rappelle également qu'Oxyradio sera présente lors de l'Ubuntu Party qui se déroule à la cité des sciences et de l'industrie, porte de la Villette à Paris le 29 et 30 novembre 2008. Nous vous attendons tous à l'entrée du carrefour numérique pour une interview des conférenciers présents sur place pour l'évènement.
Oxyradio a décidé de se lancer un défi le 29 novembre 2008 qui consiste à passer toute son infrastructure sous 100 % de Logiciels libres. En effet, actuellement, seul le serveur de diffusion utilise des logiciels libres ainsi que quelques logiciels fonctionnant sur un système propriétaire dans le studio pour diffuser le live et la playlist.
La solution technique choisie est basée sur Ubuntu Studio ainsi que le logiciel libre : Rivendell.
Vous pourrez assister en direct à la migration de l'infrastructure sur notre site pendant l'émission "Oxynight" qui commencera dès 21h le samedi 29 novembre 2008. Vous pourrez nous appeler pour commenter cette migration ou bien pourquoi pas, nous donner quelques idées / conseils.
Je vous rappelle également qu'Oxyradio sera présente lors de l'Ubuntu Party qui se déroule à la cité des sciences et de l'industrie, porte de la Villette à Paris le 29 et 30 novembre 2008. Nous vous attendons tous à l'entrée du carrefour numérique pour une interview des conférenciers présents sur place pour l'évènement.
Le trente-deuxième Top 500 des super-ordinateurs
Le 32ème top 500 des supercalculateurs mondiaux est sorti aujourd'hui à l'occasion de la Supercomputing Conference 2008 qui a lieu à Austin au Texas.
On constate que la vitesse continue d'augmenter à un rythme très rapide puisque l'agrégation des puissances individuelle des 500 machines totalise 16953 téraFLOPS alors qu'elle n'était que de 6970 téraflops il y a six mois et 4920 téraflops il y a à peine un an. Si vous vouliez que votre dernier joujou fasse partie de la liste, il aurait fallu qu'il se hisse au minimum à 27,4 téraflops (seulement 18,8 téraflops lors du dernier classement).
On constate que la vitesse continue d'augmenter à un rythme très rapide puisque l'agrégation des puissances individuelle des 500 machines totalise 16953 téraFLOPS alors qu'elle n'était que de 6970 téraflops il y a six mois et 4920 téraflops il y a à peine un an. Si vous vouliez que votre dernier joujou fasse partie de la liste, il aurait fallu qu'il se hisse au minimum à 27,4 téraflops (seulement 18,8 téraflops lors du dernier classement).
LLVM 2.4 : le compilateur qui fait plus
La version 2.4 de la suite LLVM est sortie le 9 novembre.
LLVM est l'acronyme de Low Level Virtual Machine, mais c'est aussi :
LLVM est le seul concurrent sérieux et libre de GCC GNU Compiler Collection. Il se distingue par sa conception très modulaire et sa simplicité d'utilisation. Cela se reflète dans son API et sa documentation abondante. Il existe même un tutoriel décrivant l'implémentation d'un petit langage en utilisant LLVM !
Évidemment, LLVM propose beaucoup moins de langages et d'architectures que GCC, mais il rattrape son retard et est déjà une alternative tout à fait valable à GCC en utilisant LLVM-GCC.
On peut essayer LLVM sans trop d'effort en le téléchargeant avec l'interface llvm-gcc. Vous pourrez ainsi compiler vos programmes favoris en utilisant la commande llvm-gcc de la même façon que vous utilisez gcc.
Il convient également de citer 2 projets annexes à LLVM, et qui évoluent avec celui-ci :
LLVM est l'acronyme de Low Level Virtual Machine, mais c'est aussi :
- un compilateur, avec des interfaces pour C, C++ au travers du projet CLang et du port des analyseurs de code C, C++ de GCC. D'autres langages sont également pris en charge.
- un framework de compilateur qui permet d'ajouter simplement des nouveaux langages ou des nouvelles architectures matérielles.
- un générateur de code embarquable pour la compilation à la volée (JIT).
- une stratégie de compilation conçue pour autoriser des optimisations pendant toute la durée de vie d'un programme, c'est à dire à la compilation, pendant l'édition de lien, pendant l'exécution, et par profilage après l'exécution.
- un jeu d'instruction virtuel, la représentation intermédiaire (IR). Celle-ci est accessible sous forme textuelle (c'est l'assembleur LLVM) ou binaire (c'est le bytecode LLVM). C'est cette représentation intermédiaire qui permet les optimisations.
LLVM est le seul concurrent sérieux et libre de GCC GNU Compiler Collection. Il se distingue par sa conception très modulaire et sa simplicité d'utilisation. Cela se reflète dans son API et sa documentation abondante. Il existe même un tutoriel décrivant l'implémentation d'un petit langage en utilisant LLVM !
Évidemment, LLVM propose beaucoup moins de langages et d'architectures que GCC, mais il rattrape son retard et est déjà une alternative tout à fait valable à GCC en utilisant LLVM-GCC.
On peut essayer LLVM sans trop d'effort en le téléchargeant avec l'interface llvm-gcc. Vous pourrez ainsi compiler vos programmes favoris en utilisant la commande llvm-gcc de la même façon que vous utilisez gcc.
Il convient également de citer 2 projets annexes à LLVM, et qui évoluent avec celui-ci :
- CLang est un projet dont le but est de fournir des interfaces C, C++ et Objective C pour LLVM qui soient de meilleure qualité que ce qui existe actuellement (les parseurs de GCC).
- VMKit est une implémentation de la JVM et de la CLI. Il transforme le bytecode java et MSIL en représentation intermédiaire LLVM puis effectue les optimisations fournies par LLVM.
Campagne de dons pour le compilateur PCC
PCC est un compilateur C qui a tout pour séduire car il a pour objectif principal de rester simple, petit, rapide et compréhensible. Il prend en charge la norme C99 et est publié sous licence BSD. Pour mener à bien le développement de ce compilateur le développeur principal, Anders Magnusson (ragge), a besoin de financements. Ainsi il pourra être en mesure de sortir la version 1.0.
Ce compilateur est disponible pour toutes les variantes*BSD, mais également pour Linux, Mac OS X et Windows. Il est capable de générer du code pour de nombreuses architectures comprenant i386, PowerPC, ARM, ainsi que neuf autres machines un peu moins courantes.
Beaucoup voient en lui une alternative viable à GCC qu'il pourra à terme remplacer. Il est d'ailleurs inclus dans l'arbre des sources de projets comme OpenBSD et NetBSD depuis plus d'un an. En terme de performance, ce petit compilateur est capable de produire des exécutables 15 fois plus rapidement que ceux de GCC (seulement 5 fois plus rapidement si l'on active les tests internes de validité, les « sanity checks »), pour une vitesse d'exécution environ 10% plus lente. Cette relative lenteur s'explique par le fait que PCC ne fait des optimisations que sur l'allocateur de registres (alors que l'on peut en faire à plein d'autres endroits). De nombreuses améliorations sont à faire ou à terminer, c'est pourquoi le projet à besoin de votre aide.
Ce compilateur est disponible pour toutes les variantes*BSD, mais également pour Linux, Mac OS X et Windows. Il est capable de générer du code pour de nombreuses architectures comprenant i386, PowerPC, ARM, ainsi que neuf autres machines un peu moins courantes.
Beaucoup voient en lui une alternative viable à GCC qu'il pourra à terme remplacer. Il est d'ailleurs inclus dans l'arbre des sources de projets comme OpenBSD et NetBSD depuis plus d'un an. En terme de performance, ce petit compilateur est capable de produire des exécutables 15 fois plus rapidement que ceux de GCC (seulement 5 fois plus rapidement si l'on active les tests internes de validité, les « sanity checks »), pour une vitesse d'exécution environ 10% plus lente. Cette relative lenteur s'explique par le fait que PCC ne fait des optimisations que sur l'allocateur de registres (alors que l'on peut en faire à plein d'autres endroits). De nombreuses améliorations sont à faire ou à terminer, c'est pourquoi le projet à besoin de votre aide.