Sortie de QElectroTech 0.7

39
20
juil.
2019
Science

Un peu moins d’un an après la dernière version stable de QElectroTech (QET), la version 0.7 est maintenant disponible en téléchargement.

QElectroTech est un logiciel libre multi‐plate‐forme, permettant de réaliser des schémas de circuits électriques. QET est disponible sous licence GNU GPL v2. Le développement du logiciel se fait en C++ et Qt5.

logo QelectroTech

Journées utilisateurs MicMac les 4 et 5 décembre 2018 à Aix‐en‐Provence

Posté par  . Édité par ZeroHeure, Davy Defaud et Benoît Sibaud. Modéré par Pierre Jarillon. Licence CC By‑SA.
Étiquettes :
13
9
nov.
2018
Science

MicMac est un logiciel libre développé par l’Institut géographique national (IGN). Il est conçu par des photogrammètres pour une utilisation scientifique. Il s’articule autour de plusieurs briques logicielles qui sont actionnées les unes après les autres en fonction des besoins du calcul. Cette automatisation des étapes du calcul permet de gérer finement les données produites et est également un excellent outil pédagogique, car il oblige l’utilisateur à maîtriser l’ensemble de la chaîne opératoire.

Il est disponible sous licence CeCILL version B (compatible BSD) sur GNU/Linux, Windows et macOS. On peut également le compiler pour GNU/Linux sur ARM (Rapsberry Pi).

Afin de fédérer la communauté des utilisateurs du logiciel MicMac, nous lançons un événement que nous souhaiterions renouveler chaque année.

Les journées utilisateurs MicMac auront lieu les 4 et 5 décembre à la Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme à Aix‐en‐Provence.

École chercheurs modélisation eX Modelo

Posté par  . Édité par Davy Defaud, ZeroHeure, palm123 et Julien Jorge. Modéré par ZeroHeure. Licence CC By‑SA.
14
4
oct.
2018
Science

eX Modelo est une école de recherche sur l’exploitation des modèles de simulation (analyse de sensibilité, calibration, validation, etc.) qui se tiendra du 23 au 28 juin 2019 dans un cadre champêtre à 1 h de Paris.

Cette école thématique s’adresse aux masters, doctorants, ingénieurs, chercheurs académiques et aux entreprises qui s’intéressent à la modélisation, quel que soit leur domaine scientifique. L’objectif est d’apprendre aux participants à devenir autonomes dans l’exploration de leurs modèles, et ce dans un contexte convivial.

Les cours, les TP et les retours d’expérience seront animés par un réseau de chercheurs qui ont une expertise reconnue dans ces pratiques transdisciplinaires. Pendant cette semaine de formation, vous découvrirez pas à pas des méthodes avancées pour l’exploration des modèles ; vous recevrez un enseignement théorique et vous participerez à des ateliers pratiques en groupe portant sur des cas d’étude adaptés.

La plate‐forme libre OpenMOLE, spécialement dédiée à l’exploration des modèles numériques, sera utilisée tout au long de la semaine pour faciliter la compréhension et la mise en œuvre des cas pratiques.

À vos agendas !

  • soumission des candidatures : avant le 30 novembre 2018 ;
  • sélections des dossiers : 14 décembre 2018 ;
  • paiement avant : le 18 janvier 2019 ;
  • participation à l’école d’été : du 23 au 28 juin 2019.

L’ensemble des informations est disponible sur le site sur https://exmodelo.org/.

Pour toute demande d’information, vous pouvez nous envoyer un courriel à school@exmodelo.org.

À très bientôt !

L’équipe d’organisation


P.‐S. : Pour les curieux, une école thématique baptisée eX Modelo suggère d’aller au‐delà du modèle.

Formaliser les limites de la connaissance, un travail pour le Libre

5
11
avr.
2018
Science

Grâce à l’inventivité l’être humain s’est offert des outils de progrès :

  • garder l’outil au lieu de le jeter ;
  • l’écriture ;
  • le partage des connaissances pour tous avec l’école obligatoire ;
  • la formalisation et la classification des connaissances : le langage (dictionnaire), le savoir (encyclopédie), les espèces, les éléments périodiques ;
  • etc.

Ces outils au concept simpliste, légués par nos ancêtres, sont actuellement indispensables dans notre travail. Par exemple, la classification périodique des éléments est le document de base du chimiste. Dorénavant, c’est à notre tour de léguer de tels outils à nos descendants.

Le projet LibreIdea.org est un site d’inventivité collaborative, sorte d’alternative aux brevets mais à la sauce numérique.

Repenser le paradigme de l’inventivité et de sa protection implique de mieux faire et d’utiliser les avantages que ne possède pas l’ancien modèle. L’un des éléments novateurs (accessoirement aussi l’un des piliers du projet) est de formaliser les limites de la connaissance.

Tutoriel Code_Aster

Posté par  . Édité par Davy Defaud, ZeroHeure, bubar🦥, Benoît Sibaud et palm123. Modéré par Benoît Sibaud. Licence CC By‑SA.
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47
7
jan.
2018
Science

Une fois n’est pas coutume, il pleut en Haute‐Garonne ! Alors j’ai tué le temps jetant un œil à Code_Aster, qui est un code de calcul de structure thermomécanique par la méthode des éléments finis isoparamétriques. Il est développé par EDF sous licence GNU GPL v3. Il permet de faire à peu près tout ce qui est imaginable en mécanique, voir à ce propos la plaquette de présentation (PDF).

logo code_aster

Ce code de calcul est intégré à la suite de logiciels libres Salomé‐Méca, qui contient un préprocesseur, Code_Aster, et un post‐processeur/visionneur pour voir les résultats. Aujourd’hui, nous allons utiliser le code en version autonome (stand alone) et nous utiliserons notre éditeur de texte préféré, gmsh, astk, puis de nouveau gmsh pour voir les résultats de nos calculs.

Recalage d’images, PIV et corrélation d’images — Les logiciels

Posté par  . Édité par Davy Defaud, Benoît Sibaud, ZeroHeure et bubar🦥. Modéré par ZeroHeure. Licence CC By‑SA.
37
1
oct.
2017
Science

Le recalage d’images est utilisé dans la communauté de l’analyse d’images médicales depuis très longtemps (Barnea & Silverman, 1972, Ledbetter et al. 1979), on peut même remonter plus loin dans le temps avec les travaux de Sidney Bertram, 1963 en fournissant tous les outils via des descriptions de circuits analogiques (vraiment impressionnant pour l’époque).

Cette dépêche fait suite à Recalage d’images, PIV et corrélation d’images — Les bases théoriques. Les bases théoriques ayant été présentées dans la dépêche précédente, le lecteur souhaitant comprendre plus en détail le fonctionnement de ces logiciels pourra s’y référer.

Recalage d’images, PIV et corrélation d’images — Les bases théoriques

Posté par  . Édité par ZeroHeure, Davy Defaud, Benoît Sibaud, NeoX et palm123. Modéré par ZeroHeure. Licence CC By‑SA.
62
4
juil.
2017
Science

Le recalage d’images est utilisé dans la communauté de l’analyse d’images médicales depuis très longtemps (Barnea & Silverman, 1972, Ledbetter et al. 1979), on peut même remonter plus loin dans le temps avec les travaux de Sidney Bertram, 1963 en fournissant tous les outils via des descriptions de circuits analogiques (vraiment impressionnant pour l’époque).
En commençant à travailler sur des images issues d’IRM, j’ai été amené à faire une bibliographie sur les outils utilisés dans l’analyse d’images médicales. J’ai constaté que leurs techniques de recalage d’images étaient très similaires à celles utilisées dans les différents domaines de la mécanique. Après beaucoup de bibliographie, je suis parvenu à situer ce qui est fait en mécanique dans les cadres proposés en analyse d’images médicales.

Cette dépêche est l’occasion pour moi de présenter ces techniques dans le détail.


La prochaine dépêche présentera les logiciels utilisés dans les différentes communautés scientifiques.

Signature d’une convention INRIA‐UNESCO autour de Software Heritage

25
4
avr.
2017
Science

Le 3 avril 2017, l’INRIA et l’UNESCO ont acté une convention autour du projet Software Heritage pour assurer la préservation du patrimoine logiciel. La signature a eu lieu en présence d’Irina Bokova, directrice générale de l’UNESCO, de François Hollande, président de la République française et d’Antoine Petit, président directeur général de l’INRIA.

Software Heritage a pour but de collecter, d’archiver et de rendre disponible les codes sources accessibles publiquement (pas forcément des codes sous licence libre donc, mais notamment tous ceux sous licence libre). La plate‐forme Software Heritage a été lancée en juin 2016 (voir ce journal), après un an et demi de développement. Elle contenait alors 22 millions de logiciels. Les objectifs de préservation et de partage de ce patrimoine logiciel mentionnent les aspects culturel, industriel, éducatif, scientifique et de recherche.

Lors d’une conférence au FOSDEM 2017, en février, il était question de plus de 45 millions de logiciels.

Elle contient désormais 55 millions de projets logiciels, avec plus de trois milliards de fichiers source uniques (notamment les projets Debian et GNU, ainsi que GitHub), ce qui en fait la plus grande archive de code de la planète.

Si les projets hébergés ne sont pas tous libres, l’ensemble du code de l’infrastructure est lui développé sous licence libre, via la forge du projet (une instance de phabricator).

Sortie du Topology ToolKit (TTK)

Posté par  (site web personnel) . Édité par ZeroHeure, Davy Defaud, palm123, Nils Ratusznik et patrick_g. Modéré par patrick_g. Licence CC By‑SA.
30
4
avr.
2017
Science

Bonjour à tous,

Nous sommes heureux d’annoncer la sortie du Topology ToolKit (TTK), une bibliothèque libre (licence BSD) pour l’analyse topologique de données en visualisation scientifique.
TTK rend l’analyse topologique de données accessible aux utilisateurs finals grâce à des greffons faciles à utiliser pour la plate‐forme de visualisation ParaView. Grâce à ParaView, TTK prend en charge de nombreux formats de fichiers.

Secondes journées françaises des utilisateurs d’OpenFOAM à Nevers

Posté par  . Édité par Davy Defaud, Benoît Sibaud, Pierre Jarillon et ZeroHeure. Modéré par bubar🦥. Licence CC By‑SA.
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12
25
fév.
2017
Science

Les 21 et 22 mars 2017, à Nevers, auront lieu les secondes Journées françaises des utilisateurs d’OpenFOAM.

OpenFOAM est défini par Wikipédia comme étant une « boîte à outils de simulation multi‐physique principalement axée sur la résolution des équations de la mécanique des fluides », sous licence GPL.

Cet événement a pour objectif de rassembler en France les utilisateurs d’OpenFOAM, mais aussi les personnes simplement intéressées par les applications potentielles du logiciel. Que vous soyez observateur curieux, utilisateur débutant ou confirmé, appartenant au monde de l’industrie, de la recherche ou de l’enseignement, vous êtes tous invités à nous rejoindre pour ces deux journées dont l’objectif est de favoriser les échanges, montrer des exemples de travaux dans des domaines très différents et de faire connaissance.

Nous souhaitons que ces rencontres restent ouvertes et notamment à toute personne qui est intéressée par le logiciel mais qui ne l’utilise pas (ou pas encore). Nous tenterons de répondre à toutes les questions qu’il pourra se poser : Quelles sont les applications d’OpenFOAM ? Quel est son potentiel ? Comment fonctionne le logiciel ? Qui utilise OpenFOAM dans ma thématique de travail ? Comment puis‐je l’utiliser,etc. ?

Les actifs, au boulot !

41
5
déc.
2016
Science

Dans un circuit numérique, il y a toujours une dose d’analogique à l’interface avec le monde extérieur. Les composants discrets, dits actifs, sont à base de transistors et, dans le cadre d’un système numérique, permettent de manipuler la puissance (les signaux forts) ou d’amplifier les signaux faibles des capteurs.

Fondamentalement, il n’y a pas vraiment de différence entre les technologies MOS des microcontrôleurs et celle des transistors de puissance. C’est toujours du MOS. Sauf qu’une des technologies permet de conduire plus de courant, à plus haute tension, tout en dissipant mieux la chaleur.

incompact3d.com fête son premier anniversaire

37
15
oct.
2016
Science

Pour célébrer le premier anniversaire du site incompact3d.com, faisons une brève plongée dans le code de calcul éponyme sous licence libre (GNU GPL) qui a plus de 15 ans ! Il permet de résoudre les équations de Navier‐Stokes incompressibles en 2D/3D et peut exploiter efficacement plus d’un million de cœurs.

Sortie de QGIS 2.16 « Nødebo »

56
7
août
2016
Science

Le projet QGIS a l’immense plaisir de vous annoncer la publication de la version 2.16 de sa suite logicielle de Système d’Information Géographique (SIG) libre.

QGIS est une suite logicielle de traitement de l’information géographique. Elle permet de générer des cartes, d’analyser des données spatiales et de les publier en ligne ou sur papier. Elle permet également de réaliser de nombreux traitements et d’appliquer différents algorithmes sur des données spatiales ou d’autres données liées. En d’autres termes, QGIS est un SIG ou Système d’Information Géographique, conçu pour recueillir, stocker, traiter, analyser, gérer et présenter tous les types de données spatiales et géographiques. C’est un projet officiel de la fondation Open Source Geospatial (OSGeo). Il est disponible sur les systèmes d’exploitation GNU/Linux, Mac OS X, Windows et Android.

La version 2.16, nommée Nødebo, en hommage à la ville danoise éponyme, est disponible depuis le 8 juillet 2016 (pour information, les noms des versions de QGIS sont basés sur les noms des villes qui accueillent les rencontres annuelles des développeurs). Cette version est une version dite courante : elle sera supportée pendant quatre mois. La version LTR (Long Term Release : support à long terme) est la version 2.14 qui, à l’occasion de la sortie de la version courante, récupère un ensemble de corrections, intégrées dans la version 2.14.4. Nødebo sera sans doute la dernière version de la lignée 2.x, car le portage vers la version 3.0 avance correctement.

Dans la suite de la dépêche, un aperçu des nouveautés, issues des 2 447 commits depuis la dernière sortie, vous sera présenté plus en détail, ainsi que les plans actuels pour la future version 3. Pour le public non averti, nous vous invitons à lire le début de la dépêche sur la sortie de QGIS 2.10 pour avoir un petit rappel sur les SIG et sur QGIS…

Bonne lecture !

Sortie de QGIS 2.14 LTR « Essen »

Posté par  (site web personnel) . Édité par Yves Bourguignon, Nils Ratusznik, Benoît Sibaud, palm123, Vincent P et jcr83. Modéré par Pierre Jarillon. Licence CC By‑SA.
Étiquettes :
61
14
avr.
2016
Science

Le projet QGIS a l’immense plaisir de vous annoncer la publication de la version 2.14 de sa suite logicielle de Système d'Information Géographique (SIG) libre.

QGIS est une suite logicielle de traitement de l'information géographique. Elle permet de générer des cartes, d'analyser des données spatiales et de les publier, en ligne ou sur papier. Elle permet également de réaliser de nombreux traitements et algorithmes sur des données spatiales ou d'autres données liées. En d'autres termes, QGIS est un SIG ou Système d'Information Géographique, conçu pour recueillir, stocker, traiter, analyser, gérer et présenter tous les types de données spatiales et géographiques. C'est un projet officiel de la fondation Open Source Geospatial (OSGeo). Il est disponible sur les systèmes d'exploitation GNU/Linux, Mac OS X, Windows et Android.

La version 2.14 nommée « Essen » en hommage à la ville du même nom, est disponible depuis le 1er Mars 2016. Cette version est une "LTR", Long-Term-Release, et sera supportée pendant un an. Il s'agira de l'avant dernière version de la lignée 2.x, car il a été décidé de conserver une dernière version (2.16) qui sera suivie de la version 3.0. Depuis début avril 2016, une version 2.14.1 a été publiée. Elle corrige certains bugs de jeunesse de la version 2.14.

Dans la suite de la dépêche, un aperçu des nouveautés vous sera présenté plus en détails, ainsi que les plans actuels pour la future version 3. Pour le public non averti, nous vous invitons à lire le début de la dépêche sur la sortie de QGIS 2.10 pour avoir un petit rappel sur les SIG et sur QGIS…

QElectrotech 0.5 pour vos schémas électriques

42
28
nov.
2015
Science

Un peu moins d'un an après la dernière version stable de QElectroTech (QET), la version 0.5 est maintenant disponible en téléchargement.

Pour rappel, QElectrotech est un logiciel libre multi‐plate‐forme, permettant de réaliser des schémas de circuits électriques. QET est disponible sous licence GNU GPL. Le développement du logiciel se fait en C++ avec maintenant la bibliothèque Qt 5.

Pymecavideo fait peau neuve avec sa version 6.3

35
20
nov.
2015
Science

Pymecavidéo est un logiciel de pointage de vidéo permettant l’analyse mécanique des mouvements. Il peut lire un très grand nombre de formats vidéos (HD compris) sans prérequis de traitements (encodage) le rendant très utile dans le cadre de séances d’analyse mécanique de mouvements.
Il est basé sur Python/Qt4 et OpenCV. Il est sous GPL v3, est multi‐plate‐forme (GNU/Linux et Windows pour le moment. Si un contributeur Mac OS X veut nous rejoindre…).

Nouveautés de cette version :

  • encore plus de formats vidéos pris en charge ;
  • gestion des vidéos HD (provenant des smartphones par exemple) ;
  • amélioration de la détection automatique ;
  • compatible ECE (Évaluation des Compétences Expérimentales) ;
  • possibilité de faire un pointage sans nécessiter d’échelle préalable (pour l’étude de la relativité des mouvements par exemple)
  • enregistrement d’une chronophotographie à partir d’une vidéo.

Et toujours :

  • exclusif : possibilité de recréer la trajectoire d’un point dans le référentiel d’un autre point ;
  • disponibilité en trois langues (français, anglais et espagnol).

NdM : la dépêche contenant de multiples références au système éducatif français, nous avons ajouté des liens explicatifs pour nos autres lecteurs francophones qui ne seraient pas familiers avec.

Sortie de QGIS 2.12 "Lyon"

Posté par  (site web personnel) . Édité par ZeroHeure, palm123, bubar🦥 et Nÿco. Modéré par ZeroHeure. Licence CC By‑SA.
Étiquettes :
39
30
oct.
2015
Science

QGIS est une suite logicielle de traitement de l'information géographique. Elle permet de générer des cartes, d'analyser des données spatiales et de les publier, en ligne ou sur papier. Elle permet également de réaliser de nombreux traitements et algorithmes sur des données spatiales ou d'autres données liées. En d'autres termes, QGIS est un SIG ou Système d'Information Géographique, conçu pour recueillir, stocker, traiter, analyser, gérer et présenter tous les types de données spatiales et géographiques.

La version 2.12 nommée « Lyon » en hommage à la ville du même nom, est disponible depuis le 26 octobre 2015.

QGis Lyon

Dans la suite de la dépêche, un aperçu des nouveautés vous sera présenté plus en détails ainsi qu'une esquisse des développements à venir. Pour le public non averti, je vous invite à lire le début de la dépêche sur la sortie de QGIS 2.10 pour avoir un petit rappel sur les SIG et sur QGIS…

LibreIdea.org fête son premier anniversaire

Posté par  . Édité par Benoît Sibaud et ZeroHeure. Modéré par claudex. Licence CC By‑SA.
10
25
oct.
2015
Science

Le projet LibreIdea.org a été lancé en octobre 2014 et se veut être une boite à idées (avec un code libre et une instance de base ayant vocation à diffuser le contenu sous CC By Sa 3.0).

À l'occasion de la première année du projet, le collectif LibreIdea.org en profite pour présenter l'évolution du projet et résumer les actions accomplies grâce à vous.

Nos actions ont pour but d'accompagner l'évolution de la plate-forme, de communiquer et de créer (ou d'améliorer) les outils existants.

Pour nous assister dans la création d'idées, nous développons des COCI (Création d'Outils pour la Création d'Idées). Depuis septembre 2015, un développeur Haskell développe un COCI, qui passera prochainement en phase de test Collaborative keywords mixing.

NdM : au 25/10/2015 le site annonce 223 idées, plus ou moins abouties ou détaillées.

OpenMOLE 5: Interface web et Market Place

Posté par  . Édité par Benoît Sibaud, bubar🦥 et tuiu pol. Modéré par ZeroHeure. Licence CC By‑SA.
19
25
sept.
2015
Science

La version 5 d'OpenMOLE - surnommé Loving Lobster (homard aimant) - vient d'être publiée. Pour mémoire OpenMOLE est un logiciel permettant de distribuer des explorations d'espaces de paramètres, de listes de fichiers, d'algorithme d'optimisation, d'analyse de sensibilité… sur des environnements de calcul type serveurs multi-processeurs, fermes et grilles de calcul. Il permet d’intégrer facilement votre code exécutable quelque soit le langage (C++, R, Python, Java, NetLogo…) et déporte son exécution de manière entièrement transparente, sans aucune installation préalable du coté de l'environnement d'exécution. Il permet de concevoir des workflows de calcul à très grande échelle générant des millions de jobs et des centaines de Go de données.

Voir les changements depuis la version 4 en seconde partie de dépêche.

Nous donnons régulièrement des formations ouvertes au public d'OpenMOLE à l'Institut des Systèmes Complexes à Paris. La prochaine aura lieu courant octobre, elle sera annoncée très prochainement.

Prix Ig Nobel de 2015

Posté par  (site web personnel) . Modéré par tuiu pol. Licence CC By‑SA.
Étiquettes :
42
22
sept.
2015
Science

Les prix Ig Nobel (jeu de mot sur ignoble et Nobel) 2015 ont été attribués le 17 septembre dernier. Rappelons qu’ils récompensent des publications ou des travaux scientifiques qui font des recherches inusuelles et imaginatives. Les vainqueurs ont tous fait des choses qui ont d’abord fait rire, puis réfléchir les gens.

Liste des prix 2015 :

  • chimie : une recette pour partiellement dé-bouillir des œufs ;
  • physique : le test du principe biologique que quasi tous les mammifères vident leur vessie en 21s (à plus ou moins 13s près) ;
  • littérature : le mot « hein ? » (ou son équivalent, huh? en anglais par exemple) existe dans toutes les langues, et on ne sait pas exactement pourquoi ;
  • management : beaucoup de décideurs économiques ont développé dans leur enfance une affinité pour la prise de risque, en étant confronté à des catastrophes naturelles n'ayant pas eu de conséquences personnelles pour eux ;
  • économie : la police de Bangkok (Thaïlande) pour avoir offert plus d'argent aux policiers qui refusent les pot-de-vins ;
  • médecine : les bénéfices ou conséquences biomédicales des baisers intenses (et autres activités interpersonnelles intimes) ;
  • mathématiques : l'utilisation de techniques mathématiques pour déterminer si et comment Moulay Ismaïl ben Chérif, sultan du Maroc de 1697 à 1727, aurait engendré 888 enfants ;
  • biologie : attacher un bâton lesté à l'arrière des poulets (queue artificielle) les fait marcher de la façon dont on pense que les dinosaures marchaient ;
  • diagnostic médical : les appendicites aiguës peuvent être diagnostiquées avec précision via la douleur ressentie par le patient lors du passage sur des dos d'âne ;
  • physiologie et entomologie : la création de l'index Schmidt de pénibilité des piqûres d'hyménoptères, en se faisant piquer à 25 endroits différents du corps pour connaître les endroits les moins et les plus douloureux.

Sortie de QGIS 2.10 « Pisa »

69
28
juil.
2015
Science

Le projet QGIS a l’immense plaisir de vous annoncer la publication de la version 2.10 de sa suite logicielle de Système d'Information Géographique (SIG) libre.

QGIS est un SIG convivial distribué sous licence publique générale GNU. C'est un projet officiel de la fondation Open Source Geospatial (OSGeo). Il est disponible sur les systèmes d'exploitation GNU/Linux, Mac OS X, Windows et Android et intègre de nombreux formats vecteur, raster, base de données et fonctionnalités.

QGIS est développé en C++ avec la bibliothèque Qt (en version 4 pour le moment). Son architecture lui permet également d'utiliser des extensions codées en Python (version 2) et la très grande majorité des classes du cadriciel de QGIS sont disponibles sous Python.

QGIS est une des applications majeures qui utilisent Qt. Actuellement, l'arborescence des sources (tout confondu) occupe près de 350 Mo. Les contributeurs recensés sur GitHub sont au nombre de 159.

Même s'il reste un logiciel libre, QGIS assure en grande partie le financement de son développement via des sponsors divers qui vont d'entreprises ayant besoin de SIG comme des compagnies aériennes à des organisations gouvernementales (y compris le gouvernement français) en passant par des universités et également des particuliers.

Par ailleurs QGIS s'interface avec de nombreux autres logiciels, que ce soit des bases de données spatiales comme PostgreSQL/PostGIS ou Oracle Spatial, mais également avec un grand nombre de logiciels de SIG libres comme GRASS, SAGA ou encore Orfeo.

Dans la suite de la dépêche, un aperçu des nouveautés vous sera présenté plus en détails ainsi qu'une esquisse des développements à venir. Pour le public non averti, la suite de la dépêche offre également un petit focus sur les SIG et sur QGIS…

Note : le nom du projet est bien QGIS en majuscules et non Quantum GIS ou QGis.

Sortie de Coq 8.5 bêta, un assistant de preuve formelle

98
28
jan.
2015
Science

L'assistant de preuve Coq, deux fois primé l'année dernière, vient de sortir en version 8.5 bêta. Attendue depuis plus d'un an déjà, on trouvera au menu de cette version un nombre certain de changements en profondeur.

Coq est un assistant de preuve sous licence LGPL 2.1, développé entre autres à l'INRIA. Issu des travaux sur la correspondance de Curry-Howard, Coq peut être vu aussi bien comme un langage de programmation que comme un système de preuves mathématiques. Il est, de fait, employé par les deux communautés. Parmi les développements en Coq, on peut citer par exemple le compilateur C certifié CompCert sur le versant informatique et la preuve du Théorème de Feit et Thompson sur le versant mathématique. Plus récemment, une des failles d'OpenSSL a été découverte grâce à Coq[0] . Il est aussi de plus en plus utilisé comme système interactif pour l'apprentissage de la logique dans l'enseignement supérieur.

On rappellera dans le reste de la dépêche les grands principes qui sous-tendent Coq, ce qu'il est, ce qu'il n'est pas, puis on détaillera les changements introduits dans cette version.

Kst, outil de tracés graphiques convivial et puissant

Posté par  . Édité par Davy Defaud, Nils Ratusznik, ZeroHeure et Benoît Sibaud. Modéré par ZeroHeure. Licence CC By‑SA.
Étiquettes :
44
19
nov.
2014
Science

Kst est un outil de tracés graphiques et d’analyse de données très rapide et convivial, libre (Qt) et multi‐plate‐forme : Windows, Mac OS X et GNU/Linux. Kst est comparable à LabPlot, Veusz, QtiPlot ou encore SciDAVis.

La version 1, plus maintenue à l’heure actuelle, était une application KDE à laquelle ont contribué des grands noms du projet KDE comme George Staikos, gage d’une bonne qualité de code. Lors du portage en Qt4, les dépendances aux bibliothèques KDE ont été supprimées pour faciliter la distribution sur toutes les plates‐formes.

Des versions de Kst2 stables et pleinement fonctionnelles sont disponibles depuis assez longtemps, mais cet outil reste malheureusement trop peu connu. Pour remédier à cela, des tutoriels vidéo ont été préparés en utilisant la version 2.0.8 sortie en juillet dernier. Ces tutoriels sont disponibles sur la chaîne Kst plot sur YouTube, pour vous faire (re)découvrir les principales fonctionnalités de cet outil.

N. D. M. : l’auteur de la dépêche est l’un des développeurs de Kst, profitez‐en si vous avez des questions !

Sortie de radare 0.9.8

Posté par  (site web personnel) . Édité par rootix, Benoît Sibaud, palm123 et ZeroHeure. Modéré par NeoX. Licence CC By‑SA.
Étiquettes :
76
15
nov.
2014
Science

Radare2, déjà évoqué sur LinuxFR.org (cf Sortie de radare2 0.9.6), vient de sortir en version 0.9.8. Radare est un cadriciel complet pour jouer avec analyser des fichiers binaires: assembleurs, désassembleurs, moteurs d'analyse, …
Bref, c'est complet et touffu. Et cette nouvelle mouture apporte son lot de bonheur !
theme

Actualités des systèmes d’information géographique (2)

Posté par  . Édité par BAud, Benoît Sibaud, palm123 et Nils Ratusznik. Modéré par Benoît Sibaud. Licence CC By‑SA.
14
29
oct.
2014
Science

Quelques nouvelles du monde des systèmes d’information géographique (SIG), qui, d’après le Wikipédia francophone « est un système d’information permettant de créer, d’organiser et de présenter des données alphanumériques spatialement référencées, autrement dit, géoréférencées, ainsi que de produire des plans et des cartes ».

Retrouvez dans la seconde partie de la dépêche les annonces des nouvelles versions (Geoserver, pycsw, OpenLayers, PostGis, OSGeo, GDAL…), les services (OpenStreeMap), les événements (Foss4g et Be-OpenGIS-fr) .