**Concaténer des fichiers avec la commande cat**
Cet article sattarde sur cat la commande que les amoureux dUNIX aiment aimer, et que les ennemis dUNIX aiment détester.
**Gestion des persistances dans Python**
Cet article présente de façon générale plusieurs mécanismes de persistance pour les objets Python, qui sétendent des bases de données relationnelles aux modules « pickle » de Python et au delà.
**Lire des morceaux de « text streams » grâce aux commandes « head » et « tail »**
Cet article présente les commandes head et tail qui peuvent se révéler utiles pour traiter des blocs de données de fichiers statiques ou dynamiques.
slicKer est un tout nouveau projet : un remplacement avantageux du kicker KDE (la barre contenant les lanceurs, les menus, les tâches, l'horloge, les bureaux virtuels, les applets, etc...).
Les trois composants de slicKer (Kards, Slider et TaskBar) peuvent être utilisés indépendamment, tous ensemble, ou avec le kicker actuel. Le tout étant hautement configurable, bien entendu.
Simples et claires, ces licences sont des outils à l'usage des créatifs de tous poils les aidant à diffuser leurs oeuvres comme bon leur semble, selon plusieurs combinaisons de possibilités pour l'usager :
- permission de copier, redistribuer, interpréter, exposer,
- autorisation de commercialiser,
- permission de modification,
- copyleft (les oeuvres dérivées devront être redistribuées avec les mêmes droits cédés aux usagers que l'originelle)
Creative Commons a été créé par Mr Lawrence Lessig, star du droit américain de l'Internet et de l'immatériel, qui regrette une exclusive marchandisation excessive de l'immatériel ces temps-ci.
Tentative de définition :
Un "common" ("commun" en français) est un concept américain traduisant ce qui est forcément partagé et non acquérable exclusivement (du style l'air).
Attention, ces licences sont créées sur la base du droit américain. Sont-elles utilisables partout ailleurs ?
La License Art Libre est une licence Libre copyleft dédiée à l'art, créée sur la base du droit français. Elle tend à être l'alter-ego de la GPL.
Voici la documentation du logiciel Postfix, traduit par mes soins, en français. Pour rappel Postfix est un MTA (Mail Transport Agent), c'est donc un équivalent à Sendmail, Qmail et consort.
Toute correction est bienvenue.
Un article sur zdnet annonce que le gouvernement a décidé d'autoriser les collectivités locales à devenir opérateurs, l'objectif étant de permettre au haut débit d'arriver dans des zones non rentables pour les opérateurs traditionnels.
NB : le communiqué du gouvernement est malheureusement un .doc, mais heureusement OO.org est là
Après avoir été racheté par Novell puis Caldera (devenue SCO), l'excellent DR-DOS vient d'être repris par DeviceLogics (tout le monde s'en débarrasse ?).
Ceux-ci veulent proposer une nouvelle version de DR-DOS améliorée et en ajoutant les fonctionnalités les plus demandées. A ce sujet, ils lancent une consultation sur le site officiel de DR-DOS. La question de la licence n'est pas abordée. Proposons une licence libre, comme l'ont fait déjà bon nombre de contributeurs.
La FSF, après quelques mois d'appel à commentaires sur le brouillon, a mis à jour sa license dédiée à la documentation, la GNU FDL pour Free Documentation License.
Elle comporte toujours la possibilité à l'auteur d'appliquer une section invariante, ce qui classe alors la documentation comme non libre (NdM: au sens Debian).
Certains qui sont en Sarge se demandent, pour diverses raisons, s'il est possible de repasser en Woody. La réponse est oui.
Un article sur DebianPlanet, pointé par le DWN (Nouvelles hebdo. Debian) de cette semaine, vous explique pas à pas comment effectuer cette manoeuvre délicate.
Intéressant donc pour ceux qui veulent revenir en stable pour par exemple avoir un serveur plus sûr.
En Australie, la cour suprème a décidé que, dans le cadre de l'affaire Gutnick VS Dow Jones, lorsqu'une information était diffusée sur Internet, son lieu « officiel » de publication était le pays où on avait lu l'info, et non pas celui d'où elle était partie.
Les répercussions de cette décision peuvent être importantes, car elle risque de faire jurisprudence dans le monde, et elle pourrait être interprétée différemment (voir l'affaire Yahoo par exemple).
Le jury fédéral de San José rejette le DMCA, dans le cadre de l'affaire ElcomSoft.
Après trois jours de délibérations, le jury a innocenté la société ElcomSoft, sociéte russe, d'avoir violé le DMCA. Le jury a blanchi la société des septs accusations portées sur elle, et a, après avoir rendu son verdict, dit que le plaignant n'avait pas pu prouver qu'ElcomSoft avait enfreint la loi.
Note du modérateur : Digital Millennium Copyright Act (DMCA),
une définition non objective
Vous ne savez pas quoi offrir pour Noël cette année encore ? Le CLX, LinuxJournal et LinuxFR vous sauvent la mise !
Pour Noël c'est tout trouvé : offrez un pingouin !
(non, pas forcément un vrai, mais au moins une distrib...)
Note du modérateur : ça va ravir les copines de geek, je n'en doute pas.
Isabelle Falque-Pierrotin, présidente du Forum des Droits sur Internet, a remis la synthèse des débats publics sur ladministration électronique et la protection des données personnelles à Jean-Pierre Delevoye (Ministre de la fonction publique) et Henri Plagnol (Secrétaire dEtat à la réforme de lEtat) le 16 décembre.
En substance, le document dit que :
- La mise en place de ladministration électronique est accueillie favorablement même si le projet de « portail personnalisé » reste encore mal appréhendé par les citoyens.
- Le manque d'équipement et de formation de la majorité des citoyens est à prendre en considération.
- La mise en place dun portail personnalisé ne doit pas être loccasion dinstaurer un identifiant unique.
- Une relation de confiance doit avant tout s'instaurer entre le public et l'administration.
Un document intéressant qui, espérons-le, sera pris en compte par les politiques.
Rebelote...
Selon le CERT et d'après un rapport de Rapid7, de nombreuses version de logiciels SSH possède une faille permettant de lancer des commandes de l'extérieur avec les privilèges de l'utilisateur du processus SSH ou de permettre des attaques par saturation (DOS).
Selon un article vu sur ZDNet, il semblerait que certains vieux CD-ROM soient susceptibles d'exploser, lorsqu'ils sont insérés dans des lecteurs haute vitesse (NDM : 48x et plus).
L'ingénieur suédois, responsable de cette étude, suggère que les lecteurs CD soient renforcés « de coques en aluminium, de ventilateurs spéciaux et de conduits permettant de canaliser les petites particules plastique en cas d'explosion ».
Note du modérateur : va-t-on accuser les distributeurs de CD publicitaires gratuits (fournisseurs d'accès notamment) de fourniture d'armes de 6ème catégorie ?
A force de prêcher la bonne parole, je me suis décidé à écrire un document expliquant pourquoi utiliser un logiciel libre (OpenOffice.org) est mieux qu'un logiciel propriétaire.
Je ne suis pas informaticien donc beaucoup de coquilles il y a.
Je ne pourrai pas répondre aux commentaires mais je répondrai aux mails et aux suggestions/critiques.
Merci.
JN
Note du modérateur : une remarque par rapport au document, les fichiers PDF et RTF peuvent contenir des virus sous certaines conditions.