Petit aperçu de Nix : il y a plusieurs articles sympas ici, la récente revue de Seb95, à cause de laquelle je suis passé sur cette distribution il y a quelques jours (et sachant que visiblement lui n’y est pas resté!, peut-être qu’il me lit haha), ou cette revue plus ancienne, donc j’essaierai de mettre en avant d’autres aspects.
CUDF, ou la résolution de dépendances universelle
Lors du dernier FOSDEM, une conférence sur le sujet de la résolution des dépendances dans les distributions a été faite par Stefano Zacchiroli qui (rien à voir) est devenu DPL Debian depuis.
La plupart des distributions se basent sur un ensemble de paquets (contenant logiciels, bibliothèques, et autres) liés entre eux par différents types de dépendances. Les formats de paquets les plus répandus sont les fichiers deb (Debian et dérivées), et rpm (Red Hat et dérivées). Les outils dpkg et rpm permettent de manipuler les paquets en local. La couche du dessus, qui contient des outils comme apt et yum, permet la résolution des dépendances. L'utilisateur peut donc choisir les paquets qu'il souhaite installer, et les dépendances sont résolues afin que les paquets nécessaires soient installés et que les éventuels paquets en conflit soient supprimés. L'outil de résolution des dépendances a pour seul but de répondre aux besoins de l'utilisateur sans enfreindre les règles de dépendances et de conflits définies. Éventuellement, cet outil peut répondre qu'il n'existe aucune solution au problème posé...
Dans les faits, il existe différents solveurs de dépendances différents entre les distributions, et même au sein de chaque distribution. Dans la plupart cas, il n'existe pas de bonne raison à cet état de fait. Seuls certains domaines spécifiques (par exemple, l'embarqué) peuvent nécessiter un algorithme de résolution différent. Lors de sa conférence intitulée « Cross-distro dependency resolution: reusing solvers among distros », Stefano Zacchiroli, développeur Debian, présente le travail réalisé dans le but de créer un format standard de description des problèmes de résolution de dépendances. Ceci a pour but de pouvoir abstraire ces derniers en omettant les spécificités de chaque distribution (par exemple, transformer les différents niveaux de liens entre les paquets dans Debian : Depends/Recommends/Suggests/Conflicts/Replaces/etc. et la notion de paquets virtuels), et donc de pouvoir travailler sur des solveurs performants et éventuellement utilisés largement par les différentes distributions, en évitant la duplication du travail.
Plus de détails dans la suite de la dépêche
NdM : Merci à Adrien Cunin pour son journal à l'origine de la dépêche.
La plupart des distributions se basent sur un ensemble de paquets (contenant logiciels, bibliothèques, et autres) liés entre eux par différents types de dépendances. Les formats de paquets les plus répandus sont les fichiers deb (Debian et dérivées), et rpm (Red Hat et dérivées). Les outils dpkg et rpm permettent de manipuler les paquets en local. La couche du dessus, qui contient des outils comme apt et yum, permet la résolution des dépendances. L'utilisateur peut donc choisir les paquets qu'il souhaite installer, et les dépendances sont résolues afin que les paquets nécessaires soient installés et que les éventuels paquets en conflit soient supprimés. L'outil de résolution des dépendances a pour seul but de répondre aux besoins de l'utilisateur sans enfreindre les règles de dépendances et de conflits définies. Éventuellement, cet outil peut répondre qu'il n'existe aucune solution au problème posé...
Dans les faits, il existe différents solveurs de dépendances différents entre les distributions, et même au sein de chaque distribution. Dans la plupart cas, il n'existe pas de bonne raison à cet état de fait. Seuls certains domaines spécifiques (par exemple, l'embarqué) peuvent nécessiter un algorithme de résolution différent. Lors de sa conférence intitulée « Cross-distro dependency resolution: reusing solvers among distros », Stefano Zacchiroli, développeur Debian, présente le travail réalisé dans le but de créer un format standard de description des problèmes de résolution de dépendances. Ceci a pour but de pouvoir abstraire ces derniers en omettant les spécificités de chaque distribution (par exemple, transformer les différents niveaux de liens entre les paquets dans Debian : Depends/Recommends/Suggests/Conflicts/Replaces/etc. et la notion de paquets virtuels), et donc de pouvoir travailler sur des solveurs performants et éventuellement utilisés largement par les différentes distributions, en évitant la duplication du travail.
Plus de détails dans la suite de la dépêche
NdM : Merci à Adrien Cunin pour son journal à l'origine de la dépêche.
Piwigo 2.1
Piwigo est un logiciel libre de galerie photo pour le web. Le projet a démarré en 2002 sous le nom de PhpWebGallery. Bâti par d'une communauté active d'utilisateurs et de développeurs, Piwigo dispose de fonctionnalités puissantes pour publier et gérer vos photos.
Piwigo 2.1 introduit des améliorations majeures. Nous avons travaillé pour améliorer l'expérience utilisateur, au niveau de l'administration principalement. Il est plus facile d'ajouter des photos, d'installer des thèmes, de créer ou d'ajouter des tags, de trier des photos, de gérer les plugins, le menu de l'administration a été réorganisé, l'administration est davantage lisible.
Au niveau technique, la création de thèmes est simplifiée grâce à une nouvelle architecture. MySQL n'est plus l'unique moteur de base de données supporté, puisque PostgreSQL et SQLite sont désormais compatibles.
Piwigo 2.1 introduit des améliorations majeures. Nous avons travaillé pour améliorer l'expérience utilisateur, au niveau de l'administration principalement. Il est plus facile d'ajouter des photos, d'installer des thèmes, de créer ou d'ajouter des tags, de trier des photos, de gérer les plugins, le menu de l'administration a été réorganisé, l'administration est davantage lisible.
Au niveau technique, la création de thèmes est simplifiée grâce à une nouvelle architecture. MySQL n'est plus l'unique moteur de base de données supporté, puisque PostgreSQL et SQLite sont désormais compatibles.
Nouveau snapshot de l'installeur Archlinux
La version 2010.05 de l'installeur de la distribution Archlinux vient d'être lâchée dans la nature. Cette distribution appartient au cercle réduit des distributions de type « Rolling Release » ou mises à jour continuelles. Une mise à jour de l'installeur est donc, contrairement à d'autres, une des rares occasions où la communauté fait un peu de marketing.
Archlinux suit le précepte « Keep it Simple », et garde une version des paquets très proche des versions amont. Elle est principalement destinée aux personnes qui n'ont pas peur de la ligne de commande (l'installeur étant d'ailleurs en mode texte), mais qui ne sont pas forcément des experts.
Ceux qui ne sont pas vraiment à l'aise avec la ligne de commande peuvent se tourner vers Chakra, une distribution plus grand public, basée sur Archlinux.
Archlinux suit le précepte « Keep it Simple », et garde une version des paquets très proche des versions amont. Elle est principalement destinée aux personnes qui n'ont pas peur de la ligne de commande (l'installeur étant d'ailleurs en mode texte), mais qui ne sont pas forcément des experts.
Ceux qui ne sont pas vraiment à l'aise avec la ligne de commande peuvent se tourner vers Chakra, une distribution plus grand public, basée sur Archlinux.
Sortie de Val(a)IDE 0.7
J'ai le plaisir de vous annoncer que Val(a)IDE, un environnement de développement intégré (EDI) pour le langage Vala, vient de sortir en version 0.7. Val(a)IDE est écrit en Vala et propose les fonctionnalités suivantes :
Les instructions pour l'installer sont disponibles dans la section Téléchargement du site.
- Coloration syntaxique ;
- Gestion de projets (compilation/exécution) ;
- Support des systèmes de construction externes (make, waf) ;
- Greffons : auto-complètement, navigateur de symboles, gestionnaire de tâches, navigateur de fichiers et recherche avancée.
Les instructions pour l'installer sont disponibles dans la section Téléchargement du site.
Sortie de Django 1.2
Lundi soir est sortie la version 1.2 du framework web Django, écrit en Python. 11 mois après la 1.1, et presque 2 ans après la version 1.0.
Ce framework, basé sur un concept Modèle-Vue-Contrôleur (MVC), est conçu pour le développement rapide et reprend la plupart des grands principes de Python (« Explicit is better than implicit », notamment), ce qui en fait la plate-forme de développement web idéale pour les perfectionnistes sous pression.
De plus en plus de sites utilisent Django (comme par exemple Bitbucket.org) pour sa flexibilité et pour le nombre d'applications Django réutilisables, qui ne cesse de croître.
Je vous propose de découvrir les quelques nouveautés que vous offrent les développeurs Django et toute la communauté.
Ce framework, basé sur un concept Modèle-Vue-Contrôleur (MVC), est conçu pour le développement rapide et reprend la plupart des grands principes de Python (« Explicit is better than implicit », notamment), ce qui en fait la plate-forme de développement web idéale pour les perfectionnistes sous pression.
De plus en plus de sites utilisent Django (comme par exemple Bitbucket.org) pour sa flexibilité et pour le nombre d'applications Django réutilisables, qui ne cesse de croître.
Je vous propose de découvrir les quelques nouveautés que vous offrent les développeurs Django et toute la communauté.
Lancement de la StreamBox Tryphon
La jeune société Tryphon, spécialisée dans les solutions libres à destination des radios, lance sa StreamBox Tryphon : un boîtier prêt à l’emploi, bourré de logiciels libres qui permet créer les streamings d’une radio en quelques clics.
Revue de presse de l'April pour la semaine 19
La revue de presse de l'April est régulièrement éditée par les membres de l'association. Elle couvre l'actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s'agit donc d'une sélection d'articles de presse et non de prises de position de l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
Sommaire de la revue de presse de l'April pour la semaine 19
Sommaire de la revue de presse de l'April pour la semaine 19
- [numerama.com] Plus de 125.000 dollars de dons en quelques jours pour Diaspora, le Facebook libre et ouvert
- [clubic.com] L'absence de Linux sur la PS3 pose problème aux scientifiques américains
- [lemonde.fr] L'Allemagne impose la protection par mot de passe du Wi-Fi
- [lemonde.fr] Téléchargement illégal : Limewire reconnu coupable
- [pcinpact.com] La taxe Copie privée payée par les pro bientôt remise en cause ?
- [numerama.com] Humble Indie Bundle : le respect des joueurs rapporte plus d'1 million de dollars
- [pcinpact.com] Le standard ouvert expurgé de l’agenda numérique européen
- [silicon.fr] La Fondation Linux renforce sa présence en Asie
- [pcinpact.com] Android serait le deuxième OS aux États-Unis devant l'iPhone
- [pcinpact.com] Franck Riester confronté à la Quadrature et aux bugs de l'Hadopi
Sortie de G'MIC 1.3.5
Je suis heureux de vous annoncer la sortie d'une nouvelle version majeure (la 1.3.5.0) de G'MIC (GREYC's Magic Image Converter), un outil de manipulation et de traitement d'images génériques (2D/3D/multi-valuées), développé dans l'équipe IMAGE du laboratoire GREYC (unité CNRS UMR 6072), depuis août 2008. Ce petit logiciel sait traiter les images couleurs « classiques » (8/16 bits par composantes), mais aussi des données plus complexes, comme les images (ou les séquences d'images) volumiques et/ou multispectrales, à type de pixels quelconques (à valeurs flottantes notamment).
NdM : Merci à David Tschumperlé pour son journal transformé en dépêche.
NdM : Merci à David Tschumperlé pour son journal transformé en dépêche.
Minbif 1.0.3 se complaît dans la stabilité
Les six mois qui ont suivi la parution de la première version stable de Minbif ont vu trois versions mineures successives, aboutissant à la 1.0.3, nom de code Minxish Maëlle, publiée ce samedi 15 mai, qui marque l'achèvement de la branche 1.0 en fournissant une version qui, on l'espère, est la plus stable possible.
Minbif est une passerelle IRC vers plus d'une quinzaine de réseaux de messagerie instantanée, se reposant sur libpurple, écrite en C++ et publiée sous licence GPL.
Si les changements depuis la 1.0 (décrits dans la suite de la dépêche) sont principalement des fonctionnalités relativement mineures mais nécessaires, la route vers la 1.1 (prévue d'ici quelques mois) devrait voir arriver de réelles évolutions sur la gestion des contacts et des groupes, ainsi que de la webcam (non ascii-art).
Minbif est une passerelle IRC vers plus d'une quinzaine de réseaux de messagerie instantanée, se reposant sur libpurple, écrite en C++ et publiée sous licence GPL.
Si les changements depuis la 1.0 (décrits dans la suite de la dépêche) sont principalement des fonctionnalités relativement mineures mais nécessaires, la route vers la 1.1 (prévue d'ici quelques mois) devrait voir arriver de réelles évolutions sur la gestion des contacts et des groupes, ainsi que de la webcam (non ascii-art).
OSSIF (Open Source Software Industry Forum) demain à Toulouse
Info de dernière minute : demain mardi 18 mai, l'OSSIF (Open Source Software Industry Forum) se tient à Toulouse. Pour tous ceux qui s'intéressent aux problématiques de l'utilisation des Logiciels Libres dans le monde industriel, l'OSSIF est le lieu où il faut être !
Après une première édition remarquée en particulier pour avoir rassemblé industriels et experts l'an passé, la deuxième mouture de l'OSSIF se veut encore plus pointue. Comme l'an passé cet événement est gratuit, et cette année encore traitera de sujets dont on entend trop peu parler mais pourtant bien réels. Comment des industriels fabriquent des satellites équipés d'un noyau Open Source certifié ? Pourquoi des ingénieurs ont fait le choix de développer un drone en Open Source (hardware et logiciel libre !) ? Jusqu'à quel point les élus de la région toulousaine, ainsi que le pôle Aérospace Valley, soutiennent le développement d'un savoir faire Open Source ?
Organisé en partenariat par la FniLL, la région Midi-Pyrénées et la ville de Toulouse, et avec le soutien de l'État, plusieurs industriels et membres de l'écosystème Open Source ont répondu présent (Airbus, Alcatel, Blackduck, EADS, Linagora, etc.) pour évoquer ces problématiques, assistés de nombreux experts du sujet (économistes, juristes, ...).
Après une première édition remarquée en particulier pour avoir rassemblé industriels et experts l'an passé, la deuxième mouture de l'OSSIF se veut encore plus pointue. Comme l'an passé cet événement est gratuit, et cette année encore traitera de sujets dont on entend trop peu parler mais pourtant bien réels. Comment des industriels fabriquent des satellites équipés d'un noyau Open Source certifié ? Pourquoi des ingénieurs ont fait le choix de développer un drone en Open Source (hardware et logiciel libre !) ? Jusqu'à quel point les élus de la région toulousaine, ainsi que le pôle Aérospace Valley, soutiennent le développement d'un savoir faire Open Source ?
Organisé en partenariat par la FniLL, la région Midi-Pyrénées et la ville de Toulouse, et avec le soutien de l'État, plusieurs industriels et membres de l'écosystème Open Source ont répondu présent (Airbus, Alcatel, Blackduck, EADS, Linagora, etc.) pour évoquer ces problématiques, assistés de nombreux experts du sujet (économistes, juristes, ...).
Ohraimeur V0.5 : Nouveau logiciel Python éditeur de BDD SQLite3
Ohraimeur est une nouvelle application permettant l'édition de base de données SQLite3. Il est publié sous licence GPL.
Cette application est avant tous une console offrant une coloration syntaxique et une autocomplétion permettant de dialoguer interactivement avec le SGBD. Elle propose également des outils pour faciliter l'édition de requêtes :
Cette application est avant tous une console offrant une coloration syntaxique et une autocomplétion permettant de dialoguer interactivement avec le SGBD. Elle propose également des outils pour faciliter l'édition de requêtes :
- Affichage du MLD/R de la base de données ;
- Affichage du code source des tables ;
- Affichage du code source des triggers ;
- Éditeur de tables ;
- Éditeur d'ORM.
Vidéos : « Qu'est-ce qu'Internet ? » Cycle de conférences à Sciences Po par Benjamin Bayart
Les vidéos du cycle de conférences donné par Benjamin Bayart à Sciences Po sur le thème « Qu'est-ce qu'Internet ? » sont disponibles. Vous pouvez dès à présent les visualiser, les télécharger librement et les diffuser. Il est important que la diffusion soit la plus importante considérant la portée pédagogique de ce cycle de conférences. Il est également important de regarder les parties dans l'ordre afin de bien comprendre.
NdM : dans le même style, les vidéos de Pas Sage en Seine sont en train d'arriver.
NdM : dans le même style, les vidéos de Pas Sage en Seine sont en train d'arriver.
Week-end de soutien Toile-libre les 21-22-23 mai
Toile-libre est un hébergeur et opérateur indépendant, ouvert à toutes et à tous, fonctionnant sur un modèle à prix libre.
Aujourd'hui Toile-Libre a besoin de toutes et de tous : nous organisons un week-end de soutien les 21-22-23 mai. Ce sera l'occasion de rencontrer nos membres, d'aider à renflouer les caisse, et d'organiser une assemblée générale extraordinaire.
Aujourd'hui Toile-Libre a besoin de toutes et de tous : nous organisons un week-end de soutien les 21-22-23 mai. Ce sera l'occasion de rencontrer nos membres, d'aider à renflouer les caisse, et d'organiser une assemblée générale extraordinaire.
[FreedroidRPG] traduction, GSoC et nouvelles du projet
Nous signalons ici quelques nouvelles au sujet du jeu de rôle FreedroidRPG, sous licence GPL. Sachez d'abord que le jeu va bénéficier du travail de quatre étudiants pendant l'été 2010, dans le cadre du Google Summer of Code. Ceci garantit que des développements importants vont s'effectuer dans les mois qui viennent, et viendront significativement améliorer la qualité globale du jeu.
Un second point à noter est la reprise de la traduction de FreedroidRPG, comme un projet autonome. Ceci était nécessaire, car les développeurs du jeu ne peuvent à la fois se préoccuper d'une intégration correcte de la traduction et de la gestion et de l'amélioration du moteur, ainsi que des nouveaux bugs apparaissant au cours du développement. Le projet de traduction autonome dispose ainsi d'un mainteneur/intégrateur à long terme, ce qui est important pour sa viabilité.
Finalement, le jeu, dans sa version 0.13, a fait des grands progrès au niveau des performances, de la jouabilité, et nul doute qu'il est devenu un jeu libre d'une certaine envergure. Vous êtes tous invités à participer, en rapportant les bugs, en écrivant de nouvelles quêtes, en améliorant le moteur ou en concevant de nouveaux contenus graphiques. La traduction accueille également très volontiers de nouveaux contributeurs. Pour des informations sur la manière de contribuer au jeu, vous pouvez consulter le wiki de FreedroidRPG dans les sections relatives.
Un second point à noter est la reprise de la traduction de FreedroidRPG, comme un projet autonome. Ceci était nécessaire, car les développeurs du jeu ne peuvent à la fois se préoccuper d'une intégration correcte de la traduction et de la gestion et de l'amélioration du moteur, ainsi que des nouveaux bugs apparaissant au cours du développement. Le projet de traduction autonome dispose ainsi d'un mainteneur/intégrateur à long terme, ce qui est important pour sa viabilité.
Finalement, le jeu, dans sa version 0.13, a fait des grands progrès au niveau des performances, de la jouabilité, et nul doute qu'il est devenu un jeu libre d'une certaine envergure. Vous êtes tous invités à participer, en rapportant les bugs, en écrivant de nouvelles quêtes, en améliorant le moteur ou en concevant de nouveaux contenus graphiques. La traduction accueille également très volontiers de nouveaux contributeurs. Pour des informations sur la manière de contribuer au jeu, vous pouvez consulter le wiki de FreedroidRPG dans les sections relatives.
Rubinius 1.0 est sorti
Rubinius est une implémentation du langage de programmation Ruby, dont le code est placé sous licence BSD. Rubinius permet d'exécuter du code Ruby, mais vise également les objectifs suivants :
D'un point de vue plus technique, Rubinius est écrit majoritairement en Ruby, et pour les parties où ce n'est pas (encore) possible en C++. Il fonctionne avec une machine virtuelle dont le bytecode est transformé en code machine à l'exécution grâce à LLVM et utilise un garbage collector générationnel, précis et compactant. Et pour ceux qui seraient d'humeur taquine, je ne résiste pas à l'envie de mettre un petit lien vers un benchmark. Vous pouvez voir que Rubinius est l'implémentation Ruby la plus rapide, ou du moins, l'était en janvier quand le benchmark a été fait.
Si vous êtes convaincus, vous pouvez installer Rubinius soit en suivant les instructions officielles, soit en utilisant Ruby Version Manager. Je recommande d'utiliser la seconde solution, car RVM vous permet d'installer plusieurs implémentations de Ruby sur la même machine, d'installer des gems pour chacun d'eux et de passer d'une implémentation à l'autre sans problème.
- Rubinius est Threadsafe ;
- Son code est propre, lisible, facile à comprendre et à étendre ;
- Il est fiable et solide (avec l'aide de Valgrind) ;
- Et surtout, il apporte les dernières avancées de la recherche sur les machines virtuelles, les ramasses-miettes et les compilateurs à Ruby.
D'un point de vue plus technique, Rubinius est écrit majoritairement en Ruby, et pour les parties où ce n'est pas (encore) possible en C++. Il fonctionne avec une machine virtuelle dont le bytecode est transformé en code machine à l'exécution grâce à LLVM et utilise un garbage collector générationnel, précis et compactant. Et pour ceux qui seraient d'humeur taquine, je ne résiste pas à l'envie de mettre un petit lien vers un benchmark. Vous pouvez voir que Rubinius est l'implémentation Ruby la plus rapide, ou du moins, l'était en janvier quand le benchmark a été fait.
Si vous êtes convaincus, vous pouvez installer Rubinius soit en suivant les instructions officielles, soit en utilisant Ruby Version Manager. Je recommande d'utiliser la seconde solution, car RVM vous permet d'installer plusieurs implémentations de Ruby sur la même machine, d'installer des gems pour chacun d'eux et de passer d'une implémentation à l'autre sans problème.