Après son étude sur la fiabilité des disques durs en février 2007 (voir l'excellent journal d'Herodiade à ce sujet auquel le titre de cette dépêche fait allusion), les ingénieurs de Google ont fait paraître une étude similaire mais qui porte cette fois sur la mémoire vive.
C'est lors du congrès Sigmetrics/Performance 2009 que cette étude a été présentée par deux ingénieurs de Google et une chercheuse de l'université de Toronto (on retrouve les mêmes noms que pour l'article sur les disques durs : Eduardo Pinheiro, Wolf-Dietrich Weber et Bianca Schroeder).
Comme pour le papier précédent, l'intérêt de ces données réside dans le fait qu'elles s'appuient sur l'expérience réelle des gigantesques fermes de serveurs de Google.
Il ne s'agit pas d'une petite étude en laboratoire mais bien de statistiques se basant sur plusieurs millions de barrettes mémoire et une durée de fonctionnement de deux ans et demi !
ConFoo 2010 : Appel aux conférenciers
PHP-Québec, Montréal-Python, Ruby Montréal, W3Québec, et OWASP Montréal organisent la première édition de la conférence ConFoo.ca (connue sous Conférence PHP Québec) sur les technologies du Web. Celle-ci aura lieu à Montréal, du 10 au 12 mars 2010, dans le prestigieux Hôtel Hilton Bonaventure.
Nous recherchons les meilleurs conférenciers internationaux, prêts à partager leurs expériences et leurs compétences avec les programmeurs et les gestionnaires. L'appel est ouvert jusqu'au vendredi le 13 novembre 2009, 23h59, heure de Montréal (UTC-4). Pour plus d'informations à propos de la conférence ou l'appel aux conférenciers, visitez notre site Web (cf. premier lien).
La conférence est divisée en deux parties :
Nous recherchons les meilleurs conférenciers internationaux, prêts à partager leurs expériences et leurs compétences avec les programmeurs et les gestionnaires. L'appel est ouvert jusqu'au vendredi le 13 novembre 2009, 23h59, heure de Montréal (UTC-4). Pour plus d'informations à propos de la conférence ou l'appel aux conférenciers, visitez notre site Web (cf. premier lien).
La conférence est divisée en deux parties :
- La partie technique concernant les aspects suivants du développement Web :
PHP, Python, Ruby, la sécurité, les CMS et les frameworks, les bases de données, l'administration système, les standards Web, l'accessibilité et les méthodes agiles.
- La partie décisionnelle : la gestion de projet, les outils de référencement (SEO), l’analyse marketing Web et les réseaux sociaux.
Sortie de OpenNMS 1.6.6
Une nouvelle version stable du logiciel de supervision / hypervision OpenNMS est sortie.
OpenNMS est une solution de supervision réseau écrite en Java dont les principales fonctions sont les suivantes :
La page de Changelog est disponible ici : http://www.opennms.org/documentation/ReleaseNotesStable.html(...)
Pour plus d'informations, consulter le PDF intitulé UCE Overview Part 2 Tarus Balog.pdf à l'adresse suivante : http://www.opennms.org/UCE-slides/
OpenNMS est une solution de supervision réseau écrite en Java dont les principales fonctions sont les suivantes :
- Découverte des équipements et des services associés ;
- Suivi de la disponibilité de ces équipements et de ces services ;
- Collecte de données (SNMP, HTTP, JMX) et présentation graphique de ces données (RRD, jrb) ;
- Traitement d'un bac à événements et d'un bac à alarmes (traps SNMP, syslog) ;
- Corrélation d'événements (début-fin, regroupement) ;
- Génération de rapport ;
- Envoi de notifications ;
- Génération d'alarmes lors de dépassement de seuil d'un indicateur SNMP ;
- Décodage des MIBs SNMP grâce à l'outil mib2opennms.
La page de Changelog est disponible ici : http://www.opennms.org/documentation/ReleaseNotesStable.html(...)
Pour plus d'informations, consulter le PDF intitulé UCE Overview Part 2 Tarus Balog.pdf à l'adresse suivante : http://www.opennms.org/UCE-slides/
La version 3.5 de DavMail est disponible
DavMail est une passerelle POP/IMAP/SMTP/CalDAV/LDAP vers Microsoft Exchange permettant aux utilisateurs d'utiliser n'importe quel client de messagerie/agenda (par exemple Thunderbird avec Lightning ou Apple Mail/iCal) avec un serveur Exchange et ce, même depuis Internet ou au travers d'un pare-feu car la communication est basée sur Outlook Web Access.
Cette nouvelle version apporte une gestion amélioré de Mac OS X Snow Leopard ainsi que les recherches dans les contacts (en plus du carnet d'adresses global) via LDAP.
Cette nouvelle version apporte une gestion amélioré de Mac OS X Snow Leopard ainsi que les recherches dans les contacts (en plus du carnet d'adresses global) via LDAP.
Nouvelle version de Squale - Software QUALity Enhancement project
Squale est une solution libre, sous licence LGPL v3, permettant de gérer la qualité des développements logiciels, avec pour objectifs de couvrir plusieurs langages et d'offrir une vision de la qualité logicielle adaptée à plusieurs profils. Mais plus qu'une simple plate-forme logicielle, Squale est un projet du groupe thématique "Logiciel Libre" du pôle de compétitivité System@tic Paris-Région. Il se focalise sur deux aspects principaux (voir la seconde partie de la dépêche pour plus de détails) :
Les prochaines versions de Squale s'orienteront, entre autres, vers :
- L'élaboration de modèles évolués d'évaluation, de visualisation et d'interprétation des résultats issus des outils de mesure ;
- Le développement d'une plate-forme logicielle mettant en œuvre les modèles ci-dessus et permettant ainsi de contrôler la qualité de son code.
- Faire l'analyse d'applications Java/J2EE en utilisant les outils libres (re)connus tels que Checkstyle, PMD, JDepend et autres ;
- Faire l'analyse d'applications C/C++ et Cobol en utilisant un connecteur vers les outils commerciaux McCabe et RSM.
- Un Tomcat embarqué ;
- Une base de donnée embarquée (HSQL DB) ;
- Des outils d'analyses libres pour Java pré-installés ;
- Un modèle qualité de base à trois niveaux (facteurs, critères et pratiques qualité).
Les prochaines versions de Squale s'orienteront, entre autres, vers :
- La prise en charge d'autres langages (notamment PHP) via l'ajout de nouveaux connecteurs pour les outils d'analyse de ce langage ;
- L'amélioration de l'interface via des visualisations avancées (au delà de simples répartitions ou diagrammes radars) ;
- La proposition de plans d'action plus évolués.
Processeur graphique : NVIDIA est mal parti pour les années à venir
Les processeurs graphiques sont d'une puissance inégalée par rapport aux cœurs de calcul disponibles sur les processeurs x86. Malgré tout, leur coût d'accès mémoire reste trop important. Plus encore, les processeurs graphiques sont très spécialisés dans le calcul pur rendant difficile leur programmation.
Pour un développeur programmant autre chose qu'un jeu, il est difficile d'évaluer si transférer les calculs sur le processeur graphique est intéressant, d'autant plus si la complexité des calculs peut être variable.
Quelques voix s'élèvent pour pointer ces problèmes qui peuvent laisser penser que le traitement graphique hors du processeur n'a plus que quelques années devant lui.
La victime de cet état de fait pourrait bien être NVidia.
Pour un développeur programmant autre chose qu'un jeu, il est difficile d'évaluer si transférer les calculs sur le processeur graphique est intéressant, d'autant plus si la complexité des calculs peut être variable.
Quelques voix s'élèvent pour pointer ces problèmes qui peuvent laisser penser que le traitement graphique hors du processeur n'a plus que quelques années devant lui.
La victime de cet état de fait pourrait bien être NVidia.
EulerGUI 1.2, environnement pour les règles et le Web sémantique
EulerGUI est un environnement de développement pour le Web sémantique, sous licence LGPL. Il permet de mettre au point des règles avec plusieurs moteurs d'inférences : Drools en Java, Euler en Prolog, CWM et Fuxi en Python.
Nous avons un noyau d'ontologies et de règles en logique N3 (Notation 3), et de moteurs d'Inférence, offrant la génération de formulaires et d'applications à partir d'un modèle métier et d'un minimum de spécifications annexes. EulerGUI est centré sur le langage N3, qui permet s'exprimer à la fois des données, des modèles, des règles et des requêtes.
Dans EulerGUI :
Ceci signifie que, après lecture et traduction en N3 de fichiers eCore EMF, UML XMI, ou RDF Schéma, EulerGUI traite des modèles OWL. Avec EulerGUI on peut créer des pipelines de projets et importer des sous-projets.
Les application Swing générées utilisent un moteur Drools à l'exécution en temps réel pour créer les formulaires à partir du modèle.
Nous avons un noyau d'ontologies et de règles en logique N3 (Notation 3), et de moteurs d'Inférence, offrant la génération de formulaires et d'applications à partir d'un modèle métier et d'un minimum de spécifications annexes. EulerGUI est centré sur le langage N3, qui permet s'exprimer à la fois des données, des modèles, des règles et des requêtes.
Dans EulerGUI :
- N3 est la syntaxe de convergence, comparable en cela à JSON ou XMI.
- La modélisation de convergence est assurée par OWL du W3C.
Ceci signifie que, après lecture et traduction en N3 de fichiers eCore EMF, UML XMI, ou RDF Schéma, EulerGUI traite des modèles OWL. Avec EulerGUI on peut créer des pipelines de projets et importer des sous-projets.
Les application Swing générées utilisent un moteur Drools à l'exécution en temps réel pour créer les formulaires à partir du modèle.
Pas de prise en charge de Linux dans la nouvelle PlayStation 3 Slim
Le 18 août 2009, Sony Computer Entertainment Inc (SCE) a dévoilé la nouvelle console PlayStation 3 (PS3), qui sera disponible chez les revendeurs à partir du premier septembre. La nouvelle console est réduite en bien des points : taille, poids, consommation électrique, et en prix, ce qui devrait ravir la plupart des amateurs de jeux vidéo.
Cependant, pour les hackers qui se sont lancés dans l'aventure du développement sur le processeur Cell de la PS3, ou simplement les défenseurs de GNU/Linux sur la plate-forme PS3, une phrase laconique en toute fin de l'annonce officielle a fait l'effet d'une douche froide :
Ce que cela signifie simplement est que Sony a décidé de ne pas maintenir la fonctionnalité "otherOS" sur la nouvelle machine, qui permettait l'installation de systèmes alternatifs, les seuls réellement disponibles étant ceux basés sur le noyau Linux. Cela revient à condamner les systèmes basés sur Linux sur PS3 et la programmation Cell amateur à passer dans le domaine de l'underground, puisque devenu impossible sur la nouvelle machine.
Cela est une triste nouvelle, apparemment perçue comme une trahison pure et simple par des gens ayant passé une bonne partie de leur temps libre depuis deux ans à apprendre à maîtriser cette architecture si particulière, et à développer des outils et bibliothèques dans l'objectif de faire profiter le public du résultat de leur travail.
Cependant, pour les hackers qui se sont lancés dans l'aventure du développement sur le processeur Cell de la PS3, ou simplement les défenseurs de GNU/Linux sur la plate-forme PS3, une phrase laconique en toute fin de l'annonce officielle a fait l'effet d'une douche froide :
Le nouveau système PS3 va se concentrer sur la mise à disposition de jeux et autre contenu de loisir, et les utilisateurs n'auront pas la possibilité d'y installer d'autres systèmes d'exploitation.
Ce que cela signifie simplement est que Sony a décidé de ne pas maintenir la fonctionnalité "otherOS" sur la nouvelle machine, qui permettait l'installation de systèmes alternatifs, les seuls réellement disponibles étant ceux basés sur le noyau Linux. Cela revient à condamner les systèmes basés sur Linux sur PS3 et la programmation Cell amateur à passer dans le domaine de l'underground, puisque devenu impossible sur la nouvelle machine.
Cela est une triste nouvelle, apparemment perçue comme une trahison pure et simple par des gens ayant passé une bonne partie de leur temps libre depuis deux ans à apprendre à maîtriser cette architecture si particulière, et à développer des outils et bibliothèques dans l'objectif de faire profiter le public du résultat de leur travail.
Fiat Mio : la première voiture copyleftée
La division brésilienne de la célèbre marque italienne vient de lancer un nouveau projet pour le moins inédit : une automobile sous licence libre Creative-Commons cc-by-sa. Qualifiée par certains de "première voiture Open-Source", sa conception semble en effet s'inspirer du modèle des logiciels libres.
Les contributions sont les bienvenues, de la part des professionnels comme des designers en herbe qui voudraient prendre part au développement du projet en proposant leurs idées originales. Comme pour tout projet libre, l'un des intérêts est que la connaissance générée pourra librement être réutilisée par les autres ingénieurs et fabricants.
Le slogan de Fiat est "um carro para chamar de seu" ("une voiture dont vous pouvez dire qu'elle est la vôtre"). Le site http://www.fiatmio.cc a été ouvert pour permettre à ses visiteurs (pour peu qu'ils comprennent le portugais) de soumettre et discuter de leurs idées, ainsi que de voter pour celles des autres contributeurs.
NdM : Framasoft parlait en avril 2009 d'« Une voiture écolo Open Source, conçue dans un wiki » (« Dans la famille des futurs objets libres je demande la voiture »)
Les contributions sont les bienvenues, de la part des professionnels comme des designers en herbe qui voudraient prendre part au développement du projet en proposant leurs idées originales. Comme pour tout projet libre, l'un des intérêts est que la connaissance générée pourra librement être réutilisée par les autres ingénieurs et fabricants.
Le slogan de Fiat est "um carro para chamar de seu" ("une voiture dont vous pouvez dire qu'elle est la vôtre"). Le site http://www.fiatmio.cc a été ouvert pour permettre à ses visiteurs (pour peu qu'ils comprennent le portugais) de soumettre et discuter de leurs idées, ainsi que de voter pour celles des autres contributeurs.
NdM : Framasoft parlait en avril 2009 d'« Une voiture écolo Open Source, conçue dans un wiki » (« Dans la famille des futurs objets libres je demande la voiture »)
Publication de FineFS, un système de fichiers répartis
L'entreprise FineMedia vient de mettre sous licence libre (GPL v3) son système de fichiers FineFS. Ce logiciel permet de créer facilement des clusters disques, afin de partager des données entre plusieurs serveurs.
C'est une solution simple à configurer et peu coûteuse. Les performances sont déjà bonnes, bien que FineFS ait été conçu prioritairement pour les applications Web sans contrainte temps réel forte.
C'est une solution simple à configurer et peu coûteuse. Les performances sont déjà bonnes, bien que FineFS ait été conçu prioritairement pour les applications Web sans contrainte temps réel forte.
YAML 1.2 est disponible !
Après plus d'un an de travail acharné (enfin...), une nouvelle spécification du langage de sérialisation YAML vient de paraître. YAML 1.2 vise principalement la compatibilité entre ce dernier et JSON (un autre langage de sérialisation plus modeste mais de plus en plus utilisé en lieu et place d'XML dans les requêtes AJAX).
En clair, cela signifie que les messages encodés en JSON seront lisibles par un analyseur YAML. Et que certains messages YAML seront également lisibles en JSON, pour peu que le message s'y prête.
Cette évolution de YAML, officiellement datée du 21 juillet 2009, reste une évolution mineure et montre la stabilité du langage. À part quelques cas spécifiques, les bibliothèques YAML 1.1 fonctionnent toujours. Cette évolution montre aussi l'indépendance de YAML vis à vis d'un langage de programmation puisqu'alors que l'implémentation de référence de YAML 1.1 était en python (PyYAML), celle de la version 1.2 est en Haskell. Bien entendue, d'autres implémentations dans différents langages existent et sont présentés sur la page de YAML.
YAML est utilisé, par exemple, en tant que format des fichiers de configuration des applications fonctionnant sur le Google App Engine.
Plus d'information sur YAML dans la suite de l'article !
En clair, cela signifie que les messages encodés en JSON seront lisibles par un analyseur YAML. Et que certains messages YAML seront également lisibles en JSON, pour peu que le message s'y prête.
Cette évolution de YAML, officiellement datée du 21 juillet 2009, reste une évolution mineure et montre la stabilité du langage. À part quelques cas spécifiques, les bibliothèques YAML 1.1 fonctionnent toujours. Cette évolution montre aussi l'indépendance de YAML vis à vis d'un langage de programmation puisqu'alors que l'implémentation de référence de YAML 1.1 était en python (PyYAML), celle de la version 1.2 est en Haskell. Bien entendue, d'autres implémentations dans différents langages existent et sont présentés sur la page de YAML.
YAML est utilisé, par exemple, en tant que format des fichiers de configuration des applications fonctionnant sur le Google App Engine.
Plus d'information sur YAML dans la suite de l'article !
Retard(s) pour la prochaine version de C++
C'est maintenant officiel, la très attendue nouvelle version de C++, officieusement appelée C++0x s'appelle maintenant C++1x. Des difficultés importantes ont été rencontrées par le comité de normalisation concernant l'utilisation des concepts, une façon présentée comme plus sûre d'utiliser des templates. Il a été finalement été décidé de retirer les concepts du prochain standard.
La nouvelle mouture de C++, devrait être publiée en 2010 ou 2011
La nouvelle mouture de C++, devrait être publiée en 2010 ou 2011
Le RGI de la Norvège
Les norvégiens viennent d'adopter et de rendre obligatoire une série de formats informatiques. Le but est de faciliter l'échange de documents informatiques entre les administrations et entre les administrations et les citoyens quel que soit le logiciel ou le matériel utilisé.
Cette décision est celle que nous aurions souhaité avoir pour le RGI. À la place de cela, nous avons eu un texte sans consistance grâce à la pression de Microsoft et à la complaisance suspecte de nos dirigeants. On pourra aussi faire une comparaison avec BECTA, le dossier britannique.
Bien que le texte (PDF) soit en norvégien, il est assez facile de le parcourir car les termes employés en informatique sont quasiment universels. Nous ne pouvons maintenant que souhaiter qu'un texte équivalent à celui de la Norvège ou à l'ancien RGI soit adopté au niveau européen.
Cette décision est celle que nous aurions souhaité avoir pour le RGI. À la place de cela, nous avons eu un texte sans consistance grâce à la pression de Microsoft et à la complaisance suspecte de nos dirigeants. On pourra aussi faire une comparaison avec BECTA, le dossier britannique.
Bien que le texte (PDF) soit en norvégien, il est assez facile de le parcourir car les termes employés en informatique sont quasiment universels. Nous ne pouvons maintenant que souhaiter qu'un texte équivalent à celui de la Norvège ou à l'ancien RGI soit adopté au niveau européen.
Tmax Window : un système d'exploitation compatible Windows et Linux
TmaxCore a présenté le 7 juillet un nouveau système d'exploitation nommé Tmax Window 9 lors d'une conférence de presse. Celui-ci serait capable d'exécuter en natif la plupart des applications Linux et Microsoft Windows. Son interface graphique se rapproche énormément d'un Microsoft Windows Vista ou Seven. Une version béta du système d'exploitation sera rendue publique en octobre, puis Tmax Window sera mis en vente en novembre. TmaxCore est une société sud coréenne spécialisée dans les systèmes d'exploitation et affiliée à TmaxSoft, le plus grand éditeur de logiciels sud coréen.
Alors que des projets comme ReactOS et Wine travaillent depuis des années (1993 pour Wine, 1998 pour ReactOS) sur la compatibilité binaire avec l'API win32, on peut se demander comment TmaxCore a réussi si brillamment à résoudre ce problème si rapidement (Tmax Window est développé depuis 4 ans).
Bien que Tmax indique clairement que leur navigateur web soit basé sur WebKit, Tmax Scoutor est présenté comme étant un logiciel original. L'excellent support des standards du web (test Acid3) est par exemple attribué à Tmax Scoutor, alors que tout le mérite revient à WebKit. Il semble également que Tmax Office soit basé sur OpenOffice.org. On peut craindre que Tmax ne respecte pas les licences et que les modifications des logiciels libres ne soient pas redistribuées à la communauté. La licence n'est pas indiquée, mais il s'agit certainement de logiciels propriétaires.
On peut aussi se demander comment Microsoft va réagir : Tmax Window se positionne comme un concurrent direct à Microsoft Windows. On peut déjà s'attendre à une attaque de Microsoft sur le nom « Tmax Window », proche du nom « Microsoft Windows » (voir l'« affaire Lindows »).
Affaire à suivre.
NdM : faisant couler beaucoup d'encre, cette information est à prendre avec des pincettes.
Alors que des projets comme ReactOS et Wine travaillent depuis des années (1993 pour Wine, 1998 pour ReactOS) sur la compatibilité binaire avec l'API win32, on peut se demander comment TmaxCore a réussi si brillamment à résoudre ce problème si rapidement (Tmax Window est développé depuis 4 ans).
Bien que Tmax indique clairement que leur navigateur web soit basé sur WebKit, Tmax Scoutor est présenté comme étant un logiciel original. L'excellent support des standards du web (test Acid3) est par exemple attribué à Tmax Scoutor, alors que tout le mérite revient à WebKit. Il semble également que Tmax Office soit basé sur OpenOffice.org. On peut craindre que Tmax ne respecte pas les licences et que les modifications des logiciels libres ne soient pas redistribuées à la communauté. La licence n'est pas indiquée, mais il s'agit certainement de logiciels propriétaires.
On peut aussi se demander comment Microsoft va réagir : Tmax Window se positionne comme un concurrent direct à Microsoft Windows. On peut déjà s'attendre à une attaque de Microsoft sur le nom « Tmax Window », proche du nom « Microsoft Windows » (voir l'« affaire Lindows »).
Affaire à suivre.
NdM : faisant couler beaucoup d'encre, cette information est à prendre avec des pincettes.
Nouvelle version de Mozilla Lightning et SOGo
Inverse, société spécialisée en développement et déploiement de logiciels libres, annonce la sortie de la version 1.0.3 de Scalable OpenGroupware.org (SOGo) ainsi que la sortie de Lightning v0.9.5 "Inverse Edition".
Créé en 2004, SOGo est un serveur collecticiel (partage d'agendas, carnets d'adresses et courriels) dont l'architecture est axée sur l'extensibilité de façon à permettre son utilisation simultanée par des milliers d'utilisateurs. SOGo fournit une riche interface Web basée sur la technologie AJAX, offrant des fonctionnalités, une apparence et une expérience utilisateur proches de celles de Thunderbird / Lightning, tout en supportant également plusieurs clients lourds par l'utilisation de protocoles ouverts tels CalDAV, CardDAV et GroupDAV. De plus, SOGo conserve les données des utilisateurs dans des formats standards tels que vCard et iCalendar.
La version 1.0.3 possède de nombreuses améliorations comme la composition de courriels en HTML, le drag and drop et le support du protocole WebDAV sync. Ce dernier permet d'effectuer, très rapidement, des synchronisations DAV en récupérant seulement les changements associés à un jeton donné.
Inverse annonce aussi la sortie du Mozilla Lightning "Inverse Edition" v0.9.5. Cette version, destinée à Mozilla Thunderbird 2, propose un ensemble de correctifs et améliorations par rapport à la dernière version stable disponible pour Thunderbird 2, soit la version 0.9.
Le tout est disponible sur le site officiel du projet SOGo.
Créé en 2004, SOGo est un serveur collecticiel (partage d'agendas, carnets d'adresses et courriels) dont l'architecture est axée sur l'extensibilité de façon à permettre son utilisation simultanée par des milliers d'utilisateurs. SOGo fournit une riche interface Web basée sur la technologie AJAX, offrant des fonctionnalités, une apparence et une expérience utilisateur proches de celles de Thunderbird / Lightning, tout en supportant également plusieurs clients lourds par l'utilisation de protocoles ouverts tels CalDAV, CardDAV et GroupDAV. De plus, SOGo conserve les données des utilisateurs dans des formats standards tels que vCard et iCalendar.
La version 1.0.3 possède de nombreuses améliorations comme la composition de courriels en HTML, le drag and drop et le support du protocole WebDAV sync. Ce dernier permet d'effectuer, très rapidement, des synchronisations DAV en récupérant seulement les changements associés à un jeton donné.
Inverse annonce aussi la sortie du Mozilla Lightning "Inverse Edition" v0.9.5. Cette version, destinée à Mozilla Thunderbird 2, propose un ensemble de correctifs et améliorations par rapport à la dernière version stable disponible pour Thunderbird 2, soit la version 0.9.
Le tout est disponible sur le site officiel du projet SOGo.
Sortie d'OpenNMS Sans Effort (OSE) 1.0
OSE (OpenNMS Sans Effort) est une distribution Linux basé sur CentOS qui installe et configure automatiquement le logiciel de supervision OpenNMS. Cette distribution est équivalente à FAN pour Nagios.
Pour rappel, OpenNMS est une solution de supervision réseau écrite en Java dont les principales fonctions sont les suivantes :
Pour rappel, OpenNMS est une solution de supervision réseau écrite en Java dont les principales fonctions sont les suivantes :
- Découverte d'équipements et de services,
- Suivi de disponibilité de ces équipements et services,
- Collecte de données (SNMP, HTTP, JMX) et présentation graphique de ces données (RRD, jrb),
- Traitement d'événements (traps SNMP, syslog) et des alarmes,
- Corrélation d'événements (drools) et enfin rapport.
- Décodage des MIBs SNMP grâce à l'outil mib2opennms
Brèves libres
Je vous propose quelques actualités relevées ces derniers jours. Celles-ci sont rangées par thèmes :
- Systèmes d'exploitation : ReactOS 0.3.9 et Contiki 2.3
- Distributions : Debian 5.0r2, YDL 6.2, PCLOS 2009.2, Slackware 13.0 RC1
- Logiciels : KDE 4.3 RC1, KVM 87, VirtualBox 3.0
- Technologies : articles OpenGL 3.x, MILEPOST 4.4.0
Le language de programmation ooc sorti en version 0.2
Aujourd'hui est sorti la version 0.2 du langage de programmation ooc.
ooc est un langage de programmation libre, orienté objet, compilé, et portable. Il se veut léger, rapide, pratique et surtout libre !
Un des buts d'ooc est de combiner les avantages de langages de haut niveau comme Java ou C# avec la rapidité du C. Pour ce faire, les fichiers sources .ooc sont traduits en C, puis compilés avec GCC, ICC (Intel), ou n'importe quel compilateur C99.
ooc est orienté objet, profite du ramasse-miettes conservatif Boehm (garbage collector), organise les classes en paquetages, gère automatiquement les dépendances et toutes les bibliothèques C sont utilisables nativement.
ooc est un langage de programmation libre, orienté objet, compilé, et portable. Il se veut léger, rapide, pratique et surtout libre !
Un des buts d'ooc est de combiner les avantages de langages de haut niveau comme Java ou C# avec la rapidité du C. Pour ce faire, les fichiers sources .ooc sont traduits en C, puis compilés avec GCC, ICC (Intel), ou n'importe quel compilateur C99.
ooc est orienté objet, profite du ramasse-miettes conservatif Boehm (garbage collector), organise les classes en paquetages, gère automatiquement les dépendances et toutes les bibliothèques C sont utilisables nativement.
Sortie d'Eclipse 3.5 - Galileo
Depuis maintenant quelques années Eclipse réalise une sortie simultanée courant juin. La publication de 2009 : "Galileo" viens tout juste d'être rendue publique.
Galileo c'est plus d'une trentaine de projets qui collaborent durant un an pour livrer leur version majeure de manière simultanée, Galileo couvre ainsi de nombreux domaines qui vont de l'embarqué, aux applications web JEE et PHP, en passant par le "business reporting", la modélisation, le développement C, l'accessibilité, la gestion des données ou encore la collaboration.
Galileo c'est plus d'une trentaine de projets qui collaborent durant un an pour livrer leur version majeure de manière simultanée, Galileo couvre ainsi de nombreux domaines qui vont de l'embarqué, aux applications web JEE et PHP, en passant par le "business reporting", la modélisation, le développement C, l'accessibilité, la gestion des données ou encore la collaboration.
Le classement Top 500 de juin 2009 est disponible
Le trente-troisième Top 500 des supercalculateurs mondiaux est sorti aujourd'hui à l'occasion de l'International Supercomputing Conference (ISC'09) qui a lieu à Hambourg en Allemagne.
L'ordinateur Roadrunner, déjà tenant du titre depuis deux éditions, continue de dominer le classement. Rappelons que cette machine fonctionne avec une version modifiée de la distribution Linux Fedora. En terme de puissance agrégée le total se monte maintenant à 22,6 pétaflops (contre 16,95 il y a six mois et 11,7 pétaflops il y a à peine un an).
Enfin si vous voulez que votre dernier joujou puisse s'ébattre dans la cour des grands il vous faudra atteindre la respectable puissance minimum de 17,1 téraflops pour postuler à la cinq-centième place (12,64 lors du dernier classement).
L'ordinateur Roadrunner, déjà tenant du titre depuis deux éditions, continue de dominer le classement. Rappelons que cette machine fonctionne avec une version modifiée de la distribution Linux Fedora. En terme de puissance agrégée le total se monte maintenant à 22,6 pétaflops (contre 16,95 il y a six mois et 11,7 pétaflops il y a à peine un an).
Enfin si vous voulez que votre dernier joujou puisse s'ébattre dans la cour des grands il vous faudra atteindre la respectable puissance minimum de 17,1 téraflops pour postuler à la cinq-centième place (12,64 lors du dernier classement).
OpenNMS passe en version 1.7.4
La nouvelle version instable (bien que tout à fait utilisable) d'OpenNMS est sortie.
OpenNMS est une solution de supervision réseau écrite en Java qui prend en charge la plupart des activités liées à ce domaine d'application : découverte d'équipements et de services, suivi de disponibilité de ces équipements et services, collecte de données (SNMP, HTTP, JMX) et présentation graphique de ces données (RRD, jrb), traitement d'événements (traps SNMP, syslog), alarmes, corrélation d'événements (drools) et enfin rapport.
OpenNMS possède une branche stable 1.6 (1.6.5) et une branche instable 1.7 (1.7.4). Instable mais pas inutilisable : les nouveautés de la dernière version portent sur l'intégration d'un éditeur de cartes SVG utilisable sous Firefox, la mise en œuvre de nouvelles méthodes de découvertes d'équipements ou de services, l'intégration avec RANCID, l'inter-opérabilité avec de nombreux outils de gestion de tickets de dérangement/maintenance (OTRS…).
Enfin et surtout, OpenNMS est réellement libre : il ne repose pas sur une "version entreprise" comme le font (malheureusement) de plus en plus de pseudo "logiciels ouverts" (à moins qu'il ne faille dire "logiciels pseudo ouverts").
D'ailleurs le meneur du projet et principal investisseur (Tarus Balog) aime à souligner cet engagement vers le libre
NdM: OpenNMS est distribué sous Licence GPL v2. Des paquets sont disponibles pour les distributions à base de RedHat (yum), Mandriva (urpmi), Debian (apt-get) ainsi que pour Mac OS X et Microsoft Windows.
OpenNMS est une solution de supervision réseau écrite en Java qui prend en charge la plupart des activités liées à ce domaine d'application : découverte d'équipements et de services, suivi de disponibilité de ces équipements et services, collecte de données (SNMP, HTTP, JMX) et présentation graphique de ces données (RRD, jrb), traitement d'événements (traps SNMP, syslog), alarmes, corrélation d'événements (drools) et enfin rapport.
OpenNMS possède une branche stable 1.6 (1.6.5) et une branche instable 1.7 (1.7.4). Instable mais pas inutilisable : les nouveautés de la dernière version portent sur l'intégration d'un éditeur de cartes SVG utilisable sous Firefox, la mise en œuvre de nouvelles méthodes de découvertes d'équipements ou de services, l'intégration avec RANCID, l'inter-opérabilité avec de nombreux outils de gestion de tickets de dérangement/maintenance (OTRS…).
Enfin et surtout, OpenNMS est réellement libre : il ne repose pas sur une "version entreprise" comme le font (malheureusement) de plus en plus de pseudo "logiciels ouverts" (à moins qu'il ne faille dire "logiciels pseudo ouverts").
D'ailleurs le meneur du projet et principal investisseur (Tarus Balog) aime à souligner cet engagement vers le libre
- en explicitant son "business model" dans son blog ;
- en usant ou abusant de termes spécifiques ("opencore", "fauxpensource") dans ce même blog ;
- en affichant le logo de la FSF sur son site commercial.
NdM: OpenNMS est distribué sous Licence GPL v2. Des paquets sont disponibles pour les distributions à base de RedHat (yum), Mandriva (urpmi), Debian (apt-get) ainsi que pour Mac OS X et Microsoft Windows.
Le Référentiel Général d'Interopérabilité enfin publié, mais...
Le Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI) vient d'être officiellement publié. S'il contient des points très positifs, il montre aussi de très nombreuses et sévères régressions par rapport aux versions antérieures. En particulier, à part une dizaine de règles triviales, le RGI n'impose plus rien : aucune norme, ni aucun standard n’est interdit, ni déconseillé (page 7/119), contrairement à l'ancienne version (page 6/105) où l'on avait une graduation de quatre niveaux allant d'obligatoire à interdit.
L'un des points les plus attendu est le statut des formats ODF et Open XML. On le trouve page 61 où l'on peut lire :
... il est RECOMMANDÉ d’utiliser un format de document basé sur le langage XML et dont les spécifications sont normalisées par l'ISO.
... Le format Office Open XML est un format bureautique basé sur XML. Il supporte nativement une partie des formats binaires bureautiques existants. Il n’existe pas à ce jour d'implémentation de cette norme.
Ceci est fort différent de l'ancienne version : Il est INTERDIT de faire une migration depuis le format bureautique couramment utilisé par une organisation, vers un format autre que le format ouvert Open Document..
On pourra retenir à l'actif de ce document l'avant propos sur l'interopérabilté bien qu'il soit en retrait par rapport à la définition de Wikipedia. Toujours dans les bons points, à la fin de l'avant-propos, on évoque une convergence avec l'IEF (European Interoperability Framework) dont le but est d'obtenir l'interopérabilité des systèmes d'information européens.
Il existe quelques règles triviales qui reviennent à enfoncer des portes ouvertes. Elles imposent les protocoles internet universellement adoptés : courrier (SMTP, MIME, POP3 ou IMAP pages 75-77), annuaire LDAP, IPv4.NTP, HTTP... Enfin, on pourra remarquer que Vorbis et Flac ne sont pas (encore) recommandés, que Zip est le seul format de compression connu et que le XML est recommandé en laissant dans le flou la structure de son contenu.
Pour terminer, on pourra regretter que la rédaction du RGI ne soit plus assurée par des fonctionnaires compétents mais sous-traitée, ce qui revient aussi à sous-traiter les compétences.
L'un des points les plus attendu est le statut des formats ODF et Open XML. On le trouve page 61 où l'on peut lire :
... il est RECOMMANDÉ d’utiliser un format de document basé sur le langage XML et dont les spécifications sont normalisées par l'ISO.
... Le format Office Open XML est un format bureautique basé sur XML. Il supporte nativement une partie des formats binaires bureautiques existants. Il n’existe pas à ce jour d'implémentation de cette norme.
Ceci est fort différent de l'ancienne version : Il est INTERDIT de faire une migration depuis le format bureautique couramment utilisé par une organisation, vers un format autre que le format ouvert Open Document..
On pourra retenir à l'actif de ce document l'avant propos sur l'interopérabilté bien qu'il soit en retrait par rapport à la définition de Wikipedia. Toujours dans les bons points, à la fin de l'avant-propos, on évoque une convergence avec l'IEF (European Interoperability Framework) dont le but est d'obtenir l'interopérabilité des systèmes d'information européens.
Il existe quelques règles triviales qui reviennent à enfoncer des portes ouvertes. Elles imposent les protocoles internet universellement adoptés : courrier (SMTP, MIME, POP3 ou IMAP pages 75-77), annuaire LDAP, IPv4.NTP, HTTP... Enfin, on pourra remarquer que Vorbis et Flac ne sont pas (encore) recommandés, que Zip est le seul format de compression connu et que le XML est recommandé en laissant dans le flou la structure de son contenu.
Pour terminer, on pourra regretter que la rédaction du RGI ne soit plus assurée par des fonctionnaires compétents mais sous-traitée, ce qui revient aussi à sous-traiter les compétences.
Appel à Projets "Web 2.0": une opportunité pour le logiciel libre
Le gouvernement a lancé il y a une semaine un appel à projet sur les thèmes du "web 2.0" et du "serious gaming", avec un budget de 30 millions d’Euros.
Il s’agit de sujets qui s’insèrent parfaitement dans les thématiques du Pôle de Compétitivité System@tic, avec un avantage intéressant donné au logiciel libre, puisque parmi les critères de sélection, on trouve :
De plus, on peut remarquer que le thème du “web innovant” (web 2.0 et 3.0) entre complètement dans les thématiques prioritaires du Groupe Thématique sur le Logiciel Libre, puisque celui-ci a reçu pour mission de traiter des domaines comme :
Cet appel à projet se fait selon un calendrier très serré (il reste juste un mois pour rendre les dossier).
Si vous avez des idées de projets qui entrent dans le cadre défini dans l’appel à projet, et dans le mesure où les projets collaboratifs ont l’air d’être privilégiés, System@tic organise une séance d’émergence de projets vendredi prochain à Paris.
Cette séance est ouverte aux acteurs qui sont susceptibles de participer à l’appel à projet.
Il s’agit de sujets qui s’insèrent parfaitement dans les thématiques du Pôle de Compétitivité System@tic, avec un avantage intéressant donné au logiciel libre, puisque parmi les critères de sélection, on trouve :
- l’ouverture de l’application ou du service notamment par le biais d'APIs,
- respect des standards existants,
- ou [la] diffusion du code en open source, pour garantir une diffusion aussi large que possible.
De plus, on peut remarquer que le thème du “web innovant” (web 2.0 et 3.0) entre complètement dans les thématiques prioritaires du Groupe Thématique sur le Logiciel Libre, puisque celui-ci a reçu pour mission de traiter des domaines comme :
- les CMS,
- l’ensemble des outils bureautiques, y compris les outils linguistiques les composant,
- le “bureau sémantique”,
- les outils pour l’infrastructure collaborative distribuée, comme le Web 2.0, les réseaux sociaux et peer to peer
Cet appel à projet se fait selon un calendrier très serré (il reste juste un mois pour rendre les dossier).
Si vous avez des idées de projets qui entrent dans le cadre défini dans l’appel à projet, et dans le mesure où les projets collaboratifs ont l’air d’être privilégiés, System@tic organise une séance d’émergence de projets vendredi prochain à Paris.
Cette séance est ouverte aux acteurs qui sont susceptibles de participer à l’appel à projet.
OpenDay Zimbra le 26 mai 2009 à Paris - Messagerie et Travail Collaboratif
Le 26 mai 2009, découvrez la solution de messagerie et de groupware Zimbra. Cette solution OpenSource propose une messagerie collaborative nouvelle génération.
Lieu: La Cantine, 151 rue Montmartre, Passage des Panoramas 75002 Paris
Après une présentation des solutions de messagerie et de groupware OpenSource du marché, nous vous inviterons à découvrir le logiciel Zimbra et l’ensemble de ses fonctionnalités.
Lieu: La Cantine, 151 rue Montmartre, Passage des Panoramas 75002 Paris
Après une présentation des solutions de messagerie et de groupware OpenSource du marché, nous vous inviterons à découvrir le logiciel Zimbra et l’ensemble de ses fonctionnalités.
Ulteo sort la version 1.0 de son bureau à distance
Ulteo, le projet créé par Gael Duval (créateur de Mandrake/Mandriva), sort la version 1.0 de Ulteo Open Virtual Desktop, qui est, rappelons le, sous licence GPLv2.
Le système « Open Virtual Desktop » a été conçu pour délivrer un bureau complet avec des applications pour Linux et Windows, et ceci uniquement dans un navigateur web, ce qui simplifie les déploiements et les mises à jour sur le poste client. Les applications Linux tournent alors sur un serveur d'application Ulteo et les applications Windows sur un serveur Windows avec Terminal Services. Ces services sont à destination des collaborateurs travaillant au sein d'une organisation, sur un même réseau local.
Quelques fonctionnalités intéressantes :
La liste des caractéristiques avec des captures d'écran permet de se faire une idée plus précise. En outre, la solution est très ouverte puisqu'elle peut s'intégrer dans un environnement déjà existant, avec des annuaires Active Directory ou LDAP, et des serveurs de fichiers SMB/CIFS par exemple. L'Open Virtual Desktop propose également une interface d'administration qui semble assez complète, avec du monitoring de serveur et du reporting.
NdM : merci à getupstandup1 pour avoir également proposé une news sur ce sujet.
Le système « Open Virtual Desktop » a été conçu pour délivrer un bureau complet avec des applications pour Linux et Windows, et ceci uniquement dans un navigateur web, ce qui simplifie les déploiements et les mises à jour sur le poste client. Les applications Linux tournent alors sur un serveur d'application Ulteo et les applications Windows sur un serveur Windows avec Terminal Services. Ces services sont à destination des collaborateurs travaillant au sein d'une organisation, sur un même réseau local.
Quelques fonctionnalités intéressantes :
- Récupération de session / reconnexion ;
- Support de nombreuses langues et claviers ;
- L'installation d'un Ulteo application server et Session Manager sur un serveur est possible en utilisant une image ISO sur DVD ;
- La fonctionnalité SSO (single sign-on) est disponible via API.
La liste des caractéristiques avec des captures d'écran permet de se faire une idée plus précise. En outre, la solution est très ouverte puisqu'elle peut s'intégrer dans un environnement déjà existant, avec des annuaires Active Directory ou LDAP, et des serveurs de fichiers SMB/CIFS par exemple. L'Open Virtual Desktop propose également une interface d'administration qui semble assez complète, avec du monitoring de serveur et du reporting.
NdM : merci à getupstandup1 pour avoir également proposé une news sur ce sujet.